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Mes analyses et informations confirmées
(1)
Alors que les Occidentaux osent accuser
sans retenue Moscou et Donetsk, tout
accable Kiev dans le crash d'Air
Malaisia !
Luc Michel

Photo:
D.R.
Lundi 21 juillet 2014
Luc MICHEL/ Spotlight /
Avec AFP – Afrique Media TV – EODE-TV -
PCN-SPO/ 2014 07 21/
MES ANALYSES ET INFORMATIONS CONFIRMEES
…
Dans l’Emission spéciale ‘CRASH D’AIR
MALAISIA’ que j’ai produite avec AFRIQUE
MEDIA TV et EODE-TV et qui a été
diffusée pour la première fois ce
vendredi soir (18 juiilet), j’ai soulevé
un certain nombre d’hypothèses sérieuses
et expliqué pourquoi ce n’est pas Moscou
qui fait figure d’accusée – malgré les
cris d’orfraies russophobes des médias
de l’OTAN – mais bien Kiev.
* Voir l’émission complète sur le
Website Vimeo d’EODE-TV :
https://vimeo.com/101242725
Aujourd’hui, les médias occidentaux
découvrent ces hypothèses et un général
de l’Etat-major russe les confirme !
« Crash du vol MH17: un avion militaire
ukrainien près de l'avion malaisien? »
titre l’AFP ce lundi 21 juillet, reprise
par de grands journaux européens comme
La Libre Belgique (Bruxelles) et même
LCI. L’info évidemment devenait chaque
heure davantage plus inévitable …
UN GENERAL DE L'ETAT-MAJOR RUSSE ACCUSE
KIEV !
Un général de haut rang, le chef du
commandement opérationnel de
l'Etat-major général de l'Armée russe,
le Lieutenant-général Kartapolov a en
effet accusé ce lundi « indirectement
Kiev d'avoir abattu le Boeing malaisien
en affirmant qu'un avion de chasse
ukrainien se trouvait à proximité avant
le crash et que des missiles sol-air
étaient positionnés dans la zone ». « On
a observé la montée d'un avion ukrainien
SU-25 en direction du Boeing malaisien
qui se trouvait alors à une distance de
3 à 5 km. Le Su-25 peut atteindre une
altitude de 10.000 mètres. Il dispose de
missiles air-air qui peuvent tirer
jusqu'à 12 km et garantissent la
destruction d'un objectif jusqu'à 5
km », a déclaré le général au cours
d'une conférence de presse à Moscou.
« Nous nous posons la question : dans
quel but un avion de chasse faisait-il
un vol à cette altitude et en même temps
qu'un avion civil ? », a-t-il poursuivi.
Le général, s'appuyant sur des images
satellites difficilement déchiffrables
pour des non-spécialistes, a avancé
d'autres éléments susceptibles d'accuser
les forces ukrainiennes d'avoir abattu
le Boeing qui transportait 298
personnes. Il a assuré que « la Russie
allait transmettre aux experts européens
et malaisiens toutes les informations
dont elle dispose sur le crash de
l'avion malaisien ». « Après Donetsk,
l'avion malaisien a changé de cap, et
s'est écarté de son corridor vers la
gauche jusqu'à 14 km. Il a ensuite tenté
de revenir dans ce corridor, mais n'a
pas réussi à accomplir cette manoeuvre
jusqu'au bout. A 17H20, on a observé une
baisse sensible de sa vitesse et à
17H23, il a disparu des écrans radar des
contrôleurs russes. Question : pourquoi
est-il sorti de son corridor, est-ce une
erreur de pilotage ou un ordre donné par
les aiguilleurs du ciel ukrainiens ? »,
a ajouté le général Kartapolov.
Le général a par ailleurs affirmé que
« des missiles sol-air des forces
ukrainiennes, capables d'abattre une
cible à 35 km de distance, étaient
positionnées non loin de Donetsk le jour
de la catastrophe ». « Pourquoi ces
forces ukrainiennes se trouvaient-elles
à cet endroit et contre qui étaient
dirigées ces armes antiaériennes alors
que tout le monde sait que les
combattants (séparatistes) n'ont pas
d'aviation ? », a-t-il poursuivi.
La Russie a aussi « enregistré une
intensification de l'activité des radars
le jour où le Boeing malaisien s'est
écrasé », a encore annoncé le général
Andreï Kartopolov. Selon le général
Kartopolov, « neuf radars ukrainiens ont
fonctionné le 17 juillet dans la région
où l'avion malaisien est tombé. Le 15
juillet, sept radars ont été en service
dans ce secteur et le 16 juillet il y en
avait huit. Ensuite le nombre des radars
opérationnels n'a cessé de diminuer. A
l'heure actuelle, seuls 2 ou 3 radars
ukrainiens fonctionnent dans cette
région ». « Il reste à établir quelles
sont les raisons de ce regain
d'activité », a ajouté le général.

LES « PREUVES INEXISTANTES » D’OBAMA …
Le général a par ailleurs démenti que la
Russie ait fourni aux insurgés prorusses
des systèmes de missiles Bouk,
soupçonnés d'être à l'origine de
l'accident du vol MH17, comme l'en
accusent Kiev et Washington. Les
Etats-Unis ont déclaré disposer d'images
satellite confirmant que le tir a été
effectué par les combattants
(séparatistes). « Mais personne n'a vu
ces photos », répond le général, qui a
invité les Américains « s'ils disposent
de telles photos » à les montrer à la
communauté internationale …
… ET LES INDICES BIEN REELS DE MOSCOU
Le ministère russe de la Défense a aussi
publié sur son site les photos du crash
du Boeing 777 de Malaysia Airlines
qu'il avait présenté lors d'un
point de presse. Confirmant mon analyse
diffusée sur AFRIQUE MEDIA et où
j’expliquais que Moscou avait en mains
un dossier solide et en savait beaucoup
sur le crash d’Air Malaisia.
Le site du ministère présente aussi des
données photographiques fournies par le
Système unifié de contrôle du trafic
aérien (Centre de Rostov-sur-le-Don),
une carte de déploiement des moyens de
Défense antimissile des forces armées de
l’Ukraine dans la région de Donetsk et
les données statistiques sur le nombre
de stations radar de défense
antiaérienne des forces armées
ukrainiennes dans la zone du crash. Des
photos prises par satellite présentant
le déploiement de différents moyens de
défense antimissile à différentes
périodes de temps sont également
fournies.
Luc MICHEL

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