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Opinion
Faut-il pendre ces
intellectuels qui n'endossent pas le prêt à penser sioniste ?
Ahmed Amri
Alima Boumediene Thiery
Vendredi 8 octobre 2010
En réaction à ce vent de soulèvement intellectuel et citoyen
qui souffle de l'Europe sur le sionisme et ses fondements,
on assiste à une chasse aux sorcières dont les auteurs et
leurs commanditaires font preuve de hargne certes mais aussi
de vue courte qui n'est pas sans incidence sur les chasseurs
eux-mêmes et la fin escomptée par leur action. Non seulement
la persécution de la pensée et de l'expression est l'arme
des lâches et des incapables mais cette arme s'avère aussi à
double tranchant. Plus un intellectuel est persécuté plus il
a "pignon sur rue". "L'effet pervers" de cette chasse aux
sorcières, que la machine lobbyiste sioniste est incapable
d'escompter, est mesurable déjà à travers de nombreux
exemples. Les voix qu'on a voulu jusqu'ici proscrire et
étouffer par la calomnie et l'ostracisme des sionistes sont
aujourd'hui celles qui ont le plus de notoriété et
d'autorité intellectuelles, que ce soit en Europe ou dans le
reste du monde.
En France, on
traîne devant la justice
Alima Boumediene et
Omar Slaouti pour seul motif que ces deux personnes ont exprimé
leur indignation de voir
des produits importés d'Israël dans un magasin Carrefour du Val
d’Oise. Ils comparaîtront ce 14 octobre devant un tribunal à
Pontoise pour "incitation à la haine raciale".
En
Belgique, on fait de même pour Souhail Chiha pour seul motif
que cet homme est un contradicteur impénitent et compétent
des sionistes. Il a été convoqué ce 8 octobre 2010 par la
police belge et interrogé durant une heure et demi, suite à
une plainte déposée contre lui pour "incitation à la haine
raciale". Une autre plainte a été déjà enregistrée contre
lui au début de la semaine pour "antisémitisme".
Qui sont les plaignants?
Derrière l'affaire Boumediene et Slaouti, il y a Sammy
Ghozlane,
un
redresseur de torts antisémites
qui cumule la présidence de deux associations sionistes:
BNVCA (Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme)
et SFSI (Secours Français pour les Sinistrés d'Israël). A ce
jour, celui qui se vante publiquement d'être
l'épée de Damoclès
brandie par dessus les
antisémites a déjà
poursuivi plus de 80 personnalités sur le sol français,
toutes accusées d'incitation à la haine raciale.
Quant aux poursuites visant Souhail Chiha en Belgique, elles
émanent vraisemblablement d'associations juives appuyées par
Joël Kotchk, Maurice Snowski et Viviane Teitelbaum,
respectivement enseignants à l'ULB et députée bruxelloise du
MR
(Mouvement
réformateur).
Incitation à la haine raciale,
ça veut dire quoi?
Inutile de consulter Littré ou Larousse, ou tout autre dico
des mieux référencés, pour trouver éventuellement un sens
consacré par l'usage ou même un néologisme qui puissent
assimiler l'appel au boycottage commercial d'un pays à un
acte de racisme. Les faits qui ont conduit
Alima Boumediene et
Omar Slaouti à comparaître devant la justice française ne
sont ni recensés dans les glossaires des insultes racistes
ni pouvant l'être sous peu. Certes,
la poétique sioniste
est très fertile et il faut lui rendre cette justice qu'elle
pond de temps à autre un beau néologisme (1) que le commun
des hommes ne peut comprendre à la volée, mais de là à ce
que la lutte pacifiste contre l'occupation devienne synonyme
d'antisémitisme, il faut bien reconnaître que cette
poétique enfourche
un cheval ailé, un Pégase ou un dada de même sang, chargé de
porter les éclairs et le tonnerre sur la cité francophone!
Sammy Ghozlane ne le
sait peut-être pas, ou l'a oublié, qu'au cœur même de
Tel-Aviv, il y a des associations, des intellectuels, des
citoyens(2) qui appellent au boycott des produits
israéliens! Ces sémites nationaux sont-ils des antisémites,
eux-aussi, justiciables et pendables au même titre que leurs
acolytes les indigènes
d'Europe? Et qu'attendre pour les faire comparaître
devant les tribunaux de la France? Et tant qu'à combattre la
haine et ses incitateurs, pourquoi exempter de
ce bûcher les
autochtones
coupables du même délit, dont plus d'un -comme poussé
par un vœu de pénitence
expiatoire- a déjà formulé, en bonne et due forme,
une requête de comparution!
(3)
Des milliers
de Français, autant dans de nombreux pays ont
péché par pensée et action
contre les sionistes, comme Alima Boumediene et Omar Slaouti,
par intime conviction que ce
péché pour la
justice et le respect des droits palestiniens vaut des
honneurs et non des autodafés. Mais les sionistes ne
l'entendent pas de telle oreille, qui doivent dresser déjà
la liste des innombrables "sinistrés" et comptabiliser les
dommages et intérêts que les poursuivis en justice auraient
à verser à ces "sinistrés"!
Quant aux
faits pour lesquels Souhail Chiha est poursuivi en Belgique,
là encore, pour oser l'inouï et assimiler la critique d'un
État à l'incitation à la haine raciale, il faut enfourcher
le même dada ailé et pomper sans modération dans la poétique
délirante. L'humanité serait-elle tenue d'aimer Israël, sans
qu'elle le sache? Devrait-elle aussi, tant qu'à lui rappeler
ses obligations, prêter allégeance à l'État sioniste?
Car c'est pour avoir manqué
à des
prétendues obligations de cet ordre qu'on traine
devant la justice Souhail Chiha. S'il a osé dire, écrire,
répéter , voire enseigner et
prêcher qu'Israël
est un état raciste, en quoi tout cela peut-il constituer un
délit, une incitation à la haine raciale? ce n'est pas un
Bagatelles pour un massacre
(4), messieurs-dames les
Redresseurs de torts antisémites, ni le moindre
propos raciste contre les juifs que de taxer de racisme
Israël! Cet État est non seulement raciste mais assassin,
fasciste, nazi, voleur de terre, spoliateur de droits,
terroriste, et c'est peu dire, trop peu dire au vu de tous
les crimes dont il est l'auteur.
Et menteur par dessus tout. Lui et sa machine lobbyiste qui
persécute Souhail Chiha et ses semblables, dans le
prolongement de cette politique raciste qui est au cœur de
tous les problèmes du Moyen-Orient. Dès qu'une voix s'élève
pour fustiger cette politique, la machine se met en branle,
lâche sa meute de chiens de garde, n'a de cesse ni repos
qu'elle ait répandu aux quatre coins du monde que telle voix
est antisémite, nazie, négationniste et qu'il est du devoir
de l'humanité de la proscrire. Ce sont de telles voix qu'on
tente d'étouffer à travers les calomnies et les procès
montés contre Souhail Chiha(5),
Alima Boumediene et Omar Slaouti .
L'indigène
du royaume,
sa sœur et son frère de la
république ont tort d'être instruits, tort de s'être
constitué beaucoup d'amis en milieu politique, tort de se
faire entendre en milieu juridique et universitaire, tort
d'avoir la verve étourdissante, tort d'allier à telle verve
l'argument percutant.
Et cela n'est pas sans tourner la cervelle aux sionistes et
les enrager.
Pourquoi le verbe antisioniste
est-il terrifiant?
A un moment où les fedayins semblent pour la plupart sous
terre ou sous les verrous, où la résistance armée
palestinienne paraît neutralisée ou dissoute d'elle-même
(6), le danger immédiat qui menace le plus les sionistes
n'est plus tout à fait à l'intérieur mais sur les frontières
et au-delà. Certes, on lorgne incessamment du côté du Liban
et, plus loin, de l'Iran dont la menace hante de façon
obsessionnelle Israël. Mais on s'inquiète aussi de ces voix
qui montent des pays amis. Le vent de
la sédition intellectuelle qui souffle du Nord, fait
vaciller des mythes qu'on croyait inébranlables et menace de
se muer en une véritable révolution culturelle se propageant
dans le monde entier, est actuellement ce qui terrifie le
plus les sionistes. Les intellectuels européens ne se
conforment plus à la vieille doxa du continent. Des Collon,
Bricmont, Blanrue, entre autres, se révèlent aussi
dangereux, voire plus que les terroristes qui se faisaient
autrefois sauter dans un bus ou un café. Les attentats qui
faisaient couler du sang juif en Israël drainaient toujours
un capital de sympathie humaine, sans compter les autres
capitaux. Et cela permettait aussi de se livrer à des
représailles, dont l'ampleur est toujours sans commune
mesure avec les attentats, sans que cela ne choque
outre-mesure les sympathisants (7) ni ne freine le
moindrement le flux des capitaux.
Aujourd'hui, ce n'est plus tout à fait le cas. Un peu,
beaucoup même parce que la politique de la gâchette facile
ne fait plus des dégâts seulement du côté palestinien, mais
aussi parce que ces dégâts qui délient de plus en plus de
langues s'avèrent irréparables. Pogrom, Shoah, Holocauste,
Antisémitisme, entre autres armes autrefois bien efficaces
pour tétaniser la conscience universelle et l'aveugler face
aux crimes d'Israël sont désormais sans effet, grippées,
rouillées, usées, tout au plus bonnes pour la foire aux
ferrailles ou le musée de la propagande, s'il en est un qui
pourrait porter ce nom.
"Antisémitisme. Mot sésame, mot magique, il dit tout, il
condense en un éclair les affres du monde moderne. A peine
proféré, il impose la circonspection et paralyse la pensée
critique. Brandi comme une menace, il enjoint au silence,
comme si quelque chose de terrifiant et de sacré était en
jeu, condamnant chacun à surveiller ses propos de crainte de
blasphémer." C'est en ces termes que Bruno Guigue (8) décrit
le mal séculaire tétanisant la conscience humaine et, de nos
jours, devenant asservissant, liberticide, insupportable.
"Est-il permis de critiquer Israël?" titre son livre Pascal
Boniface. "Israël, parlons-en!" lui répliquent Michel Collon
et ses amis, titrant le leur. "Sarkosy, Israël et les Juifs"
renchérit Paul-Eric Blanrue, au nom de cette nouvelle Europe
exaspérée, excédée d'avoir indéfiniment à tourner sept fois
la langue dans la bouche avant de parler d'Israël.
Quand il s'appuie sur le fait établi, sur l'image
authentique, sur la perception immédiate corroborée chaque
jour par des faits nouveaux,
le verbe devient la
terreur de celui qui ne peut plus le contrecarrer par le
verbe, faute de rhétorique persuasive , c'est-à-dire
d'arguments. La litanie de l'holocauste , répétons-le, a
fait son temps. Même les enfants de la maison ne veulent
plus de cette soupe maison,
tant les bons apôtres l'ont déjà affadie. Après Chomsky et
Norman Fienkelstein, ce sont des Israéliens qui montent au
créneau, allument le feu au
domicile. Qui, de nos jours, serait plus
nazi que Shlomo
Sand, le négateur du peuple juif, qui d'un trait de plume a
démoli ce que les mythomanes, pris au piège de leur propre
mensonge comme les apprentis sorciers par leur balai, en
étaient venus à considérer plus qu'apodictique?
Grâce à ces plumes qui
n'opinent plus dans le sens de l'assentiment et du
consentement pro-israélien, une conscience humaine nouvelle
s'est érigée un peu partout, libérée du sentiment de
culpabilité de l'après-guerre, et refusant d'endosser le
prêt à penser quand il s'agit de traiter de l'antisémitisme
ou du sionisme. Ce sont ces plumes qui terrifient désormais
Israël, par ce que de plus en plus virulentes et porteuses
des pires virus.
Les Gazaouis de
l'Occident
Quand les
chiens de garde du sionisme se sont révélés incapables de se
mesurer intellectuellement à Norman Finkelstein, ils ont
décrété le blocus autour de lui. Ils ont tout fait pour
l'affamer en vue de le mettre à genoux. Après les campagnes
de diffamation, on a claqué à son nez les portes de
l'université. Et à ce jour, Norman Finkelstein est interdit
d'enseigner. Mais ces
redresseurs de torts ne pouvaient pas prévoir
l'effet pervers de
leur hargne, le contrecoup d'un tel coup bas. Depuis
qu'il est devenu Gazaoui aux USA, Norman Finkelstein, ne
cesse de gagner en popularité comme en autorité dans le
monde entier. Son nom et son œuvre n'en sont que plus
rayonnants, cités et sollicités, et le sionisme pitoyable et
dénudé.
Avec Paul-Eric Blanrue en France, c'est encore un autre
Gazaoui à qui on a voulu transmettre la même leçon. "Écris
ce que tu veux, mais tu seras interdit de circuler. Pas un
éditeur ni un diffuseur français n'autoriseront tes livres à
se faire lire." Néanmoins, toujours par effet de cette
publicité indirecte que les sionistes ont faite à l'exclu de
l'édition et diffusion locales, jamais Paul-Eric Blanrue n'a
été aussi lu et connu que depuis sa mise en disgrâce par ses
éditeurs et diffuseurs français.
Ce n'est pas sans rappeler le sot procès intenté à Flaubert
il y a un siècle et demi et qui a fait aussi bien la
célébrité de Madame Bovary que celle de l'auteur. Ce n'est
pas sans rappeler non plus qu'il y a sept ans, un comique
frappé d'ostracisme par la plupart des plateaux de
télévision française, lui aussi indigène et Gazaoui de la
République, était considéré comme fini. Olivier Mukuna, qui
n'a cessé de le suivre depuis écrit:" Depuis des années, il
fait systématiquement salle comble dans toutes les villes
francophones où il se produit. Il donne ses spectacles à
guichets fermés à Londres, Dublin, Beyrouth ou Alger. Son
dernier show intitulé « Mahmoud », joué dans son théâtre
parisien, cartonne depuis le mois de juin avec plus d’un
millier de spectateurs par semaine. Au-delà de ses
engagements politiques, beaucoup - y compris parmi ses pairs
- reconnaissent son talent artistique et, pour certains,
s’en inspirent. Tout cela, malgré un discours médiatique
français qui, depuis six ans, garde le silence sur chacun de
ses nouveaux spectacles et le qualifie, contre toute
réalité, « d’ex-humoriste » (9). Voila ce qu'il est advenu
de Dieudonné que les sionistes clouent au pilori depuis sept
ans.
Conclusion
Ce qui se trame actuellement contre les trois indigènes
instruits de l'Europe , dont les récentes tribulations ne
tarderont pas à produire l'effet non escompté par leurs
détracteurs, est du même ordre.
Alima est sénatrice et couverte du pied en cap de diplômes,
Omar professeur de physique-chimie et porte-parole d'un
parti politique (10), Souhail assistant et chercheur à
l'ULB. Déjà ces trois indigènes hors-normes ne sont pas là
où ils auraient dû être. Le siège au parlement, la fonction
politique, la chaire professorale ne devraient pas être
prostitués, confiés à des Omar et consort. Si, en plus, ces
Omar et consort ne se conforment pas à un code de conduite
censé les tenir à l'écart de la liberté d'expression, du
moins à celle qui touche à Israël, Israël étant comme la
Shoah, pas seulement sacrée, c'est-à-dire incriticable, mais
imprononçable sans le kippa ou l'étoile! s'ils contestent la
prérogative autochtone..juive s'entend, ils
deviennent alors franchement encombrants (11).
1- En matière de néologisme sémantique,
on doit déjà à Joël Kotchk "la nakba juive" qui désigne
l'émigration massive des juifs du Maghreb et du Moyen-Orient
vers Israël. Joël Kotchk fait table rase des révélations et
témoignages accablants publiés par Naeim Gilad, juif
irakien, dans son livre
Ben Gurion's
Scandals: How the Haganah and the Mossad Eliminated Jews.
Pas étonnant dès lors qu'au lendemain de la Guerre de Gaza
qui a fait plus de 1300 morts palestiniens, dont les deux
tiers sont des enfants et des femmes, sans compter les
dégâts matériels,
les
sinistrés de cette guerre
(dans
la poétique
de Sammy Ghozlane) soient israéliens. Demain, l'on nous dira
que l'occupant c'est le Palestinien! et les pauvres
Israéliens demanderont à être libérés des colons arabes.
Et Joël Kotchk et Sammy
Ghozlane en appelleront au sens de la justice des
Nations-Unies pour en prendre acte.
2- " Nous, en tant que citoyens israéliens, élevons la voix
pour appeler les dirigeants de l'UE: utilisez des sanctions
contre la politique brutale d'Israël et joignez-vous aux
protestations actives de la Bolivie et du Venezuela. Nous
lançons un appel aux citoyens de l'Europe: s'il vous plaît,
participez à l'appel de l'Organisation palestinienne des
droits de l'homme , soutenu par plus de 540 citoyens
israéliens... Boycottez les produits israéliens et les
institutions israéliennes; suivez des résolutions telles que
celles prises par les villes d'Athènes, Birmingham et
Cambridge (États-Unis). C'est la seule voie à gauche.
Aidez-nous tous, s'il vous plaît!.."
Ceci est extrait d'une lettre ouverte à l'opinion publique
européenne, publiée par le Guardian en date du 17 janvier
2009 et signée:
- Professeur Yoram Carmeli (Haifa University)
- Professeur Rachel Giora (Tel Aviv University)
- Dr Anat Matar (Tel Aviv University
- Jonathan Pollak
- Dr Kobi Snitz Technion ( Israel Institute of Technology)
et 17 autres citoyens israéliens
Source
De son côté, l’ICAHD (Comité Israélien contre la démolition
des maisons palestiniennes) qui a déjà soutenu BDS dès sa
création, a lancé un nouvel appel au boycott d'Israël, dans
lequel elle s'adresse à
la
communauté internationale - les Nations unies, les
gouvernements, les partis politiques, les organisations pour
les droits humains et politiques, les syndicats, les
communautés universitaires et les organisations
confessionnelles, de même que les particuliers concernés
pour mettre en vigueur le boycott.
Source
3- Pour manifester sa solidarité avec
Alima Boumediene et Omar
Slaouti,
Jean-Guy Greilsamer,
membre de l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP), a
envoyé
une lettre ouverte au Président du
Tribunal correctionnel de Pontoise
dans laquelle il demande à comparaître lui aussi comme
accusé.
4- Pamphlet antisémite de Louis-Ferdinand Céline.
5- Pour les détails des griefs reprochés à Chiha, Aurore Van
Opstal et Olivier Mukuna ont écrit deux excellents articles
qui font toute la lumière sur cette affaire:
Passion sioniste à l'ULB - par Aurore
Van Opstal
Cabale sioniste contre Souhail Chichah
- par Olivier Mukuna (sur
Facebook)
6- Ce qui n'est pas tout à fait juste, en vérité, compte
tenu de toutes les fractions qui soutiennent encore la voie
de la lutte armée, que ce soit à Gaza et en Cisjordanie ou
dans les camps de réfugiés des pays frontaliers.
7- Au moment où Israël commettait les massacres de Jénine en
2002, Kofi Annan, alors secrétaire général des Nations
Unies, ne trouve mieux à déclarer que: "nous condamnons
tout excès de
violence"
8- Pour avoir écrit l'article dont ces mots sont extraits
Bruno Guigue qui occupait le poste de sous-préfet a été
démis de sa fonction.
9- Interview d'Olivier Mukuna :
http://afiavi.free.fr/e_magazine/spip.php?article1337
10- NPA (Nouveau
Parti anticapitaliste).
11- Souhail Chichah a été menacé à plusieurs reprises de
mort et a été agressé au couteau alors qu'il sortait de son
domicile.
Liens externes:
- La pétition de soutien à Souhail Chiha et Marc Van Damme
-Témoignage
de Serge Grossvak en vue du procès contre Alima Boumédiene
et Omar Slaouti pour leur participation à une action de
boycott de produits israéliens
-
Demande de comparution - par Jean-Guy Greilsamer
-
Passion sioniste à l'ULB - par Aurore Van Opstal
Article publié sur le blog d'Ahmed Amri
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