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NHM MAG EXCLUSIF

Déstabilisation en Afrique, la prochaine étape des soi-disants ʽbiens mal acquisʼ passe par la Suisse ...

Luc Michel

Jeudi 20 juillet 2017

Luc MICHEL En 1ère exclusivité pour NOUVEL HORIZON MAGAZINE (Cameroun)/
Avec PANAFRICOM/ 2017 07 21/

I – LA REPONSE DE L’AFRIQUE

Le volet français des affaires des soi-disant « biens mal acquis » voit une contre-offensive des états africains déstabilisés par les chancelleries, les réseaux et les officines occidentales :

* Au procès de Paris contre le vice-président de Guinée Equatoriale, les parties civiles ont été elles-mêmes déstabilisées par le témoignage du mercenaire sud-africain Simon Mann (auteur d’une tentative de coup d’état contre le président Obiang Nguema Mbasogo), mettant en cause les dites parties civiles, dont Me Bourdon, l’Ong Sherpa et l’opposant Severo Moto (Cored), et la production de documents par la défense établissant la collusion des Parties civiles avec le financier Georges Söros ;

* A l’issue du « VIe CONGRÈS NATIONAL ORDINAIRE DU PDGE » à BATA, la capitale économique de la Guinée équatoriale (sur sa partie continentale) (le Parti Démocratique de Guinée Equatoriale du Président Obiang Nguema Mbasogo), répondant à ma question, le président équato-guinéen annonçait une plainte de son pays, du Congo (Brazzaville) et du Gabon contre les organisateurs du complot politico-judiciaire, Me Bourdon et l’Officine « Transparency international » ;

* Plainte déposée ce lundi à Paris pour son volet congolais …

LES MANIPULATIONS DE TRANSPARENCY (BRANCHES FRANCAISE ET INTERNATIONALE) 

La présidence congolaise dénonce «la campagne médiatique à l'échelle internationale» contre le chef de l'Etat et sa famille et rappelle qu'une plainte a été déposée en 2015 contre la section française de l'ONG Transparency International. La plainte, « pour tentative d'escroquerie au jugement », a été déposée par maître Jean-Marie Viala, avocat de l'Etat congolais, que RFI a joint par téléphone : « L’Etat congolais a déposé plainte contre Transparency international pour tentative d’escroquerie au jugement sur la base du fait que Transparency a maquillé des statuts pour pouvoir faire croire qu’elle avait le droit de déposer plainte, alors qu’elle n’avait pas le droit. Donc elle a fait un faux sur des statuts, en vue de pouvoir faire condamner le Congo. On se demande pourquoi d’ailleurs, parce que ce n’est pas la France qui faisait ça, mais Transparency. Et qui agissait sur quel ordre ? Je n’en sais rien. »

On sait depuis les débats du 19 juin 2017 dans le volet équato-guinéen de l’affaire que ce sont notamment des multinationales pétrolières, le financier Söros et les vitrines légales de la CIA !

Ecoutons encore l’avocat de l’Etat congolais :
« Il faut savoir qu’à l’origine, la plainte de Transparency avait été refusée par le parquet de Paris, que l’information n’a pas été ouverte par le parquet et que Transparency a déposé plainte devant le doyen des juges, qui lui a été obligé, évidemment, comme la loi l’oblige, d’ouvrir une instruction ».

II – LA PROCHAINE ETAPE DU COMPLOT POLITICO-JUDICIAIRE PASSE PAR LA SUISSE

De sources variées en Suisse et en France, vérifiées par enquêtes, je peux déjà annoncer qu’un volet parallèle aux « biens mal acquis » est en cours de préparation depuis au moins le début 2015. On pourrait l’appeler le « pétrole mal vendus ». L’affaire a déjà été annoncée dans la presse suisse et internationale en 2015 et est en phase de constitution des dossiers. Le cœur en est la Suisse, Berne étant avec Hong-Kong la place internationale du négoce du pétrole et des hydrocarbures. Et Hong-Kong, sous contrôle chinois, la Chine et le PCC soutenant les états équato-guinéens, congolais et gabonais, étant hors de portée des comploteurs occidentaux …

Acteurs : le Quai d’Orsay, le Parquet financier de Paris, le Parquet suisse, le presse des réseaux Söros (dont le cœur est « Le Monde Afrique » financé officiellement par la Fondation OSIWA en Afrique du Sud).

Initiateurs : Söros, des multinationales françaises et anglo-saxonnes du pétrole, l’inévitable Me Bourdon, Transparency International, deux Ong suisses qui servent de paravent aux précédents : « La Déclaration de Berne » et « Swiss Aid », et l’Ong suédoise SIDA.

Le but : s’en prendre aux ventes de pétrole des états africains, tenter de les faire mettre sous contrôle de l’ONU, prolonger au cœur de l’économie les dégâts de la déstabilisation des « biens mal acquis ». Mais aussi saper les marchés pétroliers des états concernés et le prix de vente de leur hydrocarbures (on se souviendra que le soi-disant « philanthrope » Söros est un très grand spéculateur international, fortune de 34 milliards de $). Opération donc infiniment plus vaste que les « biens mal acquis » et plus dangereuse !

Sont visés : encore et toujours des états africains !
Les trois états des « biens mal acquis » - Guinée Equatoriale, Congo Brazzaville, Gabon -, mais aussi le Tchad, la famille Dos Santos en Angola et la famille Kabila en RDC.
Le président du Tchad est particulièrement visé, avec sa famille et la Première Dame.

LE ROLE DE LA PPLAAF ET LA COMPLICITE TROUBLE DU REGIME SENEGALAIS

Constituée à Dakar, avec l’aide du régime pro-occidental sénégalais, à l’initiative encore et toujours de Me Bourdon et de l’Ong Sherpa, la PLATEFORME DE PROTECTION DES LANCEURS D’ALERTE EN AFRIQUE vise à mettre en forme et à organiser des réseaux privés d’espionnage des états africains actifs depuis au moins deux ans (l’espionnage des comptes du vice-président de Guinée Equatoriale à la SG de Malabo en fait partie). La PPLAAF s’active sous le couvert du mythe médiatique des « lanceurs d’alerte » (« whistleblowers »), personnages troubles entre médias, services secrets … et Réseaux Söros. On notera avec intérêt que Me Bourdon est l’avocat en France d’Assange, Snowden, Deltour (Luxleaks). Et que Wikileaks a puissamment contribué au lancement de l’insurrection contre Kadhafi à Benghazi début février 2011 …

LUC MICHEL /  POUR NEH MAG
AVEC PANAFRICOM /

 

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Source : Luc Michel

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