Panafricom
Oui le « sifflet citoyen », « Trop c'est
trop », « Ça suffit » et leurs clones
partout en Afrique sont des mercenaires
au service des Occidentaux et de la
recolonisation de l'Afrique !
Luc Michel
Photo:
D.R.
Jeudi 17 mars 2016
Luc MICHEL pour NOUVEAUX HORIZONS
MAGAZINE/
Avec PANAFRICOM/ 2016 03 13/
https://www.facebook.com/panafricom
https://vimeo.com/panafricomtv
A quelques semaines
de la Présidentielle du 11 avril au
Tchad, des groupes de jeune s’activent
contre la réélection du Président Idriss
Déby Itno. Leur nom : « Trop c’est
trop », « Cà suffit » (pour les
arabophones » ou encore la récente
opération du « Sifflet citoyen ». Tous
sont des clones des « balais citoyen »
burkinabé ou du « Yen a marre »
sénégalais. Tous veulent un pseudo
« Printemps africain » (dixit Libération
à Paris). Eux même des copies conformes
des groupes de jeunes du soi-disant
« printemps arabe » formé par les
activistes des « révolutions de couleur
en Eurasie.
Tous, au Tchad
comme dans toute l’Afrique, ont les
mêmes financiers, les mêmes mentors
occidentaux et surtout le même parrain
(au sens mafieux du terme), Georges
Sorös.
Selon les suporters
du « Balais citoyen » (Burkina Faso) ou
de « Trop c’est trop » (Tchad) sur les
réseaux sociaux, je me « tromperais
»(sic) ou je « mentirais » (resic) sur
les groupuscules de jeunes activistes.
Ouvrez les yeux !
* La preuve par le
Site officiel de la NED, « la vitrine
légale de la CIA » …
Voici le « Programme Africa » de la NED,
la déstabilisation du Continent par la
prise en main de la jeunesse :
http://www.ned.org/region/africa/
COMPRENDRE !
Au même moment que
le sommet officiel « USA – AFRICAN
LEADERS » (où se met en place une vague
de changements de régimes en Afrique
décidée par Obama, les 4-6 août 2014,
dont celui du Tchad), se tenait aussi à
Washington un « sommet alternatif »
organisé par un organisme d’état US
(créé par Ronald Reagan dans les Années
1980), financé sur le budget américain,
la NED, que certains analystes
qualifient de « vitrine légale de la CIA
». En collaboration avec une de ses
filiales, la NDI (lui aussi un organisme
d’état US, financé sur le budget
américain), l’USAID, l’Open Society de
Söros et un ensemble d’ONG et médias que
l’on retrouve depuis 15 ans dans les «
révolutions de couleur » en Eurasie et
le « printemps arabe ». Des centaines
d’activistes, de syndicalistes, de
journalistes africains surtout y sont
pris en main.
* Cfr. PCN-TV/DOCUMENT/ THE MAKING OF
THE COLOUR REVOLUTIONS IN AFRICA (1):
AFRICAN SUMMIT OF THE NED IN WASHINGTON
(AUGUST 5-6,2014)
Un impressionnant document de
huit heures, provenant de la NED
elle-même, sur la fabrication des 5e
colonnes africaines !
Sur
https://vimeo.com/114110733
LA CRISE DU BURKINA
FASO A REVELE L’EMPRISE DES AGENTS ET
DES RESEAUX AMERICAINS SUR L’AFRIQUE
La crise au Burkina
Faso, avec le putsch du RSP, a révélé
l’emprise des réseaux et des agents
d’influence américains sur l’Afrique.
Comme je l’annonçais sur les plateaux
d’AFRIQUE MEDIA (où certains m’ont alors
accusé « d’infantiliser les africains
»), la crise au Burkina Faso, comme dans
tous les pays déstabilisés par
Washington depuis un an, ne pouvait
déboucher que sur l’instabilité.
L’instauration du chaos est la voie
scientifiquement choisie (c’est la
Géostratégie du chaos, théorisée
notamment par les géopolitologues
américains de Stratfor) par les USA pour
dominer l’Afrique au XXIe siècle.
Washington est un
grand marionnettiste qui a
instrumentalisé de nombreuses forces et
les lance les unes contre les autres. Au
Burkina Faso aussi bien les petites
canailles du « Balais citoyen » (les
Soros’ boys émergents aussi à la NED)
que Zida (formé comme officier à l’
»Ecole des Amériques ») ou Diendéré
(homme clé de la collaboration avec l’Africom
US) sont sous contrôle US.
Toute force
politique ou sociale, tout politicien
qui ouvre aujourd’hui une crise en
Afrique sur les thèmes de l’agenda
américain (les soi-disant « bonne
gouvernance », « intangibilité des
constitutions », « alternance » etc)
démontre qu’il travaille, consciemment
ou pas (mais depuis un an personne ne
peut plus dire « je ne savais pas »),
pour le néocolonialisme américain.
Je ne parle jamais
pour être populaire ou agréable, mais
pour dire ce que les autres ne disent
pas ou ne voient pas, mon but est le
développement de la conscience africaine
(et européenne en Eurasie, où
l’aliénation des masses par le système
et ses médias vaut celle de l’Afrique).
L’ « INTERNATIONALE
SOROS » EN REUNION A DAKAR
Ecoutons une voix
africaine, celle du DAKAROIS, expliquer
lors d’une réunion de « l’internationale
Soros » à Dakar au printemps dernier, ce
que sont les mercenaires des USA et d’où
vient leur financement :
« Depuis les
élections au Sénégal ou l’ex-président
Abdoulaye Wade a voulu se maintenir au
pouvoir, un mouvement citoyen appelé «
Ya en marre » est né. Le même modèle
sera reproduit au Burkina Faso sous
l’appellation « Le balai citoyen. » Puis
deux mouvements similaires ont également
vu le jour en RD Congo, le « Lusha » et
le « Filimbi. » Vecteurs d’une nouvelle
image de la jeunesse africaine luttant
pour l’établissement d’une vraie
démocratie dans leurs pays respectifs,
ces mouvements ne réussissent pas à
tromper les spécialistes des questions
politiques en rapport avec l’Afrique. Il
suffit de s’interroger sur le
financement des activistes pour
percevoir une télécommande occidentale
pilotant à distance qui parait comme une
« génération spontanée. » L’actualité
récente en RD Congo nous montre que la
rencontre – débat entre les mouvements «
Ya en Marre », « Filimbi » et « Balai
Citoyen » à Kinshasa où des jeunes
activistes ont été arrêtés et jetés en
prison, était le fruit de l’organisation
et du financement, d’ailleurs revendiqué
comme tel de l’USAID (United States
Agency for International Development.)
Or, il est de notoriété publique que
tous ces organismes sont des bras armées
des USA au service de leur diplomatie
souvent hégémonique en direction des
pays généralement pauvres.
Parvenir par
d’autres moyens plus fin aux objectifs
que la CIA a atteint par le sang, dans
la désapprobation ou le déshonneur,
c’est le leitmotiv de la création de
tous ces réseaux d’organismes. L‘homme
orchestre de tout ces systèmes
d’organisation au service de la
puissance américaine est le financier et
philosophe Georges Sorös.
Les suspicions sur
la mainmise de Sorös sur ces jeunes
activistes africains ont été confirmées
par la publication sur les réseaux
sociaux de la photo explicite,
démontrant les accointances du mouvement
Sénégalais Ya en Marre et celui qu’on
accuse d’être un paravent de la CIA. Une
image qui parle d’elle même. Sorös,
l’homme actif dans de nombreux
changements de régime, porte le t-shirt
estampillé du logo du mouvement « Ya en
Marre » et en bon « guru », il enseigne
la bonne parole à ses nouveaux
disciples. »
… Plus personne ne
peut dire “je ne savais pas” !
Luc MICHEL /
Ndjanema
(*) QUEL EST LE
PROGRAMME DE LA NED POUR CONTROLLER
L’AFRIQUE ?
Le voici (en
anglais) exposé par la NED elle-même;
lire en particulier (mis en majuscules)
l’accent mis sur les financements des
groupuscules activistes par l’organisme
d’état US, notamment en ce qui concerne
le Burkina Faso et la préparation des
insurrections, les « révolutions de
couleur » à l’africaine :
”AFRICA. The civil society conference
NED organized on Capitol Hill during the
US-Africa Leaders’ Summit in August 2014
underscored how the demand for democracy
in Africa has grown. Human rights, free
and fair elections, accountability and
transparency, independent media, peace,
and a vibrant civil society remain
critical issues for which Africans
struggle.
NED, its partners, and the Endowment’s
core institutes also collaborated on
many other efforts in Africa in 2014.
In Zimbabwe, for example, NED and its
core institutes, along with leaders in
government, the political parties,
business, labor, and civil society, came
together in an event organized by the
SAPES Trust to re-engage and chart a
democratic way forward. NED held two
important meetings in Washington on the
Democratic Republic of the Congo (DRC),
and NED’s partners there made
significant contributions to that
country’s electoral process, as well as
human rights and security issues. ON THE
SAHEL, NED HELD A SERIES OF MEETINGS
WITH POLITICAL AND CIVIL SOCIETY LEADERS
ON BURKINA FASO, Niger, and security
issues. NED’s program in the Sahel,
especially Mali, expanded dramatically
in response to the turmoil and tentative
democratic restoration there. In Kenya,
NED partners convened to strategize and
find greater synergies in their work,
even as the space for civil society came
under threat.
Democracy, however, faced significant
challenges in other areas. Violence
reversed democratic progress in South
Sudan, the Central African Republic, the
Democratic Republic of the Congo and
northern Nigeria. NED provided
assistance in each of these situations.
In the Central African Republic, NED
supported Search for Common Ground to
broadcast messages on community radio
and NDI to assist civil society
organizations in promoting peace. In
South Sudan, NED supported grassroots
peace efforts in Jonglei and Equatoria.
SOS Femmes en Danger empowered women in
eastern Democratic Republic of Congo to
fight back against rape, putting
attackers in jail. In other conflict
environments, NED partners in Cote
d’Ivoire sought to reinforce the
reconciliation process after that
nation’s civil war. In Sudan, NED
supported marginalized groups from
across the country to work more
collaboratively, including efforts in
the Nuba Mountains and Darfur.
In much of Africa, the fragility of
democracy has become apparent, just as
the security threat from terrorists,
extremists, and criminal networks has
increased. Authoritarian regimes in
Africa pushed back against the
democratic progress made over the last
25 years, passing anti-terrorist or
anti-LGBTI laws that threatened
political opposition and civil society.
However, NED partners deepened
grassroots commitment to democracy and
human rights and developed innovative
approaches to opening up authoritarian
systems. In Zimbabwe, Kenya, Nigeria,
and other countries, the Solidarity
Center helped trade unions organize
informal sector workers and increased
awareness of gender issues. In Ethiopia,
NED supported the struggle for freedom
of the press and association, and CIPE
fostered dialogue between the public and
private sector. In Rwanda, Human Rights
First promoted collaboration between the
press and human rights groups. In Uganda
and Nigeria NED supported groups
struggling for LGBTI rights. NED
supported the MakaAngola website and the
work of human rights crusader Rafael
Marques in Angola.
The Ebola crisis also threatened
democratic progress. In Liberia, NED
partners such as Liberia Media for
Democratic Initiatives and NAYMOTE rose
to the challenge, incorporating Ebola
awareness efforts into their activities
while holding public forums on the
political issues at stake. Partners in
Sierra Leone advocated for greater
transparency in the country’s response
to the emergency and broadcast civic
education messages on community radio.
NED partners also assisted domestic
election observation, trained
politicians, conducted voter education,
and promoted women’s and youth
participation in politics. NED focused
on the quality of leadership emerging
from these processes as well, ensuring
not only that elections are free and
fair and that everybody participates and
accepts the results, but also that the
elected government respects and advances
human rights, freedom of the press,
assembly, and association; and governs
with accountability and transparency.
NDI supported the launch of a youth
political party training school in
Southern Africa; the Institute for
Research and Democratic Development in
Liberia refined its tracking of
legislators’ performance; and the
Nigerian Women Trust Fund produced a
video and conducted a media campaign
promoting women’s participation in the
elections. In the DRC, IRI worked with
women political leaders, several of whom
advanced to prominent positions in the
government and political parties.
AT THE END OF THE YEAR A POPULAR
UPRISING OVERTHREW BURKINA FASO’S
PRESIDENT, BLAISE CAMPAORE, SENDING
SHOCK WAVES THROUGHOUT AFRICA. HIS
FAILED ATTEMPT TO CHANGE THE
CONSTITUTION TO ELIMINATE TERM LIMITS
AND EXTEND HIS HOLD ON POWER HAS CHANGED
THE CALCULUS OF MANY OTHER AFRICAN HEADS
OF STATE WITH A SIMILAR AGENDA.
YOUTH PLAYED A VITAL ROLE IN DRIVING THE
CHANGE IN BURKINA FASO, AND ARE DOING SO
ACROSS AFRICA, THE YOUNGEST CONTINENT IN
THE WORLD, AND NED STRENGTHENED ITS
COMMITMENT TO YOUTH ORGANIZATIONS ACROSS
AFRICA. In Uganda, Students for Global
Democracy and CIPE promoted youth
participation; in Nigeria, the Youth
Initiative for Advocacy Growth and
Advancement worked with the Electoral
Commission to involve youth in upcoming
elections. Youngstars and the YMCA
trained youth leaders, and YOSPIS
trained youth and placed them in
democratic institutions in the north. In
Zimbabwe, the Youth Forum, ZOYP, the
Institute for Young Women Development,
and Youth Dialogue promoted youth
participation. Innovative use of social
media was evident in many programs,
especially with youth.
Indeed, despite the setbacks, as a new
generation rises, opportunities for
democratic progress in Africa have never
been greater. To learn more about NED
grants and grantees, explore the
regional links on this site.”
Photo : Image rare.
les cadres des groupuscules activites
(dont le Balais citoyen) réunis à Dakar
par ‘Y en à marre’ pour recevoir les
instructions de leur mentor Georges
SOROS (à l’extrême-droite) …
https://www.facebook.com/panafricom
https://vimeo.com/panafricomtv
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