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EODE THINK TANK

Les médias occidentaux et ʽStratforʼ confirment mes analyses. Trump ce sera le militarisme et la guerre !

Luc Michel

Samedi 28 janvier 2017

Luc MICHEL pour EODE Think Tank/ 
Géopolitique/ 2017 01 27/

“Washington's Cold War Containment Strategy Is Alive and Well, and more”
- Stratfor (23 janvier 2017).

# I – LA FAILLITE DE LA “GEOPOLITIQUE DE L’EMOTION”

Je n’ai de cesse de mettre en garde les naïfs contre la « géopolitique de l’émotion », qui est tout sauf de la Géopolitique, et contre ceux qui croient aux fausses analyses à courte vue. Croire en particulier aux discours électoraux de Trump, opportuniste style girouette par grand vent, c’est se tromper soi-même lourdement. La Géopolitique de l’émotion c’est çà, un discours, une élection, un coup de poker politique et on croit que le monde change. A tord. Pour comprendre il faut connaître l’Histoire sur le long terme, savoir que chaque Géopolitique, dont celle vue de Washington, repose sur des fondamentaux intangibles (où c’est le suicide géopolitique, du style de la Perestroika de Gorbatchev), savoir quels sont les réseaux derrière l’Homme.

C’est sur base d’une telle analyse que j’avais déjà exposé ce que serait en réalité la présidence d’Obama, dès le jour de son élection. Là aussi les nerfs des analystes avaient lâché. Quel enthousiasme, même Kadhafi s’était laissé prendre au piège de ce métis cornaqué par le géopoliticien Brzezinski (Le Grand Echiquier) et le milliardaire spéculateur Söros (les « révolutions de couleur »).

* Relisez- moi (8 ans après mon article de 2008 vaut aujourd’hui bilan de la présidence Obama) :
Obama disparait dans les poubelles de l’Histoire / il reste peu de chose de l’imposture Obama façonnée par Söros et Brzezinski en 2008 …
sur http://www.lucmichel.net/2017/01/11/lucmichel-net-obama-disparait-dans-les-poubelles-de-lhistoire-il-reste-peu-de-chose-de-limposture-obama-faconnee-par-soros-et-brzezinski-en-2009/

DERRIERE TRUMP LA FRACTION LA PLUS DURE DE L’OLIGARCHIE AMERICAINE 

Dès novembre dernier, j’annonçais ce que serait vraiment la présidence Trump, parce que je savais qui était derrière Trump :

- les milieux radicaux de l’Armée et du Lobby militaro-industriel, 
- le cœur du pouvoir WASP (White Anglo-Saxon Protestants, cette oligarchie qui domine les USA depuis sa fondation) lassé des projets globalistes démocrates et effrayé du changement de population aux USA avec les Latinos (c’est dans les analyses de Friedman le patron de Stratfor),
- le lobby pro-israélien AIPAC (le plus puissant des lobbies aux USA), 
- les marchands d’armes et l’industrie militaire (la course aux armements était dans le programme de Trump, dont l’augmentation de 25% de l’US Navy),
- le lobby des pétroliers, lancé dans l’exploitation du pétrole et du gaz de schiste (au prix d’un désastre écologique), ne voulant que les USA cesse d’exporter leurs hydrocarbures (depuis 2015 les USA sont redevenus exportateurs), derrière le climatosceptique Trump,
- les réseaux et les idéologues du Think Tank Stratfor (lisez Friedman dans ses livres et vous aurez des idées de l’idéologie de la présidence Trump), ou encore les partisans des théories fascisantes de Samuel Hunttington (« le choc des civlisations », mais aussi « le remplacement des populations »),
- les réseaux influents de la droite dure, nostalgiques de Reagan et de Bush II …
- et cerise sur le gâteau conservateur, son conseiller sorti de sa retraite (mais pour celui qui a l’argent, l’âge n’est plus un naufrage), le sulfureux et influent Henry Kissinger, le « Richelieu américain », l’homme qui a été précisément le mentor de Brzezinski …

* Lire mon analyse de 2016 pour EODE THINK TANK :
La présidence Trump : vers un nouveau stade de l’impérialisme américain … 
sur http://www.eode.org/eode-think-tank-la-presidence-trump-vers-un-nouveau-stade-de-limperialisme-americain/
et :
La présidence Trump (II) : qu’annonce déja la future politique étrangère de Trump ?
sur http://www.eode.org/eode-think-tank-la-presidence-trump-ii-quannonce-deja-la-future-politique-entrangere-de-trump/ 

« TRUMP ANTI-ESTABLISHMENT » ?

Loin d’être un accident politique lancé contre l’Establishment, Trump est le produit d’un scénario politico-idéologique, supporté par cette fraction de l’oligarchie américaine qui croit qu’elle peut encore inverser l’Histoire. Et les analystes naïfs, en Russie, au FN français, ou encore en Afrique, qui ont décrit (et espéré) Trump comme « l’ennemi de l’establishment » se sont mis le doigt dans l’œil et jusqu’au coude. Comme si un milliardaire wasp pouvait être contre le système qui l’a produit. Il n’y a que des millionnaires comme les Le Pen, jouant aux « tribuns anti-établissement » (sic), pour croire çà. 

LA « FENETRE D’OPPORTUNITE POUR L’AFRIQUE » DEJA BRISEE

Et hélas certains africains. Comme cet éditorialiste (exemple du jour) décrivant « La présidence de Donald Trump: Une fenêtre d’opportunité pour l’Afrique » (sic). Trump serait en « guerre contre l’establishment constitué du complexe sécuritaire-militaro-industriel, les banques, les multinationales, Wall Street, l’infrastructure politique et les medias aux mains d’intérêts financiers ». C’est prendre ses désirs pour argent comptant.  Ce journaliste semblant tout ignorer de ce dont il parle ! 

Trump étant précisément le candidat du Lobby militaro-industriel, ayant mis au pouvoir trois des généraux les plus influents du Pentagone. Du jamais vu, « hier comme aujourd'hui, cela revient à remettre en question la primauté des civils sur les militaires » dit  un expert. Des généraux qui, évidemment, ne casseront pas la machine de l’Africom (œuvre du Pentagone sous Bush II et Obama), ni celle de l’OTAN (le boss du Pentagone, le général ultra-conservateur « Mad dog » Mattis ayant précisément été l’homme qui a intégré à la « nouvelle OTAN » les armées des nouveaux pays de la Mittel-Europa). La « fenêtre d’opportunité » a déjà ses vitres brisées !

Quant à l’« affrontement qui ferait rage entre le camp Trump et le système politico-financier », rappelons que les foules lancées contre Trump dans les rues ont un chef d’orchestre, Söros précisément, avec sa « Purple Revolution » (1). Et que Söros est haït de tout Wall-Street depuis son essai précédent de « révolution de couleur » aux USA : le mouvement « Occupy Wall-Street » lors de la « crise des subprimes » …

Concluons sur l’analyse, sérieuse, du VIF-L’EXPRESS (2) : « Non moins renversante est la composition de son administration : beaucoup de milliardaires, peu de femmes et, surtout, un nombre record de généraux. Jamais, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la direction du pays n'avait compté tant de militaires à des postes si élevés (…) Trump a en tout cas promu trois " durs à cuire ", tous vétérans des théâtres d'opérations des dernières décennies, qu'il s'agisse de l'invasion de la Grenade (1983), de l'intervention en Afghanistan (2001-2014) ou des deux guerres d'Irak (1991 et 2003) ».

TRUMP : LES GENERAUX AU POUVOIR !

Depuis quelques jours, les médias occidentaux sérieux (pas ceux qui obéissent à la « voix de leur maître » en soutenant la « Purple Revolution » comme Libération) donnent raison à mes analyses. Ce jour LE VIF-L’EXPRESS (l’édition belge de l’hebdo parisien) titre sur « Trump. Les généraux au pouvoir » (3) : « Fasciné par les hommes d'action, Donald Trump s'entoure d'un trio de hauts gradés plus habitués aux champs de bataille qu'aux finesses politiques. Un mélange détonant, qui pourrait annoncer des surprises ». Ces hommes qui forment le noyau dur du nouveau régime Trump et dont je vous parle depuis novembre 2016, issu du « club de 120 généraux et amiraux » (le cœur précisément de l’Establishment militaire) qui ont porté sa candidature !

Qui sont-ils ?
« Voici les généraux (à la retraite) des marines James Mattis et John F. Kelly désignés le premier à la tête du Pentagone, le deuxième aux commandes du Department of Homeland Security (ministère de la Sécurité intérieure). Quant au lieutenant général Michael T. Flynn, issu des rangs de l'US Army, il est propulsé au poste hautement stratégique de conseiller à la sécurité nationale auprès du président. Sans oublier deux autres nouveaux arrivants à la Maison-Blanche : le sulfureux et droitier Steve Bannon, qui a servi dans les années 1980 dans l'US Navy, et Keith Kellogg, un vétéran du Vietnam désormais sous les ordres de Flynn. Bref, l'entourage de Trump ne manque pas de testostérone. Or, chacun de ces hommes exprime des priorités différentes. Flynn pense à Daech du matin au soir, mais Kelly estime que la principale menace vient des organisations criminelles d'Amérique centrale, susceptibles, selon lui, de faire un jour la " jonction " avec le terrorisme islamiste », analyse encore l’hebdo bruxellois. Qui sur cette dernière info, ne semble pas savoir que ce scénario est directement tiré d’un roman « géopolitique » de Tom Clancy, notre général ayant sans doute pris cette uchronie à suspense pour argent comptant …

Qui est leur boss « Mad Dog » Mattis ?
Anti-arabe et islamophobe obsessionnel, « d'un point de vue stratégique, Mattis (4) préconise la plus grande fermeté à l'égard de l'Iran. Il était dans un tel désaccord avec l'administration Obama, obstinée à conclure un accord nucléaire avec Téhéran, qu'il a opté pour la retraite en 2013 ». « Surnommé " Mad Dog " (Chien fou) en dépit d'un caractère pondéré, James Mattis est l'homme qui, parmi tant de faits d'armes, est entré dans Bagdad à la tête de la 1re division des marines en 2003 avant de remporter les deux batailles de Falloujah. Célèbre pour ses aphorismes (" Soyez polis, soyez professionnels, mais soyez prêts à descendre tout le monde " ; " Utilisez votre cerveau avant votre arme " ; " Au fond, c'est chouette de buter des mecs qui tabassent leur femme parce qu'elles refusent le voile ") » … 
Et partisan de la tristement fameuse « Doctrine de la guerre révolutionnaire » (en fait contre-révolutionnaire) des colonels français d’Indochine et d’Algérie, qui a dirigé les guerres d’Algérie (1956-1962) et du Cameroun (1958-1967) (5) dans des impasses sanglantes.

# II – LES FONDEMENTS DE LA GEOPOLITIQUE S’IMPOSENT ET CONTINUERONT A S’IMPOSER 

La « géopolitique de l’émotion » a conduit à l’annonce de « tournants géopolitiques » fantasmés, annonçant « une alliance Poutine-Trump » ou « la dissolution de l’OTAN. C’est oublier que la Géopolitique américaine, comme celle de la confrontation Russie-USA, reposent sur des fondamentaux (6).

LES FONDEMENTS DE LA GEOPOLITIQUE AMERICAINE ET L’INFLUENCE DE STRATFOR SUR TRUMP 

Relire le livre « The next hundreds years » de Georges Friedman, le patron de Stratfor  (où on trouve de nombreuses thématiques reprises par Trump, notamment la théorie du « remplacement de population » qui explique le tropisme anti-lations et anti-mexicain du nouveau président) …

On reste là dans les fondamentaux de la Géopolitique américaine, cette géopolitique « vue des USA », celle de Brzezinski, qui s'exprime dans les analyses du Think Tank Stratfor. Et plus encore celle du mentor du géopoliticien américano-polonais Kissinger. Car si Söros et Brzezinski étaient en embuscade dès la campagne d’Obama en 2008, c’est bien le vieux Kissinger qui est derrière Trump. Et notamment son équipe de généraux et d’amiraux revenus aux affaires à Washington (7).

“WASHINGTON'S COLD WAR CONTAINMENT STRATEGY IS ALIVE AND WELL, AND MORE” (STRAFOR)

Et précisément cette semaine, le très influent Think Tank STRATFOR, proche du lobby militaro industriel, publie une analyse prévisionnelle qui dit, comme moi, que l’amitié Trump-Poutine est une impossibilité pour la Géopolitique américaine sous le titre explicite « La stratégie de Washington  du ‘Containment’ de la Guerre froide est bien vivante et plus encore » (8) !

Que dit Stratfor ?
« Avec le changement de direction viendront des ajustements aux relations de Washington avec d'autres pays - peut-être surtout la Russie. Au cours de sa campagne, Trump a souligné la nécessité d'une plus grande coopération avec la Russie dans le conflit syrien. La rhétorique de la campagne ne correspond pas toujours à l'action prise une fois au pouvoir, surtout quand il s'agit de politiques enracinées dans les réalités géopolitiques. L'influence de Trump ne peut aller que jusqu'à maintenant dans la direction du navire de l'état moscovite (…) Il y a un nouveau président américain, mais la politique de Washington de ‘containment’ de la Russie est encore très puissante. »

Stratfor ajoute que « L'un des plus grands impératifs géopolitiques des Etats-Unis est d'empêcher la montée des hégémonies régionales ayant la capacité de la défier. La domination historique de la Russie sur l'Eurasie, la montée de l'Union Soviétique en tant que superpuissance après la Seconde Guerre mondiale et sa rivalité politique, économique et militaire avec les États-Unis ont longtemps fait l'objet des actions de Washington à l'étranger. Mais le déclenchement de la guerre froide et l'expansion du pouvoir soviétique - elle-même une conséquence des impératifs stratégiques de la Russie pour protéger son cœur contre l'invasion - ont donné lieu à une stratégie des États-Unis, connue sous le nom de confinement (containment). La politique, soutenue par le diplomate américain George F. Kennan (…)
Même après la disparition de l'Union soviétique, les États-Unis ont continué à appliquer la notion de confinement à la Fédération de Russie nouvellement formée. Bien que la Russie n'ait plus adhéré à une idéologie communiste ou ait posé un défi mondial aux États-Unis, elle conserve encore des ressources démographiques, économiques et militaires considérables. Ceux-ci, ainsi que son emplacement, ont placé la Russie pour ressusciter comme une formidable puissance régionale. En partie pour tenter d'empêcher sa résurgence, les États-Unis ont soutenu l'expansion de l'OTAN et de l'Union européenne dans l'ancien bloc de l'Est dans les années 1990 et au début des années 2000, malgré la faiblesse de la Russie. Pourtant, en 2008, lorsque l'OTAN s'est engagée à élargir son appartenance à d'anciennes républiques soviétiques situées à proximité du centre russe, comme l'Ukraine et la Géorgie, la Russie avait récupéré une grande partie de sa puissance économique et militaire. » 

Le chemin était pavé pour une nouvelle guerre froide et une nouvelle politique américaine de « containment » (sanctions, militarisations des frontières russes par l’OTAN, confrontations locales). Il conduisait aux crises de Crimée (annexée à la Russie) et de Syrie (intervention militaire russe) et à un des fondamentaux de la Géopolitique russe en Méditerranée et Mer noire : l’Axe géostratégique Sébastopol-Levant (Tartous).

Que prévoit Stratfor ?
« - La région qui englobe la Russie et les anciens États soviétiques sera au centre de la politique étrangère du président américain Donald Trump.  - La nouvelle administration pourrait ajuster l'approche de Washington à l'égard des sanctions contre la Russie, la coopération avec Moscou en Syrie et le soutien aux États dans les zones frontalières européennes.
- Néanmoins, l'impératif stratégique des États-Unis de contenir la Russie ne changera probablement pas, limitant ainsi les chances pour les deux États de conclure un grand marché. » 

LE ROLE CENTRAL DU GENERAL MATTIS ET DU SECRETAIRE D’ETAT TILLERSON DANS LA PRESIDENCE TRUMP 

Stratfor rappelle opportunément que « les mots de la réthorique de Trump ne sont pas les seuls indicateurs de la forme que la politique étrangère des États-Unis en Eurasie pourrait prendre dans les années à venir. Il ya aussi la composition du Cabinet entrant, en particulier les positions relatives à la politique étrangère, à considérer. Dans leur témoignage au Congrès, le secrétaire d'Etat désigné Rex Tillerson et le secrétaire de la Défense James Mattis ont épousé des lignes plus dures envers la Russie que Trump lui-même a proposé ». 

A noter que Tillerson est présenté par nos « analystes de l’émotion » (et aussi dans la presse russophobe occidentale) comme « un ami de Poutine ». Souhaitons au président russe de ne pas avoir trop d’amis de ce genre. « Tillerson, qui a des décennies d'expérience dans le traitement de la Russie en tant qu'ancien PDG d'ExxonMobil, a déclaré aux sénateurs que «nos alliés de l'OTAN ont raison d'être alarmés par une résurgence de la Russie» et a critiqué l'administration Obama d'être trop douce à Moscou » précise Stratfor. Mattis, quant à lui, a dit « qu'il soutenait une présence militaire des États-Unis dans les pays baltes » et a sabré la Russie « pour avoir tenté de briser l'OTAN » !

LUC MICHEL / EODE THINK TANK

NOTES ET RENVOIS :

(1) Cfr EODE/ OBSERVATOIRE DES REVOLUTIONS DE COULEUR, TRUMP DEFINITIVEMENT ELU : 1er ROUND PERDU POUR LA ‘PURPLE REVOLUTION » DES SOROS-CLINTON-OBAMA …
sur http://www.eode.org/eode-observatoire-des-revolutions-de-couleur-trump-definitivement-elu-1er-round-perdu-pour-la-purple-revolution-des-soros-clinton-obama/ 
Et :
Sur la « Purple revolution » voir la série de 4 videos diffusée sur PCN-TV/
SOROS’S ‘PURPLE REVOLUTION’ I – II – III et IV sur :
https://vimeo.com/197115472 , https://vimeo.com/197116844 , https://vimeo.com/197329522 , https://vimeo.com/197330996 

(2) et (3) « TRUMP : LES GÉNÉRAUX AU POUVOIR », LE VIF-L’EXPRESS, Bruxelles, 27 janvier 2017. 

(4) Luc MICHEL, « RUMP ANNONCE LA COULEUR : LE GENERAL ‘MAD DOG’ MATTIS A LA TETE DU PENTAGONE !, 
sur http://www.lucmichel.net/2016/12/04/lucmichel-net-trump-annonce-la-couleur-le-general-mad-dog-mattis-a-la-tete-du-pentagone/  

(5) Cfr. Manuel DOMERGUE, Jacob TATSITSA et Thomas DELTOMBE, KAMERUN! UNE GUERRE CACHÉE AUX ORIGINES DE LA FRANÇAFRIQUE (1948 - 1971), La Découverte, Paris, 2011.

(6) Luc MICHEL, LA GEOPOLITIQUE VUE DES USA/ LA GEOPOLITIQUE AMERICAINE DERRIERE LE SHOW TELEVISE : QUE RESTERA-T-IL DU BARNUM MEDIATIQUE DE TRUMP DANS QUELQUES MOIS ?
sur http://www.eode.org/eode-la-geopolitique-vue-des-usa-la-geopolitique-americaine-derriere-le-show-televise-que-restera-t-il-du-barnum-mediatique-de-trump-dans-quelques-mois/ 

(7) Cfr. Luc MICHEL, EODE THINK TANK, LA GEOPOLITIQUE VUE DES USA : LES ANALYSES GEOPOLITIQUES ET GEOSTRATEGIQUES DE “STRATFOR INTELLIGENCE” SUR EODE
sur http://www.eode.org/eode-think-tank-la-geopolitique-vue-des-usa-les-analyses-geopolitiques-et-geostrategiques-de-stratfor-intelligence-sur-eode/ 

(8) STRATFOR, “WASHINGTON'S COLD WAR CONTAINMENT STRATEGY IS ALIVE AND WELL, AND MORE”, 23 janvier 2017.
(extraits traduits de l’anglais par mes soins).

 

 

   

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Source: Luc Michel

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