Opinion
Le terrorisme
international ‘d'Israël’
Evocation et hommage aux combattants
algériens dans leur lutte implacable
contre le Mossad
Ibn
Khaldoun
Samedi 24 août 2013
Nous tentons à travers cette publication
de publier des faits et événements
survenus, suite à l’agression sioniste
contre les Palestiniens, dont le plus
sanguinaire réseau terroriste d’Etat
dans le monde, le Mossad qui est
l’auteur de centaines d’assassinats
depuis sa création. Le Mossad s’est
retrouvé durant les années soixante dix
et quatre vingt confronté à un groupe de
patriotes Algériens, des patriotes hors
série, des agents très spéciaux que
l’Algérie a enfantée et qui aujourd’hui
ne sont jamais évoqués, ni leur bravoure
et courage, ni leurs actions
patriotiques, l’ors des initiatives
officielles ou non officielles. Ainsi le
peuple Algérien en particulier et tous
les peuples progressistes en général de
la nouvelle génération ignoraient ce
parcours de combattants Algériens.
Aujourd’hui, il est indispensable qu’ils
apprennent les vérités sur le plus
dangereux réseau du terrorisme
international, impliqué dans les
assassinats, les troubles et les
complots dans le monde. Le terrorisme
pratiqué par ‘’Israël’’ à travers le
Mossad et son confrontation avec un
groupe d’Algériens.
Le Mossad, est un réseau qui
regroupe, des sionistes racistes, des
israéliens sans scrupule ni état d’âme
et sanguinaires. Crée en 1951, par les
premiers juifs sionistes, à leur tête
les sinistres, Ben Gourione, Manahim
Beghin, Ishak Samir et Golda Meir entre
outres. Le Mossad ne dément ni ne
confirme jamais son implication, il est
prêt, lorsque c’est dans l’intérêt de
l’entité sioniste, à endosser la
responsabilité de certaines opérations
comme l’alya des Juifs du Maroc dans les
années 1956-1964, et le complot
d’assassinat de Jamal Abdenasser déjoué
l’or de sa visite au Maroc.
l’infiltration d’espions du Mossad au
Soudan, en Éthiopie pour faciliter l’alya
des Juifs d’Éthiopie, l’enlèvement
D’Adolf Eichmann en Argentine,
l’assassinat en France de plusieurs
nationalistes arabes à leur tête
l’Algérien Mohamed Boudia, et aussi du
juif anti sioniste Henri Curiel, qui
pendant la Révolution a participé aux
opérations de transfert des fonds du
FLN, l’affaire des vedettes de
Cherbourg, et la cet surtout ses
infiltrations permanentes dans les pays
du Maghreb…
Mais le plus souvent, seuls les médias
étrangers affirment clairement que le
Mossad était derrière telle ou telle
opération. Quant aux médias arabes, leur
manque de professionnalisme dans de
telles opérations ennemies, ne leur a
jamais permis de suivre les événements.
Plus tard, des noms d’assassins sans
scrupules surgissent en Europe et dans
les pays Arabes. L’OAS créée en Algérie
est l’œuvre du Mossad, à sa tête le
sinistre Edmond Jouhaux, un juif
sioniste né à Bou Sfer, (Oran) Algérie,
rejoint l’armée Française d’occupation
Il grimpe très vite aux grades et
devient général. Il a supervisé tous les
assassinats des Algériens à l’Ouest de
l’Algérie, après avoir participé au
Putsch d’Alger contre De Gaulle, il
prendra la fuite. Condamné en France, il
fut très vite amnistié en compagnie des
autres généraux putschistes, (Salan,
Zeller Challe et d’autres sanguinaires,
parmi eux aussi le sinistre colon
d’Algérie, Georges Watin dit le Loup qui
a semé la mort dans la région de
Miliana.
Les ‘’Kidons’’ nom de code donné aux
tueurs du Mossad, investirons l’Europe
en ces années soixante-dix et
quatre-vingt, se divisant en plusieurs
groupes, soutenus et assistés par le
lobby sioniste de France. Meir Armit,
Chabtai Shavit, le général Doran Tamir,
Uri Saguy, Nahum Admoni, Mickael Harari,
Sylvia Rafael, Mariane Glanikoff, Rafi
Eitan, Yatom, Sylvie Lyvni, Yhud Barack,
Danny, Barry Beads, Kendall Sean, Robin
Beltazar, Abraham Aphnir, en ajoutant
les Traîtres, Kamal Bename, un Algérien
recruté par le Mossad et le Libanais
Michel Moukharbal et le Syrien Mustapha
Sebra, Se sont tous des assassins qui
avaient sillonnés durant les années
soixante-dix et quatre-vingt, les pays
Européens en assassinant tous ceux qui
dénoncent l’occupation barbare de la
Palestine par ce pseudo ‘’Etat
d’Israël’’. Au sein de ce réseau de
terroristes figuraient aussi des
dizaines ‘’d’agents noirs’’ c’est-à-dire
des arabes, dont la plupart sont des
Druzes Palestiniens pro sionistes,
restés en territoire de 1948. Le Mossad
envois régulièrement ses ‘’agents
noirs’’ dans les pays arabes en
particulier au Maghreb, en Egypte et en
France avec des vrais faux passeports
Européens et notamment Canadiens, dont
certains Etats agissent discrètement en
complicité.
Depuis 1990, le Mossad, a crée un
département ‘’Islamique’’ des agents
souvent arabes, sont formés dans la
théologie musulmane, dans le but de les
infiltrer dans les pays musulmans, la
plupart des Druzs des territoires
occupés en 48 au sein des mouvements
islamistes et associations Musulmanes, à
l’étranger notamment à Londres pour
semer les troubles et créer des groupes
armés dans certains pays en vu de
renverser les régimes progressistes et
anti ‘’Israël’’ et les remplacer par un
régime fantoche pro-occidental, à
travers le CNT, Conseil National de
Transition. Ces genres de troubles
appelés ‘’Printemps Arabe’’, voir le cas
de la Libye, où le Mossad s’est infiltré
dans les rangs des groupes armés qui se
sont rebellés contre Kadhafi, on
finançant rubis sur l’ongle et en
propageant les comprimés barbituriques,
fabriqués spécialement en ‘’Israël’’
dans les laboratoires du Mossad, et
distribués bien avant le soulèvement du
17 février 2011. Nous citons aussi
l’Egypte, l’occident ne s’attendait pas
à ce que les –Frères Musulmans- accèdent
au pouvoir. Et c’est le Mossad qui
attise le feu au sein de l’opposition
qui est chapotée par des gens admis plus
au moins dans le cercle impérialiste. Ce
volte-face contre les frères musulmans
est apparu après les déclarations
brulantes du Président Morsi, contre
‘’Israël’’ et surtout ses décisions en
faveur de la levée du bouclage du
passage de Rafah vers Ghaza et ses
menaces de réviser les accords de Camp
David (accords de la honte). Tel-Aviv et
la Maison Blanche n’ont jamais digérés
ces décisions du nouveau pouvoir en
Egypte. Le Mossad qui possède plusieurs
réseaux et cellules dormants en Egypte a
réussi de s’approcher du général Cissé
pour préparer le renversement du
Président Morsi.
Le Mossad a enregistré le plus grand
nombre de ses assassinats en France,
durant les années soixante-dix et
quatre-vingt, comptant toujours sur la
complicité flagrante des services
Français, il a eu toujours les mains
libres. Dont les enquêtes policières
terminent leur parcours dans les
affaires classées. Devant cette
situation de passivité de la police
française, compris la DGSE, DCRI et la
DST organismes dirigés à cette époque
par des sympathisants de l’Algérie
Française, des agents arabes entrent en
action dans un cadre de légitime
défense, pour mettre hors d’état de
nuire, plusieurs agents du Mossad. En
1982 à Paris, rue des Rosiers au 3ème
arrondissement, le restaurant ‘’Jo
Goldenberg’’ qui fait office du siège de
l’antenne locale du Mossad. Autour d’une
table plusieurs agents et chefs du
Mossad en compagnie d’un agent Français,
sont abattus en signe de riposte aux
assassinats commis. L’Agent français
épargné dans cette opération, n’a pas
été touché. Dans le même mois un couple
d’agents du Mossad en quittant
l’ambassade sioniste de Paris, leur
véhicule explose. Le lendemain un
officier américain, le colonel Ray, qui
entretenait des contacts avec le Mossad
est abattu en plein centre de Paris.
Les agents de la contre attaques étaient
toujours aux avants gardes et aux avants
postes et les premiers à entrer en
action contre le Mossad
Hommage Aux
Combattants Algériens
Si certains services des pays arabes,
se sont rétractés devant la
recrudescence des assassinats des
nationalistes par le Mossad, alors que
le régime de Sadat de l’Egypte et la
Jordanie ont signé le pacte de
‘’camaraderie’’ avec l’ennemi, en
retirant leurs armées des fronts et que
le Sinaï est devenu une zone
démilitarisée. Le réseau terroriste du
Mossad s’est retrouvé soulagé en se
livrant à son exercice favori :
assassiner les civils sans défense et
sans aucune échappatoire dans les pays
Européens et en particulier la France,
avec des accents de victoire et la
complicité déguisée des services des
pays Européens, que tout esprit humain
moyennement équilibré aurait trouvés
abjects. Quelle performance pour ces
assassins du Mossad, que de tuer des
citoyens désarmés. Donc, il faut se
défendre, la légitime défense entre en
action et les Algériens ont opté ‘’dent
pour dent œil pour œil’’. Aux avant
postes dans cette lutte implacable. de
défense de la cause arabe et l’honneur
Révolutionnaire, puisque « Israël »
s’est obstiné à bafouer toutes les
résolutions de la communauté
internationale. Le pseudo ‘’Etat
sioniste’’ ne reconnait que les
résolutions qui mettaient les régimes
arabes à genou. Alors, pour venger les
camarades assassinés par les terroristes
sionistes, ces martyrs à leur tête
l’ancien Directeur général du théâtre
Algérien Mohamed Boudia, assassiné à
Paris par le Mossad le 23 juin1973. Cet
assassinat a renversé la vapeur et
donner du tonus à la lutte contre les
assassins. Des Algériens nationalistes,
ont pris le défi et se sont lancé dans
cette lutte implacable, mais dans un
cadre de légitime défense.
Un vibrant hommage à ces combattants à
leur tête Sahraoui (L’armurier) qui
déclare aujourd’hui : « J’ai appris,
malgré moi, que lutter pour une juste
cause est aussi un acte de générosité »
né en 1950, il vit aujourd’hui quelque
part en Algérie. Nous citons aussi
Mohamed Bouchehit, le regretté Ali
Benachour qui était journaliste, décédé
en 1997 en Tunisie dans l’anonymat la
plus absolue et le désespoir, il parlait
difficilement l’arabe, il disait
toujours : « La langue n’est qu’un moyen
de véhiculer les messages. Les régimes
l’on instrumentalisé pour créer un faux
clivage arabisants francisants, alors
que le véritable problème est celui de
la lutte des classes ». Mohamed Ben
Mansour ancien syndicaliste engagé, dont
le Mossad voulant l’assassiner a tué
Mohamed Bouchikhi un citoyen Marocain,
qui lui ressemblait beaucoup. Au
regretté Hamoud Boukercha alias Khaled
El Jazairi, très estimé par Yasser
Arafat et Abou Daoud enfant de Boudouaou,
mystérieusement abattu alors qu’il
tentait d’intercéder entre deux factions
palestiniennes rivales. Balle perdue,
avait-on conclu ! Lors du transfert de
sa dépouille alors qu’on l’attendait au
salon d’honneur, on l’a fait sortir par
le frêt comme une vulgaire marchandise.
Hamoud n’était pas un politicien, mais
un baroudeur un vrai ! Doué d’un courage
exemplaire, son père pensait que c’était
un aventurier, un délinquant qui a
traversé la mer. Il ne savait pas ce
qu’il faisait à l’étranger. Il ne le
saura que lorsque Yasser Arafat, en
toute discrétion, viendra à Boudouaou
(Alger) lui présenter ses condoléances.
Ce jour-là, le père, avait pleuré à
chaudes larmes, ce qu’il n’avait pas
fait lorsqu’il apprit la disparition de
son fils en juin 1981. On évoque aussi,
Chaâbane Kadem, ancien présentateur à la
RTA, c’était une force de frappe contre
le Mossad. Ces héros demeurent
aujourd’hui dans l’anonymat et les
oubliettes, alors qu’on parle toujours
et à chaque occasion de famille
Révolutionnaire, sans citer la bravoure
de ces enfants de l’Algérie
indépendante, un pays qui n’a jamais
cessé d’enfanter des vrais hommes et des
vrais femmes, ces braves et ces héros
qui ont fait trembler les terroristes
les plus sanguinaires dans le monde le
Mossad et provoquer sa débâcle en France
et dans toute l’Europe, demeurent
malheureusement dans l’anonymat,
inconnus, simples citoyens, ils vivent
aujourd’hui dans la simplicité et la
modestie la plus absolue. Il est du
devoir de tous Algériens, aujourd’hui,
de les sortir de cet anonymat, pour que
la génération montante, sache que le
sang Algérien est un sang purement rouge
de la bravoure combattante.
Sahraoui qui officiellement un étudiant
en médecine à Damas (Syrie) était chargé
de l’acheminement des armes entre
Beyrouth et l’Europe, il a effectuera
plusieurs navettes, il a lutté contre le
Mossad avec mission accomplie. Un jour
le régime Syrien de Hafedh Al Assad lui
a notifié qu’il est indésirable en
Syrie, et il doit quitter le pays, il
entre en Algérie, où il sera attrapé par
le service national qu’il n’avait pas
effectué. Sahraoui ne révèle rien de ses
activités. Voyant ses références
universitaires (n’ayant jamais terminé
ses études) à la faculté de médecine de
Damas, il est affecté à l’école de la
santé de Sidi Bel Abbes avant qu’il soit
réaffecté à Larbaa Nath Irathen, pour
achever sa durée du service à l’hôpital
Maillot d’Alger.
En 1984, l’antenne Révolutionnaire de
Chypre, diffuse une alerte, faisant
état, que le 6 septembre, un groupe du
Mossad, a piraté en mer un yacht, rapide
portant le nom ‘’GHANDI’’ qui a quitté
la côte de Tripoli (Liban), poursuivi et
piraté par les terroristes sionistes. En
Avril 1985, le Mossad réussi à enlever,
Abou Nour, Abou Salah Assahl et Abou
Rami. Tous les trois de redoutables
agents Palestiniens qui sont tombés dans
le piège de ce réseau d’assassins. Après
ces deux opérations, il fallait en finir
avec ce réseau de terroriste sionistes.
D’autant plus, que ce groupe avait opéré
en France et il est derrière plusieurs
assassinats. L’antenne de Chypre,
informe le P.C en urgence, sur la
présence de ce groupe du Mossad au port
de Larnaka à Chypre. Un plan fut élaboré
par trois agents Nacef Yahia alias ‘Abou
Ôbeida’, Khaled Ben Abdellah alias ‘Khelifa
Abdou’ et Georges Hanna alias ‘Ayan
Maeckel Davidson’ qui portait un
passeport Britannique, il était
tellement blond que tout le monde le
prenait pour un sujet Britannique de
souche. Au port de Larnaka, en plus du
Yacht des terroristes, 7 autres yachts
«Israéliens » accostés dans le même port
pour assurer une surveillance constante,
car dans le yacht ciblé se trouvait le
groupe le plus sanguinaire du Mossad. Il
était impossible de s’approcher à même
100 mètres à la ronde sans se faire
entouré par des tueurs. Cependant les
terroristes sionistes ciblés composés du
colonel Robin Beltazar, le capitaine
Abrahim Aphnir, deux autres tueurs ainsi
qu’un ‘’agent noir’’ Mustapha Sebra de
nationalité Syrienne. Yhoud Barak ne se
trouvait pas parmi eux, Il a eu une
chance terrible d’échapper à la sentence
qui est d’ailleurs jusqu’à nos jour
ouverte. Yhoud Barak officier du Mossad,
était un travesti qui s’habille en
femme. Abou Ôbeida qui a repéré le
colabo Syrien pendant plusieurs jours,
il était le seul qui ravitaillait les
terroristes sionistes, fut accosté par
Abou Ôbeida qui lui a signifié qu’ils
détenaient des renseignements importants
sur la résistance et voulaient les
‘’vendre’’ aux ‘’ Israéliens ‘’ qui sont
en vacance au port et il lui remet
quelques documents authentiques. Le
hasard a voulu faciliter les choses, les
trois agents arabes sont vite appelé par
le Syrien à le suivre jusqu’au yacht, en
pénétrant à l’intérieur c’est l’action
qui commence Khelifa Abdou qui
intervient le premier, les terroristes
sionistes sont tous maitrisés en un lape
de temps. « Alors Colonel, tu te
rappelle, Boudia, Salama, Bouchikhi,
Zaâiter, Hamchari, Bassel el Qobeisi,
Ghassane Kanafani, Fadel Dan, Henri
Curiel et les autre ? Cela fait un
temps, sales criminels » dira Nacef
Yahia à sa capture avec un anglais
parfait et aussi français, il ajouta : «
d’abord les criminels de Tel Aviv,
n’acceptent jamais ta mort, ils vont
marchander, et nous conditionnons tous
par la libération des patriotes arabes
dans vos prison, sinon vous tous vous
partirez en enfer ». En apprenant vite
la nouvelle, « Israël » accepte de
négocier, car c’étaient les élites du
Mossad, qui sont pris et il fallait
négocier ou les délivrer par la force.
Mais les choses se sont précipité, quand
un intermédiaire arabe, Anwar, appelé
par les Chypriotes pour négocier, s’est
approché du Yacht, alors que les
opérationnels n’avaient aucun lien avec
lui,’’ Anwar’’ a décliné son
appartenance à l’OLP et commença à
s’approcher encore, du yacht, à cette
instant Abou Ôbeida exécuta le Chef du
réseau. Les autres criminels seront
exécutés manu-militari, avant d’appeler
les autorités Chypriotes, pour se
rendre, incarcérés une première fois
quelque temps dans le secret, puis
libérés. Après l’exécution de ce
sinistre groupe, c’est le commandant
Sylvie Lyvni qui prend la place du
colonel exécuté à Chypre, elle était
aussi une sinistre criminelle.
Ces Algériens, qui ont tous sacrifié, à
un moment où certains individus sans
scrupule, couraient derrière les postes,
et les privilèges, eux, sont allés se
battre, défendre l’honneur de la Nation
Arabes et musulmane en général bafoués
par une poignée de juifs sionistes et
assassins. Aujourd’hui Sahraoui retrace
ce passé et nous dit : « En l’absence de
forces de progrès, il est vain
d’attendre des miracles. Voyez où on en
est arrivés ! Notre destin se joue
désormais entre les opportunistes et les
islamistes. Tout le monde sait que cette
mixture ne peut rien donner de positif à
un pays gagné par la désespérance… Ils
ont sali le FLN, ils ont sali la
religion. Ils ont sali nos valeurs. Que
peut-on attendre encore de cette bande
mafieuse de fossoyeurs ? » La solitude,
il l’assume et ne semble pas lui peser
même s’il avoue se débattre chaque jour
avec ses angoisses existentielles et
celles encore plus douloureuses de ce
bas monde.
À ceux qui se sacrifient pour la vérité
dans des lieux où le mensonge est de
rigueur
Les
collaborateurs du Mossad à travers le
monde
Le Mossad, ce réseau du terrorisme
d’Etat, crée en 1951 par la majorité des
juifs éparpillés à travers le monde et
surtout les pays arabes notamment en
Egypte et au Maghreb. Dés sa création il
avait tous les supports et antennes
d’espionnages dans le monde Arabe.
Casablanca était le siège principal
d’espionnage et de propagande contre les
nationalistes marocains et contre les
Algériens. Les services Marocains
avaient les mains liés, même après le
recouvrement total de leur indépendance
et ne pouvaient agir contre le Mossad
qui a organisé, prés de Casablanca dans
le littoral un camp de transit pour des
milliers de juifs Marocains en vu de les
transférer en Palestine occupée, dont
les jeunes juifs volontaires pour
agrandir les rangs de l’armée sioniste
en « Israël ». A partir de précédé fut
créer ‘’Les Sayanim’’. Ces «
informateurs » juifs il en existe dans
tous les pays où réside une communauté
juive – qui, par « patriotisme »,
collaborent avec le Mossad, et lui
apportent leur aide, principalement dans
deux domaines. Celui de la propagande ou
de la désinformation. Ou dans le cadre
des opérations d’espionnage. Comme le
déclare aujourd’hui, Jacob Cohen, un
ancien professeur universitaire du Maroc
et qui s’exprime un anti sioniste. Les
Sayanim sont des personnages connus et
que l’on identifie facilement, ou moins
connus comme certains francs-maçons
juifs et sionistes qui ont créé une loge
« judéo-sioniste » au sein du Grand
Orient et qui organise par exemple
chaque année des voyages encadrés en
Israël vu leur implication revendiquée
en faveur de la politique d’Israël. Par
exemple l’organisation d’un match de
football entre jeunes israéliens et
palestiniens, opération typique de
propagande pour faire croire à une paix
qui avancerait pendant que la
colonisation continue. Les sayanim dans
les médias lui donneront une publicité
exagérée. Comme ils ont réussi à faire
imposer un certain vocabulaire, à RFI
par exemple : Dire Jérusalem à la place
de Tel Aviv ; implantations au lieu de
colonies ; barrière de sécurité et non
mur de séparation. Les sayanim pénètrent
tous les secteurs de la société. Aucun
ne leur échappe. Exemple de
collaboration en matière d’espionnage.
Lorsque l’Irak a envoyé des
scientifiques en France pour se
perfectionner en matière nucléaire, le
Mossad a trouvé un sayan à Saclay qui
leur a fourni leur dossier complet.
C’est le service secret ‘’israélien’’
chargé des opérations à l’extérieur qui
en a la responsabilité. Ce qui est
d’ailleurs logique, puisque les sayanim
sont par définition des juifs qui
résident hors d’Israël. Il semble aussi
que les autres « services » s’occupent
soit des affaires intérieures, ou des
affaires relevant des Territoires
palestiniens, ou des affaires
militaires. Il se peut aussi qu’un
service autre que le Mossad cherche à
recruter à l’étranger un agent pour une
mission spécifique et qu’il s’agisse
d’un juif. Mais cela n’équivaudra jamais
à l’importance, par le nombre et la
qualité, aux sayanim. Rappelons que ces
derniers se comptent par dizaines de
milliers dans le monde. 3000 dans la
seule ville de Londres, selon un ancien
agent du Mossad. Et ce corps relève
exclusivement du Mossad. Qui ne rend
compte qu’au premier ministre ou à la
commission de la Défense de la Knesset.
Seul le responsable du Mossad dans un
pays connaît le chiffre exact des
sayanim. Donc les chiffres qui sont
avancés, même par les connaisseurs les
plus avertis, ne peuvent être que des
estimations. Mais celles-ci n’en donnent
pas moins une image de la réalité. On
peut se tromper sur quelques centaines
pour un pays, mais cela ne change rien
quant au fond. Certains témoignages
rapportent des faits établis, comme
l’action du sayan à Saclay. Pour être
efficaces, les sayanim doivent être
nombreux pour couvrir tous les secteurs
possibles et imaginables, ou mener une
action ponctuelle d’envergure. Lorsque
Mordechaï Vanunu, celui qui a révélé les
secrets nucléaires de Dimona à un
journal britannique, a été mis en
sécurité dans un hôtel londonien, le
Mossad a mobilisé tous ses sayanim de
Londres, qui ont quadrillé la ville, et
appelé hôtel par hôtel, avec une
description sommaire et un lien familial
fallacieux, et il a fini par retrouver
sa trace. Comme pour toutes les
histoires secrètes, l’action des sayanim
ne sort que par bribes. Ce qui n’enlève
rien à leur réalité.
être un Sayan lorsqu’on est français
d’origine, est-ce tromper sa patrie ?
Dans un sens, oui. Considérons le
problème autrement, car quand il s’agit
d’Israël, les repères changent, comme si
ce pays devait bénéficier d’un
traitement à part. Un autre élément
qu’on passe sous silence parce qu’Israël
aujourd’hui est l’allié de la France, et
qu’être sayan paraît inoffensif.
Imaginons qu’on soit en guerre. Israël
demandera aux sayanim français d’être
leur cinquième colonne, et un grand
nombre d’entre eux le feront, parce
qu’on a développé chez eux un second
patriotisme, plus fort que le premier,
donc la majorité des juifs français,
s’enfutaient éperdument de la patrie
France, ce qui compte pour eux c’est
‘’Israël’’.
Reprenons le cas du sayan à Saclay. Cela
aurait pu, ou cela avait pu, nuire aux
intérêts de la France en tant que pays
ayant signé par contrat la livraison
d’une centrale nucléaire et la formation
de scientifiques, en assurant en
principe leur protection. La France
aurait quelque part failli, car le
Mossad a réussi, grâce à son sayan, à
localiser et à assassiner à Paris, un
scientifique irakien de haut rang.
Les sayanim ne sont pas des agents
secrets qui doivent être « traités » au
jour le jour par des responsables du
Mossad. On sort là du fonctionnement
habituel du service secret. Si cela
avait été le cas, il aurait fallu des
dizaines, sinon des centaines, de «
katsas » pour les traiter.
Les sayanim mènent leur vie habituelle,
travail, commerce, famille, loisirs. Ils
peuvent ne pas être sollicités pendant
des mois. L’important est qu’ils soient
répertoriés et prêts à agir en cas de
nécessité. Un sayan agent immobilier
peut ne pas agir pendant un an. Mais il
entrera en action le jour où le Mossad
lui demandera de mettre à sa disposition
une planque. De même pour un sayan
garagiste, hôtelier, restaurateur ou un
sayan haut fonctionnaire. Chef de Parti,
député, sénateur, ministre. De même, un
« katsa » peut avoir un relais
personnel, par exemple un homme
important dans les médias – qui relaiera
un mot d’ordre décidé par le Mossad,
dans sa guerre de désinformation. Par
exemple : faire le maximum de buzz
autour de Gilad Shalit. Opération
remarquable. Qui ignore aujourd’hui le
nom de ce soldat, transformé en « otage
», alors qu’il servait une armée
d’occupation et il était tout à fait un
prisonnier de guerre ? Grâce à des
relais dans les médias et au sein de la
classe politique (gouvernement, partis,
parlement…), Israël passe pour un pays
qui souffre de la détention d’un « otage
» alors qu’il détient arbitrairement
plus de11 000 prisonniers, dont 95% sont
politiques, donc de vrais otages de leur
politique d’occupation.
Les sayanim sont des volontaires, des
juifs hors ‘’d’Israël’’ Ils ne coûtent
pas un centime au Mossad. Et non
seulement c’est une main-d’œuvre
gratuite, mais en plus elle contribue
financièrement, de manière générale à’’
l’État d’Israël’’, car c’est la plus
engagée idéologiquement, en achetant
régulièrement les bons du trésor’’
israéliens’’, en finançant divers
organismes sionistes (le KKL pour
l’achat des terres, la WIZO pour le
développement du système scolaire en
‘’Israël’’ et dans les colonies, etc.)
en participant à des soirées de soutien
en s’engageant dans un équivalent du
service civil (dans lequel des
volontaires juifs de tous âges et des
deux sexes, vont travailler bénévolement
dans les bases militaires en payant leur
voyage et les frais de dossier) en
finançant le Maguen David Adom, les
parcs, les forêts, les universités (le
nom des donateurs est inscrit dans une
salle de cours, sur une ambulance, sur
un banc public). Bref, les sayanim
peuvent être considérés comme
l’aristocratie engagée des militants
juifs de la diaspora. Si on compte les
500 000 membres du Bnaï Brit (une espèce
de franc-maçonnerie juive
internationale) et ceux des
organisations juives et sionistes
nationales (comme le CRIF ou l’Union des
patrons juifs de France, très actifs et
ultra-sionistes, etc.) on peut arriver
au chiffre approximatif de 1 million. Le
Mossad n’a besoin que de quelques
dizaines de milliers. Des agents
pareils, qui se bousculent pour offrir
leur aide, qu’on ne paie pas, mais qui
ajoutent leurs propres contributions,
quel service secret arabe n’en rêverait
pas ?
L’atmosphère de collaboration entre le
Mossad et ses agents très spéciaux.
Comment le Mossad fait vibrer la fibre «
patriotique ». L’enrôlement de
francs-maçons juifs et sionistes pour la
défense d’Israël. La description (tout à
fait personnelle mais que j’estime
proche de la réalité) des liens quasi
incestueux entre SOS Racisme et l’UEJF
(Union des étudiants juifs de France) et
la soumission de la première aux
organisations et à l’idéologie
sionistes. En France toutes les
institutions politiques, sociales ou
culturelle sont infiltrées par les
sayanim
Après tout, les chefs du Mossad ont
admis l’existence des sayanim devant
Gordon Thomas. Mais je ne crois pas que
le Mossad, comme les organisations
sionistes, aient vu d’un bon œil le
dévoilement de leurs activités en
France.
Les membres des « Misgarots » peuvent
être des sayanim. La réciproque est loin
d’être vraie.
Il faut se rappeler que les sayanim sont
des citoyens intégrés dans toutes les
couches de la société, pour pouvoir
mener les actions décidées par le
Mossad. (Voir les commerçants de
Marseille qui sont liés avec les
Maghrébins, ils peuvent facilement
recruter du monde pour le compte du
Mossad)
A Casablanca,le Mossad avait réussi à
s’implanter dans des communautés juives.
Une de leurs actions consistait à
recruter des adolescents dans les
mouvements de jeunesse sionistes, à
l’image de ceux qui existent en Israël (Dror,
Bné Aquiva, Hashomer Hatzaïr…) dans le
but de répandre leur idéologie et de les
faire partir en ‘’Israël’’ ainsi que
leurs familles.
Mais il y avait en parallèle des juifs
marocains, qui avaient plus de 20 ans,
et qui étaient organisés en groupe
d’autodéfense, sous la direction
d’agents du Mossad.
Alors que les sayanim agissent le plus
souvent dans des sociétés totalement
pacifiées, pour aider le Mossad, non pas
dans une vision d’autodéfense, mais pour
pratiquer la désinformation, propager
les troubles, exécuter des actes de
sabotage ou aider concrètement les
espions ‘’israéliens’’ et parfois
s’infiltrer dans les rangs de
l’opposition dans les pays du Maghreb en
particulier l’Egypte, la Tunisie et le
Maroc. Le cas du Maroc le Mossad joue le
rôle de protecteur du royaume. Selon
certains renseignements, le Maroc abrite
des sociétés de sécurité privées
israéliennes. En effet, les
organisations qui ont manifesté leur
colère contre la présence d’une
entreprise de gardiennage dénommée «G4S»
ont, par là même, permis de révéler le
degré de rapprochement entre Rabat et
Tel-Aviv.
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Publié le 24 août 2013 avec l'aimable autorisation de DZ Activiste
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