Opinion
Le calvaire palestinien :
La révolte d'un peuple désespéré
Chems Eddine Chitour
Le Pr
Chems Eddine Chitour
Vendredi 23 octobre 2015
«The old will die and the young will
forget» «Les vieux mourront et les
jeunes oublieront.»
Sentence attribuée à Ben-Gourion à
propos de la spoliation de la Terre des
Palestiniens
Encore une fois, depuis une centaine
d'années le conflit de l'usurpation de
la Palestine par un Etat sioniste dit
d'Israël créé le 14 avril 1948 à une
voix près. Le ministère palestinien de
la Santé déclarait lundi que le nombre
de Palestiniens, tués par des tirs
israéliens depuis le début du mois
d'octobre, a atteint le chiffre de 45,
dont 10 enfants.
Pour rappel le 29 novembre 1947,
l'Assemblée générale des Nations unies
adopte la résolution 181 qui prévoit le
partage de la Palestine en un État juif
et un État arabe. Dès le départ les
Palestiniens se trouvent dépossédés de
plus de 50% des terres. En fait tout
commença avec la fameuse déclaration de
Balfour où l'on promit une seconde fois
après Dieu une Terre à des hommes et des
femmes disséminés dans le monde. Il est
vrai que le Congrès Juif refusa
l'Ouganda.
«Le 30 novembre 1947, lit-on sur
l'Encyclopédie Wikipédia, la guerre voit
s'affronter les communautés juive et
arabe. (...) Les forces et la société
palestiniennes s'effondrent. Le 14 mai,
dernier jour du mandat britannique,
l'indépendance de l'État d'Israël est
proclamée en tant «qu'État juif dans le
pays d'Israël». Le lendemain 15 mai, les
États arabes voisins, opposés au
partage, interviennent. En théorie
alliés, ceux-ci ambitionnent des
objectifs différents et combattront leur
adversaire de manière désorganisée et
désunie.(...) Les forces israéliennes
vainquent militairement sur tous les
fronts. La ligne d'armistice partage
Jérusalem, laissant la vieille ville du
côté arabe. En gagnant la guerre de
1948, Israël conquiert 26% de
territoires supplémentaires par rapport
au plan de partage et prend le contrôle
de 81% de la Palestine de 1947. La
guerre s'accompagne de bouleversements
démographiques. Entre novembre 1947 et
juillet 1949, environ 720.000 Arabes de
Palestine fuient ou sont expulsés des
territoires qui formeront Israël» Ce
sera la fameuse Nekba. Parallèlement, la
loi du retour permet à tout juif de par
le monde de venir en Israël et il sera
interdit aux réfugiés de revenir.» (1)
Ce qui a fait dire au regretté
Mahmoud Darwich «Celui qui m'a
transformé en réfugié m'a transformé en
bombe.» Arthur Ruppin, planificateur du
sionisme s'adressant à l'Agence juive
dans un meeting en 1938: «Je ne crois
pas au transfert de Palestiniens d'une
façon individuelle mais par villages
entiers.» Pour rappel, la première
intifada eut lieu le 9 décembre 1987. Le
28 septembre 2000 débute la seconde
Intifada ou Intifada al-Aqsa. Si la
plupart des observateurs lient le
déclenchement de l'intifada à la visite
au Mont du Temple ou Esplanade des
Mosquées par Ariel Sharon considérée
comme une provocation par les
Palestiniens. Il y eut ensuite
l'opération Rempart qui démolit Jénine,
la construction du mur de séparation
jugé illégal par la Cour internationale
de justice.
La révolte
du désespoir et de la dignité humaine
Où en sommes-nous? Le dernier carnage
remonte à juillet 2014. En bombardant
Ghaza durant cinquante jours, les
Israéliens ont provoqué des dégâts sans
équivalent depuis 1967, avec plus de
deux mille morts, dont cinq cents
enfants. Dans le même temps Abbas censé
défendre les Palestiniens maintient sa
coopération sécuritaire avec l'armée
d'occupation et proteste mollement en
laissant faire.
Veut -on un exemple du ras-le-bol ce
que les médias désignent par 3e intifada
est une révolte du désespoir, une
révolte pour la dignité? Olivier Pironet,
journaliste au Monde diplomatique après
avoir visité, ces jours-ci, le goulag
palestinien, immense prison à ciel
ouvert, écrit: «(..)Parmi les chebab
descendus dans la rue pour exprimer leur
colère, certains sont issus du camp de
réfugiés de Balata. (...) Construit en
1950 pour accueillir des villageois
expulsés de la région de Jaffa, près de
Tel-Aviv, Balata se trouve en zone A,
l'aire administrative délimitant les
secteurs de la Cisjordanie «gouvernés»
par l'Autorité palestinienne,mais où
l'armée israélienne opère à sa guise, en
dépit des accords d'Oslo. Le camp offre
un condensé des problèmes qui affectent
les réfugiés palestiniens. Ici, la
pauvreté (55% des habitants), le chômage
(53%, dont 65% sont de jeunes diplômés),
la promiscuité et l'insalubrité touchent
presque tous les foyers. Près de
vingt-huit mille habitants, dont 60% ont
moins de 25 ans, s'entassent sur un
kilomètre carré. (...) Connu pour son
engagement contre l'occupation dès 1976,
qualifié par les Israéliens de «bastion
terroriste» et très surveillé, le camp a
payé un lourd tribut ces dernières
années: «Environ quatre cents morts
depuis le déclenchement de la deuxième
Intifada [2000-2005],et des milliers de
blessés. Près de trois cents résidents
du camp sont actuellement incarcérés en
Israël», nous indique M.Arafat, qui a
lui-même été emprisonné à plusieurs
reprises. L'armée israélienne envahit
régulièrement Balata pour «arrêter ceux
qui ont participé à des manifestations
ou sont recherchés pour leur activisme
politique, ou bien encore pour
´´sécuriser´´ le quartier, du fait de la
proximité du tombeau de Youssouf» - un
mausolée vénéré par les juifs comme par
les musulmans»(2).
«Harcelés par l'armée d'occupation et
par les colons, les habitants sont «à
bout», lâche M.Arafat. «Nous ne pouvons
compter que sur nous-mêmes. Quand les
Israéliens surgissent pour
perquisitionner ou capturer des
militants politiques, nous tentons de
nous interposer, mais nous sommes
impuissants. Il y a encore des armes
ici, mais les gens ne les utilisent
plus. La police palestinienne devrait
nous protéger des colons - très nombreux
autour de Naplouse, et parmi les plus
agressifs -, mais elle ne fait rien.» En
vertu des accords sécuritaires
israélo-palestiniens, élaborés en 1993,
la police de l'Autorité palestinienne
n'a pas le droit d'utiliser la force
contre les colons en cas d'attaque, mais
doit s'en remettre aux autorités
israéliennes. Elle est aussi tenue de
coopérer pour cibler et interpeller les
militants palestiniens constituant un
«danger potentiel» vis-à-vis d'Israël
(...)» (2)
Curieusement, on fabrique un nouveau
concept: l'intifada des couteaux. Je
serai curieux de connaître qui est
derrière cette mise sur le marché des
médias mains tream pour souligner le
couteau barbare. Pourquoi ne parle-t-on
pas de la répression des cailloux par la
mitraillette Uzzi? Du côté de l'Eglise,
c'est le minimum syndical. Le pape,
dit-on, suit avec une «grande
inquiétude» les tensions en Terre
sainte. Il appelle ceux qui sont pris
par la violence en Terre sainte d'avoir
le «courage et la force morale de dire
non à la haine». Jérusalem a connu mardi
13 octobre sa journée la plus sanglante
depuis le début de l'escalade des
violences entre Israéliens et
Palestiniens, il y a un mois. vendredi
16 octobre, le patriarcat latin a
dénoncé «avec fermeté» l'incendie du
tombeau de Jospeh (Youssef) comme «un
acte insensé et d'une extrême gravité».
Tout autre son de cloche celui des
Palestiniens chrétiens à demeure en la
personne de Monseigneur Atallah Hanna
archevêque de Jérusalem, il déclare:
«J'ai dit, et maintes fois répété, que
le sionisme et Daesh sont les deux faces
d'une même monnaie, et quand je dis
Daesh cela signifie toutes les
organisations terroristes barbares et
sanguinaires dont nous sommes convaincus
qu'elles sont une fabrication
américano-israélienne par excellence,
dans le but essentiel de détruire la
patrie arabe au profit d'Israël. Ils
veulent détruire tout ce qui s'y trouve
comme civilisation, humanité et beauté.
Qui profite de tous ces massacres et
déplacements de population? (...) Israël
tente aujourd'hui d'accomplir tout ce
qu'il n'a pu faire depuis 1967, en
essayant de mettre la main sur la
mosquée d'Al-Aqsa, d'avaler Jérusalem et
ses Lieux saints et de chasser ses vrais
habitants arabes palestiniens.»(3)
«Vous remarquerez poursuit le
patriarche que nous n'avons entendu
aucune déclaration officielle ou
officieuse de la part des États arabes,
(...) On ne peut demander aux
Palestiniens de rester les bras croisés
devant un tel complot contre sa cause et
sa terre. (...) La jeunesse
palestinienne est sortie pour dire:
«Nous ne nous soumettrons pas à Israël
quels que soient les complots et aussi
fortes soient les pressions. Quoi qu'ils
tentent pour liquider notre cause, elle
restera celle d'un peuple amoureux de la
liberté et de la dignité». (...) Je ne
suis pas de ceux qui pensent que
l'Intifada ait jamais cessé en
Palestine. C'est un état d'esprit
permanent qui se manifeste de manières
différentes. La Résistance sera toujours
là tant que l'occupation et le racisme
seront là. La Résistance ne s'arrêtera
pas et c'est notre droit de Palestiniens
de lutter pour libérer nos lieux sacrés
et Jérusalem. Nous ne céderons pas à
Israël.(...) Israël pense que les
répressions et oppressions de plus en
plus sauvages terroriseront le peuple
palestinien. C'est l'inverse qui est
vrai, car la jeunesse palestinienne en
est arrivée à la conviction qu'elle ne
peut compter que sur elle-même.» (3)
Même Gandhi
aurait compris la violence des
Palestiniens
Pour Daniel Vanhove, Israël doit être
mis au ban de nos sociétés. Il écrit:
«En Terre que l'on dit trois fois
«sainte» - pour le judaïsme, le
christianisme et l'islam - voici le
résultat des collusions incessantes de
nos gouvernements avec Israël: les
Palestiniens peuvent endurer toutes les
souffrances; leurs enfants, quel que
soit leur âge, peuvent être abattus
comme des chiens, agonisant dans leur
sang, voire brûlés vifs sans que leurs
assassins connus de la justice
israélienne ne soient inquiétés; les
femmes enceintes, les personnes âgées et
les malades ne sont en aucun cas
épargnés; les écoles, les hôpitaux et
les lieux de culte sont régulièrement
bombardés; leurs terres sont spoliées
depuis des années par des extrémistes de
la pire sorte, qu'il conviendrait
assurément d'enfermer; quand elles ne
sont pas volées par des colons, ou
qu'ils n'en sont pas expulsés au moindre
prétexte, leurs maisons sont détruites
pour un oui ou un non; des barrages
incessants les privent de toute
possibilité de déplacement normal. Y
compris les ambulances et leurs blessés
qui souvent meurent lors de trajets
rendus ainsi interminables; un mur de 9
mètres de haut sur des centaines de
kilomètres les enferme dans ce qui
s'apparente à des réserves à l'indienne.
Et cette situation dure depuis des
décennies... Nos médias ignorent la
situation. Et la descente aux enfers de
la population palestinienne se poursuit
dans une indifférence qui depuis
longtemps en est par cela devenue
complice.» (4)
Il se trouve heureusement, pour la
dignité humaine, des Israéliens
admirables qui prennent la defense de
ses épaves que sont les Palestiniens.
Gidéon Levy et Amira Hass écrivent dans
le quotidien de gauche Haaretz des
textes courageux dont nous reproduisons
quelques extraits Gedéon Levy écrit que
même Gandhi apôtre de la non-violence
aurait compris les raisons de la
violence des Palestiniens: «À travers le
brouillard d'autosatisfaction, de
propagande médiatique, d'incitation, de
diversion, de lavage de cerveau et de
victimisation de ces derniers jours,
cette simple question revient avec
force: qui a raison? (...) Il ne reste
plus d'arguments fondés dans l'arsenal
israélien, du genre qu'une personne
honnête pourrait accepter. (...) En tant
que vieille militante palestinienne,
Hanan Ashraoui, a écrit récemment que
les Palestiniens sont le seul peuple sur
cette terre à qui on demande d'assurer
la sécurité de l'occupant, tandis
qu'Israël est le seul pays qui exige de
ses victimes sa propre protection. Et
comment pouvons-nous répondre? Aux 100
ans de dépossession et aux 50 ans
d'oppression, nous pouvons ajouter ces
quelques dernières années, marquées par
l'intolérable arrogance israélienne qui
nous explose une fois de plus au visage.
(...) Nous sommes fatigués. Nous n'avons
pas dit un mot de l'injustice de 1948,
qui aurait dû s'arrêter alors et ne pas
se poursuivre avec encore plus de force
en 1967 et continuer sans aucune fin en
perspective.» (5)
«Les Palestiniens écrit Amira Hass,
se battent pour leur vie, Israël se bat
pour l'occupation.» Jeudi 15 octobre
2015: la guerre n'a pas commencé jeudi
dernier, elle ne commence pas avec les
victimes juives, et elle ne prend pas
fin quand plus aucun juif n'est
assassiné. Les Palestiniens se battent
pour leur vie, dans le plein sens du
terme. Nous, juifs israéliens, nous nous
battons pour notre privilège en tant que
nation de maîtres, dans la pleine
laideur du terme.
Les jeunes Palestiniens ne vont pas
se mettre à assassiner des juifs parce
qu'ils sont juifs, mais parce que nous
sommes leurs occupants, leurs
tortionnaires, leurs geôliers, les
voleurs de leur terre et de leur eau,
les démolisseurs de leurs maisons, ceux
qui les ont exilés, qui leur bloquent
leur horizon. Les jeunes Palestiniens,
vengeurs et désespérés, sont prêts à
donner leur vie et à causer à leur
famille une énorme douleur, parce que
l'ennemi auquel ils font face leur
prouve chaque jour que sa méchanceté n'a
pas de limites. (...) Même le langage
est malveillant. Les juifs sont
assassinés, mais les Palestiniens sont
tués et meurent. Est-ce vrai» (6)?
Les
dérapages calculés du Premier Ministre
israélien
Quand on écoute le Premier Ministre
israélien, à court d’arguments, invoquer
l’argument suprême celui de la shoah
sacrée avec un scoop : Hitler ne
voulait pas exterminer les Juifs sa
faiblesse est d’avoir écouté le Muphti
de Jérusalem ! Rien que çà ! Hitler
n’a pas tenu compte de l’atmosphère qui
prévalait depuis deux mille ans en
Occident faisant des Juifs les déicides.
Il n’a entendu des pogroms que tous les
pays mettaient en œuvre pour persécuter
les Juifs qui n’avaient même pas le
droit d’enterrer leur mort intra-muros à
Paris la capitale d’une France des
droits de l’homme blanc. Il n’a
prêté aucun attention aux idéologues des
races supérieures tels que les Renan,
les Arthur de Gobineau, les Joseph
Chamberlain. Il s’inscrit en faux contre
ce qu’écrivent les historiens à savoir
que c’est l’Europe du XIXe siècle qui a
fait le lit du nazisme. Il n’a pas
entendu parler du racisme anti-juif et
de l’antisémitisme à l’endroit des Juifs
des Arabes comme Husseini le muphti de
Jérusalem, qui dans une posture,
apparemment, masochiste, supplie Hitler
d’exterminer les sémites comme lui .
Franchement, il vaut mieux entendre cela
que d’être sourd ! Les Arabes
responsables au premier degré des
massacres de masse à l’endroit des Juifs
; Angela Merkel qui recevait Benyamin
Netanyahu ne fut pas dupe. Elle assuma
–en le martelant dans sa réponse – la
responsabilité de l’Allemagne vis-à-vis
du massacre de masse des Juifs.
Ceci dit Cette provocation est
calculée, Israêl va encore une fois de
plus faire actionner la pompe a
finance allemande au nom de la
faute originelle. Après moult
réparations, après les sous marins
nucléaires gratuits, l’Industrie de
l’Holocauste selon le bon mot de
Norman Finkieltein va être actionnée
dans tous les pays et chaque jacquerie
des Palestiniens, se concrétise par des
dons à Israël.
Le deuxième résultat de la
provocation de Netanyahu est aussi de
faire diversion, elle sera relayée par
les inconditionnels dans tous les pays
européens et américains qui seront une
fois de plus par ce discours au point de
ne prendre aucune résolution si ce n’est
des vœux pieux comme vient de nous le
prouver Ban Ki Moon qui appelle
l’Armée la plus morale du monde
et les terroristes au canif à faire
preuve de retenue. Netanyahou ne parle
jamais pour rien. Comme lu sur le site
Réseau International : « Si BHL, et
d’autres petits lieutenants comme lui,
ont souvent pour rôle d’accompagner ou
d’assurer le service après-vente d’un
processus en cours, l’échelon supérieur
représenté par les Fabius, Netanyahou et
quelques autres, sont principalement
utilisés pour initier ce processus.
Leurs déclarations sont toujours
annonciatrices d’un vaste programme »
La vraie vérité est qu’Israël veut
faire glisser le conflit vers un conflit
religieux. Pour le député palestinien
Mustapha Barghouti: «Ce qui se passe
n'est pas un conflit religieux. C'est
bien plus que Jérusalem ou l'esplanade
des Mosquées: c'est la lutte d'un peuple
pour sa liberté, alors qu'il a vécu
l'occupation la plus longue de
l'histoire moderne.» Où sont les
«Arabes» censés les aider dans leur
juste combat? Où est la Ligue arabe qui
a permis la destruction de la Libye en
2011. Ce n'est sûrement pas l'Arabie
Saoudite qui va le faire, elle qui
compte sur Israël pour mater le peuple
yéménite.
Les Palestiniens sont bien seuls,
mais ils n'oublieront pas malgré
l'injonction de Ben Gourion, ni les
jeunes ni les vieux. Pour les
Occidentaux, le drame actuel est une
question de terminologie: est-ce une
intifada? Peu importe que les
Palestiniens soient au désespoir, il
faut un continment ( endiguement) pour
éviter l'intifada. Ce qui se passe est
un cri de douleur. Les Palestiniens
veulent vivre en paix. Peut-être qu'il
faille dans cette dynamique de reshaping
du Moyen-Orient un siècle après Balfour
un siècle après Sykes-Picot; penser à
restituer aux Palestiniens leurs dignité
et leur donner des raisons de vivre
dignement sur les 18% qui restent de la
Palestine originelle (7).
1. La création de l'Etat d'Israël:
Encyclopédie Wikipédia
2. Olivier Pironet:
http://www.monde-diplomatique.fr/2014/10/PIRONET/50880
3.Monseigneur Atallah Hanna Interview
Rana Ismaïl Transcription et traduction
par Mouna Alno-Nakhal
4.
http://www.mondialisation.ca/israel-doit-etre-mis-au-ban-de-nos-societes/5482482
5. Gidéon Lévy
http://www.haaretz.com/opinion/.premium-1.679268?date=14450305
25480
6.Amira Hass:
http://www.haaretz.com/opinion/.premium-1.679129
7. Chems Eddine Chitour : Le calvaire
palestinien. Préface de Ismaël Hamdani,
ancien chef de gouvernement algérien.
600 pages. Editions Casbah 2014. Alger
Article de référence :
http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_
chitour/227951-la-revolte-d-un-peuple-desespere.html
Professeur Chems Eddine Chitour
Ecole Polytechnique
enp-edu.dz
Publié le 23 octobre 2015 avec l'aimable
autorisation de l'auteur
Le sommaire du Pr Chems Eddine Chitour
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