LUCMICHEL.NET
Campagne de ʽLucmichelbashingʼ à
propos du Burundi et de la RDC (4) : Luc
Michel met les points sur les ʽiʼ avec
ʽIWACUʼ (Burundi) ...
Luc Michel
Vendredi 19 août 2016
# LUCMICHEL. NET/
CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS
DU BURUNDI ET DE LA RDC (4) : LUC MICHEL
MET LES POINTS SUR LES ‘I’ AVEC ‘IWACU’
(BURUNDI) …
PCN-SPO/ 2016 08
11/
https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/
http://www.lucmichel.net/
# I - LES
FAITS : ‘IWACU’ ET LA CAMPAGNE DE
DESTABILISATION CONTRE LUC MICHEL
IWACU est au centre
des attaques contre Luc MICHEL pour le
volet « polémique sur les discussions
d’ARUSHA II » (pas moins de quatre
articles, largement repris dans la
« nouvelle presse africaine », celle de
Sorös). Le ton des articles est contenu.
Mais le Forum joint à chaque article lui
déverse médiamensonges, diffamations et
insultes ah hominem à plein tombereaux.
Une façon maladroite de penser échapper
aux responsabilités éditoriales, un
média étant responsable du contenu de
ses forums et autres courriers de
lecteurs …
IWACU DANS
L’ILLEGALITE !
Antoine Kaburahe,
directeur des publications d’Iwacu, « a
dû s’exiler en Belgique à l’automne
2015. Menacé dans son pays, il continue
de diriger à distance le dernier média
indépendant du Burundi », se vante-t-il
sur son website. Le souci c’est que sur
le même site il s’en dit le Directeur de
publication et donne, comme le requiert
la Loi burundaise, une asresse à
Bujumbura. Le principe de la fonction de
« directeur de publication » (identique
à celle de l’ « éditeur responsable » de
droit belge), c’est précisément d’être
présent sur le territoire où est établi
le média, de pouvoir comparaître en
justice, et, s’il échet, de pouvoir être
condamné.
Réfugié en Belgique, Antoine Kaburahe ne
peut plus donc l’être.
Soit le site reste
de droit burundais et il est dans
l’illégalité. Soit IWACU est de facto
devenu un média établi en Belgique et là
aussi est en défaut. Comme le site du
CNARED, les « opposants burundais »
semble bien légers vis-à-vis de leurs
obligations légales !
MAIS AU FAIT C’EST
QUOI ET QUI ‘IWACU’ ???
IWACU est devenu le
partenaire du MONDE AFRIQUE, directement
sponsorisé par la fondation OSIWA de
Georges Sorös, le financier des «
révolutions de couleur » (1). Pour ceux
qui nous accusent de « complotisme » ! «
Open Society Initiative for West Africa
(OSIWA) est membre du réseau mondial des
Fondations Open Society initiées en 1993
par le milliardaire américain d’origine
hongroise George Soros », explique sans
vergogne le quotidien parisien.
Parmi Les soutiens
d’IWACU, le Parlement belge (l’ancien
mandataire colonial, responsable direct
de la haine ethnique importée au
Burundi). Son directeur Antoine Kaburahe,
qui a pris la nationalité belge, ayant
même obtenu une « subvention du
ministère belge des Affaires étrangères
». Il reconnaît que IWACU « vit sous
perfusion de l’aide étrangère » ! Il
explique aussi que « Mi-novembre (2015),
des convocations du procureur (du
Burundi) pleuvent. Il serait impliqué
dans le coup d’Etat de mai alors qu’il
se trouve en Europe… Comme pour un
vulgaire criminel, le procureur lance un
mandat d’arrêt international et une
demande d’extradition. Depuis, le
directeur du groupe de presse d’Iwacu se
trouve en Europe ».
Le site est aussi
soutenu par la Mairie de Paris et le PS
français (Anne Hidalgo).
On notera à ce sujet que ce sont les
mêmes réseaux du PS et de la
sociale-démocratie franco-belge qui ont
organisé l’opposition équato-guinéenne
fantoche, la CORED (en pleine
décrépitude) (2). Voir la similitude de
sigle (sur le soi-disant «
rétablissement de l’état démocratique »)
entre CORED et CNARED « burundaise » …
(1) Voir mon
interview pour la radio russe :
LUC MICHEL ANALYSE LES RESEAUX
AMERICAINS QUI MANIPULENT LA PRESSE
AFRICAINE / SUR RADIO SPUTNIK (6 JUIN
2015)
Podcast sur
https://vimeo.com/130537885
(2) Lire mon
enquête :
DESTABILISATION DE L’AFRIQUE MADE IN USA
:
COMMENT LA PRESSE AFRICAINE SE FAIT
INTOXIQUER PAR LES ‘SONDAGES’ DES
VITRINES LEGALES DE LA CIA !
Sur
http://www.palestine-solidarite.org/analyses.luc_michel.280515.htm
# II – PREMIER
DROIT DE REPONSE DE LUC MICHEL,
PRESIDENT DU PCN ET DE PANAFRICOM,
ADRESSE AU WEBSITE IWACU
(BURUNDI)
Mis en cause de
manière inacceptable et insultante dans
un article intitulé “Amahoro Burundi :
Le dialogue vecteur de culture de la
paix et de la Réconciliation” (dans les
commentaires) publié sur le Website
IWACU, en date du 13 mai 2016, Luc
MICHEL, président du PCN et de
PANAFRICOM, tient à apporter les
précisions suivantes :
Je suis
grossièrement insulté dans les
commentaires de cet article de « neo
nazi belge » (sic), insulte récurrente
dans vos publications et leurs
commentaires (notamment en date du 6 mai
2015). Je déplore ce ton insultant,
reprise de ragots issus de mes
adversaires politiques les moins malins,
qui vous déconsidère. L’insulte abaisse
toujours l’insulteur ! Elle révèle aussi
l’absence d’arguments sérieux pour
débattre. Rien ne concerne mes
engagements réels. Le
lecteur jugera !
Je ne suis pas un «
militant néonazi » et n’ai jamais
appartenu, ni comme dirigeant, ni comme
cadre ou membre, à l’organisation
française mentionnée abusivement par
Wikipedia. Ma soi-disant « biographie »
sur Wikipedia (et ses clones
d’extrême-droite), qui a été rédigée
pour me nuire et me déconsidérer par mes
adversaires politiques, liés aux polices
politiques de l’OTAN, comporte des
éléments inexacts et, mensonge par
omission, dissimule une grande partie de
mon parcours politique réel. Je vous met
au défi de produire un seul de mes
nombreux écrits (j’ai publié plus de
16.000 éditoriaux depuis 1983) depuis 32
ans qui soit en faveur du Nazisme.
Les faits
dissimulés par Wikipedia sont les
suivants :
* Je dirige depuis
plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI «
EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en référence
à la Résistance allemande antinazie),
qui combat précisément le néonazisme et
le racisme.
J’ai été l’adversaire principal du Front
National en Belgique, à qui j’ai brisé
les reins en 1994-96 par mes actions
politiques et judiciaires victorieuses
devant les tribunaux belges. Je combat
aussi le FN des Le Pen. En 1998, à
l’élection partielle de Toulon (France)
en avril 1998, nous présentions une
liste intitulée : « PCN. LES JEUNES
CONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU
FN ».
Notre Collectif a aussi combattu dans
les pays baltes et en Moldavie pour le
respect des droits des minorités
ethniques, russophones notamment. Et
contre la réhabilitation du nazisme par
les états révisionnistes baltes et
ukrainien.
Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à
recevoir de qui que ce soit !
* Le PCN n’est pas
un « parti d’extrême-droite » et encore
moins « néonazi ». Accusation insultante
proférée par nos adversaires politiques,
en particulier au sein de l’appareil
d’état belge. Les observateurs sérieux
le constatent tous.
Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU
CRISP (n° 1598-1599 . 1998), revue
scientifique belge de sciences
politiques - la référence en Belgique
nous a-t-on dit à l’ULB - écrivait sur
le PCN en 1999 ce qui suit : « Le
programme et les actions du PCN sont en
opposition avec les thèses racistes des
formations d'extrême droite classiques.
Ce parti se revendique du
"Communautarisme européen" et est
constitué, selon un document interne, de
7 tendances politiques (nationale-boIchévique,
léniniste européenne, syndicaliste
révolutionnaire,
nationale-révolutionnaire, vert
radicale, socialiste radicale et
démocrate européenne) ».
François Heinderyckx professeur à
L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de
L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES,
classait le PCN à l’occasion des
élections européennes de 1999 et sur
base de son programme parmi la « gauche
révolutionnaire » (Dossier spécial
Elections 1999, analyse des campagnes,
consulté sur le site internet d’INFONIE,
Belgique).
A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD
REPORT 1993, publié à Jérusalem par
l’Institute of Jewish Studies, dans son
édition anglaise, si il reproche au PCN
son antisionisme, précise que "The PCN
is not a far-right organisation".
* Je dirige une
ORGANISATION PANAFRICANISTE, PANAFRICOM
(PANAFRIcan action and support
COMmittees), qui défend le «
Néopanafricanisme », des comités étant
présent en Afrique, en Europe et au
Canada. Le SG pour notre « réseau
Afrique », Gilbert NKAMTO, est
camerounais.
C’est en tant que président de
PANAFRICOM que j’ai été reçu par les
présidents équato-guinéen Obiang Nguema
Mbassogo (avril 2015), tchadien Idriss
Déby Itno (mars 2016), burundais Pierre
Nkurunziza (mai 2016) et Joseph Kabila
Kabange (mai 2016).
J’ai pris la parole au nom de PANAFRICOM
dans des réunions internationales
consacrées au « nouveau Panafricanisme »
: Colloque d’Abidjan (à l’Assemblée
nationale, avril 2016), Conférence de
Bujumbura (mai 2016), Café Politique du
PPRD (Kinsasha, mai 2015), Conférence de
Québec (juillet 2016).
* Parallèlement à
mon action en Europe depuis plus de 30
ans, menée autour du « Néoeurasisme »
(réinventé par ma Revue CONSCIENCE
EUROPEENNE en 1984), j’ai un parcours
panafricain de plus de 25 ans, commencé
en Jamahiriyah libyenne avec le MCR, et
qui m’a conduit à PANAFRICOM.
Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE
MEDIA, où je suis éditorialiste et
producteur d’émissions de géopolitique
(Grand Reporter, Grand Jeu).
Luc MICHEL (12 août
2016)
PCN-SPO
https://www.facebook.com/Pcn.luc.Michel/
+http://www.lucmichel.net/
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