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Discours

La répression au Bahreïn est comparable à
ce que subissent les Palestiniens

Sayed Hassan Nasrallah


Copie d'écran PalSol

Samedi 31 janvier 2015

Le 9 janvier 2015, à l’occasion de l’anniversaire de la naissance du Prophète, Sayed Hassan Nasrallah, Secrétaire Général du Hezbollah, a tenu à conclure son discours en évoquant longuement la répression au Bahreïn, encore plus ignorée par les médias que celle que subissent les populations de l’Est de l’Ukraine.

Depuis 4 ans, le Bahreïn est en effet secoué par un vaste mouvement populaire pacifique (manifestations, grèves, etc.). La population, chiite à plus de 70%, y proteste de manière non-violente contre l’autoritarisme, l’absence de droits politiques et civiques, la discrimination anti-chiite et la corruption, et réclame des réformes politiques et sociales. Le régime répond par les meurtres, les arrestations massives et procède même à une vague de naturalisations sans précédent afin de transformer radicalement et à son profit l’identité du peuple du Bahreïn.

Cette monarchie du Golfe persique est dirigée depuis plus de deux siècles par la famille Al-Khalifa, sunnite et fidèle vassale de Washington. Elle abrite la plus importante base navale américaine du Moyen Orient, ce qui en fait un pivot stratégique et militaire des Etats-Unis.

Texte original (arabe) : http://www.almanar.com.lb/adetails.php?eid=1078669

Traduction : http://www.sayed7asan.blogspot.fr

[…]

Quoi qu’il en soit, à ce propos, je souhaite seulement dire ceci à notre peuple, surtout à ceux qui vivent dans la Bekaa et les villages frontaliers, et aussi à l’ensemble du peuple libanais : dans la confrontation de ce danger (terroriste), les Libanais ne sont pas incapables ou faibles, et ils n’ont besoin de l’aide de personne. Avec notre force, notre armée, notre peuple et notre Résistance, tout comme nous avons vaincu les Israéliens, nous vaincrons les terroristes et les takfiris et nous vaincrons quiconque essaie d’agresser le Liban ou de s’en prendre à l’honneur, à la dignité ou à la sécurité des Libanais. A ce sujet, nous devons être pleinement rassurés : ni la neige, ni le froid, ni les tempêtes de neige, ni les martyrs, ni les sacrifices, ni les blessures, ni les souffrances, ni les fardeaux, ni les accusations ne peuvent changer quoi que ce soit à la volonté et à la détermination de tous ceux-là, surtout ces combattants de Dieu, pour ce qui est de la protection de leur peuple, de leur patrie, de leur famille, de leurs villages. Ils ont accompli cette mission avec succès jusque-là et qui sont prêts à assumer cette responsabilité jusqu’au bout.

A ce sujet, j’en appelle à tous et j’espère que personne ne participera à la campagne d’intimidation ou n’essaiera de faire peur aux gens. En fin de compte, personne ne peut absolument garantir qu’il n’y aura pas d’opération terroriste ici ou là. Car aujourd’hui, cela peut se produire dans n’importe quel pays. Que ce soit la France, l’Angleterre, l’Espagne, tous les pays du monde sont maintenant en état d’urgence. Mais pour ce qui est d’une vaste incursion militaire, [ce risque est faible].

Quoi qu’il en soit, le peuple n’a pas été décimé, et le pays est empli d’hommes courageux et même de femmes courageuses, il n’y a absolument aucun problème à cet égard. Et par la grâce de Dieu, face à l’une des armées les plus puissantes et les plus redoutables au monde [Israël], nous avons résisté et été victorieux, alors que dire de la confrontation avec ces groupes terroristes hétéroclites ?

Voilà pour ce qui est de la situation intérieure [libanaise].

Mes derniers mots concernent la situation régionale – je ne veux pas être trop long. Bien sûr, les développements dans la région sont considérables et très importants. Qu’il s’agisse de la Palestine, où des développements très dangereux menacent le peuple palestinien, la cause palestinienne et Al-Qods (Jérusalem) et la mosquée d’Al-Aqsa, la question de la bande de Gaza et des prisonniers détenus par Israël, ainsi que la situation en Syrie, en Irak, au Yémen, au Bahreïn, jusqu’à d’autres endroits de notre région et du monde.

Je n’ai pas le temps de parler en détail de la situation régionale, mais si Dieu le veut, lors d’une interview télévisée prévue dans les prochains jours, je pourrai en parler en détail, et quiconque voudra nous entendre le pourra à cette occasion.

Durant les quelques minutes qui restent, je me sens obligé de m’arrêter quelque peu sur la situation au Bahreïn. Il y a quelques jours, les autorités du Bahreïn ont arrêté le Secrétaire Général de l’organisation nationale islamique al-Wifaq, Son Eminence le Cheikh Ali Salmane, que Dieu le préserve et le protège. Bien sûr, c’était un développement très dangereux, et le fait que son arrestation et sa détention se prolongent est également quelque chose de très dangereux. Car en ce qui concerne les raisons de cette arrestation, tout ce qu’on pourrait dire pour condamner son caractère arbitraire serait trop peu.

Il y a quelque chose de très important qu’on doit souligner, à savoir que les autorités du Bahreïn sont dans une impasse et ont vu tous leurs espoirs déçus, malgré tout ce qu’ils ont fait durant ces dernières années.

Le peuple du Bahreïn revendique ses droits, des droits légitimes que personne ne peut contester. L’un des droits fondamentaux les plus basiques aujourd’hui, alors que le monde entier parle de démocratie, ait qu’ils aient un parlement élu, et que la chambre qui vote les lois soit élue. Il n’est pas suffisant d’avoir un parlement élu et que seul un certain nombre de ses membres soit nommé par le gouvernement pour participer au vote des lois et au processus politique. Eh bien, que revendique ce peuple ? Il revendique un parlement élu – bien sûr, selon une loi électorale valable et juste – et qui ait une autonomie complète.

Voilà le premier point.

Deuxièmement, dès le premier jour, ce peuple a fait le choix de la non-violence, d’un mouvement pacifique. Et voilà ce qui le rend unique aujourd’hui – car on pourrait m’objecter : « O Sayed, tu parles du Bahreïn, mais regarde ce qui se passe dans tel et tel endroit. » Nous parlons ici d’un pays dont le peuple a affirmé, dès le premier jour : « Ce sont là nos droits naturels, légitimes, incontestables » – bien sûr, j’ai évoqué les revendications les plus fondamentales mais il y en a d’autres.

Et deuxièmement, ils ont fait le choix de la non-violence. On a ouvert le feu sur eux, mais ils n’ont pas riposté. Ils ont été tués dans les rues, mais ils n’ont tué personne. Non seulement n’ont-ils pas recouru aux armes ou aux explosifs, ni n’ont fait venir des combattants ou des groupes quelconques de l’étranger, mais ils n’ont même pas utilisé de couteau ! Ils sont fermement décidés à maintenir le caractère non-violent du mouvement. Et cela a encore plus acculé les autorités du Bahreïn tout au long de ces dernières années.

Les dirigeants de l’opposition, à la fois la direction religieuse et la direction politique, sont tous d’accord sur le caractère non-violent du mouvement. Et à leur tête, l’Ayatollah Cheikh Issa Qassem, que Dieu le préserve, et en premier lieu le parti Al-Wefaq dirigé par Cheikh Ali Salmane, que Dieu le préserve. Et nous autres Libanais savons bien qu’il est très difficile de respecter la non-violence, car automatiquement, lorsque quelqu’un se fait frapper ou qu’on ouvre le feu sur lui, la colère monte et il se précipite sur les armes. Si il a des armes bien sûr, et si il n’en a pas, il va en acheter, il pense nuit et jour à s’en procurer d’une manière ou d’une autre.

Ce peuple voit ses maisons et ses femmes se faire attaquer, ses savants sont jetés en prison, ses autorités religieuses sont en prison, ses chefs sont en prison, ses femmes sont en prison, et vous savez bien ce qui se passe en prison. Et ils ont été tués dans les rues... Mais ils n’ont pas recouru à la violence. Ils n’ont recouru à aucune forme de violence. Ils ont persisté à faire des grèves, à manifester, à se réunir, à prononcer des discours, et à se limiter aux moyens pacifiques, et même aux moyens les plus pacifiques. Car il y a des moyens de résistance qui sont considérés comme pacifiques et non comme violents, mais même ceux-là, ils n’y ont pas recouru la plupart du temps.

Les autorités du Bahreïn parlaient toujours de dialogue sur la forme, mais en réalité ils ne sont jamais entrés sérieusement dans le dialogue. Et cette opposition a toujours été prête au dialogue, toujours ! Car la nature même de son mouvement et de ses objectifs pacifiques implique le dialogue. Mais les autorités se sont toujours détournées du dialogue, et des résultats de tout dialogue.

Quel était le calcul des autorités durant les deux dernières années ? Ils espéraient qu’à la fin, le peuple se fatiguerait. Ils ont manifesté le premier jour, le deuxième jour, le premier mois, le deuxième mois, la première année, la deuxième, la troisième... Nous, au Liban, on se lasse de manifester au bout de deux ou trois mois. Après cela, on se dit que ça suffit, et que ces manifestations ne nous mèneront à rien. Mais le peuple du Bahreïn manifeste depuis 4 ans. Il se met en grève depuis 4 ans. Cela fait 4 ans qu’il mène un mouvement populaire non-violent. C’est certainement un modèle exceptionnel et unique dans le monde actuel.

Dans tous les endroits concernés, les mouvements populaires ont pour la plupart déraillé et sont rapidement devenus violents. Mais pas au Bahreïn. Et ce n’est pas parce qu’il n’y a pas d’hommes au Bahreïn. Le peuple du Bahreïn est connu pour son courage, sa noblesse, sa dignité, son enthousiasme et son audace. Telle est son histoire. Et ce n’est pas parce que personne ne peut recourir aux armes au Bahreïn. Je vais leur parler, puisque la famille régnante Al-Khalifa ne peut pas me mettre en prison : ce n’est pas parce que personne ne peut recourir aux armes au Bahreïn. Ce n’est pas parce que personne ne peut envoyer d’armes au Bahreïn, ou d’y envoyer des combattants. Le Bahreïn est comme tous les pays du monde. Même le pays le plus contrôlé, on peut y envoyer des armes, des combattants, et quiconque peut y faire des actes de sabotage. De petits groupes peuvent saboter le plus grand pays.

La véritable raison est que la volonté des dirigeants religieux et politiques ainsi que du peuple du Bahreïn est opposée à la violence, et résolue à maintenir la non-violence et le dialogue pacifique.

Les autorités espéraient qu’ils finiraient par se lasser et désespérer, mais après 4 ans, le peuple n’a pas abandonné. Malgré le fait que le monde entier les a délaissés, abandonnés, de même que la communauté internationale, les pays, les gouvernements... Même parmi ceux qui ont soutenu le Printemps Arabe, ils sont nombreux à ne pas soutenir la cause du peuple du Bahreïn. Et lorsqu’ils arrivent au Bahreïn, ils décrivent la situation injustement et par hostilité comme un mouvement sectaire, alors que ce n’est pas du tout le cas.

Je n’ai malheureusement pas le temps de parler en détail du Bahreïn et de ce qui a été infligé à son peuple. Savez-vous ce qui se passe au Bahreïn ? J’aurais voulu ne pas avoir à utiliser ces termes, mais je vais le faire pour une fois.

Ils ont un projet similaire au projet sioniste. C’est-à-dire qu’il y a une activité de colonisation au Bahreïn, il y a une invasion. Il y a une vague de naturalisations illimitées sans précédent et qui s’accélère : les gens viennent du monde entier. On leur donne la citoyenneté, des opportunités d’emploi, des salaires élevés, la sécurité, le respect, la dignité... Alors qu’en ce moment, les enfants et citoyens du Bahreïn, dont les parents et grands-parents étaient là depuis des centaines, des milliers d’années, on leur dénie les droits les plus basiques. Pour toute revendication politique, on les arrête, on les emprisonne, on leur retire la nationalité. Et des efforts sont exercés nuit et jour pour modifier complètement l’identité du peuple du Bahreïn.

Viendra un jour où les habitants du Bahreïn ne seront plus le peuple originel du Bahreïn, mais un autre peuple. Tout comme font les sionistes en Palestine, afin qu’un jour les habitants de Palestine soient les Juifs venus du monde entier. N’est-ce pas une grande injustice ? Une grande oppression ?

Eh bien, ce peuple a poursuivi son mouvement malgré toutes ces trahisons. Il n’a pas désespéré, et les autorités ont vu que le peuple n’abandonnait pas.

Ensuite, l’Etat a misé sur l’abandon des dirigeants religieux et politiques, auxquels le peuple allait demander des comptes : « nous avons manifesté un an, deux ans, trois ans, quatre ans, où sont les résultats ? » A la fin, les dirigeants politiques allaient se lasser. Mais malgré tout, les dirigeants politiques et religieux sont déterminés à poursuivre le mouvement.

Les autorités ont alors misé – et j’assume pleinement la responsabilité de ce que je dis, et j’espère que nos frères au Bahreïn écoutent ma prise de position sur le sujet. Les autorités ont alors espéré pouvoir pousser les jeunes du Bahreïn à la violence par leurs actes d’oppression. Et il est dans l’intérêt des autorités que le peuple recoure à la violence, car si l’opposition est accusée de violence, le pouvoir pourra invoquer la sécurité nationale et civile et frapper l’opposition et ses cadres, et les écraser, et de fait annihiler cette opposition. 

Le pouvoir s’efforce depuis 4 ans à pousser l’opposition au Bahreïn à la confrontation armée et à la violence, mais il a échoué. Et je répète encore une fois que l’une des principales raisons de la nature pacifique de ce mouvement est sa culture et ses dirigeants. Car même s’il y a une direction attachée à la non-violence, mais que le peuple ait une culture différente qui l’amène à se précipiter vers l’affrontement, cette direction ne pourra pas accomplir de miracles. C’est la culture et les dirigeants de ce peuple qui ont permis le maintien de ce mouvement pacifique.

Comment expliquons-nous l’arrestation de Cheikh Ali Salmane ? Il a été arrêté justement parce qu’il est l’un des chefs religieux symboliques qui insistait le plus sur le caractère non-violent du mouvement. Et nous allons peut-être assister (tout le monde doit être attentif à cela) à l’emprisonnement de tous les chefs qui insistent sur le caractère pacifique du mouvement, afin de porter un coup au mouvement non-violent, et au mouvement en général.

Et quelle est l’accusation qui a été portée contre Cheikh Ali Salmane ? C’est celle d’incitation à la violence ! Si quelqu’un veut porter une accusation, qu’il cherche une accusation possible, vraisemblable, qui puisse être crue. Tout le peuple du Bahreïn connaît le Cheikh Ali Salmane. Il est non-violent, non-violent, non-violent... (répétez-le) jusqu’à en perdre le souffle. Au point que même ceux qui sont à ses côtés lui reprochent d’être trop jusqu’au-boutiste dans son pacifisme.

Ce Cheikh, ce chef, ce modèle, de quoi est-il accusé ? D’inciter les gens à la violence. Dans quel but ferait-il cela ? Pour renverser le régime. Alors qu’au sein de l’opposition, il y a des débats, certains supportant le renversement du régime et de la famille régnante Al Khalifa, d’autres appelant seulement à des réformes, avec un Parlement élu et un gouvernement élu, comme il est naturel pour toute opposition. Et le Cheikh Ali faisait partie de cette seconde catégorie des réformistes. Il n’appelait pas au renversement du régime, et il n’incitait pas à la violence. Ce sont des prétextes mensongers et sans fondement.

Ce que vont découvrir le gouvernement et le régime du Bahreïn, et qu’ils ont pu observer jusqu’à présent, c’est qu’ils ont commis un acte stupide et agi en insensés. Ils ne parviendront pas à mettre fin à ce mouvement, ni en arrêtant ses savants et ses dirigeants et symboles, ni en emprisonnant Cheikh Ali Salmane ou qui que ce soit d’autre. Même si le gouvernement parvenait à emprisonner tout le peuple du Bahreïn ou sa vaste majorité, cela pourrait mettre fin au mouvement dans les rues mais pas dans les prisons. Ce peuple est résolu à poursuivre ce mouvement sous la direction de ses chefs dévoués, courageux et savants, de même qu’il est déterminé à en maintenir le caractère pacifique.

Et je leur exprime aujourd’hui notre solidarité et notre soutien, ce depuis les premiers instants du mouvement : nous nous sommes toujours tenus aux côtés de ce mouvement populaire pacifique et de ses objectifs raisonnables qu’il recherche par des moyens civils.

Nous appelons tout le monde à soutenir ce peuple, et à faire connaître l’oppression qu’il subit, et nous appelons tous les pays et toutes les organisations internationales à faire pression sur ce gouvernement tyrannique et oppresseur afin de donner à ce peuple ses droits légitimes et de faire relâcher tous les prisonniers (savants, dirigeants, etc.), et en premier lieu Son Eminence notre frère Cheikh Ali Salmane. 

Et d’un autre côté, je confirme et je soutiens (et nous le soutenons tous) l’appel de vos savants et de vos chefs – qui a été confirmé par Cheikh Ali Salmane depuis sa prison – à persister dans le caractère non-violent de ce mouvement. Nous devons bien garder à l’esprit que les autorités du Bahreïn souhaitent, par cette arrestation et d’autres emprisonnements similaires, pousser le peuple à la violence et à la confrontation armée. Cela n’est pas dans les intérêts du Bahreïn, ni du peuple du Bahreïn. Vous n’avez qu’à regarder la situation de tous les pays de la région. Lorsque les gens s’y sont précipités sur les armes, quel fut le résultat ? Quel pourrait être le résultat dans n’importe quel pays ?

Quoi qu’il en soit, je tenais à évoquer cette question durant cette occasion, et nous espérons qu’Allah la renouvellera l’année prochaine dans une situation où notre communauté sera parvenue à sortir victorieuse de ces épreuves, et qu’elle ait pu faire face à ces défis en obtenant une véritable victoire et en ayant dépassé ces étapes difficiles grâce à l’unité, à la vigilance et à la sagesse. En assumant ses responsabilités et en faisant échouer tous ces plans et complots fomentés à l’intérieur et à l’extérieur de notre communauté et qui peuvent la faire sombrer dans l’abysse.

Que Dieu vous accorde le succès, soyez remerciés de votre présence, bonne fête et que la Paix et les Bénédictions de Dieu soient sur vous, ainsi que Sa Grâce.

 

 

   

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Source : Salah

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