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Cirque médiatico-politique : ya basta !!!
Luc Michel

Dimanche 23 décembre 2012

L’actu du jour : médias, le cirque Pulvar-Inrocks (1), avec en arrière plan un Matthieu Pigasse, « homme de gauche » (sic), « banquier d’affaires et coactionnaire du Monde », accessoirement ami de BHL et conseiller médias du président Hollande. Bref cloche-merle au cœur de la gauche-caviar.

Passons à la politique française :  le cirque Tapie-Montebourg sur la reprise du groupe Hersant (2). Bref les Atrides au sein de la classe politico-médiatique, entre ex et nouveaux « hommes de gauche » (resic), avec un Tapie, ex ministre de Mitterrand passé par la case prison, remis à flot sur le dos du contribuable français par la droite de Sarkozy et Lagarde.  Car rappelons le c’est avec les centaines de Millions offerts par Sarkozy que le failli Tapie jour aujourd’hui au patron de presse (3) !

Venons en à la culture : un troisième cirque politico-médiatique.
Celui du faux scandale autour du « départ » pour raisons fiscales de l’acteur Depardieu. Et voilà saltimbanques et politicards mobilisés sur une polémique bidon de plus (4) …

Le tout occupe la quasi totalité des Unes et colonnes. Voir, par exemple, Libération de ce samedi.  Avant c’était DSK et Sinclair … Dans une France et une Europe en crise, frappées par un déclin industriel organisé par le FMI, avec la paupérisation de la masse des citoyens, les PRIVILEGIES du Système se regardent le nombril. Indécent !

Le PAF, les mafias du système politico-médiatique, les politicards de tous bords, du show-bizz politisé ou de la politique-spectacle, des médias de l’OTAN et des Trash TV qui véhiculent les immondices yankee, comme disent nos concitoyens québecois, on s’en calisse !

Tapie, Montebourg, Pulvar, Depardieu, Torreton, les saltimbanques et les autres, tous les clowns et les philosophes-bidon de l'état-spectacle, gauche-caviar et droite friquée, tous ces milliardaires et millionnaires de la classe politico-médiatique (des stars de "gauche" aux Le Pen milliardaires), ces presstitutes et ces politicards, tous ces PARASITES qui s’engraissent à tous les étages du Système sur NOTRE dos, qui osent en plus nous donner des leçons et nous faire la morale, YA BASTA !

Allez voir leurs salaires, leurs privilèges, leurs prébendes, leurs cachets ET REGARDEZ vos vies ...
« Jeux de rôle » écrit Libé sans vergogne. Game over, les jeux sont fait pour un Système à bout ce course !

LM

http://www.facebook.com/notes/luc-michel-pcn/-pcn-spo-cirque-mediatico-politique-ya-basta-/529916160361375

(1) http://www.ecrans.fr/Audrey-Pulvar-demissionnee-des,15727.html

(2) http://www.liberation.fr/politiques/2012/12/21/tapie-n-a-plus-envie-d-etre-elu_869454

(3) Retour sur le scandale d’état « Tapie-Lagarde-Sarkozy » : Ce dossier judiciaire concerne l’indemnisation de Bernard Tapie, qui estime avoir été « arnaqué » par le Crédit Lyonnais quand ce dernier a été chargé de vendre Adidas. En 2008, un "tribunal arbitral" avait condamné le Consortium de réalisation (CDR, gérant le passif de la banque) à verser 285 millions d'euros de réparations à Bernard Tapie. Problème : Bernard Tapie aurait probablement reçu moins d’argent si la procédure avait emprunté la voie règlement judiciaire. Or c’est la ministre de l’Economie Christine Lagarde qui a tranché. La polémique sur l'affaire Tapie avait rebondi dès septembre 2010 lorsque Le Canard enchaîné (Paris) avait affirmé que l’ex homme politique et patron de l’OM empocherait effectivement 210 millions d'euros de l'Etat et non entre 20 et 50 millions, comme l'avait assuré deux ans plus tôt la ministre de l'Economie, Christine Lagarde.
D'après un document que s'est procuré l’hebo français Marianne en février 2011, la procédure qui a permis à l'homme d'affaires d'empocher la somme de 220 millions d'euros dans le cadre de l'affaire qui l'opposait au Crédit Lyonnais n'est pas légale.
Christine Lagarde devrait avoir à se défendre de son rôle dans cette affaire. D'après un document que Marianne s'est procuré, la Cour des comptes a ouvert un recours qui remet en cause la procédure par laquelle Bernard Tapie a reçu quelque 220 millions d'euros de la part de l'État en septembre dernier, dans le cadre de l'affaires qui l'opposait au Crédit Lyonnais - alors banque publique - sur la vente d'Adidas en 1993.
Sur le site Internet du journal Marianne, le référé, scanné, est daté du 3 février 2011 et met en avant les «dysfonctionnements caractérisés sur le dossier Tapie/Adidas». Notamment, selon ce document, ce n'était pas à l'État - et donc aux contribuables français- de payer cette somme à l'homme d'affaires, ami de Sarkozy. Pour rappel, lors de cette affaire, un organisme public, baptisé CDR pour Consortium de réalisation, a été créé et chargé de gérer le passif du Crédit Lyonnais. L'Établissement public de financement et de restructuration (EPFR), qui chapeaute le CDR, étant placé sous la tutelle de Bercy. «La rédaction actuelle du protocole (...) ne permet pas de fair bénéficier le Crédit Lyonnais de la garantie du CDR pour les contentieux relatifs au groupe Bernard Tapie», peut-on lire dans le recours.
Ce document a été présenté le 8 février 2011 aux députés de la Commission des Finances. Il a eu «l'effet d'une bombe», relate Marianne. En effet, ces députés ont été écartés dans ce dossier, alors qu'ils auraient du légiférer. Le gouvernement aurait du saisir le Parlement: il a donc un «défaut d'autorisation législative». En réalité, c'est Christine Lagarde qui a elle-même validé la décision: «J'ai examiné tous les aspects juridiques du dossier et en conscience, je l'assume parfaitement, je pense que c'était la bonne décision dans l'interêt de l'Etat», avait-elle dit sur Radio classique en septembre 2011.
En avril 2011, les députés PS – bien oublieux du rôle joué par le PS et Mitterrand dans l’ascension de Tapie - saisissent la justice pour dénoncer la gestion du dossier par Christine Lagarde, en écrivant au procureur général de la Cour de cassation. Leur but ? Saisir la Cour de Justice de la République, afin qu’elle étudie pourquoi le gouvernement a privilégié une procédure discrète et rapide pour mettre fin à l’affaire Tapie/Crédit Lyonnais, en lieu et place d’un règlement judiciaire, jugé plus strict.
Un chèque de 285 millions pour Tapie
  Les socialistes évoquent donc un "faisceau d'indices" qui tend à montrer que les décisions prises "avaient pour objet de favoriser des intérêts particuliers au détriment de l'intérêt public". Des doutes existent en effet à tous les étages de la procédure. Les neuf députés PS dénoncent également un "faux et usage de faux", après avoir lu le rapport d'information rendu public. Dans l'avant-propos de ce rapport, le président PS de la commission des Finances de l'Assemblée, Jérôme Cahuzac, indique que l'ex-homme d'affaires aurait bénéficié d'un ajout de la mention "préjudice moral", synonyme d’indemnisations supplémentaires. Quant au président du consortium de réalisation (gérant le passif du Crédit lyonnais), Jean-François Rocchi, président du CDR, a nié être intervenu en faveur de l'ex-homme d'affaires. Ce dernier a par ailleurs été mis en cause dans un rapport remis par la Première chambre de la Cour des comptes au procureur générale de cette institution.
Le président du groupe socialiste à l'Assemblée, Jean-Marc Ayrault – aujourd’hui devenu premier ministre, ce qui ne devrait pas aider Lagarde - , a lui expliqué sur Europe 1 que les députés reprochaient à Christine Lagarde de ne "pas avoir respecté la loi". "Il y a un rapport de la Cour des comptes qui dit clairement que le Parlement aurait dû donner son autorisation à la procédure autorisée par la ministre", a-t-il développé. "Je pense que c’est une décision qui a été prise au plus haut niveau de l’Etat", a-t-il aussi argumenté. "S’agissant de l’argent des contribuables", les sommes mises en jeu sont "exorbitantes", a aussi pointé Jean-Marc Ayrault.
Le départ de Lagarde pour le FMI ressemble dès lors à une exfiltration … Mais il n’a pas arrêté la procédure en cours, procédure qui a par ailleurs été au cœur des débats au FMI sur la nomination de Lagarde. Certains annoncent depuis « une honte nationale » à venir pour la France. Lagarde condamnée et chassée du FMI comme un vulgaire DSK !

(4) http://www.liberation.fr/societe/2012/12/21/du-rifi-fisc-chez-les-artistes_869497
et
http://www.liberation.fr/societe/2012/12/22/tu-es-si-petit-la-replique-de-gad-elmaleh-a-philippe-torreton_869573

 

 

   

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Source : Luc Michel

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