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La 66ème commémoration de la Nakba

La Nakba sur les murs du camp de Qalandiya

CPI


Photo: CPI

Jeudi 29 mai 2014

Al-Quds occupée – CPI

Une fresque d’une longueur de cent mètres. Sami Ad-Dik, 26 ans, utilise ses pinceaux et ses couleurs pour dessiner la Nakba (la catastrophe de 1948) sur les murs du camp de Qalandiya, au nord de la ville occupée d’Al-Quds.

La fresque commence par une clé du retour portée par un enfant palestinien. L’enfant est tué par les occupants sionistes, pour sa résistance à leur occupation. Martyr, il est porté par ses camarades, eux aussi des enfants.

Il y a aussi d’autres enfants qui résistent à cette affreuse occupation, en jetant la pierre sur les occupants. Il y a aussi les tentes des réfugiés représentant l’exode du peuple palestinien et son rêve d’un retour prochain à sa terre natale.

La nakba de l’enfant palestinien

L’artiste Ad-Dik a appelé sa fresque « La nakba de l’enfant palestinien ».

Je dessine une fresque chaque fois qu’une occasion se présente, dit-il au correspondant de notre Centre Palestinien d’Information (CPI), pendant qu’il dessinait sa fresque, vers le barrage militaire de l’occupation sioniste de Qalandiya, au nord de la ville occupée d’Al-Quds.

Ses fresques représentent toujours les souffrances du peuple palestinien dont les droits de l’homme et ceux des captifs du retour.

Le retour

Ad-Dik saisit l’occasion afin d’adresser un message au monde entier : « Nous les Palestiniens, nous leur disons que quoi qu’il arrive, nous dépasserons toute barrière mise devant nous par les occupants sionistes. Nous ne laisserons jamais tomber nos principes politiques, économiques et sociaux, en particulier le droit au retour ».

Les tentes, tout un symbole

Et pour ce qui est des tentes et de ce qu’elles représentent, Ad-Dik affirme que la tente représente beaucoup pour le peuple palestinien. Elle représente ses souffrances, ses douleurs, son exode. Il donne l’exemple du camp d’Al-Yarmouk en Syrie, qui est le sujet de dévastations, de destructions et d’un nouvel exode, sans que le Monde ne bouge le petit doigt. « Par ce dessin, nous voulons que le Monde nous entende et sache que le réfugié palestinien retournera, obligatoirement, à sa terre et sa patrie », dit-il.

Ad-Dik a dessiné un enfant palestinien qui reçoit la clé du retour de son grand-père. Cet enfant trouvera certainement son chemin vers le retour, en résistant contre l’occupation sioniste.

Par l’art, Ad-Dik tente de rendre un service, et « c’est la moindre des choses ».

 

 

   

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Source : CPI
http://www.palestine-info.cc/...

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