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Rapport

Des milliers d’élèves palestiniens seraient au bord
du gouffre avec l’avenir incertain de l’UNRWA !

CPI


Photo : CPI

Samedi 3 février 2018

Naplouse – CPI

Dans le camp de réfugiés de Balatta, à l’est de la ville de Naplouse, environ 3500 filles et garçons palestiniens sont élèves des écoles de l’UNRWA. Ils souffrent de l’occupation sioniste, une occupation lourde depuis plus de 70 ans, et les restrictions desquelles souffrent désormais et l’agence et l’éducation.

Les familles et différentes institutions essaient de donner un peu de lumière aux enfants du camp, un peu d’espoir, de les encourager à aller à l’école, de lutter contre l’absentéisme.

A noter que Balatta est un des plus vastes camps de la Cisjordanie, avec ses 27000 réfugiés palestiniens dont la plupart sont originaires de la ville de Jaffa, à l’intérieur des territoires palestiniens occupés en 1948. 

Services dans l’éducation

Farid al-Mismi, directeur d’une école dans le camp de Balatta. Selon lui, le camp contient plusieurs instituts publics et privés, plusieurs associations. Elles offrent leurs services dans plusieurs domaines : éducatif, social, culturel.

Quatre écoles élémentaires, appartenant à l’UNRWA, servent quelque 3500 élèves.

Le problème de l’UNRWA

Les écoles du camp souffrent de ces nouvelles restrictions, dit Imad Achtwi. L’UNRWA a déjà licencié huit instituteurs d’une seule école.

Et les écoles souffrent d’un nombre trop élevé d’élèves, d’un manque de cour de récréation et de lieux pour des activités extrascolaires, confirme al-Missimi.

Tous ces problèmes poussent les élèves à l’absentéisme et au décrochage. Et l’absence d’autres choix aggrave le problème. 

Besoin de soutien 

Les différents instituts du camp ne peuvent pour leur part couvrir une grande partie des activités dont les élèves ont besoin. Le nombre de ces derniers est élevé, peu élevé est cependant le nombre des instituts.

Pour améliorer le niveau d’éducation, al-Missimi appelle surtout à mettre en place des écoles professionnelles bien variées destinées à ces élèves en situation de décrochage scolaire et ceux dont le niveau est bas, afin de les préparer à un métier et à une vie digne.

Pour sa part, Fayez Arafat, directeur du centre culturel de Jaffa, souligne que son centre offre différentes activités pour les élèves, activités que les écoles n’offrent pas ou peu. Les camps d’été, le travail associatif, les cours de soutien scolaire en font partie.

Copyright © 2018 Le Centre Palestinien D'Information

 

 

   

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Source : Centre Palestinien d'Information
https://french.palinfo.com/...

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