Rapport
2016, une année de créativité et de
réalisations palestiniennes partout dans
le monde
CPI
Photo du
CPI
Dimanche 15 janvier 2017
Palestine – CPI
Beaucoup d’étoiles ont illuminé le ciel
palestinien tout au long de l’année 2016
qui vient de s’achever. Nous ne pouvons
en citer que quelques exemples, et
priorité à la créativité scientifique.
L’institutrice palestinienne Hanan al-Horoub
a gagné le titre de « Meilleur
instituteur du monde », offert par la
fondation britannique Varkey, en mars
2016.
La Palestinienne Iqbal al-Asaad est
sortie de la faculté de médecine comme
plus jeune médecin du monde.
Le jeune palestinien Yasser Khaledi,
étudiant à l’Université américaine du
Caire, a publié trois livres, déjà
diffusés dans plusieurs pays.
La jeune Yasmine Ali a pu, à
l’université américaine du Mississippi,
obtenir la médaille de l’excellence et y
a travaillé comme conférencière.
Rafiq Qarman, chercheur palestinien,
professeur à la faculté de pharmacie de
l’université d’al-Quds, a été choisi
comme deuxième chercheur du monde entier
par le site américain Research Gate
abritant environ neuf millions de
scientifiques, chercheurs, étudiants en
master et en doctorat.
Amer Hallaq, réfugié palestinien au
Liban, a hébergé une application sur
Android appelée « Private Identity »,
gardant les textes et les photos de
façon quasi inattaquable.
Le professeur palestinien Salim al-Hadj
Yahya a réussi à effectuer une opération
à cœur ouvert, la première au
Moyen-Orient.
La conférencière palestinienne Dr Amel
al-Kahlout est arrivée la première au
concours de l’ISESCO en physique de
l’année 2016.
L’étudiant palestinien Alaa ad-Dine
al-Hadj a obtenu la meilleure moyenne
aux examens américains SAT, au niveau
mondial.
Le jeune Mohammed al-Madhoun a pu
résoudre une opération complexe, en un
temps record, pour le compte de YouTube.
Il est devenu l’ambassadeur de Google
dans la bande de Gaza.
L’adolescent de treize ans Ammar al-Charif
avait découvert une lacune dans le site
de Facebook. L’administration de ce
dernier lui a offert vingt mille
dollars.
Les jeunes femmes ingénieurs Nour
Hassan, Hadil Abou Aycha et Khadija ar-Ramlawi
sont arrivées à produire une sorte
d’asphalte auto-traitant, pour leur
mémoire de fin d’étude universitaire.
Le lycéen palestinien Khalil al-Ahmed a
pu mettre en place une nouvelle théorie
en mathématiques et a gagné le premier
rang du concours organisé par
l’Université américaine de Beyrouth.
La Palestinienne Amani Abou Tayr,
ingénieur dans la sainte ville d’al-Quds,
a créé un outil aidant les enfants
malvoyants dans leur apprentissage, un
apprentissage rapide avec la méthode
Braille.
Dans le même secteur, les élèves Wisam
at-Tibi et Zaïd al-Balawi, 15 ans, ont
créé une application concernant les
malvoyants aussi. Il s’agit d’une
calculatrice spéciale les aidant à faire
des calculs, facilement.
Finalement, l’occupation, le blocus,
l’exil et toutes les souffrances de la
vie quotidienne n’arrivent à rien faire,
sinon aiguiser la volonté d’acier des
Palestiniens !
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