Celui que ses
fans africain appellent "le rhinocéros
de la géopolitique mondiale" fonce droit
devant sur les plumitifs de Libération.
Explication de cette charge …
Le 2 août, Luc
MICHEL est en tournée politique au
Canada, en compagnie du conseiller en
communication du président du Burundi,
Willy Nyamitwe, soulevant une campagne
contre la Conférence à laquelle nous
participions à Québec, non seulement
dans la presse canadienne, burundaise
d’opposition (groupusculaire) et
européenne. Mais aussi au niveau de
plusieurs gouvernements de l’OTAN,
Canada, France, etc. paniqués de
l’organisation dans une métropole
atlantiste d’une conférence pro
Bujumbura qui a mobilisé les burundais
derrière leur président. Le Quai
d’Orsay, en pointe contre Bujumbura et
Kinshasa, lâche ses chiens. C’est alors
que l’article de Libé est judicieusement
publié pour appuyer ces attaques. Et que
des diplomates africains sont approchés
et mis en garde !
Derrière cet
article il y a aussi deux hommes.
Le premier, Pierre Benetti, se trouvait
au Burundi en même temps que Luc MICHEL,
faisant le siège du Président Nkurunziza
pour obtenir une interview, refusée.
Interview qui a été accordée à Luc
MICHEL, outre une audience publique et
médiatisée (la seule interview du
Président depuis le printemps 2015). On
comprend son dépit …
Le second, Dominique Albertini (comme
une certaine Françafrique, on trouve
aussi les corses chez Libé), joue au
journaliste sérieux, non politisé : « Il
tranche par le sérieux de ses analyses
et son travail, bien loin des militants
qui se cachent derrière une « expertise
» parfois très orientée politiquement.
Albertini appartient à cette nouvelle
génération de journaliste en charge de
l’extrême droite bien plus « propre sur
elle » que l’ancienne, sans parcours
politique clivé ou engagement criant. »
Fausse impression en tout cas en ce qui
concerne son article contre Luc MICHEL,
malhonnête, injurieux, 200% à charge.
Albertini, comme toute la mouvance
antifa alimentaire franco-belge, liée
aux appareils d’état de l’OTAN, vit du
FN. Livres, passages radio-TV, soutien
médiatiques, carrière. D’autres y
trouvent subventions et petits
arrangements « entre amis ». Moi j’ai
brisé les reins au FN belge, mon but est
la dispaition définitive de ces gens. Et
mon succès dans la Belgique des Années
1991-96 est unique. Là aussi le dépit
(visible chez les clones belges d’Albertini)
est une des explication de la haine et
du « Michel Bashing » …
Au début on
hausse les épaules devant les
médiamensonges des petits Goebbels des
médias de l’OTAN style Libé. Et puis on
voit la méthode : quelques jours après
apparait une nouvelle version de ma
« fausse bio » sur Wikipedia, où Libé
sert de référencer. Son article étant
lui-même sourcé sur wikipedia, on
appelle çà un cercle vicieux. Répondre
devient alors un geste d’hygiène !
Avant de
laisser la parole à Luc MICHEL, on
notera encore l’incohérence de la
méthode de Libé : deux grandes pages
couleur pour un homme présenté comme
« sans influence » … Qui en Afrique a
l’oreille de plusieurs présidents et est
un grand succès médiatique …
KH / PCN-SPO
# DROIT DE
REPONSE DE LUC MICHEL, PRESIDENT DU PCN
ET PRESIDENT DE PANAFRICOM, ADRESSE A
‘LIBERATION’ (PARIS)
Mise en cause
par le journal LIBERATION dans un
article intitulé « Fachosphère
d'influence », publié le 02 août 2016,
et également publié sur votre Site, Luc
MICHEL, président du PCN et président de
PANAFRICOM, tient à apporter les
rectifications et précisions suivantes :
« QUAI DES
BRUMES »
Puisque vous
aimez les titres à clefs, je vous
suggère plutôt que « Fachosphère
d'influence » d'intituler cet article
« Quai des Brumes ». Ce qui aurait le
mérite de préciser les commanditaires et
le but de cette charge violente, qui
vise à jeter un écran de fumée sur ma
vie et ma véritable action. Vous noterez
que postérieurement à votre article,
l’un des auteurs a publié un livre qui
s'intitule précisément « La Fachosphère »
et, bien qu’il cite à plusieurs reprises
non seulement des Français mais des
Belges dans celui-ci, je n'y suis pas
mentionné et pour cause, je n'appartiens
absolument pas à cette soi-disant « fachosphère »
et n’y ai aucun contact.
Vous parlez à
un moment donné de « flou », mais la
seule chose qui est floue dans votre
article, c'est votre déontologie. Il
faut souligner le moment choisi pour la
publication de cet article. Puisque
c'est précisément au moment où ma visite
au Canada, en compagnie du conseiller en
communication du président du Burundi,
Willy Nyamitwe, soulevait une campagne
contre la Conférence à laquelle nous
participions à Québec, non seulement
dans la presse canadienne, burundaise et
européenne, mais aussi au niveau de
plusieurs gouvernements de l’OTAN
(paniqués de l’organisation dans une
métropole atlantiste d’une conférence
pro Bujumbura), que votre article était
judicieusement publié pour appuyer ces
attaques.
Il faut enfin
voir dans l’aigreur de votre article
celle d’un de ses auteurs, Pierre
Benetti qui se trouvait au Burundi en
même temps que moi, faisant le siège du
Président Nkurunziza pour obtenir une
interview, refusée. Interview qui m’a
été accordée (la seule du Président
depuis le printemps 2015) …
DIABOLISATION
L'article ne
cherche absolument pas à faire mon
portrait, mais vise à me nuire. Il
utilise une série de termes insultants
qui révèlent votre volonté de nuisance
: « personnage baroque », « fêlé »,
« mégalomaniaque », « s'étant fait des
ennemis partout », « un peu fou », etc …
Termes insultants provenant tous
d'adversaires politiques ou médiatiques.
Vous mettez en
outre en doute ma probité, laissant
entendre que j'aurais été « arrosé par
la Libye » (sic) et encore que les
motivations de mon appui au Burundi
seraient « vénales » (resic). Je vous
mets au défi, et dans la ligne stricte
des jurisprudences belges et françaises
en matière de diffamation, d'apporter la
moindre preuve de ce que vous avancez
fort légèrement, le moindre document. Je
n’ai pas l’avidité de la gauche-caviar
pour le fric-roi, qui vous obsède !
LE BAL DES
FAUX TEMOINS ET LA CHARGE DE MES ENNEMIS
POLITIQUES
Pour mener ces
attaques en dessous de la ceinture, vous
utilisez une collection effarante de
faux témoins, anonymes, sans doute
inventés pour la plupart : « un homme
ayant fréquenté la mouvance nationale
révolutionnaire », « un ex-membre du
PCN », « un ancien de la mouvance PCN »,
« une source proche du CNDD-FDD »,
« plusieurs observateurs » … Cette
collection de témoignages ne reposant
pas sur un seul document ou autre
élément sérieux, est en outre appuyée
par les témoignages de journalistes qui
figurent non pas parmi ceux qui ont
suivi sérieusement mon long parcours
mais par des adversaires politiques.
* Le premier
est Manuel Abramowitz, qui a écrit tout
et son contraire sur moi et le PCN
depuis de nombreuses années, mais ne m’a
pas rencontré depuis quinze ans,
réussissant au moment du Référendum de
Crimée à émettre deux opinions
rigoureusement opposées sur moi le même
jour, dans un journal flamand et dans un
journal tchèque. M. Abramowitz est un
militant sioniste (il a été notamment
candidat du parti israélien MAPAM) alors
que moi j'ai commencé ma carrière
politique dans la mouvance
pro-Palestinienne en 1972 et que je
reste un partisan résolu de la juste
cause des Palestiniens. Abramowitz a
longtemps été employé par le « Centre
pour l'Egalité des Chances », un
organisme belge dépendant directement
des services du Premier Ministre belge
alors que moi je suis partisan de la
disparition du non-état belgicain (Je
suis ce que l'on appelle un
« rattachiste », partisan du retour de
Bruxelles et de la Wallonie à la
France). Abramowicz loin d'être un
journaliste sérieux a notamment été
condamné au pénal par les juridictions
belges (61e Chambre
correctionnelle du Tribunal de
Bruxelles, 20 mai 2014) pour des
méthodes non-compatibles et
inacceptables dans le cadre de la
déontologie journalistique.
* A la fin de
votre article, vous donnez cette fois la
parole à un journaliste Burundais
Innocent Muhozi, qui fait partie de ces
Burundais qui ce sont réfugiés et sont
protégés par le régime de Kagamé, et qui
combattent à côté du principal ennemi de
leur pays. Ceci dit ce que vaut cette
caution à votre article.
VENONS-EN A LA
QUIRIELLE D’ASSERTIONS INEXACTES ME
CONCERNANT DANS VOTRE ARTICLE :
Je ne suis pas
un « militant néonazi » et n’ai jamais
appartenu, ni comme dirigeant, ni comme
cadre ou membre, à l’organisation
française mentionnée abusivement par
Wikipedia. Ma soi-disant « biographie »
sur Wikipedia (et ses clones
d’extrême-droite), qui a été rédigée
pour me nuire et me déconsidérer par mes
adversaires politiques, liés aux polices
politiques de l’OTAN, comporte des
éléments inexacts et, mensonge par
omission, dissimule une grande partie de
mon parcours politique réel. Je vous met
aussi au défi de produire un seul de mes
nombreux écrits (j’ai publié plus de
16.000 éditoriaux depuis 1983) qui soit
en faveur du Nazisme.
Les faits
dissimulés par Wikipedia sont les
suivants :
* Le PCN n’est
pas un « parti d’extrême-droite » et
encore moins « néonazi ». Accusation
insultante proférée par nos adversaires
politiques, en particulier au sein de
l’appareil d’état belge. Les
observateurs sérieux le constatent tous.
Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU
CRISP (n° 1598-1599. 1998), revue
scientifique belge de sciences
politiques - la référence en Belgique
nous a-t-on dit à l’ULB - écrivait sur
le PCN en 1999 ce qui suit : « Le
programme et les actions du PCN sont en
opposition avec les thèses racistes des
formations d'extrême droite classiques.
Ce parti se revendique du
"Communautarisme européen" et est
constitué, selon un document interne, de
7 tendances politiques (nationale-boIchévique,
léniniste européenne, syndicaliste
révolutionnaire,
nationale-révolutionnaire, vert
radicale, socialiste radicale et
démocrate européenne) ».
François Heinderyckx professeur à
L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de
L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES,
classait le PCN à l’occasion des
élections européennes de 1999 et sur
base de son programme parmi la « gauche
révolutionnaire » (Dossier spécial
Elections 1999, analyse des campagnes,
consulté sur le site internet d’INFONIE,
Belgique).
A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD
REPORT 1993, publié à Jérusalem par
l’Institute of Jewish Studies, dans son
édition anglaise, si il reproche au PCN
son antisionisme, précise que "The PCN
is not a far-right organisation".
* Je dirige
depuis plus de 20 ans le COLLECTIF
ANTINAZI « EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en
référence à la Résistance allemande
antinazie), qui combat précisément le
néonazisme et le racisme. J’ai été
l’adversaire principal du Front National
en Belgique, à qui j’ai brisé les reins
en 1994-96 par mes actions politiques et
judiciaires victorieuses devant les
tribunaux belges. Je combat aussi le FN
des Le Pen. En 1998, à l’élection
partielle de Toulon (France) en avril
1998, nous présentions une liste
intitulée : « PCN. LES JEUNES CONTRE LE
PEN ET POUR L’INTERDICTION DU FN ».
Notre Collectif a aussi combattu dans
les pays baltes et en Moldavie pour le
respect des droits des minorités
ethniques, russophones notamment. Et
contre la réhabilitation du nazisme par
les états révisionnistes baltes et
ukrainien.
Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à
recevoir de qui que ce soit !
PANAFRICANISME
Vous signalez
que je fais du président du Burundi
Nkurunziza un panafricaniste.
Effectivement, je lui ai conseillé de
s'affirmer dans cette mouvance. Il est
aujourd'hui, depuis quelques jours, l'un
des hommes les plus populaires parmi la
mouvance panafricaniste et aussi de
nombreux africains pour avoir initié le
départ de la CPI des pays africains – le
Burundi ayant été rejoint par l'Afrique
du Sud et par l'Ouganda – c'est là l'une
des causes principales du
Néopanafricanisme aujourd'hui.
Vous signalez
que l'opposition burundaise m'accuserait
« d'être un néo-nazi ». Vous noterez que
le journal IWACU, qui est le principal
organe de cette opposition et se
présente comme « le dernier media
d'opposition au Burundi », a non
seulement publié deux de mes droits de
réponse concernant ce sujet mais a
purement et simplement retiré ses
articles m’accusant de son site
internet. Cela suffit à démontrer ce que
valent ces affirmations.
JAMAHIRIYAH
LIBYENNE
Vous mettez en
doute les responsabilités que j'ai
exercées en Libye /
* Pour que
l'on comprenne les méthodes que vous
employez, vous prétendez qu'une photo de
moi devant un portrait de Kadhafi serait
un « photo-montage ». Je vous donne ici
le lien d'autres photos où vous
constaterez qu'il s'agit de la dernière
réunion internationale de soutien à la
Libye que j'ai co-organisée avec la
Ministère libyen des Affaires Etrangères
en avril 2011 à Tripoli (sous les bombes
de l'OTAN). Je suis sous un portrait
officiel de Kadhafi lors de ce meeting
international en compagnie du
Vice-Ministre libyen des Affaires
Etrangères, Kaled Kahim :
https://www.facebook.com/ELAC.April.2011.Tripoli.Conference/photos/a.
209271032440825.58139.201781129856482/209271059107489/?type=3&theater
.
Il existe tout
autant de nombreuses preuves sur
internet de mes 20 ans d'activités en
Libye. Notamment de très nombreuses
photos, vidéo, articles de presse. Il
vous aurait suffit de les rechercher.
Mais votre article évidemment ne visait
qu'à m'accuser à charge.
* Je vous
informe que j'ai co-organisé les deux
dernières activités politiques qui ont
eu lieu en Libye :
juste avant
les événements , dans les premiers jours
de février 2011, le « 6e
Forum européen du MEDD-RCM », le réseau
pan-européen du Mouvement des Comités
Révolutionnaires libyens que je
dirigeais.
Et la
« Réunion Internationale de soutien à la
Libye en avril 2011 – Hands off Libya ».
Il en existe
(et je vous en donne les liens) deux
« pages spéciales événement » sur
Facebook avec des centaines de photos et
vidéo. Vous pouvez notamment y voir une
vidéo en arabe où le Ministre Kaled
Kahim me nomme (et ce seront mes
dernières fonctions en Libye
Jamahiriyenne) « président du Forum
international des associations soutenant
la Libye ». Vos lecteurs jugeront de vos
méthodes.
EODE, ONG
NON-ALIGNEE
L’ ONG EODE
n'est nullement « au service d'élections
douteuses ». Voici la liste des
principales missions que nous avons
dirigées : PMR (2006 Réfeéendum),
ABKHAZIE (2007 Législatives), RUSSIE
(2011 Duma), PMR (2011 Présidentielle),
RUSSIE (2012 Présidentielle), ARMENIE
(2013 Législatives), CAMEROUN (2013
Sénatoriales), MADAGASCAR (2013
Présidentielle), UKRAINE (2013
Législatives), CRIMÉE (2014 Referendum),
SYRIE (2014 Présidentielle), DNR/
DONETSK REPUBLIQUE (2014 Législatives),
SOUDAN (2015 Présidentielle), PMR
(2015).
EODE travaille
avec un extrême sérieux, mais est opposé
évidemment aux organismes occidentaux de
monitoring au service de l'OTAN et des
Etats-Unis.
PANAFRICOM
Vous écrivez
que ces « derniers temps », j'aurais
« repris » une activité en Afrique. Mon
parcours politique en Afrique qui a
commencé en 1985, avec précisément la
Libye, n'a jamais évidemment été
interrompu, y compris après la chute de
la Jamahiriya libyenne.
Vous écrivez
aussi que « comme autre fois » je me
serais « rallié au panafricanisme » que
j'aurais substitué au néo-eurasisme.
C'est tout à fait inexact puisque j'ai
toujours eu une activité sur les deux
continents. Et que je mène
parallèlement, en y tenant exactement la
même idéologie et le même discours,
partout cette activité. Mon organisation
internationale est structurée
précisément en deux réseaux eurasien et
panafricain, Lorsque vous m'avez
interrogé longuement sur ce sujet, je
vous avais donné ces précisions que vous
avez omis de porter à la connaissance de
vos lecteurs.
J'en viens aux
raisons de mon voyage dont vous parlez
au Burundi, en RDC et en
Guinée-équatoriale au printemps 2016. Il
faut quand même que vous compreniez
quelque chose, c'est que je suis là, non
pas parce que je dirige le PCN en
Eurasie, mais parce que j'y dirige deux
organisations africaines.
* Tout d'abord
PANAFRICOM, qui est une organisation
panafricaniste présente aujourd'hui dans
18 pays et qui a l'oreille précisément
de ces chefs d'Etats qui voient dans le
panafricanisme une alternative.
PANAFRICOM (PANAFRIcan action and
support COMmittees), défend le « Néopanafricanisme »,
des comités étant présent en Afrique, en
Europe et au Canada. Le SG pour notre
« réseau Afrique », Gilbert NKAMTO, est
camerounais.
* Et aussi
EODE-AFRICA, la branche africaine de
cette ONG.
C’est en tant
que président de PANAFRICOM que j’ai été
reçu par les présidents équato-guinéen
Obiang Nguema Mbassogo (avril 2015),
tchadien Idriss Déby Itno (mars 2016),
burundais Pierre Nkurunziza (mai 2016)
et congolais Joseph Kabila Kabange (mai
2016).
J’ai pris la
parole au nom de PANAFRICOM dans des
réunions internationales consacrées au
« nouveau Panafricanisme » : Colloque
d’Abidjan (à l’Assemblée nationale,
avril 2016), Conférence de Bujumbura
(mai 2016), Café Politique du PPRD (Kinsasha,
mai 2016), Conférence de Québec (juillet
2016).
Parallèlement
à mon action en Europe depuis plus de 30
ans, menée autour du « Néoeurasisme »
(réinventé par ma Revue CONSCIENCE
EUROPEENNE en 1984) (*), j’ai un
parcours panafricain de plus de 25 ans,
commencé en Jamahiriyah libyenne avec le
MCR, et qui m’a conduit à PANAFRICOM.
Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE
MEDIA, où je suis éditorialiste et
producteur d’émissions.
TELEVISIONS
Par ailleurs,
je ne m'exprime pas sur « plusieurs
sites » mais sur de nombreux sites,
notamment de mon Groupe multimedia qui
comprend aussi 5 web-télévisions. Cela
étant dit, mon principal moyen
d'expression, c'est la télévision.
Je suis
producteur d'émissions de géopolitique
(Le Grand Jeu, Grand Reporter, Edition
Spéciale) sur la grande télévision
panafricaine
AFRIQUE MEDIA TV (qui n'est pas
camerounaise , mais une chaîne de droit
équato-guinéen, installée à Malabo, à
Douala, à Yaoundé, à N’Djamena et à
Luanda). Sur AFRIQUE MEDIA TV, outre ces
fonctions de production, j'assure
également des services de communications
(notamment le Groupe officiel sur
Facebook, plus de 105.000 membres,
divers Blogs et Pages officielles) et
surtout je figure comme expert
(notamment pour l'émission Ligne Rouge)
et comme panéliste. Je m'exprime donc
sur AFRIQUE MEDIA TV plus d'une dizaine
de fois par semaine. Et j'y suis
extrêmement populaire auprès de son
public africain. Je m'exprime aussi
régulièrement sur des media d’État
iraniens et russes.
En un mot de
conclusion, votre article me serait
extrêmement préjudiciable (et c’est son
but) si je visais à être un politicien
respectable en Europe occidentale. Mais
je suis un ennemi du Système
radicalement opposé à ce blog
américano-occidental qui n'est que
l'aire de distribution de Coca-Cola et
de Mac Donald. Je combats l'OTAN. Je
combats pour la Cause des Peuples, pour
l’unité de l’Eurasie de Vladivostok à
Reykjavik, pour l’unité panafricaine. Et
pour un Axe géopolitique
Eurasie-Afrique.
Luc MICHEL (25
octobre 2016)
(*) Cfr.
PCN-TIMELINE / IDEOLOGIE / 1984 : LE PCN
REINVENTE L’‘EURASISME’ MODERNE
sur