LUCMICHEL.NET
Campagne de ʽLucmichelbashingʼ à
propos du Burundi et de la RDC (5) :
Second droit de réponse de Luc Michel
adressé à ʽIWACUʼ (Burundi) ...
Luc Michel
Vendredi 19 août 2016
# LUCMICHEL. NET/ CAMPAGNE DE
‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU BURUNDI
ET DE LA RDC (5) : SECOND DROIT DE
REPONSE DE LUCMICHEL ADRESSE A ‘IWACU’
(BURUNDI) …
PCN-SPO/ 2016 08
11/
https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/
http://www.lucmichel.net/
# I – LES FAITS,
ARUSHA II ETC …
IWACU est au centre
des attaques contre Luc MICHEL pour le
volet « polémique sur les discussions
d’ARUSHA II » (pas moins de quatre
articles, largement repris dans la
« nouvelle presse africaine », celle de
Sorös). Ce second Droit de réponse vise
à répondre aux falsifications de la
soi-disant opposition burundaise sur
Arusha II. Le ton des articles est
contenu. Mais le Forum joint à chaque
article lui déverse médiamensonges,
diffamations et insultes ah hominem à
plein tombereaux. Une façon maladroite
de penser échapper aux responsabilités
éditoriales, un média étant responsable
du contenu de ses forums et autres
couuriers de lecteurs …
IWACU est devenu le
partenaire du MONDE AFRIQUE, directement
sponsorisé par la fondation OSIWA de
Georges Sorös, le financier des «
révolutions de couleur ».
* Sur le Premier
Droit de Réponse de Luc MICHEL adressé à
IWACU et ce média, lire :
http://www.lucmichel.net/2016/08/15/lucmichel-net-campagne-de-lucmichelbashing-a-propos-du-burundi-et-de-la-rdc-4-luc-michel-met-les-points-sur-les-i-avec-iwacu-burundi/
# II - SECOND DROIT
DE REPONSE DE LUC MICHEL, PRESIDENT DU
PCN ET DE PANAFRICOM,
ADRESSE AU WEBSITE IWACU (BURUNDI)
A nouveau mis en
cause de manière inacceptable et
insultante dans un article intitulé
“Arusha en procès” (ainsi que dans les
commentaires le suivant) publié sur le
Website IWACU, en date du 17 mai 2016,
Luc MICHEL, président du PCN et de
PANAFRICOM, adresse à IWACU ce SECOND
droit de réponse légal et tient à
apporter les précisions suivantes :
Je suis diabolisé
en permanence par vos médias et
grossièrement insulté à la fois dans cet
article et dans ses commentaires, traité
notamment de « néonazi », insulte
récurrente dans vos publications et
leurs commentaires (ceci dans une série
d’articles débutant le 1er mai 2015). Je
déplore ce ton insultant, reprise de
ragots issus de mes adversaires
politiques les moins malins, qui vous
déconsidère. L’insulte abaisse toujours
l’insulteur ! Elle révèle aussi
l’absence d’arguments sérieux pour
débattre. Rien ne concerne mes
engagements réels. Le
lecteur jugera !
A PROPOS DES
DISCUSSIONS DE « ARUSHA II » !
Dans une série
d’articles, dont celui du 17 mai 2016,
tous consacrés aux discussions de «
Arusha II », vous me mettez en cause, me
diabolisez et diffusez de fausses
informations.
Je n’occupe pas de
position au sein du gouvernement du
Burundi ou du Cabinet présidentiel, et
donc je ne suis pas « conseiller du
président », fonction officielle.
Mais je suis une voix qui est écoutée en
Afrique et ailleurs, au Burundi comme
dans de nombreux pays africains, et
notamment par des présidents africains,
sur AFRIQUE MEDIA TV, le Net ou les
réseaux sociaux où je suis largement
suivi. Ma récente visite au Canada et la
Conférence de Québec « Les vraies
raisons de la crise de 2015 au Burundi »
ont à nouveau démontrés mon audience !
Lors de ma visite
au Burundi, j’ai été l’invité principal
d’une grande Conférence, intitulée « Le
Burundi au cœur du Panafricanisme »,
organisée à titre privé et pas par les
autorités, mais diffusée par la RTNB, et
où j’ai présenté les thèses du «
NEOPANAFRICANISME » de PANAFRICOM (comme
je l’avais fait quelques semaines
auparavant à l’Assemblée nationale de
Côte d’Ivoire). Lors du dialogue avec le
public, on m’a demandé mon avis sur la
participation du gouvernement
démocratiquement élu du Burundi à ces
pourparlers. Et j’ai pris position
contre cette participation, piège
politique et diplomatique tendu par les
régimes occidentaux hostiles à
Bujumbura. Depuis, en juin dernier, le
parti présidentiel CNDD-FDD a pris lui
aussi position contre « Arusha II ».
Preuve que ma position n’était ni isolée
ni critiquée à Bujumbura, et
certainement pas par les participants à
cette Conférence (majorité, opposition
patriotique et société civile).
A PROPOS DE LA
RUSSIE ET DU PRESIDENT POUTINE …
En mars 2014, l’ONG
EODE (Eurasian Observatory for Democracy
and Elections, dont la branche africaine
est dirigée par le camerounais Gilbert
Nkamto, et s’appelle EODE-AFRICA), sous
ma direction, a organisé le Monitoring
du Référendum d’autodétermination de
Crimée et de Sébastopol, à la demande du
Parlement de Crimée. Ce monitoring qui
s’est fait contre la volonté des
chancelleries de l’OTAN, et où EODE a
damé le pion à l’OTAN et à l’OSCE, m’a
valu une gigantesque campagne de
diabolisation et de diffamation (plus de
2.500 articles ou émissions contre EODE
et moi-même). On retrouve dans les
commentaires de votre article du 17 mai
des remugles nauséabonds de cette
campagne de 2014.
On lit notamment
dans vos colonnes ce qui suit : « le
Burundi est un pion dont se sert le
Maître de Toutes les Russies, pour
enquiquiner l’Occident – les affinités
entre Luc Michel et Vladimir Poutine ou
les instances du Kremlin sont apparues
assez clairement lors de la crise de
l’Ukraine ». Thèse audacieuse dont je
vous laisse seul juge, mais qui tendrait
à faire croire à vos lecteurs que la
Russie serait en embuscade derrière moi.
Non je ne suis pas au Burundi la main ou
l’œil du Kremlin, et EODE ou EODE-AFRICA
ne sont pas présentes au Burundi ! Il
est par contre exact que je suis
l’avocat, non pas du diable russe, mais
du « retour de Moscou en Afrique »,
allié essentiel pour dégager l’Afrique
du néocolonialisme de Washington, Paris,
Berlin, Londres ou Bruxelles.
JE NE SUIS PAS « UN
NEONAZI ANTIAMERICAIN » !
Venons-en aux idées
politiques et aux thèses géopolitiques
que je professe.
Vous écrivez notamment « Il est décrit
par la presse internationale comme un «
néonazi antiaméricain »». Ceci est
l’avis diabolisateur des médias de
l’OTAN, dans des soi-disant «
biographies », non soumises au Droit de
réponse ou à rectificatif, et initié par
les polices politiques de l’OTAN et mes
adversaires. Tous, comme IWACU, écrivent
à charge, ommettent volontairement mes
véritables positions et une grande
partie de mon vrai parcours politique,
commencé en 1972 (dans la mouvance
pro-palestinienne). Mais ce n’est pas
l’avis de la presse russe, iranienne,
syrienne, ou encore de nombreux médias
africains, qui sollicitent et publient
mes thèses depuis de nombreuses années.
Je ne suis pas un «
militant néonazi » et n’ai jamais
appartenu, ni comme dirigeant, ni comme
cadre ou membre, à l’organisation
française mentionnée abusivement par
Wikipedia. Ma soi-disant « biographie »
sur Wikipedia (et ses clones
d’extrême-droite), qui a été rédigée
pour me nuire et me déconsidérer par mes
adversaires politiques, liés aux polices
politiques de l’OTAN, comporte des
éléments inexacts et, mensonge par
omission, dissimule une grande partie de
mon parcours politique réel. Je vous met
au défi de produire un seul de mes
nombreux écrits (j’ai publié plus de
16.000 éditoriaux depuis 1983) depuis 32
ans qui soit en faveur du Nazisme.
Les faits
dissimulés par Wikipedia sont les
suivants :
* Je dirige depuis
plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI «
EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en référence
à la Résistance allemande antinazie),
qui combat précisément le néonazisme et
le racisme.
J’ai été l’adversaire principal du Front
National en Belgique, à qui j’ai brisé
les reins en 1994-96 par mes actions
politiques et judiciaires victorieuses
devant les tribunaux belges. Je combat
aussi le FN des Le Pen. En 1998, à
l’élection partielle de Toulon (France)
en avril 1998, nous présentions une
liste intitulée : « PCN. LES JEUNES
CONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU
FN ».
Notre Collectif a aussi combattu dans
les pays baltes et en Moldavie pour le
respect des droits des minorités
ethniques, russophones notamment. Et
contre la réhabilitation du nazisme par
les états révisionnistes baltes et
ukrainien.
Tout ceci fait l’objet de publications
scientifiques (notamment Universités de
Cracovie, de Paris et de Liège)
dissimulées par mes diffamateurs.
Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à
recevoir de qui que ce soit !
* Le PCN n’est pas
un « parti d’extrême-droite » et encore
moins « néonazi ». Accusation insultante
proférée par nos adversaires politiques,
en particulier au sein des appareils
d’état belge et français. Les
observateurs sérieux le constatent tous.
Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU
CRISP (n° 1598-1599 . 1998), revue
scientifique belge de sciences
politiques - la référence en Belgique
nous a-t-on dit à l’ULB - écrivait sur
le PCN en 1999 ce qui suit : « Le
programme et les actions du PCN sont en
opposition avec les thèses racistes des
formations d'extrême droite classiques.
Ce parti se revendique du
"Communautarisme européen" et est
constitué, selon un document interne, de
7 tendances politiques (nationale-boIchévique,
léniniste européenne, syndicaliste
révolutionnaire,
nationale-révolutionnaire, vert
radicale, socialiste radicale et
démocrate européenne) ».
François Heinderyckx professeur à
L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de
L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES,
classait le PCN à l’occasion des
élections européennes de 1999 et sur
base de son programme parmi la « gauche
révolutionnaire » (Dossier spécial
Elections 1999, analyse des campagnes,
consulté sur le site internet d’INFONIE,
Belgique).
A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD
REPORT 1993, publié à Jérusalem par
l’Institute of Jewish Studies, dans son
édition anglaise, si il reproche au PCN
son antisionisme, précise que "The PCN
is not a far-right organisation".
MON PARCOURS
PANAFRICANISTE DEPUIS PLUS DE 25 ANS …
* Je dirige une
ORGANISATION PANAFRICANISTE, PANAFRICOM
(PANAFRIcan action and support
COMmittees), qui défend le «
Néopanafricanisme », des comités étant
présent en Afrique, en Europe et au
Canada. Le SG pour notre « réseau
Afrique », Gilbert NKAMTO, est
camerounais.
C’est en tant que président de
PANAFRICOM que j’ai été reçu par les
présidents équato-guinéen Obiang Nguema
Mbassogo (avril 2015), tchadien Idriss
Déby Itno (mars 2016), burundais Pierre
Nkurunziza (mai 2016) et Joseph Kabila
Kabange (mai 2016).
J’ai pris la parole au nom de PANAFRICOM
dans des réunions internationales
consacrées au « nouveau Panafricanisme »
: Colloque d’Abidjan (à l’Assemblée
nationale, avril 2016), Conférence de
Bujumbura (mai 2016), Café Politique du
PPRD (Kinsasha, mai 2015), Conférence de
Québec (juillet 2016).
* Parallèlement à
mon action en Europe depuis plus de 30
ans, menée autour du « Néoeurasisme »
(réinventé par ma Revue CONSCIENCE
EUROPEENNE en 1984), j’ai un parcours
panafricain de plus de 25 ans, commencé
en Jamahiriyah libyenne avec le MCR, et
qui m’a conduit à PANAFRICOM.
Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE
MEDIA, où je suis éditorialiste et
producteur d’émissions de géopolitique
(Grand Reporter, Grand Jeu).
Luc MICHEL (15 août
2016)
PCN-SPO
https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/
http://www.lucmichel.net/
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