Opinion
Intégrisme islamiste vis-à-vis
chauvinisme nationaliste
Robert
Bibeau
Robert
Bibeau
Mercredi 19 juin
2013 Deux boîtes de Pandore
qui n’en font qu’une
Il est étrange d’observer à quel
point un courant de pensée, une mouvance
politique ou une idéologie archaïque
s’agite frénétiquement au moment où
sa base sociale s’étiole et
disparait, à mesure que s’installent de
nouvelles conditions économiques,
sociales, politiques et
finalement idéologiques. J’en
veux pour preuve les deux boîtes de
Pandore manichéennes enfantées par deux
évolutions sociales contemporaines.
De la première boîte du sorcier
impérialiste a surgi la réaction
intégriste-islamiste dans les
pays musulmans. D’aucuns la pensent
surgie de la mouvance
religieuse-radicale. Or, il n’en est
rien, ce n’est là que la forme et non le
fond de l’opposition que ce courant
représente et enrégimente. La réaction
intégriste islamiste est la forme qu’a
prise la résistance nationaliste
chauvine dans ces pays économiquement et
industriellement arriérés et en crise
économique profonde.
La seconde boîte de Pandore ouverte
par la crise économique systémique de
l’impérialisme est la résurgence
du nationalisme chauvin patriotique
dans les pays occidentaux avancés du
point de vue des forces productives et
des moyens de production.
On observe deux idéologies qui
superficiellement semblent
contradictoires (l’intégrisme religieux
versus l’intégrisme laïc-athée), mais
qui en réalité mènent un même combat
d’arrière-garde dans les conditions de
la crise économique structurelle de
l’impérialisme. Ces deux tendances
idéologiques voudraient laisser croire
que le monde peut tourner à
l’envers et revenir en arrière,
les uns pour les ramener dans un monde
paysan, agraire et localement
autosuffisant, les autres pour retourner
dans un monde capitaliste originel,
empreint d’une mythique «libre
concurrence nationale patriotique». Les
riches milliardaires, qui savent qu’il
ne s’agit là que de chimères (sauf dans
un autobus – personne n’avance en
arrière), sont heureux que les deux
courants de pensée et d’opposition
préparent les conditions de la prochaine
guerre mondiale dont les peuples, encore
une fois, feront leur «karma».
Un auteur fasciste nommé Samuel
Huntington a systématisé cette pseudo
dichotomie dans son œuvre intitulée «Le
choc des civilisations».
Bienvenue dans le monde de l’illusion
réactionnaire:
fr.wikipedia.org/wiki/Samuel_Huntington
L’intégrisme-islamiste-nationaliste
Mon premier modèle réfère au tsunami
de propagande des médias du mainstream,
au service des grands capitalistes
monopolistes, dont ils sont d’ailleurs
généralement les propriétaires
exclusifs. Pas un jour ne passe sans
qu’un politicien véreux n’étale
publiquement ses spéculations à propos
des intégristes-islamistes agresseurs
sans motif de populations que les riches
et leurs affidés s’emploieraient à
protéger (sic).
Curieusement, dès que l’on gratte le
vernis des Hollande, Cameron, Merkel,
Obama et Harper, on découvre que ce
sont leurs gouvernements, ou les
précédents, qui depuis longtemps ont
enrégimenté ces djihadistes fous qui,
aujourd’hui, sont offerts à la vindicte
populaire. Il est entendu que s’il est
possible de mettre sur pied de tels
escadrons de mercenaires suicidaires, à
partir de la Bosnie, de la Tchétchénie
ou des multiples pays arabes et des pays
musulmans de l’orient, et même – par
contagion – s’il est possible de
recruter parmi les excentriques de
quelques pays impérialistes, c’est qu’il
doit y avoir une raison impérative et
prédominante. L’intégrisme islamiste
n’est qu’un alibi dans tout ceci, pour
«justifier» les amalgames racistes,
composites, multiethniques et
pluri-politiques, tous issus d’une même
crise économique obligeant les pauvres à
migrer vers les pays de «prospérité»
utopiques!
L’intégrisme-islamiste est la
réponse des rapports sociaux de
production aux transformations
des forces productives dans chacun de
ces pays en cours de développement
capitaliste. L’intégrisme-islamiste est
une réaction de survie et d’ajustement
d’un système social en cours de
transformation radicale.
Nous l’avons déjà écrit à propos de
la guerre de reconquête du Mali. La
guerre fut déclenchée afin de ramener ce
pays dans le giron des néo-colonies de
la Françafrique, de laquelle il s’était
échappé par un concours fortuit de
circonstances impliquant trois groupes
de malappris :
1) Le Mouvement national
pour la libération de l’Azawad (MNLA)
qui trouva approprié de
profiter de la déliquescence de l’État
fédéral malien pour s’emparer du
contrôle du nord du pays sous-développé,
affamé et oublié par Bamako l’éloignée;
2) les milices armées chassées de
Libye, où elles avaient servi l’économie
terroriste de l’empire Françafrique;
3) l’armée malienne, trop occupée à
administrer ses trafics illicites
(armes, drogues, médicaments contrefaits
et esclaves) pour avoir le temps et
l’envie de gouverner le Nord Mali.
Al Qaida au Maghreb
islamique est la dernière
partition composée par les services
secrets occidentaux et reprise
en fanfare par des médias à la solde
pour rameuter l’opinion publique
occidentale en faveur d’une expédition
néocoloniale (1).
La procédure de création de ces
groupuscules
«intégristes-islamistes-djihadistes» est
bien rodée et éprouvée : un barbu
méchant, en turban de circonstance, et
qui annonce en conférence de presse bien
diffusée la création d’une filiale d’Al
Qaida, la nébuleuse tant galvaudée.
Quelques meurtres d’innocents avec du
sang plein les mains et quelques
exécutions de brigands de l’autre camp.
Si le public occidental en redemande,
quelques mains de malfrats coupées ras –
qu’on repassera en boucle pendant des
mois – et quelques femmes chassées d’une
université qui trop souvent n’a jamais
existé (exemple : l’«université» de
Kaboul, un genre de collège privé pour
adolescents attardés de diplomates
exilés), de quoi soulever la
commisération des féministes qui
redemanderont du sang, des dents et des
turbans de talibans… Pas de talibans au
Maghreb islamique? Qu’à cela ne tienne,
les Salafistes feront l’affaire, au Mali
aussi bien qu’en Syrie. Tout ce dont ont
besoin BHL et Hollande, c’est de
l’exotisme, du chauvinisme et du
racisme.
Les médias à la solde prennent le
relais et ébruitent tous les tourments
que ces gens font subir aux mécontents.
Ils fabriquent une «vedette» qui devient
un «impératif islamiste» incontournable,
vers lequel tous les désœuvrés affamés
de la contrée paupérisée, et ils sont
des milliers, convergent pour se trouver
un petit boulot bien payé, exactions
incluses (viols, vols, trafics en tout
genre); sans oublier quelques fils de
«bobos» occidentaux fanatisés qui
croient fermement à ce scénario de père
fouettard et qui s’enrôlent frivolement
– ils y laisseront leur peau ces manants
assurément; mais tout cela ajoute à la
crédibilité de l’équipée. La solde
défrayé par le Qatar ou l’Arabie est
bonne et assurée.
La suite est déjà connue puisque
remâchée depuis des années. Le
groupuscule est financé, armée,
entrainé, sponsorisé et parfois dirigé
en sous-main par les services secrets
français, britanniques ou étatsuniens.
Mais pas toujours cependant, l’« émir »
sait ce qu’il peut et ce qu’il ne doit
pas faire. En Syrie, par exemple, ils
ont compris et bien terrorisé la
population, mais que voulez-vous
l’aviation de l’OTAN n’a pas su refaire
le coup de la Libye… vous connaissez :
«Kadhafi qui tue son peuple et Sarkozy
qui le punit et le tue
extrajudiciairement pour le libérer». En
conséquence, en Syrie, les djihadistes
seront tous sacrifiés par leurs amis du
Qatar et d’Arabie, ce sont les risques
du métier de flibustiers ; à moins que
les pourparlers qui vont s’engager en
juillet à Genève et que Fabius prépare,
excité et agité, ne visent justement à
négocier leur sortie de ce guêpier
enclavé (2).
Au Mali, les nervis islamistes ont
«merdé» et ils ont oublié qui dirige la
partie. L’armée coloniale française
s’est chargée de le leur rappeler – vite
fait – et les a dispersés dans la
région, au Niger, en Mauritanie, au
Tchad, au Nigéria et jusqu’en Libye, où
ils sont repartis comme nous l’avions
prédit [www.agoravox.fr/tribune-libre/article/oui-la-guerre-c-est-la-france-129030].
Les intégristes islamistes
pourront revenir au Mali quand ils
auront compris qu’ils doivent
partager les profits des trafics avec
l’armée du pays et ne jamais se lier
d’amitié avec les mouvements d’opposants
locaux, à moins d’y avoir été invités.
Seule la conjoncture
économique de crise approfondie qui
sévit depuis une décennie explique que,
dans tous ces pays musulmans, le
recrutement de tueurs à gages et de
mercenaires soit si populaire.
La crise économique pousse des millions
de jeunes, parfois diplômés, cantonnés
en périphérie du marché du travail et
sans aucun espoir de le réintégrer, à
s’enrôler. Plusieurs prennent le chemin
de l’exil vers le Nord, où ils espèrent
améliorer leur sort; d’autres prennent
le chemin du maquis djihadiste, ils
seront sacrifiés à Alep ou à Homs, comme
ils l’ont été à Gao. Dans quelques mois,
ce sera un autre pays, un autre terrain
de guerre, peut-être jusqu’à Téhéran. Je
me permets un conseil aux fils de
«bobos» occidentaux. Ne songez même pas
à l’Iran, ce que vous verrez là-bas vous
ne l’avez encore jamais vu. Il faudra
être déterminé à mourir pour s’aventurer
sur la terre des Gardiens de la
Révolution. L’armée de
Sadam Hussein l’a appris à
ses dépens et la cavalerie américaine,
qui débarque en sifflant, vaudrait mieux
l’oublier. Les assassins américains
n’occuperont jamais la terre mère du
peuple iranien.
C’est l’effondrement des économies
néocoloniales qui explique – dans tous
ces pays meurtris ou les ressources
naturelles sont spoliées, la plus-value
confisquée, les profits rapatriés en
métropoles impérialistes – que les
rapports de production se réajustent et
prennent notamment la forme momentanée
de flambées
d’intégrismes-islamistes-djihadistes
nationalistes. Cherchez le
marchand d’armes et vous trouverez la
chair à canon.
Le
national chauvinisme patriotique en
occident
Le national chauvinisme patriotique
est aux sociétés occidentales «riches»
ce qu’est l’islamisme-intégriste-djihadiste-nationaliste
aux sociétés musulmanes «pauvres». Le
national chauvinisme patriotique est la
réponse des rapports sociaux de
production aux transformations des
forces productives dans chacun des pays
sous crise économique sévère. Le
national-chauvinisme est une réaction de
survie et d’ajustement d’un système
social en cours de désagrégation et de
paupérisation.
Selon les nationalistes chauvins
français, piémontais, serbes, croates,
bosniaques, hollandais, catalans,
basques, bretons, lithuaniens, polonais,
magyars, flamands, wallons, écossais et
québécois, l’histoire de l’humanité
serait l’histoire de la
citoyenneté conquise ou acquise par
chaque communauté humaine et
par chaque citoyen en particulier. Et au
Québec singulièrement, ce serait
l’histoire des souverainistes québécois
opposés aux fédéralistes canadiens. Un
individu peut migrer d’un compartiment à
l’autre; un souverainiste se transformer
en fédéraliste et inversement, mais un
individu ne peut pas échapper à cette
division manichéenne. S’il n’est pas
séparatiste, c’est qu’il est un
fédéraliste qui s’ignore. Il en va de
même pour tout autre national
chauvinisme dans chacune de ces contrées
soi-disant «opprimées».
Après avoir perdu deux référendums
consécutifs, portant pourtant simplement
sur un engagement à amorcer des
pourparlers civilisés en vue de
rapatrier certaines responsabilités
fédérales au niveau provincial québécois,
l’option nationaliste est aujourd’hui en
chute libre. Les conditions «gagnantes»
se font de plus en plus absentes, si
bien que la propagande souverainiste
commence à exaspérer la «société civile
québécoise», pour utiliser leur
dénomination préférée. Chacun soumet ses
spéculations à propos de ces échecs
répétés, où un peuple soi-disant
opprimé et colonisé «refuse de reprendre
pacifiquement-électoralement sa liberté»,
alors que le gouvernement fédéral
s’était engagé à respecter la décision
de la population et à amorcer les
négociations de repartage des pouvoirs.
Imaginez, les citoyens soi-disant
opprimés, bafoués, outrés, vexés du
Québec-colonisé qui ont refusé, par deux
fois au moins, de donner un simple
mandat de débat aux politiciens
péquistes, même s’ils étaient assurés
que les résultats des pourparlers leur
seraient présentés lors d’un référendum
ultérieur pour être entérinés ou
rejetés. Autrement dit, il n’y avait
aucun risque de se retrouver avec une
«patrie chauvine» que le peuple n’aurait
pas souhaitée. Que nenni, non c’est non,
et par deux fois. Rien à faire, les
chauvins n’ont rien appris de ces
multiples rebuffades populaires.
Que la bourgeoisie québécoise, ses
capitalistes monopolistes francophones
ne soient plus opprimés par les
colonialistes canadiens, mais qu’ils
participent eux-mêmes à la colonisation
des peuples autochtones et des peuples
canadiens et québécois (des anglophones
du Québec notamment) n’est jamais venu à
l’idée de tous ces nationalistes
chauvins patriotiques ni à leurs alliés
gauchistes, trotskystes et maoïstes.
En termes clairs, il n’y a plus de
question nationale québécoise, ni
flamande, ni bretonne, ni basque, ni
catalane, ni écossaise, il ne demeure
qu’une question d’oppression et
d’exploitation de la classe ouvrière
wallonne, flamande, basque, catalane,
écossaise, québécoise et canadienne,
dans toutes ses composantes ethniques et
communautaires vis-à-vis les différentes
classes capitalistes monopolistes, dont
la canadienne dans toutes ses
composantes ethniques et communautaires
qui pour ces milliardaires ne comptent
pour rien – seul le fric compte et se
compte et le fric comme chacun sait n’a
pas de nationalité et il est désodorisé.
Comment expliquer cette
cécité des nationalistes chauvins
patriotiques? C’est que leur
clientèle politique de prédilection, la
petite bourgeoisie bureaucratique et du
secteur des services est en cours de
paupérisation accélérée – adieu la
grosse cylindrée, le loft dans la cité,
le chalet en forêt et bonjour la
décroissance involontaire, la simplicité
«volontaire» et les fins de mois de
misère. Elle n’espère qu’une chose cette
petite bourgeoisie, ne pas être
sacrifiée dans la galère de la récession
qui s’en vient, là droit devant, tout au
bout de l’artère ex-prospère.
Les étudiants, leur deuxième
clientèle préférée, n’en finissent plus
de se battre pour conserver leur dignité
et leur droit d’accès à l’université,
attaqués par les nouveaux gouvernements
comme il en fut des précédents. Les
frais afférents s’envolent et les droits
de scolarité augmentent. Les étudiants
ont d’autres chats à fouetter que la
souveraineté de poulailler et
l’oriflamme fleurdelisée dont se sont
entichés les chevaliers de
l’indépendance du mont-de-piété.
Les ouvriers luttent pour conserver
leurs emplois et boucler leur fin de
mois, tout en se demandant comment
mettre fin aux collusions généralisées
entre politiciens de toutes couleurs,
les constructeurs, les ingénieurs, les
mafieux de la construction et des
services publics privatisés.
Les chômeurs combattent pour
maintenir leur droit aux prestations
d’assurance, alors que les assistés
sociaux luttent contre les coupures de
prestations du Parti Québécois
souverainiste, qui lui s’affiche comme
un bon gouvernement des riches,
préparant en cela sa réélection
problématique. Rien de nouveau au pays
des souverainistes comme vous pouvez le
constater.
Enfin, la portion de la grande
bourgeoisie impérialiste québécoise qui
soutenait la perspective de négocier une
nouvelle entente
souverainiste-fédéraliste n’a que faire
de ces rêvasseries du «pays d’oripeaux»
à bâtir sur les ruines de la crise
imminente et immanente. Elle sait
pertinemment, cette grande bourgeoisie,
que les deux paliers de gouvernement des
riches feront ce qu’il faut pour les
tirer d’affaire (comme le démontre
d’ailleurs la loi péquiste de réforme de
l’exploitation minière et le droit
accordé aux pétrolières de forer pour
siphonner le pétrole d’Anticosti, et ce
n’est pas fini…).
Plus le soutien populaire à l’option
nationaliste-chauvine-patriotique
s’enfonce dans la fosse abyssale
circonscrite par les sondages, et plus
le nombre de groupuscules et de cellules
radicales en soutien à
l’exorcisme nationaliste chauvin
patriotique foisonnent, se chicanent et
s’agitent, comme si ces militants
n’avaient pas observé qu’il est fini le
temps de la «patrie de la colonisation
des terres amérindiennes», du pays à
défricher du chanoine Groulx et d’Adrien
Arcand les fascistes, de Bourgeault et
d’Amir Khadir qui lui subodore le
précipice en avant et suggère que
l’indépendance est par devant !
Pendant ce temps – au milieu de ce
salmigondis – les
anarcho-syndicalistes, les
révisionnistes aux longues litanies, les
sociaux-démocrates prestidigitateurs,
les réformistes socialistes, les
trotskystes et les maoïstes pseudo
«révolutionnaires» n’osent se
lever contre le
chauvinisme-nationaliste-patriotique et
se tiennent coi de peur de subir les
foudres des féministes souverainistes
hystériques; de subir le déni de la
Convergence des divergences et autres
pugilats nationaux-socialistes
qui voient le sol s’ouvrir sous leurs
pas et ne trouvent rien de mieux à
rétorquer que ce ridicule slogan :
«Tolérons l’oppression nationale afin de
conserver l’unité de la classe ouvrière
canadienne». Que voilà un panier de
crabes dans une boîte de Pandore
nationaliste chauvine patriotique
manichéenne (4)!
Les ouvriers quant à eux ont déjà
répliqué – «Votre souveraineté de
polichinelle pour les riches, on la
rejette et on vous rossera encore au
prochain référendum perdant». Le
temps est venu pour l’indépendance de la
classe ouvrière qui doit
demeurer aussi loin que possible de ces
petits bourgeois pâmés-non sevrés. C’est
dans cette direction que pointent les
rapports de production impérialistes en
décrépitude avancée. Le national
chauvinisme patriotique est aux sociétés
occidentales «riches» ce qu’est
l’islamisme-intégriste-djihadiste aux
sociétés musulmanes «pauvres». Les deux,
également prostrés, sont à contrer (5).
(1)
http://www.lnr-dz.com/index.php?page=details&id=21955
(2)
http://les7duquebec.org/7-au-front/comment-commemorer-dix-ans-de-massacre-en-irak/
(3) En effet, les
différents référendums, même celui sur
l’accord de Charlottetown, ne portaient
que sur l’amorce de pourparlers qui
devaient être suivi d’un référendum de
rejet ou d’acceptation.
(4)
http://les7duquebec.org/7-au-front/les-separatistes-separes/
(5) La question
nationale canadienne et québécoise
http://www.robertbibeau.ca/imperialisme.pdf
Le sommaire de Robert Bibeau
Les dernières mises à jour
|