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Parti antisioniste
L'antisémitisme :
permission de tuer (suite)
Il y a crime et crime
...
Yahia Gouasmi
Mercredi 5 mai 2010
Tout le monde se souvient de l’agression suivie de la mort de M.
Saïd Bourarach, attaqué par six individus appartenant à la
communauté juive de France.
Spontanément, tous les citoyens indignés par ce meurtre ont
manifesté leur compassion et leur solidarité à la famille du
défunt. Les médias officiels (c'est-à-dire sous la coupe du
lobby sioniste) n’ont pas pu faire autrement que d’évoquer ce
drame. Très vite, certains (élus locaux, hommes politiques...)
se sont empressés, avant toute enquête, de refuser de
reconnaître à ce crime tout caractère raciste, se gardant bien
de préciser l’appartenance communautaire de la victime et de son
ou de ses assassins.
Le Parti Anti Sioniste s’est immédiatement rapproché de la
famille de M. Saïd Bourarach pour lui présenter ses
condoléances. A cette occasion, nous avons mentionné le « deux
poids deux mesures » qui, une fois de plus, a accompagné ce
drame : le réduire avant toute investigation à un simple fait
divers en lui enlevant, à priori, tout caractère xénophobe ou
raciste.
La pratique systématique du « deux poids deux mesures » par le
lobby sioniste et son gouvernement en France nous a encore été
confirmée il y a quelques jours.
Selon l’AFP, deux hommes armés de couteaux et de barres de fer
ont agressé le 30/04/2010, à Strasbourg, une personne
appartenant à ce que le langage officiel appelle les « Juifs de
France ». Immédiatement, le Ministre de l’Intérieur M. Brice
Hortefeux a adressé par écrit sa « solidarité et son soutien » à
M. Joël Mergui, Président du Consistoire central, et à M.
Richard Prasquier, Président du CRIF, les assurant avoir
immédiatement demandé à ses services de « tout faire pour
identifier et arrêter les agresseurs ». Selon les services de
police, il pourrait s’agir de l’acte d’un déséquilibré.
Pourtant, un responsable strasbourgeois du CRIF a assuré qu’il
s’agissait bien d’une « agression antisémite ».
Pour le meurtre du Français musulman Saïd Bourarach, qu’avait
alors dit M. Brice Hortefeux : RIEN !
Pourquoi un tel silence ?
-
est-ce parce que Saïd Bourarach n’est pas soutenu par le CRIF et
le lobby sioniste ?
-
est-ce parce que le meurtre d’un Français musulman est un « fait
divers », et qu’une agression contre un membre d’une certaine
autre communauté est forcément, et avant toute
enquête, un acte raciste, antisémite ?
-
est-ce parce que, tout simplement, le lobby sioniste est au
pouvoir grâce à M. Sarkozy et à son gouvernement, alors qu’un
Français musulman appartient à une communauté tout juste bonne à
être stigmatisée ?
Voilà une démonstration concrète, par l’exemple, de ce que nous
appelons le « deux poids deux mesures », illustration de la
mainmise du lobby sioniste sur le gouvernement de la France. Il
est à observer que cette différence de traitement n’est jamais
évoquée par les partis politiques du Système, sans exception.
Ils sont tous, à des degrés divers, aux ordres de ce lobby. Il
est curieux de constater combien ils deviennent aveugles et
sourds dès que cette question est abordée.
C’est précisément pour dénoncer et combattre ce lobby sioniste
qui étouffe la France, que le Parti Anti Sioniste à été fondé.
Que les Français de toutes origines méditent ceci : apparemment,
tous les crimes ne présentent pas le même intérêt, ni le même
traitement politico-médiatique, selon qu’il y a le CRIF ou pas…
Bien-sûr, ce n’est plus tout à fait pareil !
Le Président,
Yahia Gouasmi.
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