Algérie Résistance
L’Algérie dans l’attente d’un Poutine
Mohsen Abdelmoumen
Mercredi 7 octobre 2015
Acte final de l’opération
Zéralda
Sans aucune surprise, l’Opération
Zéralda s’est terminée par le départ, ou
la démission, ou le limogeage – appelez
ça comme vous voulez – du général
Toufik. Il n’est pas le seul, les juges
du tribunal militaire de Blida et
d’autres villes ont été limogés suite à
l’opération Zéralda parce que Saïd
voulait faire porter le chapeau à un
simple sous-lieutenant de la Garde
républicaine en l’accusant d’avoir voulu
le tuer et supprimer le président, soit
d’avoir voulu faire un coup d’Etat, mais
les juges militaires ont refusé cette
mascarade et en ont donc subi les
conséquences. Tous ont été dégommés en
refusant d’essuyer le couteau sur le
sous-lieutenant. Néanmoins, à l’heure
actuelle, le sous-lieutenant est sous
les verrous. Ce que j’avais annoncé dans
ma série d’articles traitant de cette
affaire s’est concrétisé et se poursuit
par une purge au sein de l’armée.
Différents officiers supérieurs,
généraux, généraux-majors sont démis de
leurs fonctions quand ils ne sont pas
carrément emprisonnés. Bien évidemment,
le clan mafieux de Saïd Bouteflika et
ses larbins ne lésinent pas sur les
accusations portées à l’encontre de ces
chefs militaires qui font les frais de
leur fidélité à leur patriotisme.
La tension
est parvenue à un tel degré
d’exacerbation que les règlements de
compte prennent l’allure de bagarres de
westerns à la John Wayne. Inutile de
chercher les Dalton, les frères
Bouteflika en ont endossé le rôle depuis
longtemps, soutenus par leur cohorte de
gangsters corrompus, tels le kharay Ali
Haddad el mgemmel qui ose
s’attaquer à tout un chacun en proférant
des menaces tout en affirmant qu’il
produit de la richesse en Algérie,
notamment en créant son « GEL »
(JIL)’FCE. J’informe el kharay de
Haddad que je détiens toujours sur lui
les preuves de ses diverses
malversations et fraudes, allant de la
surfacturation à l’évasion fiscale,
preuves que j’ai déjà produites et que
je vais à nouveau inclure dans cet
article. Une piqure de rappel n’est
jamais inutile pour les chiens enragés.
Et quand cet ignare inculte baragouine
dans son sabir qu’il pense proche du
français qu’il va recourir à partir de mantenon (maintenant)
à la « djeustisse » (justice)
de son payé (pays) cantre
(contre) celui qui toche
(touche) au FCO (FCE), je
préconise une opération urgente à la
mâchoire de cet olibrius et inscrire
l’intervention chirurgicale dans les
travaux de restauration du patrimoine
national. J’opte même pour qu’on lui
pratique une greffe de cerveau dans la
foulée. Eh oui, dans l’Algérie délabrée
d’aujourd’hui, hadha ma halbat el
bagra (c’est tout ce qu’on a pu
traire de la vache). La horde sauvage de
malfrats aux appétits voraces et aux
dents aiguisées se repaissent du corps
de notre patrie pour laquelle se sont
sacrifiés des millions de braves depuis
des siècles, la voilà souillée, traînée
dans la boue, devenant la risée de la
planète. Ces charognards criminels qui
ont assassiné l’espoir et qui ont
dilapidé des milliards de dollars, ont
mis le pays dans une situation dont il
ne pourra jamais se relever. Le tort
fait à l’Algérie par Saïd la folle,
ce grand amateur de soirées sado-maso
avec son amant Ali Haddad, et par le
zombie véhiculé sur son trône à
roulettes, est incommensurable, aidés
dans leur œuvre de destruction
systématique par une clique de larbins
lèche-cul de tous bords et de tous
horizons, une bande d’eunuques qui ont
castré le peuple algérien jusqu’au point
où l’Algérie, à la quête de sa virilité,
a recouru à l’import import imposé par
les laquais de Saïd la poufiasse et
a importé 1 million d’unités de pilules
viagra en un an ! Oui, dans l’Algérie de
Madame Dalila et de Zoubir la coiffeuse,
copine de Saïd et du gratin des
arrivistes et begar d’Alger, la
virilité s’importe, comme tout le reste.
Quant à Abdelaziz Bouteflika foudroyé à
cause de sa trahison aux martyrs,
l’ancien coureur de jupons invétéré qui
ne s’est jamais marié, il se contentera
de la panade à la cuillère, servie par
son frère cadet jusqu’à son dernier
souffle.
Les gens qui débattent d’une
succession héréditaire ne voient pas que
Saïd gouverne déjà et en est à son
deuxième mandat. Cela explique la
déclaration sur ordre de Saïd du drabki Saïdani,
réapparu après ses ennuis judiciaires en
France pour annoncer qu’il n’y aura pas
d’élections anticipées. L’idée de
constituer un front el Hargma autour
de la mangeoire du sultan Saïd et
proposé par notre danseuse du ventre
nationale est-elle venue à l’esprit du
drabki lorsqu’il replâtrait les
murs de la villa qu’il a détournée à
Draria, lui qui avait disparu des radars
lors de son escapade en France où il a
été mis en garde à vue pour blanchiment
d’argent avant de fuir courageusement
vers Barcelone ? Et pourquoi pas un
front sous forme de « barrage vert » qui
stoppera la désertification qui s’avance
? Où est donc passé Ouyahia avec son
alliance dans ce mariage pour tous ?
Aurait-il égaré l’anneau nuptial ? Dans
ces noces foutoir « ars bghal » (le
mariage d’un âne), une vache ne
retrouverait pas son veau. Quand Amar
Ghoul l’autoroute–automout parle
de construire un mur de soutien pour les
Bouteflika, qui va s’occuper des travaux
? Ali Haddad les deux brouettes ?
C’est mal barré, car connaissant la
compétence de l’entreprise Haddad, le
mur n’est pas près d’être achevé, et
lorsque le mur sera enfin terminé à coup
de dépassements de délais et de budgets
supplémentaires, va-t-il tenir ? À moins
bien sûr que Haddad ne fasse appel à la
sous-traitance, comme à son accoutumée.
Saïd veut mettre à genoux toutes les
voix discordantes susceptibles de
freiner son projet de mainmise totale
sur ce qu’il reste des réserves de
change et effectuer le transfert de tout
l’argent à l’étranger, endetter le pays
et foutre le camp, tout en chantant Viva
Las Vegas. Et dire que ces crapules
osent s’afficher et ouvrir le bec, en
tête Haddad el goudroune et
voleur de sable, Bouchouareb les
grosses lèvres, délégué commercial
de Peugeot et de Renault, défendant sa
mère patrie la France, et dont
l’histoire familiale est édifiante.
Dis-nous donc, Bouchouareb, si ton père
était oui ou non un harki ? Dans
l’affirmative, nous ne nous étonnons
plus de te voir travailler aussi
activement pour Fafa. Tu a bénéficié du
foncier et goinfré l’argent de l’État,
comme tes acolytes Haddad, Tahkout,
Tliba et les autres que l’on appelle
oligarques. Bouchouareb, quand nous
sortiras-tu le listing de ceux qui
pratiquent la surfacturation ? Quant au bouterma Gaïd
Salah qui ose parler au nom de l’armée,
je lui demande ce qu’il représente en
tant que voleur notoire, dans l’armée
algérienne ? Dans mon dernier article,
j’ai cité ton fils Adel qui s’est
accaparé toute la ville d’Annaba avec
ton gendre Bahaeddine Tliba, la baleine
à bosse – avec tout le respect que l’on
doit aux nobles cétacés – devenu
vice-président de l’APN (Assemblée
Populaire Nationale) par la grâce des
mafieux et des voyous. Comme est
lointaine l’époque où Tliba vendait du
cannabis à Annaba… Une
véritable tragi-comédie se déroule à
ciel ouvert en Algérie, avec des
guignols de tous bords qui nous montrent
dans quel caniveau est tombé notre pays,
et nous ne sommes pas sortis de
l’auberge de Fella, Cheba Kheira et
Zoubir la coiffeuse de Saïd la
pouffe…
Pour piqûre de rappel comme annoncé
plus haut, voici l’extrait de mon
article concernant Ali Haddad el
mgammel publié le 14/02/2015 :
« Ali Haddad, à travers la société
Aginyo, a acheté en 2011 pour 80
millions d’euros, l’Hôtel Palace,
ex-Ritz de Barcelone, l’un des plus
beaux hôtels d’Espagne, le laissant en
location à la société qui en était
jusque là propriétaire, la Husa
Hoteles appartenant à Joan Gaspart
Solves, homme d’affaires espagnol membre
de l’Opus Dei et ancien président du FC
Barcelone. Comme la société
locataire éprouvait des difficultés à
payer les loyers, Haddad a cherché à
revendre l’hôtel à perte en 2013, mais
ne trouvant pas d’acquéreurs, il a
finalement opté pour assurer la gestion
de son palace lui-même. En effet, en
2014, il a présenté une offre de 500 000
€ au Tribunal du Commerce n° 3 de
Barcelone pour reprendre la gestion de
l’hôtel, s’engageant à maintenir les 130
emplois. Toute la presse espagnole qui a
traité la vente de l’hôtel stipule bien
que l’acquéreur est un homme d’affaires
algérien. J’ai en outre eu accès au
Bulletin officiel du Registre de
Commerce espagnol qui a publié les
informations concernant la société
Aginyo.
Actes du Registre de Commerce et du
Registre des Sociétés :
D’après le Bulletin officiel du
Registre de Commerce espagnol paru le
16/12/2011, article 498961, la société
Aginyo a été constituée le 2 décembre
2011 : AGINYO INVERSIONES Y
GESTIONES INMOBILIARIAS SL(Investissements
et gestion immobiliers) est une société
qui a commencé ses activités le
4/11/2011 et dont l’objet social
concerne las actividades propias del
trafico inmobiliario (activités
liées à l’immobilier) incluidas la
promocion, construccion,
comercializacion y arrendamiento con
exclusion del arrendamiento activo
financiero. Domicile: Cl Teodor
Roviralta
Num.44
P.1 PTA.2 (BARCELONA). Capital: 3.000,00
Euros. Nombramientos. Adm. Unico : ALI
HADDAD. Datos registrales. T
42878, F 51, S 8, H B 417169, I/A 1
(2.12.11).
Nomination d’un mandataire :
21/12/2011 article 507068 – AGINYO
INVERSIONES Y GESTIONES INMOBILIARIAS SL. Nombramientos.
Apoderado (mandataire): RADIA
BOUZIANE. Datos registrales. T 42878, F
53, S 8, H B 417169, I/A 2 (9.12.11).
La nouvelle gestionnaire d’Aginyo,
Radia Bouziane, était déjà
administratrice de la société Skidbladnir
Sl constituée le 16/12/2011 à
Barcelone, destinée au commerce de gros
et détail et à l’exportation. Le
16/02/2012, la société a changé son
activité pour se spécialiser dans la
location de biens mobiliers de toutes
sortes, machines et équipements pour
l’industrie de transformation,
distributeurs automatiques, etc. et a
enregistré le 20/08/2014 la marque The
Blue Bird Royal, spécialisée dans
les services hôteliers, recherche et
réservation d’hôtels, de salles, bars,
restaurants, et autres services
d’hôtellerie et restauration, etc.
Changement de siège social : Le
29/05/2012 : article 226343 – AGINYO
INVERSIONES Y GESTIONES INMOBILIARIAS SL. Cambio
de domicilio social : Cl Escoles
Pies
Num.102 (BARCELONA). Datos
registrales. T 42878, F 54, S 8, H B
417169, I/A 3 (17.05.12).
En outre, toujours d’après la presse
espagnole, fin 2013, Haddad a acheté une
filiale du Groupe Keraben,
l’entreprise Kerafrit, spécialisée
dans la fabrication de peintures
émaillées, vernis et produits
similaires, encres d’imprimerie et
mastics, établie à Nules, en Espagne.
Avec cette acquisition dont le prix n’a
pas été révélé, Haddad entre au cœur de
la céramique castillane, réputée au
niveau mondial. Kerafrit avait
affiché en 2013 un chiffre d’affaires de
18 millions € dont 70 % était consacré
aux exportations en Europe, Afrique du
Nord, Amérique latine, Moyen-Orient et
dans plusieurs pays d’Asie du Sud.
L’article traitant ce sujet est paru
dans El Periódico Mediterraneo, le
12/12/2013, et dans las Provincias le
21/04/2014. Le 30/12/2013, el
Economista a publié un article
annonçant l’achat de Kerafrit par un
investisseur algérien, via la société
d’investissements Sitifis, le
nom d’Ali Haddad étant stipulé dans inn
DEA Valencia le 22/04/2014.
Toujours d’après le Bulletin officiel
du Registre de Commerce espagnol et le
Registre des Sociétés, la société Sitifis se
nommait à sa constitution le
14/08/2013, Abdelhafid Inversiones
(Investissements) SL, établie à
Nules (Espagne) et dont l’administrateur
était Abdelhafid HADDAD. L’activité de
la société portait sur la direction et
la gestion des investissements dans
d’autres sociétés : vente,
représentation, étude de marchés et la
commercialisation de produits céramiques
et connexes. Divers amendements ont été
opérés en quelques mois (changement des
statuts, d’adresse du siège social). Le
21/11/2013, Abdelhafid Inversiones
SL devient Sitifis Inversiones
SL, jusqu’à ce que, le 24/12/2013,
la société Sitifis se
transforme en Kerafrit SA, administrée
par Sitifis, avec l’attribution
d’un poste de mandataire à la fois chez Sitifis et Kerafrit pour
Oliver Martinez Manuel, mandataire de Kerafrit depuis
2010. Depuis le 20/01/2014, ce
dernier ne représente plus que Sitifis.
« Publicación en el Boletín Oficial
del Registro Mercantil del día 24 de
December del 2013 del anuncio de
nombramientos en la empresa KERAFRIT SA,
inscrito en el Registro Mercantil el día
17 de December del 2013 con los datos de
inscripción T 988, L 553, F 183, S 8, H
CS 12112, I/A 38 ».KERAFRIT SA : Administrador
Unico : Sitifis Inversiones SL (Boletín
Oficial del Registro Mercantil, Fecha
inscripción: 17/12/2013 T 988, L 553, F
183, S 8, H CS 12112, I/A 38). Le
17/01/2014, sont enregistrés des
modifications statutaires permettant une
augmentation du capital de102666,67 %,
soit un capital total de 3 083 000
euros, si l’on compte les 3 000 euros de
départ. D’après le Bulletin officiel du
Registre des Sociétés, Kerafrit SA a
été achetée par Sitifis Inversiones
SL le 17/12/2013. »
Faut-il rappeler que le champion de
la surfacturation est Ali Haddad et je
défie Bouchouareb de prouver le
contraire, lui qui a bien profité des
largesses de son maître Ouyahia (lots de
terrains, foncier industriel au dinar
symbolique, etc.) et j’ai les preuves de
ce que j’avance. Les activités de
Bouchouareb sont surtout basées dans
l’Est algérien, notamment à Oum El
Bouaghi, Ain Mlila et autres villes. Les
nombreux chantiers obtenus de gré à gré
par l’ETRHB Haddad , refilés à
des sous-traitants et non aboutis, tels
le stade de Tizi Ouzou, les nombreux
tronçons d’autoroute, dont la pénétrante
de Bouira, le tronçon reliant le port de
Djen Djen à El Eulma, le tronçon neuf
qui se déglingue entre Lakhdaria et
Bouira et dont les travaux de réparation
ont été bâclés en dépassant les délais,
et j’en passe ! N’oublions pas non plus
les impôts impayés du kharay Haddad. Qawadine
lekhab ou les cicérones menés par el
mgammel et el kharay Haddad.
Quand Haddad préconise de donner la
place aux jeunes, qu’il applique son
conseil en commençant par dégager la
momie Bouteflika et le gros imbibé Gaïd
Salah, bien que l’on sache que ce
dernier déguerpira dès novembre. Bande
de salopards, si les martyrs étaient de
retour cette semaine, ils vous
égorgeraient tous ! Ils appliqueraient
sur vous la violence révolutionnaire et
aucun d’entre vous ne serait épargné.
Le général Benhadid en prison
pour quelques mots
L’ignominie du clan des voyous et
traîtres de la nation pourris jusqu’à la
moelle atteint son paroxysme. Ils ont
osé s’attaquer à un grand monsieur, le
général Hocine Benhadid, qui n’a rien à
prouver, ni dans sa carrière militaire,
ni dans son parcours de patriote. Suite
à une interview qu’il avait accordée et
dans laquelle il ne faisait que son
devoir de patriote en dénonçant le
danger encouru par notre patrie, le
général Benhadid, moudjahid de l’ALN à
l’âge de 16 ans et ensuite major de
promotion dans toutes les Académies
militaires qu’il a fréquentées, soit
West Point où il était camarade avec
Colin Powell, Saint Cyr et l’Académie
soviétique, plus tard chef de la 3
Région militaire et commandant la 8
Division Blindée fondée par Boumediene,
se retrouve en prison à l’âge de 72 ans
sous deux chefs d’inculpation dont
« atteinte au moral de l’armée », en
compagnie de son fils, celui-ci étant
écroué pour port d’armes illégal.
Concernant ce dernier, les mafieux du
clan pensent-ils vraiment que nous ne
les connaissons pas ? Comme si nous ne
savions pas que tous les rejetons des
gangsters du clan Bouteflika qui
paradent dans leurs voitures de luxe
portent une arme ! Pour en revenir à
l’incarcération du général Benhadid,
imaginez Colin Powell en prison aux
États-Unis parce qu’il s’est exprimé à
la télévision. Tous les généraux
américains à la retraite écrivent des
livres et interviennent dans des forums,
des émissions de télévision et dans des
think tanks. On n’a jamais vu aucun
d’entre eux se retrouver en prison. En
outre, Benhadid n’a pas bénéficié du
soutien de ses frères d’armes dont
certains l’ont traîné dans la boue par
l’intermédiaire de leur torchon
médiatique qu’ils utilisent pour
partager la rente avec le clan
présidentiel. Quand le général Benhadid
a demandé l’intervention du général
Nezzar, la réponse de celui-ci a été de
le traiter d’ivrogne via le journal de
son fils, tout en ménageant Saïd
Bouteflika, Gaïd Salah, alcoolique
notoire, et le mgammel Ali
Haddad qui, tous, ont ruiné l’Algérie.
Pendant que notre pays menace de
s’écrouler, Khaled Nezzar préfère se
chamailler comme un gamin avec Khaled
Ziari, un ex-commissaire divisionnaire
de la DGSN, pour des propos que celui-ci
a tenus sur sa page Facebook. Quelle
piètre image de l’Algérie… À aucun
moment, le général Nezzar n’a exprimé
son soutien à ses pairs emprisonnés, le
général Benhadid et le général Hassan.
Il n’a même pas daigné citer leurs noms.
Même l’épouse de l’ancien président
Chadli, Halima, qui n’a rien à envier à
Leila Trabelsi, l’épouse de Ben Ali,
s’est invitée à la bastonnade générale
dans le torchon des Frères musulmans
tout en chantant les louanges du règne
de son mari et en oubliant qu’à cette
époque, pour les générations qui ne la
connaissent pas, elle faisait la pluie
et le beau temps en Algérie. Rien de tel
que le torchon des Frérots pour se
refaire une virginité. Tous ces gens qui
se chamaillent et dont on n’a rien à
foutre de leurs interventions misent sur
la mémoire courte des opinions
publiques. Pourtant, vous êtes tous
coupables du drame algérien !
Quoi qu’il en soit, ma conviction
intime est que le général Benhadid avec
son courage ne sortira que grandi et
vainqueur de cette épreuve et qu’il
reviendra bientôt au sein de sa famille.
Ce n’est pas lui ni Hassan qui doivent
être en prison mais Saïd Bouteflika, le
malade mental, et la clique qui
l’entoure, comme Ali Haddad et Ahmed
Gaïd Salah. En frappant les patriotes,
Saïd veut mettre tous ceux qui lui sont
opposés à genoux. Qu’il ne s’imagine pas
qu’en attaquant les meilleurs de nos
généraux, reconnus internationalement,
il va réussir à me faire taire. Au
contraire, cela me renforce dans mon
acharnement contre ces gangsters.
Benhadid a été arrêté avec son fils en
pleine autoroute, sans mandat d’arrêt ni
mandat d’amener, ce qui constitue un
véritable kidnapping. L’affaire Benhadid
comme l’affaire Hassan et toutes celles
qui ne manqueront pas de suivre sont des
preuves de la purge que le clan maudit
mène avec une hargne vengeresse contre
tous les proches de Toufik. On apprend
ainsi que Saïd Bouteflika, Gaïd Salah et
leurs acolytes ont établi une liste de
personnes à abattre dans leur plan
d’atteindre 2019 avec le mandat de Saïd
qui utilise son frère mourant comme
garant, en recourant à l’emprisonnement,
au limogeage, voire même à la
liquidation physique de ceux qui les
dérangent. Ils espèrent la remontée du
prix du pétrole prévue en 2020 avec, à
la clé, un cinquième mandat par
procuration de Saïd qui brandira son
frère dans son fauteuil à roulettes,
même s’il faut l’empailler quand il
passera l’arme à gauche.
Chaque jour apporte son lot de
scandales et non des moindres : le Journal
officiel français a publié le 1
octobre, via Legifrance,
l’arrêté n° 0227 du 25/9/2015 démontrant
que les militaires français participant
à l’opération Barkhane ont accès au
territoire algérien depuis le 1 octobre
2014 et y seront actifs jusqu’au 30
septembre 2016 inclus, à l’instar de la
Mauritanie, du Sénégal, du Mali, de la
Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du
Niger, de la Libye, du Tchad, du
Nigeria, du Cameroun et de la République
Centrafricaine ! À quoi cela nous a-t-il
servi de combattre la France ? Voilà où
nous ont menés les accords du
Val-de-Grâce, ourdis par les frères
Bouteflika, Gaïd Salah et leur gang de
traîtres de la nation. Dans un État
fort, cela s’appellerait de la haute
trahison passible de la peine de mort.
Non seulement les Pieds Noirs récupèrent
leurs biens mais l’armée française est à
nouveau présente en Algérie. La terre
algérienne gorgée du sang de tant de
martyrs pour arriver à cette infamie… Et
vous osez accuser le général Benhadid de
porter atteinte au moral des troupes ?
Les enfants du peuple qui sont dans
l’armée et qui gardent nos frontières se
sentent-ils à l’aise face à cette
information ? Leur moral est-il au beau
fixe en sachant que l’armée française,
chassée à coups de pieds au cul par
leurs pères et grands-pères au prix
d’immenses sacrifices et de millions de
morts, foule à nouveau de ses bottes
sanglantes la terre de nos martyrs ?
Bande de vendus ! Même si le ministère
français de la Défense vient de retirer
l’arrêté prouvant l’engagement de
l’armée française sur le sol algérien,
embarrassé devant le tollé que cela
avait soulevé et voulant cacher la
vérité au peuple algérien, cela prouve
ce que j’ai toujours affirmé, à savoir
que le régime français est complice de
la clique au pouvoir en Algérie.
Le général Benhadid sortira grandi,
que Saïd ou Gaïd Salah ou le peuple de
moutons le veuillent ou non, mais qui
sera sali dans cette histoire sordide
sur le plan international, sinon toute
l’Algérie qui payera la facture, comme
dans le cas du volet économique avec
Rebrab ? Bien que je ne mette pas les
personnages au même niveau et que je
n’aie aucune sympathie pour les nouveaux
riches, néanmoins, pour un pays en
pleine crise économique, au lieu
d’encourager la production nationale, on
casse Issad Rebrab. Les investisseurs
étrangers ne risquent pas de se
bousculer pour investir en Algérie. Et
surtout, ne nous parlez pas de l’usine
de montage de la Renault Symbol qui nous
coûte un pont d’or ! On aimerait bien
savoir comment ce régime et le mgammel de
Haddad vont régler le problème de la
crise économique. Je me souviens d’une
longue discussion, lors d’une de mes
rencontres conviviales avec l’ancien
président du CNES, le défunt Mohamed
Salah Mentouri, où Il m’avait affirmé,
en parlant du règne de Bouteflika qui
venait de s’installer, que celui-ci
n’irait pas loin parce qu’il n’avait
aucune vision stratégique et qu’il
naviguait à vue. Le point de vue de
Mentouri s’est avéré très juste et le
CNES est bel et bien mort avec lui.
Quand le clan a voulu déterrer cet
organisme ces derniers jours parce que
la situation face à la crise est
ingérable, tout est parti à tort et à
travers. Le CNES n’est plus ce qu’il a
été, Bouteflika l’ayant gelé comme
toutes les institutions, parce qu’il n’a
jamais supporté qu’on lui fasse de
l’ombre. Comment le monde va-t-il juger
cet État dirigé par des crapules sans
foi ni loi ? Qui va accepter de traiter
avec cette nation ? Si les truands du
clan de Saïd pensent qu’il suffit
d’avoir une armée dirigée par un gros
lard alcoolique pour être respectés, ils
se trompent lourdement. Les amis
occidentaux de Saïd et de son frère qui
font la promo de « l’alacrité » du
président devant les caméras, comme tout
dernièrement Ségolène Royal, doivent
réfléchir à la situation et comprendre
que si l’Algérie s’écroule, l’Europe
sera envahie par tous les terroristes
les plus sanguinaires. C’est la raison
pour laquelle toutes nos sources de
renseignement en Occident et ailleurs
nous ont confirmé que la décision du
démantèlement du DRS sous prétexte de
l’affaire de Tiguentourine s’est prise à
l’étranger et surtout à Paris. Et les
conséquences, d’après nos sources,
seront catastrophiques pour tout le
Sahel, l’Afrique et l’Europe. Ces
personnes, qui ont travaillé avec nos
généraux emprisonnés, s’inquiètent de la
situation en Algérie, car ils savent que
si l’Algérie tombe, tout le dispositif
antiterroriste dans le Maghreb et en
Afrique s’écroulera, sachant que l’on
fait face à un terrorisme global. Donc,
Saïd, cesse de toucher aux officiers
supérieurs de l’armée algérienne, libère
le général Benhadid, le général Hassan
et tous les détenus qui ont une opinion
qui ne te plaît pas. C’est l’ordre que
te donne un patriote algérien et tu dois
l’exécuter immédiatement ! N’oublie pas
que je mène une campagne contre toi au
niveau international. Tout le monde sur
cette planète sait à présent que c’est
toi qui signes les décrets à la place de
ton frère, sauf peut-être toi et ceux
qui t’entourent, tes copains-coquins
pervers comme Zouzou la coiffeuse avec
laquelle tu te livres aux jeux crades de
la nuit.
Ceux qui disent que le démantèlement
du DRS est un résultat de l’affaire
Tiguentourine, se fourvoient et jouent
le jeu de Saïd, car si l’affaire
Tiguentourine était vraiment le moteur
qui a déclenché la liquidation du DRS,
pourquoi ont-ils attendu aussi longtemps
avant de le détruire ? Donc, encore un
mensonge des larbins de Saïd, ceux qui
sont payés et ceux qui sont volontaires.
Car le règne de Bouteflika a créé une
nouvelle race, celle des lèche-bottes
qui ne bénéficient de rien mais qui
s’engagent bénévolement pour leur Fakhamatouhoum.
Seize ans de lavage de cerveau ont porté
leurs fruits. Parmi les manifestations
de ces mensonges, comment le peuple
algérien a-t-il accepté un quatrième
mandat avec un impotent à la tête de
l’État ? À ce moment-là, le peuple de
moutons n’a pas compris qu’il votait
pour le deuxième mandat de Saïd
Bouteflika. Le fait que Bouteflika se
fasse soigner dans les hôpitaux
militaires français du Val-de-Grâce et
des Invalides – ce qui constitue une
première dans l’Histoire de l’Algérie –
a été le nœud gordien du 4ème mandat,
avec l’accord passé entre Saïd et les
services français et israéliens. Du
moment où les services français ont eu
le dossier médical du président
algérien, l’affaire était pliée. Nous
avons maintenant un Omar Bango en
Algérie et une République couscoussière.
Tout est clair aujourd’hui, Saïd veut
régner jusqu’en 2019, jusqu’à
l’épuisement du dernier dollar, et après
lui le déluge. Si le pétrole augmente à
nouveau, les frères Dalton se
représenteront et la momie sera élue une
fois de plus, même empaillée. Le sort du
clan est intimement lié au prix du
pétrole. Il n’y a plus aucun secret
d’État, car quand on livre son pays aux
services secrets français et à leurs
commanditaires israéliens, de quels
secrets d’État peut-on encore parler ?
Et de quel droit maintient-on des gens
en prison avec des accusations de « main
étrangère », de divulgation de secrets
d’État, etc. ? L’Algérie d’aujourd’hui
est un hammam, le même que celui dont
sont issus les frères Bouteflika. Quant
au peuple, il est absent de l’équation
et fait figure de quantité négligeable
en courant après le prix des patates ou
celui des moutons. Quant à ceux qui
veulent me contredire, je les emmerde
et, comme disent les Italiens : vaffenculo !
En arrêtant Benhadid et toutes les
voix discordantes, Saïd a confirmé que
lui et son clan mafieux sont dans une
impasse. Ils ont signé leur arrêt de
mort et pratiquent la fuite en avant, et
je répète que ce texte fera le tour du
monde à travers mon réseau planétaire.
Tu t’es dévoilé Saïd, et tu as perdu le
match. Tu ne t’es pas rendu compte qu’en
incarcérant Benhadid, tu es tombé dans
la gueule du loup et que tu as accéléré
la fin inéluctable de ton règne. Inutile
de recourir aux pansements
constitutionnels, vous êtes tous foutus.
Faites le plein de kérosène et mettez
les moteurs en marche à l’aéroport de
Boufarik, et embarquez vos bagages,
comme l’a dit votre valet Ouyahia. Vous
ne négocierez rien du tout, vous avez
ouvert trop de fronts : Benhadid,
Rebrab, Hassan, etc. vous n’en sortirez
pas vainqueurs. Benhadid a sauvé
l’honneur de l’armée algérienne quand
d’autres, à l’instar de son chef
d’état-major, Gaïd Salah, l’a souillé.
Benhadid sortira de prison comme un
héros, et toi, Saïd, tu t’enfonceras
encore un peu plus dans ta fange. Qui a
provoqué l’accélération de la chute du
clan des mafieux, si ce n’est le général
Toufik qui, par son départ, a entraîné
une série de conséquences que Saïd ne
maîtrise pas ?
Saïd Bouteflika le sado-maso, malade
mental et mégalomane, et sa famille,
n’ont aucune trace dans l’état civil de
l’Algérie. Leur nom n’existe nulle part.
La bande des Bouteflika n’est qu’une
famille née dans un lupanar d’Oujda et
le produit d’une fornication entre un
Lévy et la patronne d’un hammam. Saïd
Bouteflika aujourd’hui s’attaque à tout
le monde et les voix qui me reprochent
de parler de ces individus et de leur
« vie privée » n’ont qu’à fermer leur
clapet du moment où ces personnages sont
sortis de la sphère privée pour paraître
dans la sphère publique et qu’ils sont
en train de jouer avec le destin de
l’Algérie. Ceux qui m’attaquent sur ma
position et mes idées n’ont qu’à se
taper la tête contre un mur. Dazou
mhahoum etyadkoum fe cheikh ! Je
n’écris pas pour les larbins, les
clients, les maquignons, les potentats,
les lèche-culs et les différents réseaux
nébuleux. Je n’écris pas pour les
pantins instrumentalisés par Paris,
Londres, Washington, Tel Aviv, Doha ou
Riad. Qu’on soit clair à ce sujet ! Et
je demande à ces perroquets qui passent
leur temps à spéculer de préciser
combien ils sont payés pour la
prostitution de la plume ou du micro.
Cette bande de renégats, qu’ils soient
islamistes ou du clan de Saïd, de Haddad
et du bouterma Gaïd Salah,
osent s’attaquer et emprisonner un
général auquel ils n’arrivent pas à la
cheville ! Vous ne m’impressionnez pas
et plus vous frappez des patriotes, plus
vous renforcez ma détermination à vous
combattre encore et encore en exhibant
vos méfaits, pas seulement devant un
peuple que vous avez castré et qui a
oublié les rêves généreux de Ben M’Hidi
et le sang de Benboulaïd, mais devant
toute la planète et tous les hommes
d’honneur qui la peuplent. L’Algérie ne
me suffit pas ! Sachez que le général
Benhadid n’est pas le seul à se dresser
contre vous, nous sommes nombreux dans
le monde pour vous contrer ! Je le
répète : lakane rakoum rajala ya
attayine, montrez-le avec les
faits, comme moi, et ne m’envoyez vos
larbins avec des pseudos dans les
réseaux sociaux qui versent dans
l’insulte gratuite sans apporter aucune
critique productive. En ouvrant cette
voie, je ne crains pas de vous montrer
ce dont je suis capable.
Ya Kahba de Haddad, j’ai
affiché tout ton dossier avec les
preuves, je t’ai brûlé en Espagne, et je
te niquerai partout, même si je ne suis
pas porté comme toi sur la rondelle. Au
lieu de parler derrière mon dos comme
une salope, affronte-moi comme un homme
au su et au vu de tout le monde, mais
sache que je ne te lâcherai pas d’un
pouce jusqu’à ce que tu tombes. Si tu
veux m’attaquer en « djeustisse »,
vas-y. Choisis le tribunal dans la ville
de ton choix, d’Alger à La Haye. À ceux
qui t’ont promis d’abattre Rebrab pour
t’ouvrir un boulevard, à ceux qui t’ont
fait croire qu’avec l’élimination du
DRS, tu pourrais faire ce que tu veux,
dis-toi que si ton ascension a été
rapide, ta chute sera foudroyante. Sache
que je ne te lâcherai pas d’une semelle,
je collerai à tes basques jusqu’à ce que
tu disparaisses dans le caniveau d’où tu
proviens. Les gens comme moi te
connaissent très bien et connaissent
aussi ceux qui t’ont fait quand tu
poussais la brouette dans ton patelin en
léchant les bottes du wali Benmansour
qui t’a donné les chantiers de gré à gré
et qui t’a permis de voler le sable
d’Azazga, ya attay. Au moment
où tu n’étais rien du tout et où ton
maître Saïd vivait avec sa famille du terfas à
Oujda en vraie bande de pouilleux
arrivistes, des hommes comme Benhadid et
d’autres faisaient West Point, Saint Cyr
et l’Académie militaire soviétique. Le
général Benhadid dirigeait la huitième
Division Blindée quand des cancrelats
comme vous tous frottaient la manche
d’un wali ou d’un maire. Ô Algérie,
comment traites-tu tes fils patriotes,
comment malmènes-tu les vrais hommes ?
Un soldat qui a servi sa patrie toute sa
vie est en ce moment en prison, parce
que des minables ont fait main basse sur
le pays. Khlassou rajala ya klab, ya
rkhass ! Un vieux monsieur
honorable de 72 ans, malade, est
incarcéré, et personne ne bouge ?! Même
le peuple regarde son destin comme s’il
n’était pas concerné. Un peuple
déshumanisé, castré, et qui est plus
intéressé par la Champion’s League et
les jambes de Ronaldo que par son propre
avenir et celui de ses enfants. Le
peuple algérien est devenu impuissant, à
tel point que le kharay Ali
Haddad propose d’offrir les femmes
algériennes aux investisseurs chinois
qui n’en sont toujours pas revenus !
Je n’ai pas croisé Benhadid, mais
j’ai croisé certains officiers
supérieurs, et je t’ai croisé toi-même,
Saïd. Te rappelles-tu, avorton ? Je
regrette de t’avoir serré la main un
jour, je faisais mon travail de
journaliste et je ne savais pas que je
rencontrais le poison mortel de
l’Algérie : Saïd Bouteflika el nakch.
L’Algérie du MALG et du DRS a laissé la
place à l’Algérie de Zoubir la
coiffeuse, de Badjrah et de Cheb Abdou.
C’est certainement l’État civil que
souhaitent les salonards et les
islamistes terroristes, une mutation
périlleuse qui ne sert que l’intérêt des
impérialistes et de leurs zouaves. Je
relate les propos d’un camarade officier
de l’ALN dans la wilaya 4 historique
qui, en parlant de la crise en Algérie
en 2001, m’a affirmé que cette crise
n’est pas seulement au niveau de l’État
et de ses structures civiles et
militaires. Méditez tous sa réflexion :
« Quand le pourrissement est dans les
familles elles-mêmes, comment espérer un
changement ou quoi que ce soit ? « .
Cette phrase est une lumière dans les
ténèbres de l’Algérie du règne des
régents Bouteflika. La sagesse de chez
nous est explicite à ce sujet : « kama
takounou youwala aleiykoum » (as
you are, your rulers will be, selon ce
que vous êtes, vos dirigeants le seront
aussi).
Le journaliste Abdessami Abdelhaï a
été libéré, et ce n’est pas grâce à toi,
Saïd, tu n’avais pas le choix. C’est une
victoire que tous les patriotes doivent
saluer, car aujourd’hui, ce père de
famille est enfin avec sa famille. Je
suis fier d’avoir alerté le monde entier
sur son cas, de la même manière que je
participe aujourd’hui à la libération du
général Benhadid qui sera bientôt
libéré, que le clan le veuille ou non.
Chaque fois que vous emprisonnerez
quelqu’un, je serai à ses côtés. C’est
valable pour le général Hassan et pour
tous les Algériens qui sont en prison
par le fait du prince. Quant à la
justice du mgemmel Haddad « nakch »
ou de Saïd « nakch« , la
folle de la Porte de Clichy, vous
pouvez vous la mettre dans votre trou de
balle ! Libérez ces hommes que vous avez
emprisonnés sous de faux prétextes et
dites-nous donc où est la justice des
Bouteflika et des Haddad dans l’affaire
du commandant Azzedine qui a dépouillé
la veuve de son compagnon d’armes, le
colonel de l’ALN Salah Boubnider, Sawt
al Arab de son nom de guerre, dont
Azzedine a volé tous les biens ? Votre
parodie de justice vous dévoile aux yeux
du monde ! En emprisonnant Benhadid,
Hassan et les autres, vous montrez le
visage hideux de l’Algérie. Les
patriotes croupissent en prison pendant
que la crasse pullule dans les
institutions. El habss la rjal ya
wlad hram ! (la prison est pour les
hommes et pas pour les femmelettes). Par
ailleurs, je soutiens pleinement mon
confrère, le correspondant à Tébessa, El
Hamza Sofiane, du journal arabophone
Akher Saa, qui a écopé injustement
d’une peine de 3 mois de prison avec
sursis et d’une amende de 150 000 dinars
algériens pour avoir écrit un article
qui ne plaît pas aux potentats et
maquignons locaux. Je lui offre mon
soutien indéfectible.
Plus la crise économique
s’approfondit, plus les membres du même
clan vont se chamailler pour se disputer
les restes sans aucune pitié. Est-ce
qu’au finish, Saïd va mettre tout le
monde en prison pour rester tout seul ?
Et ceux qui parlent d’État civil, comme
le drabki Saïdani, le voilà,
votre État civil : vol, rapine,
perversion. L’Algérie est transformée en
un vaste lupanar doublé d’une prison à
ciel ouvert. Pendant qu’un ancien
moudjahid de l’ALN végète en prison,
Hamid Melzi, l’apprenti maçon devenu
milliardaire, dirige en tant que PDG la
résidence d’État du Club des Pins où vit
le gratin algérois et veille au grain
pour couvrir les frasques et les soirées
de débauche qui se terminent souvent
entre bagarres et overdoses. Melzi
supervise tout chez les nouveaux colons.
Cette charge ne l’empêche pas de diriger
plusieurs entreprises d’État et son
pouvoir lui a permis de réserver le
Sheraton d’Alger pour le mariage de son
rejeton où il a invité tous ses maîtres,
empêchant les habitués d’avoir accès à
l’hôtel. Néanmoins, malgré sa servilité
à toute épreuve, le patron du Club des
Pins s’est fait avoir comme un bleu et
n’a rien vu venir, lui, le flagorneur,
le larbin des parvenus. Son arme
personnelle lui a été retirée et il a
été malmené comme le porc puant qu’il
est.
Je dis au général Benhadid que si le
général Toufik n’a pas accompli sa
mission, les rejetons de Lévy, en
l’occurrence la famille Bouteflika, a
accompli la sienne en incarcérant des
patriotes tels que lui et en coulant le
pays, en attendant de le livrer aux
charognards.
Saïd la poufiasse,
Haddad le kharay et
leur cohorte de gangsters ont osé
essayer de censurer un de mes articles
qui leur est consacré
Cela pourrait paraître une blague
mais ils ont osé mettre la pression sur
un de mes diffuseurs. Hélas pour eux,
ils n’ont pas réussi, car je peux
diffuser partout. Le vent emportera mes
paroles dans toutes les chaumières à
travers le monde, car je vous le répète,
bande de merdeux, je n’écris ni pour
vous ni pour vos ouailles castrées, des
impuissants à votre image. J’écris pour
la mémoire des miens, mes ancêtres. À ce
sujet, le nom de mon père, homme
d’honneur et patriote, est Mustapha
Abdelmoumen, descendant des Almohades.
Quant à toi, Saïd, et à ton frère le
président « remorqué », vous resterez
sans nom et sans histoire. Vous êtes les
rejetons d’un Lévy, voire même un
croisement de race, et je te mets au
défi, Saïd, de nous en parler. Le
dernier article que Saïd a voulu stopper
a fait plus de 151 000 lectures – un
record – dans un seul journal en ligne
– ici
– alors que je publie dans trois
supports médiatiques, en plus de mon
blog personnel Algérie Résistance – ici –
qui a plus d’impact que vos torchons
nourris par Grine la pute de la pub et
que certaines feuilles de chou qui
n’arrivent pas à imprimer 2000
exemplaires. La presse en Algérie est
devenue une poissonnerie. Je défie vos
larbins et vos plumitifs à la con – que
je peux citer car je les connais tous,
ces salonnards gavés de la rente –
d’atteindre 151 000 lectures. Allez-y,
la compétition est ouverte. J’ai eu
l’honneur d’interviewer de grands noms
dont vous ne pourriez même pas cirer les
bottes. En tant que journaliste, j’ai
atteint mon objectif. Je précise que je
ne suis sponsorisé ni par vous ni par
les autres et je demande à ceux qui
lancent des critiques derrière mon dos
et dont je vois le striptease sur les
réseaux sociaux de ne pas parler la
bouche pleine. À ceux qui lancent des
insultes derrière un ordi parce que je
m’oppose à votre « Dey Saïd Bouteflika »
et les salopes qui l’entourent, qui que
vous soyez, vous me trouverez « li
klah zakou ! » (celui dont le fion
chatouille, qu’il se gratte). Qu’il se
mette un concombre ou qu’il trouve un
manche ! Cela va des islamistes aux
autres. Fermez-la et continuez à picorer
dans la mangeoire dans le silence total.
Cessez de jacter ! Quant aux canailles
du clan, sachez que plus vous essayez de
me viser, plus cela me donne la rage de
vous attaquer à tous les niveaux. J’ai
fourni des preuves sur vos crimes
économiques et je t’informe
personnellement, toi, Saïd, que tu ne
pourras jamais corrompre ni briser les
gens de ma race. Mets-toi bien ça dans
ta petite caboche de rejeton de hammam.
Un guépard reste un guépard et une hyène
bouffera toujours les charognes que le
guépard dédaigne. Aucun d’entre vous
n’atteindra ni mon histoire familiale ni
mon histoire personnelle, parce que mes
racines sont très profondes dans
l’Histoire de mon pays. Quant à vous,
vous n’êtes que des parvenus et vous
finirez dans les égouts qui vous ont
éructés. Toi, Haddad, la petite frappe
arriviste parmi les arrivistes, bras
économique et prête-nom de ton chikour
Saïd, il faut que tu comprennes une
chose, pauvre minable, je ne porte pas
Rebrab dans mon cœur, car il a importé,
tout comme vos amis de la famille
Kouninef, du rond à béton radioactif
acheté à la mafia ukrainienne dans les
années ‘90, et qui continue à propager
le cancer en Algérie, mais Rebrab n’a
aucune peine à afficher son mépris à ton
égard. Je sais plus de choses sur toi et
tes semblables disséminés dans toutes
les régions d’Algérie que tu ne peux
imaginer. Ainsi, tu as implanté un
réseau qui a fait de l’argent sale
pendant les années de sang de la
décennie rouge et je connais un de tes
éléments dans ma ville d’origine qui
travaillait avec les terroristes. Ce
milliardaire a acquis sa fortune comme
toi dans les années ‘90 en appartenant à
une mafia pourrie connue dans tout le
pays, tu le connais très bien et je peux
citer son nom quand tu veux. Vous n’êtes
tous que des pourritures sans aucun
honneur comme le montre cette anecdote
lors du mariage de la sœur de Fella
Ababsa à l’Aurassi où tu n’étais pas,
parce qu’à cette époque-là tu poussais
encore ta brouette. Le jeune marié
libanais cherchait sa nouvelle épouse
pendant que celle-ci batifolait avec son
amant sous une table. Demande
confirmation au frère du président
« remorqué », Abdelwahab Bouteflika,
l’avocat du voyou Khalifa qui croupit
dans une prison et que tu rejoindras un
jour. Tels sont les gens qui vous
entourent : des dépravés pourris jusqu’à
la moelle. Qui se ressemble s’assemble.
Les gens comme toi ne feront pas long
feu, dès que ton maître sado-maso Saïd
déguerpira, tu t’effondreras
immédiatement, et en vous attaquant, toi
et ton amant, à des vrais patriotes,
vous ne faites qu’accélérer le processus
de votre propre destruction.
Sache aussi, kharay, qu’en
ce qui me concerne, je suis fier de
défendre ceux que toi et tes pareils
opprimez. Lorsque j’écrivais pour Alger
Républicain quand tu étais occupé à
fuir la gendarmerie ou à distribuer des
pots de vins pour passer des barrages
avec des camions remplis de sable du
côté d’Azazga. Autre
anecdote : quand le fils de Rebrab a
frappé la représentante syndicale de la
cellule Hyundai Algérie, elle est venue
me voir et j’ai pris son parti contre
tout le monde, aucun autre journaliste
ne voulant la défendre à ce moment-là,
parce que Rebrab était l’associé du
général Touati, El Mokh, qui le
protégeait. J’ai défendu cette femme et
elle a obtenu gain de cause. J’ai parlé
de son cas à de nombreux responsables de
l’époque, j’ai harcelé le secrétaire
général de l’UGTA, Sidhoum Saïd, et
l’actuel ministre de la Justice qui
était alors ministre du Travail, Tayeb
Louh. Je le mets au défi de nier cette
information. Si je raconte ça, c’est
pour te dire que je n’ai pas attendu des
petits connards dans ton genre pour me
censurer. Si tu me cherches, tu me
trouveras, et je vous offrirai l’enfer à
tous. Ceux qui se considèrent comme des
intouchables, je leur chie dessus, quant
à ceux qui sourcillent devant mes propos
qu’ils jugent graves ou triviaux, ils
sont complices de vos actes. Vous
tomberez tous, tant que vous êtes,
croyez mon expérience de vieux routier
de la politique, la roue tourne. Mais en
attendant la chute, vous vivrez dans les
tourments, et, croyez-moi, je prendrai
plaisir à vous empêcher de dormir
tranquilles. Dieu merci, j’ai un
lectorat très étendu et je rends grâce à
dieu de m’avoir donné cette arme, la
plume, et de m’avoir renforcé dans ma
croyance en la justice sociale contre
la hogra et l’oppression. Je ne
suis ni pour X ou Y. Personnellement,
vous m’avez volé ma jeunesse et
l’Algérie ne m’a rien offert,
contrairement à ceux qui critiquent
« l’État », le « régime », le
« pouvoir » depuis Londres ou Paris.
Dieu est témoin, je n’ai rien reçu de
mon pays, et je ne suis pas le seul dans
ce cas. Vous nous avez massacrés, volé
notre jeunesse, et même si des
faux-jetons du pouvoir ont voulu me
corrompre, je suis fier d’avoir refusé.
Je ne défends aucun intérêt, aucune
personne, seulement une idée, celle que
mes ancêtres avaient de la nation
algérienne. Quant aux mercenaires
d’Alger, Paris ou Londres, je leur
conseille de la fermer, même s’ils sont
grassement payés pour leurs aboiements.
Et je vous transmets un message que j’ai
reçu d’un jeune algérien sans travail et
qui est pourtant diplômé de
l’université, cette phrase que je
partage avec ce jeune homme, désespéré
de voir vos gueules : « Yadkoum fel
cheikh ya khab ! » (Astiquez bien
notre manche, bande de bâtards).
Des généraux en prison : les
islamistes se frottent les mains !
Tous les relais islamistes se
délectent de ces bonnes nouvelles venues
d’Algérie, que ce soient les renégats du
Londonistan, ceux de Paris ou de Doha,
les apôtres du djihad niqah ou
du djihad el mayssar. Enfin des
généraux en prison ! Délectation suprême
offerte par Saïd la folle de la
Porte de Clichy. Au moment où Hamadache,
Madani Mezrag et autres terroristes se
baladent comme ils veulent dans
l’Algérie de Bouteflika et vont même
être consultés pour l’élaboration du
papier-cul officiel, à savoir la
nouvelle Constitution du président
momifié que son frère Saïd sort du
placard et transbahute sur son trône à
roulettes à chaque fois qu’un officiel
se pointe à Alger. En Algérie, quand on
égorge des soldats et qu’on balance des
bombes, on est une personnalité
nationale, et ce n’est pas Ouyahia,
l’associé de Mahiedine Tahkout, qui va
nous contredire, lui qui a reçu Mezrag
précisément aux cabinets de la
Présidence où ils ont déféqué en duo.
Néanmoins, la mission diarrhéique
confiée à Ouyahia pour produire la
nouvelle Constitution de Bouteflika n’a
pas eu lieu. Je suppose qu’ils sont
constipés. Bensalah doit souffrir
d’hémorroïdes politiques, puisque
lui-même n’a pas réussi à chier la
mouture de la Constitution. Quant au
président sur roulettes, il n’arrête pas
de déclarer via les lettres écrites par
son frère cadet depuis 2011, que la
Constitution est prête et qu’il faut
juste aller voter pour dire oui. Oui à
l’amnistie générale des terroristes, oui
au retour des deux mandats… Un pays
délabré à ce point a-t-il besoin d’une
feuille de chou en guise de Constitution
? Qu’ils se torchent donc le cul avec !
Néanmoins, le plus intéressant dans
cette mascarade réside dans l’attitude
des Islamistes, notamment ceux qui
veulent régler leurs comptes et qui
n’arrêtent pas de nous dire que le FIS
est innocent comme le fut le loup du
sang de Joseph, et que c’est l’armée
algérienne la source de tous les maux.
Bref, ils nous resservent le plat
insipide à force d’être réchauffé du
« qui-tue-qui » de François Gèze et de
Jean Baptiste Rivoire, avec les services
français et israéliens qui reviennent en
force. Les Islamistes se sont faufilés
dans la faille de ces dernières semaines
pour tenter un coup de force à leur
manière visant le retour du FIS dans la
scène politique nationale et une
amnistie générale qui engloberait tous
les terroristes sans exception. Ils ont
profité de la vulnérabilité de l’État
algérien pour peser de tous leur poids
afin de vendre à nouveau la camelote du
qui-tue-qui et revenir nous baratiner à
propos du scrutin de 1992. Je leur dis
que s’ils exigent la légitimité,
revenons à 1962, car c’est le GPRA qui
devait gouverner l’Algérie, ce qui n’a
pas été le cas. En effet, pourquoi
seulement parler du FIS, du père et du
Saint dollar ? Tous les relais
prostitués des médias et des partis se
sont levés comme un seul homme pour
réclamer un retour du FIS avec, à la
clé, l’accusation de l’armée algérienne,
version « qui-tue-quiste ». Tous les
moyens sont bons pourvu que ça marche.
Ils profitent du départ du général
Toufik en se délectant du démantèlement
du DRS, et surtout de la faiblesse du
pouvoir actuel qu’ils peuvent contrer
facilement, puisque le noyau dur de
l’armée qui leur faisait obstacle a
totalement disparu. Les Islamistes de
Londres, de Paris, de Genève et
d’ailleurs, sont de fait les alliés
stratégiques du pouvoir et du régime de
Bouteflika. Ils sont même le fondement
sur lequel il s’appuie, avec le bras
économique représenté par le kharay Ali
Haddad et le bras armé dirigé par
l’ivrogne Gaïd Salah imbibé de whisky
black label et qui partira
bientôt à la retraite une fois sa
mission terminée, même s’il a offert ses
fesses sans l’ombre d’une hésitation.
Ici et là, on avance le nom de Benali
Benali pour le remplacer, issu de la
même région que l’entourage de
Bouteflika, soit de Tlemcen, Nedroma,
etc. Bien que le chef d’état-major ait
pratiqué tout le kamasoutra, il sera
quand même dégagé comme une vieille
chaussette trouée, et ce, dès novembre.
Si par miracle, il atteint 2016, sa
carrière ne se poursuivra pas plus
longtemps. Les Islamistes dotés d’un
opportunisme et d’un pragmatisme
historique hérité de la nébuleuse des
Frères musulmans, ont actionné toutes
leurs chaînes de télévision pour
ressortir le dossier complet de l’armée
algérienne, terminant le travail de sape
commencé par Saïd Bouteflika, la pute à
la solde de Bernard Bajolet et d’Israël.
Plus on incarcère les patriotes, plus
les Islamistes demanderont des
concessions à ce pouvoir pourri qui leur
offrira tout, pourvu qu’il puisse
organiser non pas la succession mais la
fuite, car la succession a eu lieu il y
a belle lurette. En réalité, Saïd
Bouteflika est président depuis 2009 et
a donc exercé deux mandats consécutifs.
Les débats sur l’accession de Saïd
Bouteflika à la succession sont biaisés,
puisque la succession héréditaire a eu
lieu dans l’informel dès 2009, et ceux
qui demandent au sado-maso de la Porte
Clichy, Saïd Bouteflika, de sortir de
derrière le rideau pour affirmer que
c’est lui qui dirige effectivement
l’Algérie, se trompent du tout au tout.
Pourquoi sortirait-il de l’ombre alors
que cette position est la plus
confortable pour lui, qui n’a aucune
fonction officielle et qui est
conseiller nommé par décret non
publiable ? Il n’est tributaire d’aucun
bilan et n’a de compte à rendre à
personne. C’est une situation inédite
dans l’histoire politique de l’humanité.
Peuple algérien, continuez à dormir
sur vos deux oreilles, mais sachez que
vous êtes dirigés par des pervers, des
voleurs et des pédophiles qui vous ont
bel et bien castrés pendant votre
sommeil. Tous ces duels, gesticulations,
arrestations arbitraires, etc. reflètent
l’état de panique dans lequel se trouve
le clan présidentiel qui n’a aucune
solution pour sortir de l’impasse dans
laquelle il a mené le pays, et le
général Benhadid a eu le mérite de
dénoncer cet état de fait. Les Sellal,
Ouyahia, et les autres ministres doivent
rentrer chez eux dès maintenant, car le
clan va persister dans le changement des
figures parce qu’il n’a pas d’autre
choix. La seule vision de l’État des
Bouteflika consiste à changer les
personnages de la scène, offrant un
semblant de changement dans le statut
quo, qui est une impasse matricielle
secrétée par ce pouvoir pourri. La
Constitution est en gestation depuis
2011, ce qui est inédit dans l’histoire
politique mondiale. On agite un
hypothétique bout de papier qui ne
représente plus rien, car trop souvent
souillé et piétiné, pour jeter de la
poudre aux yeux et combler le vide
politique. On gagne du temps et on
bouffe les restes jusqu’à laisser
l’Algérie sur la paille et endettée. Les
Islamistes sont tellement sûrs d’eux que
dans ce moment d’affaissement général,
le kharay Madani Mezrag, ce
criminel qui devrait rendre compte de
ses crimes, n’hésite pas à menacer le
président à roulettes. On se demande si
le percussionniste Saïdani avec son
bendir pourra stopper les poussées
d’adrénaline de Mezrag qui est
apparemment en rut. Qui va se porter
volontaire parmi les membres du clan
pour assouvir les pulsions de Madani
Mezrag en lui offrant encore une fois
son derrière ? Je leur suggère de tirer
à la courte paille pour déterminer qui
sera l’heureux élu.
Issad Rebrab révèle la
pédophilie de Gaïd Salah
C’est très grave. Le chef
d’état-major et vice-ministre de la
Défense a été évoqué dans des affaires
de pédophilie au cours d’une émission de
télévision sur une chaîne appartenant au
fils d’Abassi Madani, El Magharibia.
Cette chaîne a mobilisé
tous ses zouaves qui tapinent pour le
fils de Madani, et pour Abdul Rahman
Omeir Al–Naimi, un pingouin
qatari bailleur de fond du terrorisme
international. Le Qatar accueille les
bras ouverts les pires crapules que
recèlent cette planète, dont Abassi
Madani, chef du FIS et pédéraste
notoire, et le vieillard pédophile al-Qardaoui,
mufti de l’Otan, qui a épousé une
fillette de 9 ans. Devant les
révélations du chef d’entreprise Issad
Rebrab concernant la pédophilie de Gaïd
Salah, nous exigeons une enquête
immédiate. Où est la justice libre,
qu’elle soit militaire ou civile, vantée
par « Monsieur État civil »,
c’est-à-dire la danseuse du ventre
Saïdani qui n’est plus à une contorsion
près ? Certains nous disent
« laissez-les voler puisque le peuple
accepte et que la corruption existe
partout dans le monde ». Admettons, mais
la pédophilie est un acte très grave. Le
chef d’état-major de l’armée algérienne
serait donc un pédophile ? On sait qu’il
doit partir bientôt, mais devant cette
accusation, il doit démissionner séance
tenante ! Où sont les familles des
victimes ? Qui a étouffé l’affaire ?
Pourquoi Gaïd Salah n’est-il pas en
prison, alors qu’on enferme le général
Benhadid pour quelques phrases, ce qui
s’apparente à un délit d’opinion ? Le
général Petraeus aux USA a été dégommé
pour moins que ça ! Comment voulez-vous
que le moral des troupes ne soit pas au
plus bas quand le chef d’état-major est
accusé de pédophilie et n’engage pas des
poursuites contre la chaîne de
propagande terroriste qui n’a jamais
condamné les crimes de Daech ? Ils ont
beau parler de liberté d’expression
dans El Magharibia, on connaît
leur projet, eux qui n’ont jamais
condamné le terrorisme, bien au
contraire, ils parlent de djihad et
étaient favorables aux printemps
sionistes. Scandale sur scandale, Gaïd
Salah dont on le penchant pour le whisky
n’est plus un secret pour personne, nous
est révélé maintenant amateur de petits
garçons. Issad Rebrab, en déplacement au
Brésil, affirme qu’il a reçu des
informations lui indiquant qu’il serait
arrêté dès son retour en Algérie,
ajoutant que « ces gens-là n’ont pas
besoin de mandat pour m’arrêter ». Cet
énième scandale montre de quoi sont
capables Saïd et son clan de gangsters.
Voilà où nous a mené le règne des
Bouteflika qui demande au peuple,
retenez-vous bien, qu’il faut se serrer
la ceinture et ne plus dépenser, alors
qu’ils ont dilapidé 800 milliards de
dollars en quinze ans ! Peuple algérien,
acceptez le fait qu’ils aient pillé et
ruiné l’Algérie et acceptez le fait que
vous n’aurez rien. Acceptez leur
trahison et leur incompétence. Saïd et
tes députés et clients, commencez donc
par donner l’exemple en renonçant à
votre train de vie fastueux et à la
moitié de votre salaire. Ce n’est pas au
peuple de payer la facture de votre
gabegie, bande de voleurs, pilleurs et
traîtres !
Pauvre Algérie, comment allons-nous
sortir de ce purin ?
Au moment où les grands de ce
monde se réunissent à New York pour
l’avenir de l’humanité, l’Algérie brille
par son absence
Quand Vladimir Vladimirovitch Poutine
donnait des leçons à toute la planète au
siège de l’ONU et qu’il a décidé de
frapper Daech pour combattre réellement
les terroristes, les pays occidentaux et
leurs valets arabes saoudiens et
qataris, alliés à la Turquie d’Erdogan,
ont commencé une campagne acharnée
contre la Fédération de Russie qui est
en train de redessiner la carte
géopolitique du monde. Poutine a
démasqué l’empire américano-sioniste et
ses larbins avec une force implacable
alliée à la maîtrise de la realpolitik,
alors que l’Algérie, concernée au
premier chef par le terrorisme et par
Daech implanté en Libye, faute d’avoir
un président debout sur ses deux pieds
et en pleine force physique et mentale
comme Vladimir Poutine, se contente d’un
président « remorqué » et de son frère
cadet qui écrit des missives au
président du Lesotho ou du Zimbabwe et
dont l’unique préoccupation est de faire
un montage à la résidence médicale de
Zéralda autour d’un mouchoir et d’un
vase de roses rouges figées, à l’image
du président statique. Saïd, un conseil,
change la couleur des fleurs.
L’Algérie tourne sur elle-même, au
ralenti, comme la charrette de ce
président mourant qui fonctionne par
correspondance et qui a raté un moment
historique et un tournant majeur dans la
lutte antiterroriste, la vraie, celle
menée aujourd’hui par Vladimir Poutine
et la Chine. Pendant que ces grands pays
changent la face du globe et ouvrent la
voie vers un monde multipolaire en
brisant les reins de l’empire américain
et de ses larbins connus de tous,
l’Algérie s’est située en dehors de
l’Histoire, parce qu’elle a un président
mourant incapable d’assumer ses
fonctions qui ont été accaparées par son
frère cadet, lequel n’a aucun droit de
gérer l’Algérie par procuration. Tout
cela s’appelle la vacance du pouvoir, un
régime présidentiel sans président. Un
ex-diplomate algérien n’a pas hésité à
dire que l’Algérie a raté un grand
rendez-vous à New York très important
sur le plan géopolitique parce que le
président, ou plutôt son frère, est
occupé à détruire les services de
renseignement algériens et l’armée.
L’Algérie dont la voix est inaudible
aujourd’hui reste désespérément absente
du concert des nations. Tout le monde la
regarde sombrer dans des guerres
claniques qui la desservent. À vrai
dire, le frère du président, tellement
obnubilé et débordé par le fait de
démanteler et casser les services de
renseignement, et de vassaliser l’armée
algérienne, ne peut avoir aucune vision
lointaine et ne peut pas sortir de
l’ombre. Quant à son frère grabataire,
on ne sait même pas s’il est vivant ou
mort, on le sort du frigo comme on sort
les crevettes royales, pour l’exhiber
face au président d’une république
bananière moyennant finances, ou face à
Lakhdar Brahimi qui a décroché un CDI
dans le rôle d’accompagnateur attitré du
président à roulettes. Cette situation
ne peut pas perdurer. Soit Saïd
Bouteflika sort de derrière le rideau et
dévoile son programme de succession
directe, soit l’Algérie doit trouver son
Poutine qui renversera la table sur ses
crapules et redressera la barre. Il faut
se remémorer que Poutine est venu quand
la Russie était fragilisée par les
agissements d’Eltsine, président
alcoolique et pervers qui a souillé la
Russie, l’affaiblissant en acceptant
l’apparition des oligarques et des
nouveaux riches qui ont profité de la
vulnérabilité de l’État russe, comme le
font aujourd’hui les Haddad et Cie.
Vladimir Poutine a maté ces arrivistes
en les réduisant à rien et il a fait de
son pays ce qu’il est aujourd’hui : une
puissance que même les États-Unis et
l’Union européenne n’ont pas pu briser,
bien au contraire, la Russie s’est
redressée et Poutine a marqué l’Histoire
pour toujours. L’Algérie, quant à elle,
attend un Poutine algérien et se trouve
devant un choix cornélien : soit un
président fort, soit la disparition du
pays. Même si je ne crois pas aux hommes
providentiels, l’Algérie doit devenir un
État fort avec un président à poigne qui
accomplira toutes ses missions, avec des
institutions solides et surtout
légitimes – toutes les institutions ! –
car un État faible disparaîtra
immanquablement dans les méandres de
l’Histoire.
NB : Si la trivialité de certains de
mes propos choque certaines âmes
sensibles, ce texte révèle pourtant la
réalité obscène de ceux qui dirigent
l’Algérie. Ils ont dépassé toutes les
bornes de la bienséance la plus
élémentaire. Quant aux vierges
effarouchées adeptes de « l’éthique »
selon Hamid Grine la pub, la pute,
la pipe, et leurs « analysettes » à
quatre sous, vous pouvez vous les
enfoncer dans la partie charnue de votre
anatomie, vous aurez le mérite de
réhabiliter ainsi le métier de ramoneur
qui tend à disparaître. Car si la sauce
diffère, la matrice reste la même. Je
n’ai jamais été intéressé par le
journalisme des salonards, docteurs ès
enculades de mouches.
Mohsen Abdelmoumen
Published in Oximity, October 7,
2015:https://www.oximity.com/article/L-Alg%C3%A9rie-dans-l-attente-d-un-Pou-1
In Whatsupic:http://fr.whatsupic.com/sp%C3%A9ciale-monde/l%E2%80%99alg%C3%A9rie-dans-l%E2%80%98attente-d%E2%80%99un-poutine.html
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