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Syrie: La
porte-parole du CNS admire "Israël"
Mardi 21 février 2012
IRIB-Ce n'est plus secert que
certains membres de la soi-disant
"opposition syrienne", notamment du
Conseil National Syrien (CNS), aient des
attitudes positives à l'égard de
l'ennemi sioniste.
Cependant, la porte-parole du conseil,
D. Bassma Kodmani est allée au-delà de
toutes les limites en expimant son
admiration pour « Israël » et les
Israéliens.
« Les Arabes ont pressement besoin
d’Israël à leur côté », a-t-elle affirmé
lors d’un débat télévisé d’une heure et
demi avaient eu lieu sur une chaine
française en l’an 2008, en marge d’un
salon des livres israéliens organisée en
France et boycotté par les auteurs et
les militants qui soutiennent la cause
palestinienne.
Cette chercheuse au CNRS qui vit en
France depuis 1968 était la seule
invitée arabe sur le plateau de «
Bibliothèque Médicis » et tous les
auteurs étaient israéliens ou juifs
pro-israéliens. (Orly Castel-Bloom,
Sylvie Cohen, Mikhal Govrin, Théo Klein,
- ancien chef du Crif- Laurence
Sendrowicz, Monique Canto-Sperber). Les
livres exposés étaient tous en hébreux.
De même, Kodmani s’était emballée
avec les autres intervenants dans la
condamnation de boycott du salon du
livre israélien. Elle y a également
critiqué la culture islamique, estimant
que les Arabes « ont besoin de parler
d’une autre culture qui ne parle pas du
Coran sans cesse », ce qui devrait selon
le contexte justifier la présence
d’Israël parmi eux ( !)
Et de signaler qu’elle s’intéresse et
se sent plus à l’aise lorsqu’elle parle
avec un interlocuteur israélien qu’avec
quelqu’un qui lui ressemble ».
Critiquant la montée en force des partis
islamistes dans le monde arabe, elle a
insisté pour minimiser leur importance.
« Nous avons des sociétés civiles
démocratiques qui n’ont aucun lien avec
l’Islam », a-t-elle ajouté.
A cet égard, elle raconte l’histoire
d’une rencontre entre son fils (de père
palestinien, lors d’un voyage
semble-t-il en Palestine occupée) et le
fils d’un colon israélien lequel a pris
l’initiative de lui demander s’il
voulait la paix entre les Juifs et les
Palestiniens, qualifiant ce moment « de
grande émotion ».
Interrogée sur ce débat télévisé,
Kodmani a accusé ceux qui l’ont mis sur
la toile d’être proche du régime syrien
et d’avoir déformé le contenu de son
intervention.
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Reçu de l'IRIB le 21 février 2012 pour
publication
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