Opinion
L’hégémonie israélienne, à Qods, et la
passivité de la communauté mondiale
IRIB
Dimanche 1er
janvier 2012
IRIB- Le régime sioniste développe de
plus en plus son hégémonie, dans les
régions palestiniennes, notamment, dans
la ville sainte de Qods.
Le parlement du régime sioniste vient de
proposer à la communauté internationale
de reconnaître Qods, comme la capitale
du régime sioniste. Ce complot ne date
pas d’hier, car la Knesset avait
approuvé, en 1980, une loi, pour
désigner la ville de Qods, comme la
capitale d’Israël. Cette loi demandait
au ministère des Affaires étrangères du
régime sioniste d’exiger des pays
étrangers de transférer leurs ambassades
de Tel-Aviv à Qods. Cependant, la
plupart des pays, qui entretiennent des
relations diplomatiques avec le régime
israélien, ont évité d’accepter la
proposition d’Israël, en craignant la
réaction de leurs opinions publiques
respectives. Il est à noter qu’aux
Etats-Unis, malgré les demandes
successives du Congrès, depuis de
longues années, l’administration
américaine s’est abstenue de transférer
son ambassade à Qods. A partir de 1980,
le régime sioniste a transféré,
lui-même, l’essentiel de son
administration de Tel-Aviv à Qods, d’où
la vive protestation de la communauté
internationale. L’Organisation des
Nations-Unies y a réagi, en approuvant
sa résolution 478, qui demande
l’annulation de toutes les décisions
prises, unilatéralement, par le régime
israélien, au sujet de la ville de Qods.
En affichant une indifférence totale aux
protestations mondiales, le régime
sioniste poursuit sa politique
hégémonique, quant à la ville sainte, et
aujourd’hui, les dirigeants de ce régime
redoublent leurs efforts, pour
convaincre le monde de reconnaître Qods,
comme la capitale des Juifs. Dans ce
contexte, il incombe aux organisations
internationales, notamment, l’ONU et
l’Organisation de Coopération islamique
(OCI), de prendre des décisions
urgentes, pour déjouer les complots du
régime israélien, dans la ville sainte
de Qods.
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Reçu de l'IRIB le 1er janvier 2012 pour
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