Les brèves
de la Plume
Quand les roms
viennent pisser sur la Cresson,
la bien-pensance de gauche fait long feu
!
Marc
Leroy
Lundi 16 septembre 2013
C’est l’une de ces pépites que l’on
découvre parfois dans la presse
régionale et qui ont le grand mérite de
nous filer pour un instant la banane par
les sinistres temps qui nous courent, et
c’est au
Courrier de l’Ouest
du 14
septembre que nous la devons (merci
à lui !) :
A Saint-Sylvain-d’Anjou, près
d’Angers, comme hélas partout ailleurs
en France depuis un bon moment, des
centaines de roms ont décidé de poser
les valises qu’ils n’ont pas,
transformant dès lors et comme
d’habitude la zone où ils ont élu
non-domicile en un gigantesque
bidonville.
Bien évidemment, ces racistes de
riverains l’on très mauvaise, les
déprédations, nuisances sonores et
surtout les petits ou grands larcins qui
accompagnent systématiquement l’arrivée
dans une région de France de ces « gens
du voyage », comme disent les
bien-pensants, n’ayant pas manqué
d’intervenir très rapidement.
Il n’y aurait rien là que de
malheureusement très habituel… si l’un
de ces éléphants socialistes si prompts
à nous faire sans cesse des leçons de
morale et de tolérance n’avait justement
sa résidence secondaire à proximité du
camp rom, et du coup, en subissait lui
aussi -et pour une fois- les
conséquences. Et quelle résidence : une
propriété composée d’un petit château et
de ses dépendances, entouré de 7 à
8 hectares de terres et de forêt, non
loin du parc-expo d’Angers (voir photo
ci-dessous). Une vraie « maison de
campagne » de représentant du peuple de
gauche, n’est-ce pas ?
L’éléphant en question n’est autre
qu’Edith Cresson, l’ex Premier Ministre
par promotion canapé que François
Mitterrand avait décidé en 1991
d’infliger à la France. Un Premier
Ministre d’ailleurs si catastrophique
qu’il était resté en poste moins d’un
an. Cette même Edith Cresson, recasée
dans un très confortable et rémunérateur
placard européen, qui fut inculpée en
1999 par un juge belge pour corruption
pour avoir notamment fourni un emploi
fictif au sein de son cabinet de
commissaire européen à un de ses amis,
dentiste à Châtellerault. Suspectée donc
de népotisme comme plusieurs autres
membres de la commission Santer, elle
bénéficia finalement d’un non-lieu. Mais
elle fut rattrapée par la patrouille et
condamnée en juillet 2006 par la Cour de
Justice Européenne, qui fort
généreusement la dispensa tout de même
de toute sanction financière, alors que
la Commission Européenne avait demandé
la suppression totale de ses droits à la
retraite et que l’avocat général de la
Cour avait lui plaidé pour la réduction
de moitié des émoluments et avantages
dus à ses fonctions européennes.
Devant l’incapacité du pauvre maire à
régler les problèmes qui se multiplient
depuis l’arrivée des roms, Edith Cresson
a donc décidé d’en appeler au préfet. « Ils
ont des toilettes chimiques mais ils
vont quand même faire ça chez nous. Le
cabinet du préfet m’a dit que c’était
une habitude culturelle ! » a
notamment déclaré, furax, l’ex pompadour
mitterrandienne. Il est désormais hors
de question pour notre donzelle de
supporter un jour de plus « les
désordres dans mon potager, les vols de
fruits et de bois ». Edith a donc
décidé de déposer plainte.
Edith et les Roms, ou l’arroseur
arrosé : pour une fois que les « gens
du voyage » venus d’Europe de
l’est nous donnent l’occasion de rigoler
un peu, avouez qu’on aurait tort de la
laisser passer !
Publié le 17
septembre 2013 - Source
La Plume à Gratter
Les dernières mises à jour
|