Les études
holocaustiques constituent un engouement académique
pseudo-intellectuel très « dans le vent ». Elles permettent
surtout à des sionistes enragés de formuler leurs ratiocinations
sur « ce qui déconne, en réalité, chez les goyim » à un niveau
se voulant universitaire. J’ai appris récemment l’existence de
l’Initiative de l’université de Yale pour l’étude
interdisciplinaire de l’antisémitisme [Yale
Initiative for the Interdisciplinary Study of Antisemitism –
http://www.yale.edu/yiisa].
J’ai découvert aussi l’existence d’un institut analogue à
l’Université de Londres [http://www.bbk.ac.uk/news/news-releases/antisemitism-institute-to-open-at-birkbeck]
Les études
ès antisémitismologie pourraient représenter un champ de
recherches valable si elles étaient autorisées, par exemple, à
élaborer et à examiner la culture et l’histoire juives, afin de
chercher à comprendre ce qu’il y a, à l’origine des sentiments
antijuifs. Elles pourraient tenter d’établir s’il existe un
pattern idéologique,
politique ou culturel juif qui soit susceptible d’être amendé.
De fait, les premiers sionistes [1] tentèrent de traiter cette
question. Ils s’efforcèrent de diagnostiquer la « cause » de
l’antisémitisme, afin d’être en mesure de comprendre ce qui
n’avait fait que mûrir, invariablement et de manière répétée,
produisant des cultures-hôtes voyant dans les juifs une force
parasite. Les premiers sionistes affirmaient que l’alia aurait
pour effet de ‘créer’ un juif d’un genre nouveau, un juif
productif, moral et civilisé. C’est toutefois un agenda
entièrement différent que les spécialistes de l’antisémitisme
contemporain ont derrière la tête. Ils fondent leurs recherchent
sur l’axiome selon lequel les juifs sont catégoriquement
innocents. Après quoi ils s’efforcent de comprendre les raisons
pour lesquelles les goyim se comporte(rai)ent, à leur égard,
toujours de manière immorale, voire criminelle.
Mais c’est à
l’évidence la bouteille à l’encre : l’humanité étant composée de
goyim, les spécialistes de l’antisémitisme qui cherchent à
comprendre ce « qui cloche chez les goyim » ne font en réalité
que poser la question de savoir « ce qui cloche dans
l’humanité » ?
Ce serait
là, de fait, une question légitime, dès lors que l’on ne
laisserait à l’extérieur de ladite humanité aucun groupe quelque
peu conséquent. Actuellement, sur le nouveau terrain
d’investigation « universitaire » judéo-centrique, à savoir les
« études antisémitologiques », un sioniste s’avise d’examiner le
goy en voyant en lui un cas pathologique. C’est là quelque chose
de légèrement étrange, à tout le moins. Il est même surprenant
que de telles facultés existent à Yale et à l’Université de
Londres. Toutefois, les instituts universitaires fonctionnant
grâce à des donations d’entreprises et à d’autres sources de
financement, nous ne pouvons désormais plus attendre du monde
universitaire qu’il soit à la pointe du discours intellectuel,
ni même qu’il s’en tienne à une quelconque forme d’intégrité
éthique.
Un des
spécialistes en vue de l’étude de l’antisémitisme et de
l’holocauste est le professeur Yehuda Bauer, de l’Université de
Jérusalem, qui dirige, par ailleurs, le musée israélien de
l’Holocauste, Yad Vashem.
Le
professeur Bauer est expert ès haine et destruction visantun « peuple (absolument) unique », j’ai nommé les Zélus.
J’ai trouvé récemment cette vidéo, et je ne peux qu’inciter tout
humaniste à la regarder. Il s’agit d’une conférence sur
l’origine de l’antisémitisme, prononcée par le Professeur Bauer
en 2005, à Hawaii :
Au premier
abord, Bauer semble quelqu’un de charmant, à l’esprit ouvert. Il
fait même quelques remarques cruciales. Durant les vingt
premières minutes, l’on peut se croire en présence d’un
intellectuel authentique et sincère.
« Antisémitisme », dit Bauer, est un « terme erroné » ; il
n’existe aucun animal portant ce nom, car les « sémites », pour
commencer, n’existent pas ! Pour Bauer, il n’existe pas de
peuple sémitique et il reconnaît que les juifs ne représentent
pas, quoi qu’il en soit, un quelconque groupe racial homogène.
Il est d’avis que l’idéologie mise sur pied par Wilhelm Marr à
la fin du dix-neuvième siècle est confuse. L’antisémitisme n’est
rien d’autre qu’un ensemble de sentiments ou de comportements
« antijuifs ».
Quand
l’antisémitisme est-il apparu ? De manière fascinante, Bauer
remonte au Livre d’Esther [2]. Il suggère l’idée qu’il s’agit
d’une « allégorie de la peur d’être anéantie que ressentaient
les juifs de la diaspora ». Esther, selon Bauer, est le récit de
la crainte qu’inspirait aux juifs leur environnement.
« L’origine
de l’antijudaïsme est le fait que la civilisation et la culture
juives diffèrent totalement des civilisations ambiantes ».
J’irais personnellement plus loin, avançant que le Livre
d’Esther est précisément ce document où le lobbying et le
pouvoir juifs mûrissent pour donner un paradigme culturel
vibrant. La morale de cette histoire est tout à fait claire : si
les juifs veulent survivre, ils doivent infiltrer les corridors
du pouvoir. Si l’on a le Livre d’Esther présent à l’esprit,
alors l’Aipac, Lord Levy et les Amis Travaillistes d’Israël
ressemblent effectivement à l’incarnation d’une idéologie
culturelle profondément biblique.
Pourtant, ce
parangon de l’intellectuel judéocentrique qu’est Bauer ne
parvient pas à nous éclairer sur les manières particulières dont
la civilisation et la culture juives diffèreraient des autres.
Après tout, si l’antisémitisme est bien une forme « unique en
son genre » de haine, alors les juifs doivent être différents,
d’une manière « unique », de toutes les autres « minorités » qui
ont subi des persécutions au cours des siècles. J’attends d’un
spécialiste de l’antisémitisme qu’il élabore sur cette
problématique cruciale et qu’il suggère certaines réponses. Mais
Bauer en est incapable. La raison en est simple : Bauer est un
sioniste et le sionisme est une solution, pour les juifs de la
diaspora : si tu ne veux pas être différent, alors viens chez
‘nous’, en Palestine ; viens piétiner avec nous la terre volée
aux Palestiniens !
Mais Bauer
va plus loin, il demande : quels sont les types de crise qui
débouchent sur de l’antisémitisme ?
L’antisémitisme chrétien n’est pas trop difficile à comprendre.
« Le christianisme devait se différencier du judaïsme », dit
Bauer. Toutefois, le christianisme ne représente pas, en
lui-même, un problème majeur. « La chrétienté n’aime pas les
juifs ; elle exerce des discriminations à leur encontre, mais,
grâce à sa théologie, elle empêche le génocide ». De fait, selon
Bauer, la tendance génocidaire en Europe a émergé avec la
sécularisation des communautés chrétiennes. L’on nous sert donc
l’antisémitisme chrétien, mais dans une version exempte de
théologie, cette absence de théologie ayant pour conséquence des
inclinations criminelles. Une fois de plus, dans l’univers
trivial qui est celui de Bauer, les juifs sont innocents ; ce
sont toujours les Goyim qui sont insuffisants, sur le plan
éthique…
Le racisme
n’est pas apparu en Europe au XIXème siècle, nous dit
Bauer, « il y a des indices de racisme, dans la péninsule
ibérique, à partir du XVème siècle». Il faudrait que
quelqu’un rappelle à Bauer qu’en ce qui concerne le judaïsme, il
pourra retrouver des preuves de racisme dans toutes ses sources
religieuses, qu’il s’agisse de la Torah ou du Talmud…
« Le racisme
s’est focalisé sur les juifs », dit Bauer, « parce que nous
sommes une race différente », parce que nous sommes le
« paradigme de l’Autre ». Mais c’est alors que, se contredisant
lui-même, il insiste, par ailleurs, sur la nécessité de
démanteler la notion de race, en général.
« Il
n’existe pas de chose telle qu’une race ; l’humanité provient
d’Afrique : nous sommes tous Africains ! ».
Pour une
seconde, soyons d’accord avec Bauer sur le fait que la race est
un « concept pseudo-scientifique ». Pourtant, le problème
inhérent à la notion de race, ça n’est pas la tentative de
diviser le monde entre groupes raciaux ou de rechercher les
origines anthropologiques des gens. La race devient une question
problématique uniquement à partir du moment où la notion de
racisme est introduite. Le racisme, c’est cette croyance selon
laquelle un groupe de personnes serait supérieur à un autre. De
manière particulièrement dévastatrice, le judaïsme et le
sionisme sont tous deux saturés de racisme. Bauer a certes
raison lorsqu’il avance l’argument que les juifs ne constituent
pas une race, mais l’idéologie juive tant séculière que
religieuse est bel et bien raciste et suprématiste jusqu’à la
moelle…
« Et le
conflit israélo-palestinien, quelle en est l’importance ? »
« Il est
très important », dit Bauer. Une résolution du conflit
israélo-palestinien aurait-elle pour effet de diminuer
l’antisémitisme ? « Oui », conclut Bauer. « Mais l’antisémitisme
ne disparaîtrait nullement ». Bauer a probablement raison. Selon
sa philosophie, l’antisémitisme est la conséquence de l’altérité
juive, or, l’altérité juive est une donnée de fait : elle ne
changera sans doute jamais. Aussi longtemps que les juifs
conserveront leur identité tribale d’ « élus », ils conserveront
leur « différence ».
Bauer est
particulièrement préoccupé par « l’antisémitisme des classes
bavardes : les médias, l’intelligentsia, les universités, les
savants ». Il prétend que nous avons assisté à « son ascension
subite », qui a accompagné la Deuxième Intifada ». A l’évidence,
les chances qu’a Bauer de l’emporter au cours d’un débat
argumenté dans des cercles savants sont particulièrement
limitées. Toutefois, il est tout à fait envisageable que des
penseurs, dans les médias, au sein de l’intelligentsia et dans
les cercles académiques s’opposeraient à l’Etat juif, en
particulier en ce moment, où les preuves de la barbarie
génocidaire d’Israël ne font que s’accumuler.
Il faut
plusieurs minutes avant que Bauer, fier détenteur d’une
mentalité sioniste rabique, montre la couleur. « A-t-on le droit
de critiquer Israël ? »
« Oui, bien
entendu », dit Bauer. « La presse israélienne est la première à
critiquer la politique israélienne. La condamnation d’Israël
n’est pas antisémite, sauf si l’on qualifie Israël de pays
nazi ». C’est exactement le point où Bauer abandonne sa dernière
goutte d’intégrité intellectuelle. Y a-t-il de quelconques
règles, que nous serions censés observer, lorsque nous
critiquons l’«Etat juif » ? Y a-t-il une quelconque obligation
intellectuelle que nous devions prendre en considération lorsque
nous faisons référence à un Etat assassin, raciste, réservé aux
seuls juifs et expansionniste ? Les 45 % d’Européens qui
considèrent qu’Israël est un pays exterminateur doivent bien
avoir une raison pour ce faire, non ? Israël et les sionistes
feraient bien d’apprendre à être responsables de leurs
agissements. Ils seraient dès lors à même de comprendre la
raison pour laquelle près de la moitié des Européens voient en
eux des nazis.
Bauer dit
que la critique politique est légitime, mais que lorsque vous
dirigez vos attaques sur le peuple et l’Etat, vous faites alors
un pas en « territoire génocidaire ». La vérité est extrêmement
simple. A l’intérieur des discours palestinien et antisioniste,
personne, tout au moins c’est ce que je pense, ne suggère
d’anéantir quelque juif que ce soit. Beaucoup d’entre nous
arguent du fait que l’Etat juif n’a pas le droit d’exister aux
dépens d’un autre peuple.
Pourtant,
nous n’évoquons nullement, nous ne suggérons en aucun cas
« l’extermination » de qui que ce soit. Nous parlons d’un
changement de positionnement politique susceptible de mûrir
jusqu’à aboutir à la formation d’un « Etat de tous ses
citoyens ». Nous croyons à l’égalité des droits de tous. Nous
croyons au droit au retour des réfugiés palestiniens chez eux.
Si les juifs veulent vraiment former un Etat exclusivement juif,
alors qu’ils aillent trouver une « île déserte » pour ce faire,
voire, mieux, qu’ils aillent trouver une autre planète !
Mais que se
passerait-il, si nous assistions, en toute hypothèse, au
surgissement de l’antisémitisme dans un autre pays, par exemple,
en ex-URSS ? L’Anti-Defamation
League pourrait-elle influencer l’ex-Union soviétique ?
Bauer ne le pense pas, mais les juifs pourraient avoir un
impact, « avec des non-juifs ». Si les choses avaient changé, en
URSS, c’est parce que les Etats-Unis avaient augmenté leurs
pressions sur ce pays. « Les juifs doivent trouver des alliés,
et les alliés viendront à nous quand ils comprendront que
l’antisémitisme commence exactement là où il y a des juifs ».
En des
termes très simples, Bauer explique l’idéologie sioniste
actuelle. Les juifs doivent se trouver de nouveaux alliés. Ils
doivent se lier à des puissances émergentes. Il est presque
amusant de voir ainsi que Bauer, expert ès-antisémitisme, est
totalement incapable de comprendre que c’est exactement là la
cause première du ressentiment envers la puissance juive. Cette
recherche incessante d’influence et de domination est exactement
ce qui vaut aux juifs autant d’ennemis.
Bauer
conclut son speech par une attaque féroce contre l’ « Islam
radical » : « L’Islam radical n’est pas seulement antisémite ;
il est antisémite d’une manière génocidaire ». Ensuite, il
procède à la lecture de la célèbre Charte du Hamas (3). Il
insiste sur les citations à propos du pouvoir juif, de la
domination mondiale par les juifs, etc. Certaines de ces
citations ne font que refléter des réalités. D’autres sont des
opinions largement admises. Certaines sont, certes, un peu
farfelues. Mais il y a une chose que Bauer n’arrive pas à faire,
c’est produire une seule de ces citations qui présentât une
dimension génocidaire…
Très
bizarrement, Bauer conclut son discours en disant : « depuis
1982, je me suis efforcé de convaincre le gouvernement israélien
de trouver des alliés afin de lutter contre cela. Mais ce n’est
qu’aujourd’hui que les choses commencent à se produire ». En
réalité, Yehuda Bauer démontre lui-même que la Charte du Hamas
est une description authentique de l’activisme tribal juif. La
« recherche d’alliés » que Bauer met en avant est exactement ce
que à quoi la Charte du Hamas fait référence dans le passage
ci-après :
« Ils ont
tiré profit d’éléments-clés dans le déroulement des événements,
et ils ont accumulé une richesse matérielle énorme, source d’une
influence, qu’ils ont mise au service de la concrétisation de
leur rêve sioniste » (Charte du Hamas, 1988).
La nécessité
de trouver de « nouveaux alliés » n’est-elle pas une référence à
la recherche d’une influence via les médias et les mouvements
politiques ? La Charte du Hamas décrit ce phénomène avec
éloquence :
« … ils ont
pris le contrôle des médias mondiaux, tels que les agences de
presse, la presse, les maisons d’édition, les stations de
radiodiffusion, etc. [Ils ont aussi utilisé] ces richesses pour
susciter des révolutions dans divers pays du globe, afin de
satisfaire à leurs intérêts et d’en recueillir les fruits ».
(Charte du Hamas, 1988).
Compte tenu
du fait que cette conférence a été tenue en 2005, soit quatre
ans après le début de la « guerre contre le terrorisme » et deux
ans après celui de la guerre en Irak, dans laquelle des soldats
américains et britanniques se retrouvèrent à livrer les guerres
des sionistes, à combattre contre les ennemis d’Israël, je pense
qu’à l’heure qu’il est, nous avons tous une petite idée sur ce à
quoi le professeur Bauer fait référence lorsqu’il évoque des
« alliés »…
Le
Professeur Yehuda Bauer est un universitaire, il est conseiller
auprès du Musée israélien de l’Holocauste Yad Vashem. Peut-être
pourrait-il méditer le fait que l’Institut de l’Holocauste qu’il
représente est situé sur le Mont Herzl, sur les terres du
village palestinien détruit de Ein Karem, à 1,4 kilomètre au sud
du village palestinien de Deir Yassine, qui fut le théâtre d’un
massacre juif perpétré à l’encontre des Palestiniens
autochtones ? Si Bauer ne prenait en considération que ce seul
fait, il comprendrait pour quelle raison presque 37,4 % des
Européens seraient réticent à lui acheter une bagnole
d’occasion, pour ne pas parler, par charité, de ses ragots
judéo-centriques malhonnêtes et pseudo-universitaires (4) ?
(1) Voici
quelques exemples de l’approche de l’antisémitisme propre aux
premiers sionistes :
(3)« Les ennemis ont comploté depuis fort longtemps, et ils
ont consolidés leurs projets afin de réalisé ce qu’ils ont fini
par obtenir. Ils ont tiré profit d’éléments-clés dans les
événements en cours, et accumulé une richesse énorme et leur
permettant d’exercer une influence très importante, qu’ils ont
mise au service de leur rêve (sioniste). Cette richesse leur a
permis de prendre le contrôle des médias mondiaux tels que les
agences de presse, la presse, les maisons d’édition, les
stations de radiodiffusion, etc.
[Ils
utilisent aussi] cette richesse pour susciter des révolutions
dans diverses régions du globe, afin de servir leurs intérêts et
d’en cueillir les fruits. Ils ont été à l’origine des
révolutions française et communiste (en Russie, ndt), et ils
sont derrière la plupart des révolutions dont nous entendons
parler, ici et là.
Ils ont
également utilisé leur argent afin de créer des organisations
clandestines qui sont en train de se répandre dans le monde
entier, afin de détruire des sociétés et de servir les intérêts
sionistes. Ces organisations sont notamment : les Francs-Maçons,
les Rotary Clubs, le B’nai B’rith, et organisations secrètes
assimilées : toutes sont des réseaux d’espionnage extrêmement
destructeurs.
Ils ont
aussi utilisé cet argent pour prendre le contrôle des pays
impérialistes et de les inciter à coloniser plusieurs pays en
vue d’en exploiter les richesses naturelles et d’y répandre leur
corruption. En ce qui concerne les guerres locales et mondiales,
ce qu’il s’est passé – ce que tout le monde reconnaît – c’est
qu’ils étaient dans les coulisses de la Première guerre
mondiale, afin de balayer le Califat Islamique (ottoman, ndt).
Ils ont récolté d’énormes gains matériels, et ils ont pris le
contrôle de beaucoup de sources de richesses.
Ils ont fini
par obtenir leur Déclaration Balfour, et ils n’ont créé la Ligue
des Nations que dans l’unique but de gouverner le monde par son
entremise. Ils sont aussi à l’origine de la Seconde guerre
mondiale, qui leur a permis de récolter des profits gigantesques
grâce au commerce de matériels de guerre, et ils ont préparé le
terrain à l’installation de leur Etat. Ils ont inspiré la
création de l’Onu et son Conseil de Sécurité, destinés à se
substituer à la Ligue des Nations, afin de gouverner le monde
par leur intermédiaire. (Charte du Hamas, Article 22)(http://www.thejerusalemfund.org/www.thejerusalemfund.org/carryover/documents/charter.html)
(4) D’après
une étude récente réalisée par l’Université Bielefeld, « près de
37,4 % des Européens sont d’accord avec la proposition
suivante : «Au vu de la politique d’Israël, je puis comprendre
pourquoi les gens n’aiment pas les juifs » ».
(http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3815828,00.html)
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