« Plus le
mensonge est gros plus il sera cru »
- Joseph Goebbels, ministre de la
propagande du IIIe Reich.
Pourquoi on
diffame et censure Luc MICHEL, le PCN ou
PANAFRICOM ?
Quels sont les véritables enjeux ???
L'accusation « d’extrême-droite » ou de
"fascisme" contre le PCN ou Luc MICHEL
ne repose sur rien. Elle vise à salir,
c'est typiquement précisément la méthode
FASCISTE. Et ce n’est pas un hasard si
les auteurs identifiés de cette «
propagande noire » sont un réseau
sectaire proche du FN ou encore un
théoricien du complot.
PAR QUI ET
POURQUOI LUC MICHEL ET LE PCN SONT-ILS
DIABOLISE ???
Ces
accusations visent surtout à diaboliser
le PCN ou Luc MICHEL !
Comme nous le lisons dans le livre de
Pierre André Taguieff (cynique, qui
lui-même n’hésite pourtant jamais à
diaboliser ses adversaires) intitulé «
DU DIABLE EN POLITIQUE. REFLEXIONS SUR
L’ANTILEPENISME ORDINAIRE » : « la
diabolisation implique une
déshumanisation de l’autre. Il s’agit à
la fois de faire peur et de faire haïr,
pour faire agir dans un certain sens.
Diaboliser c’est dénoncer et condamner
un individu ou un groupe assimilé à une
incarnation du Mal et partant créer un
ennemi absolu, absolument redoutable et
haïssable, contre lequel tout est permis
». Voilà la logique dans laquelle se
trouvent nos détracteurs, raison pour
laquelle ils essaient d’obstruer notre
chemin par crainte que la vérité soit
dite au grand jour.
POURQUOI CETTE
DIABOLISATION ?
Il n’y a pas
grand chose à dire sur Luc MICHEL.
Pensée rationnelle et solide, vie
militante ascétique depuis plus de 40
ans (cursus politique commencé à 14 ans,
en 1972, dans la mouvance
pro-palestinienne), casier judiciaire
vierge, une impressionnante quantité de
procès tentés contre lui et tous gagnés
… Il fallait donc trouver quelque chose.
Le voilà donc taxé de « militant néonazi
» (sic), et le PCN qu’il a fondé et
dirige depuis 1984 de « parti néonazi »
(resic). Voilà le seul argument trouvé
contre lui. En Europe ou en Afrique.
Argument à l’usage des malhonnêtes et
des imbéciles (ce sont souvent les
mêmes), qui ne savent pas faire une
recherche sur le Net …
Derrière la
recherche historique ou idéologique,
derrière le commentaire politique, il y
a en fait des enjeux politiques
évidents. Les polices politiques en sont
bien conscientes, qui ont envahi le
domaine universitaire. Les sectes aussi.
Nos ennemis appartiennent aux deux. Et
Wikipedia, non pas « encyclopédie » mais
officine de désinformation dès que l’on
y aborde les sujets sensibles pour
l’OTAN, en est l’illustration …
QUE DISENT DU
PCN LES SPECIALISTES SERIEUX DES
SCIENCES POLITIQUE ?
Place aux
analyses SERIEUSES donc, pour un autre
son de cloche !
Il faut lire ce que disent du PCN, non
pas ses ennemis ou les barbouzes des
polices politiques de l’OTAN (ce sont
souvent les mêmes), mais les
politologues et les spécialistes des
Sciences politiques :
* François
Heinderyckx professeur à l’INSTITUT DES
SCIENCES POLITIQUES de l’ULB (Université
Libre de Bruxelles), classait le PCN à
l’occasion des élections européennes de
1999 parmi la « gauche révolutionnaire »
(Dossier spécial Elections 1999, analyse
des campagnes, consulté sur le site
internet d’INFONIE, Belgique).
* A noter
aussi que l’ANTISEMITISM WORLD REPORT
1993, publié à Jérusalem par l’INSTITUTE
OF JEWISH STUDIES, dans son édition
anglaise, si il reproche au PCN son
antisionisme, précise que "The PCN is
not a far-right organisation".
* Le COURRIER
HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599 .
1998), revue scientifique belge de
sciences politiques éditée par le CENTRE
DE RECHERCHE DE L’INSTITUT DES SCIENCES
POLITIQUES (CVRISP) - la référence en
Belgique nous a-t-on dit à l’ULB -
écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit
: « Le programme et les actions du PCN
sont en opposition avec les thèses
racistes des formations d'extrême droite
classiques. Ce parti se revendique du
"Communautarisme européen" et est
constitué, selon un document interne, de
7 tendances politiques (nationale-boIchévique,
léniniste européenne, syndicaliste
révolutionnaire,
nationale-révolutionnaire, vert
radicale, socialiste radicale et
démocrate européenne) ».
Les auteurs de ce " rectificatif " sont
les dirigeant respectifs du site antifa
« RésistanceS » et du « Front
Antifasciste », qui étiquettent aussi le
PCN comme « parti national-communiste ».
* Dans son
édition consacrée aux élections
législatives belges de 1999 (n° 6,
printemps 1999), le même « RésistanceS »
dressait la liste de toutes les
formations d’extrême-droite belges. Le
PCN n’y figure pas et est repris parmi
les « formations alternatives
susceptibles d’enlever des voix à
l’extrême-droite ».
* Christophe
Bourseiller, spécialiste reconnu du
sujet, situe le PCN dans son livre LES
ENNEMIS DU SYSTEME parmi les «
nationalistes de gauche ».
* Le journal
LE MONDE (5 mai 1998), classe la liste
du PCN à l’élection partielle de Toulon
d’Avril 1998 parmi « l’extrême-gauche ».
VAR-MATIN précise que cette liste
s’intitulait « Les jeunes contre Le Pen
et pour l’interdiction du FN ».
* Enfin, le
CVIPMA, un site antifa français des
Années 2005-2007 proche du PCF, nous
classait comme « antifascistes
idéologiques » et « staliniens aigus »
», à propos de EUROPÄISCHER WIDERSTAND
(en réfétrence à la Résistance allemande
antinazie de 1933-45), le Collecti
antinazi du PCN créé en 1994. Car le PCN
a son Collectif antinazi, avec lequel
Luc MICHEL a brisé les reins du FN belge
en 1994-96 ! Ca aussi vous ne l’avez pas
lu dans les Wikipedia – Libération –
RTBF et cie …
Mais peut-être
ces spécialistes, qui ont tous
longuement étudié le PCN, sont-ils moins
qualifiés que nos ennemis ou que
Wikipeida, dont la seule compétence est
la haine du PCN ou le service de l’OTAN
?
* Photo :
NATSIA EVROPA, une revue antifasciste du
PCN éditée en Russe et Français en mai
2005 pour la victoire soviétique des 8-9
mai sur le Nazisme …
Wikipedia et cie vous auraient-ils
encore menti ?