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Genève II,
échec? "Non", malgré Fabius....
IRIB
Dimanche 10 novembre 2013
IRIB- Les négociations intenses de 3
jours de la RII avec les 5+1 ont
avancé jusqu’à la signature de
l’accord nucléaire,
mais, finalement,
il a été convenu de les reprendre,
10 jours plus tard, à Genève.Le
nouveau tour des négociations entre
l’Iran et les 5+1 a été entamé,
jeudi 7 novembre 2013, au niveau des
vice-ministres, à Genève, et a,
ensuite, été promu, au niveau des
ministres des Affaires étrangères
des parties négociatrices, pour la
signature de l’accord nucléaire. Les
divergences, au sein du camp
occidental, ont mis au défi la
signature de cet accord, et les deux
parties se sont entendues, hier,
samedi soir, à l’issue des
négociations, pour se retrouver, le
20 novembre 2013, à Genève. Les
négociations intenses de 3 jours
de la RII, à Genève, montrent que
l’Iran est déterminé à montrer au
monde entier que les activités
nucléaires iraniennes sont,
totalement, pacifiques, et qu’en
aucune façon, il ne renoncera au
droit inaliénable de son peuple.
Dans ce droit fil, l’équipe
négociatrice iranienne a présenté
aux 5+1 un plan, en 3 étapes, qui
consiste en des objectifs communs,
un premier pas, et le pas final. Les
consultations menées par les membres
de l’équipe négociatrice iranienne,
à Genève, avec les membres des 5+1,
ont convaincu l’Occident de
parvenir à un accord, ce qui a
conduit à la présence, à Genève, des
ministres des Affaires étrangères
des 5+1. Alors que tout le
monde s’attendait à ce qu’avec la
participation des ministres des
Affaires étrangères des 5+1,
l’accord nucléaire avec l’Iran voit
le jour, le ministre français,
Laurent Fabius, a joué le rôle des
lobbies sionistes, entravant
l’obtention de cet accord. Fabius a
demandé à l’équipe négociatrice
iranienne de donner une garantie,
pour la sécurité du régime sioniste,
une demande qui n’avait rien à voir
avec les négociations techniques,
sur la question du nucléaire de
l’Iran. Cette attitude de Fabius a
montré que l’autre partie ne
participe pas encore, avec bonne
foi, aux négociations. Le sabotage
de Fabius a suscité les
critiques des responsables
occidentaux. «Fabius a joué le rôle
du faiseur d’embrouilles, lors des
négociations nucléaires, à Genève»,
a estimé Paul Shult, ex-Président du
contrôle et de la non-prolifération
des armes du ministère britannique
de la Défense, en réaction au rôle
négatif qu’a joué le ministre
français des Affaires étrangères,
lors des négociations de Genève. "La
prise de position du gouvernement
français envers l’Iran est plus
sévère que celle de l’administration
américaine", a écrit le quotidien
américain, "Weekly Standard", en
allusion aux négociations stériles
entre l’Iran et les 5+1, à Genève,
pour la signature de l’accord
nucléaire. Les expériences, déjà,
vécues ont prouvé qu’aucune pression
ne pourra priver l’Iran de son droit
inaliénable au nucléaire.
L’inefficacité des sanctions, dans
les activités nucléaires, l’on bien
prouvé. Tel que les responsables
iraniens l’avaient, déjà, dit, à
maintes reprises, les négociations
doivent se poursuivre sur la base de
3 principes, à savoir, le respect
mutuel, un rapport d’égal à égal et
la reconnaissance du droit du peuple
iranien, ce qui se révèlera
fructueux, pour les deux parties
négociatrices. "Le succès des
négociations de Genève équivaudra à
la stabilité et à la sérénité, tant
pour la région, que pour le monde
entier", a souligné le Président
iranien, Hassan Rohani.
(NdW. Fabius
négocie les intérêts d'Israël : cqfd
!)
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