LE CRI DES PEUPLES
Nasrallah : en cas de guerre,
le Hezbollah et la Résistance à Gaza
s’empareront
de vastes territoires
israéliens
Jeudi 20 juin 2019 Discours du
Secrétaire Général du Hezbollah, Sayed
Hassan Nasrallah, le vendredi 31 mai
2019, à l’occasion de la Journée
Internationale d’Al-Quds (Jérusalem).
Traduction :
lecridespeuples.fr
Voir l’extrait
précédent :
la Résistance et les peuples
arabo-musulmans n’abandonneront jamais
la Palestine
Transcription
:
[…] II – J’entre
maintenant dans le vif du sujet après
cette introduction qui (a présenté)
cette commémoration (de la Journée
Internationale d’Al-Quds / Jérusalem).
Aujourd’hui, le
défi essentiel auquel doivent faire face
la Palestine et Al-Quds est l’Accord du
Siècle, ou Accord de Trump. Et
aujourd’hui, tous les slogans dans le
monde entier (durant les manifestations
de soutien à la Palestine) étaient à
l’unisson « (Marchons) en direction
d’Al-Quds » et « Non à l’Accord du
Siècle » ou « Accord de Trump », car
c’est la menace qui plane aujourd’hui
sur Al-Quds, la Palestine et la cause
palestinienne. Bien sûr, notre devoir…
Nous commençons par énoncer notre
devoir, avant d’analyser les faits.
Notre devoir est de lutter contre
l’Accord du Siècle. C’est une obligation
légale, religieuse, humanitaire,
éthique, nationale, patriote, politique,
de djihad, révolutionnaire… Appelez-la
comme vous voudrez, car elle englobe
tous les critères. Pourquoi ? Car en
toute franchise, c’est l’Accord du Mal,
l’Accord du renoncement définitif aux
droits palestiniens, arabes et
musulmans, qui entérine la perte des
lieux saints. Nul besoin d’invoquer
longuement tous les critères et
principes (légaux et moraux) pour
établir que cet Accord est inique, nul
et non avenu ; c’est un Accord de la
Honte historique, un crime historique. A
tous les égards, il faut lui faire face,
et tous doivent s’y opposer (de toutes
leurs forces).
Je pose une
question —car notre obligation est
claire, notre devoir est clair, notre
responsabilité est claire. Pouvons-nous
faire face (victorieusement) à cet
accord ? Pouvons-nous le bloquer ?
Pouvons-nous le faire échouer ? Oui ! En
toute certitude, nous le pouvons, avec
la grâce de Dieu. Et toutes les réalités
que je vais évoquer —je vais en évoquer
certaines, car je n’ai pas le temps de
les évoquer toutes— confirment que nous
sommes (déjà) sur cette voie.
Aujourd’hui,
l’administration américaine,
l’administration de Trump, et à ses
côtés l’entité sioniste, et à leurs
côtés certains régimes arabes, dont une
partie est sérieusement impliquée (pour
le succès de l’Accord du Siècle), et une
autre partie n’est pas sérieuse dans son
implication —je vais également en parler
dans un instant—, œuvrent nuit et jour à
la mise en œuvre de cet Accord et à son
succès. Et face à cela, il y a un Axe
(composé) de nombreux pays et très
puissant, et soutenu par une grande
partie de l’opinion publique dans la
région, dans le monde arabo-musulman et
même dans le monde entier, qui se dresse
pour empêcher que cet Accord se réalise.
Ces deux groupes (de pays), ces deux
mouvements et ces deux orientations
s’affrontent.
Est-ce que de notre
côté, nous nous faisons des illusions ?
Est-ce que nous gaspillons vainement nos
forces (face à l’inéluctable) ? Est-ce
que nous nous fatiguons pour rien ? Non,
en aucun cas. Nous devons avoir le plus
grand espoir, la plus grande clarté et
la plus grande lucidité. Et je ne parle
pas en m’appuyant seulement sur nous les
Libanais. Je parle des Palestiniens, des
Libanais, des Syriens, des Irakiens, des
Iraniens, des Yéménites, des peuples
arabes et musulmans, et de quiconque
(dans le monde) soutient la cause
palestinienne et les droits du peuple
palestinien. C’est sur eux tous que je
me base. Nous devons avoir un très fort
espoir car nous sommes capables de
réaliser cet objectif, et d’empêcher ce
crime historique de se réaliser dans
notre région et sur nos terres.
O mes frères et
sœurs, aujourd’hui, le projet
américano-sioniste a toujours été… Le
point essentiel dans ce projet était
l’existence de l’Etat d’Israël, son
renforcement et son enracinement, la
normalisation de son existence avec les
pays de la région, afin qu’Israël
constitue l’Axe (dominant) : l’Axe de la
vie politique, sécuritaire, économique,
etc. Et cela implique, en contrepartie,
la liquidation de la cause
palestinienne, avec laquelle il fallait
en finir définitivement. Toute
revendication (palestinienne) portant
sur Al-Quds (Jérusalem), les terres de
1948, la Cisjordanie ou la bande de
Gaza, ou sur les réfugiés palestiniens
de la diaspora, ou sur un Etat
palestinien indépendant, quelle que soit
son étendue, doivent cesser
définitivement, et sortir de tous les
calculs et de toutes les considérations.
Cela a toujours été l’objectif
(américano-sioniste). Et ils ont misé
sur l’écoulement du temps (l’oubli et le
découragement des peuples).
Je ne vais pas
revenir sur toute l’histoire, car j’ai
beaucoup de choses à dire ce soir, mais
je veux m’arrêter sur la dernière étape
(de l’histoire). Je ne parle pas de
l’étape que nous traversons aujourd’hui,
qui est l’étape actuelle, je parle de
l’avant-dernière étape, avant 2011 (et
les événements en Syrie), (précisément)
de 2000 à 2011. Il y a eu des tentatives
américaines de liquider la cause
palestinienne, mais d’une manière qui
aurait pu donner aux Palestiniens
quelque chose, ne serait-ce que des
miettes. Après la victoire de la
Résistance au Liban en 2000, et après le
déclenchement de l’Intifada d’Al-Aqsa en
Palestine après cette victoire du Liban
en 2000, et l’apparition de la force de
la Résistance et des mouvements de la
Résistance dans la région, les
Etats-Unis ont tenté de reprendre
l’initiative. Ils ont instrumentalisé
les événements du 11 septembre (2001),
et ont occupé l’Afghanistan et l’Irak,
ont frappé aux portes de la Syrie,
menacé le Liban et menacé l’Iran, et ont
préparé un projet pour en finir avec
tous les mouvements et Etats de la
Résistance, en commençant par la
Palestine, et ce jusqu’à (la guerre de)
2006 au Liban, qui, s’ils avaient réussi
(à détruire le Hezbollah), les aurait
amenés à s’en prendre à la Syrie, et
jusqu’à l’isolement de l’Iran. Et nous
nous souvenons tous, surtout nous les
Libanais qui ne l’oublieront jamais, ce
qu’a dit Mme Condoleeza Rice lorsqu’elle
est venue à Beyrouth (au cœur de la
guerre de 2006) pour parler de la
naissance d’un Nouveau Moyen-Orient, le
Nouveau Moyen-Orient qui devait
enraciner l’Etat d’Israël comme un Etat
normal, authentique et puissant dans la
région, accorder quelques miettes aux
Palestiniens et éradiquer tout statut,
toute position et toute existence aux
mouvements ou Etats de la Résistance. Ce
projet a échoué, n’est-ce pas ?
Contentons-nous de
ce résumé et parlons de la situation
actuelle. Après 2011, et face à des
révoltes populaires authentiques à nos
yeux (Tunisie, Egypte, Bahreïn…), et aux
failles de ces révoltes populaires
—l’absence de dirigeants unis, de
projets clairs, etc.—, l’administration
américaine est parvenue, avec l’aide de
certains régimes arabes, à absorber les
révolutions populaires dans le monde
arabe et à les détourner de leurs cours
naturel, ou à les liquider et à les
confisquer, et à les orienter vers des
directions erronées, comme ce fut le cas
en Syrie. C’est l’étape que nous avons
vécue depuis 2011 jusqu’à il y a
quelques mois, et que nous continuons à
vivre. Les Etats-Unis, avec à leurs
côtés tous ceux qui sont entrés sur la
voie de ce qu’on a appelé le Printemps
arabe, ont voulu cueillir un fruit
pourri sur ce printemps arabe : ce fruit
pourri, c’est l’Accord de Trump,
l’Accord du Siècle (qui va être annoncé
de manière imminente). Sur quoi ont-ils
misé ? Ils ont misé sur le fait que
durant ces années, à travers les
véritables tremblements de terre qui ont
frappé plusieurs de nos pays et de nos
sociétés, ils pourraient, à un moment de
fatigue et de faiblesse, imposer leur
Accord (du Siècle) aux peuples arabes et
musulmans, à tous leurs Etats et à tous
leurs gouvernements. Voilà ce qui s’est
passé de 2011 à aujourd’hui.
Nous ne pouvons pas
nier que nos sociétés, nos Etats et nos
peuples dans la région ont dû faire face
à des maux accablants et considérables,
à un véritable épuisement (de leur sang
et de leurs ressources), qu’il s’agisse
des Etats, des armées, des
gouvernements, des peuples, de
l’économie, de la sûreté et de la
sécurité, etc. (Nos pays ont été frappés
par) les haines, la tyrannie,
l’écrasement, le déchirement, sur des
bases confessionnelles, sectaires,
religieuses, raciales, nationales,
territoriales, régionales, identitaires…
C’est une vérité (indéniable).
(Les Etats-Unis et
Israël) ont supposé qu’à présent, avec
l’accession de Trump (au pouvoir), avec…
Je ne sais pas quels sont les mots
appropriés (pour décrire le personnage).
Avec ses attaques (massives), sa volonté
de faire peur (à tout le monde) dans les
médias, sa personnalité, ses discours,
ses procédés, ses menaces et
intimidations… Et actuellement, tout le
monde est épuisé, personne n’a de temps
à consacrer aux autres, personne ne se
soucie de quiconque, et tous les peuples
de la région, tous les régimes, les
gouvernements, les armées et les peuples
de la région sont tous accaparés et
débordés par leur propre situation, et
personne n’a le loisir de se soucier ni
de la Palestine, ni d’Al-Quds
(Jérusalem). C’est donc le moment
opportun (pour liquider la cause
palestinienne). Tel est, si je puis
dire, le contexte stratégique tel que se
l’imaginent Trump, Netanyahou et ceux
qui se tiennent à leurs côtés parmi
certains pays arabes, pour imposer cet
Accord (du Siècle) et ce règlement (du
conflit israélo-arabe), liquider la
cause palestinienne et isoler
complètement la République Islamique
d’Iran (car le soutien à la Palestine
lui est consubstantiel). Voilà tout.
C’est dans ce cadre qu’est venu l’Accord
du Siècle que nous avons le devoir de
combattre, et c’est ce que nous faisons,
chacun à notre niveau.
Cette analyse de la
situation et ce diagnostic de la part
des Etats-Unis, d’Israël et de certains
de ces régimes (arabes) sont erronés. Et
cela prouve qu’ils ne lisent pas
l’histoire et qu’ils ne la comprennent
pas, qu’ils ne connaissent pas les
peuples de la région, ni leur
appartenance religieuse,
civilisationnelle, culturelle et
intellectuelle, (cela prouve) qu’ils ne
connaissent pas les valeurs et les idées
(des peuples de notre région), qui leur
sont étrangères parce que ce sont des
étrangers (ils ne sont pas originaires
de cette région, comme Israël et les
USA), ou leur sont incompréhensibles
parce qu’ils ont été imposés (au
pouvoir) par des forces extérieures
(comme les Saoud & les monarchies du
Golfe, qui sont des émanations de
l’impérialisme occidental et non de
l’histoire et de la culture des peuples
arabo-musulmans). Et c’est pour cela
qu’ils se sont trompés dans leur
diagnostic. Leur analyse est fausse.
Faisons donc un
sommaire bref et succinct pour voir où
en sont véritablement les choses.
Considérons notre situation au sein de
l’Axe de la Résistance, sur la voie de
la Résistance et sur le front de la
Résistance, et leur situation à eux, et
ce sans aucune exagération. N’importe
lequel d’entre vous, s’il connait (un
minimum) les faits, pourra dire aisément
si j’exagère ou pas. Aujourd’hui,
j’affirme que l’Axe de la Résistance et
le Front de la Résistance, au minimum
depuis 1982, afin que personne ne nous
oppose les années 1950 ou 1960… Je parle
de l’époque que nous avons vécue, ma
génération et les deux générations
d’après, ces étapes que moi et la
majorité des gens de ma génération ont
vécues. Je peux affirmer que l’Axe de la
Résistance est plus fort qu’il ne l’a
jamais été auparavant, contrairement à
ce qu’essaient de nous faire croire
certaines personnes qui parlent de
faiblesses ici ou là. Quelles sont mes
preuves ? Quels faits (confirment mes
dires) ?
Premièrement,
commençons avec Gaza, avec la Palestine,
la Résistance palestinienne. Les (armes)
les plus avancées que possédait la
Résistance palestinienne… A son âge
d’or, où était-elle ? Au Liban, au Sud
du Liban, dans les années 1970. Elle
avait des armes en quantité, des
effectifs et des moyens très importants,
des capacités, des roquettes… Mais le
maximum que la Résistance palestinienne
pouvait faire, c’était de lancer une
opération à la frontière, ou sur
l’ancienne bande frontalière, ou de
s’infiltrer (brièvement) à la frontière,
ou de mobiliser certains groupes à
l’intérieur de la Palestine occupée pour
une action ponctuelle, mais ensuite,
c’est devenu trop difficile et
infaisable. Et tout ce qu’ils avaient en
fait de roquettes, c’était des
Katyushas, c’est-à-dire qu’ils pouvaient
frapper à une portée maximale de 19 ou
20 kilomètres. Quelqu’un peut-il
prétendre le contraire ? C’est tout ce
qu’ils avaient. Tel-Aviv était à l’abri
des roquettes palestiniennes. Ashkelon,
Beersheva étaient à l’abri des roquettes
palestiniennes. Toutes ces villes
étaient trop loin, et personne
n’envisageait ne serait-ce que la
possibilité de les frapper.
Aujourd’hui, la
Résistance palestinienne… Je vais me
contenter de quelques exemples et non
faire une liste complète, afin d’être
bref. Hier, nous avons entendu les
discours en direct de certains
dirigeants des factions de la Résistance
palestinienne à Gaza (pour la journée
internationale d’Al-Quds), qui parlaient
des capacités entre leurs mains et de ce
qu’ils ont fait durant les dernières
confrontations (face à Israël), et dans
la dernière (en particulier). Ils ont
dit en toute clarté : « Nous avons
frappé Tel-Aviv, et nous sommes capables
de frapper Tel-Aviv avec un grand nombre
de missiles. » Aujourd’hui, Gaza est
capable de frapper Tel-Aviv et au-delà
de Tel-Aviv —du côté du Liban, et non
l’inverse—, et elle est capable
d’atteindre un grand nombre de colonies
sionistes. Quand, dans toute son
histoire, la Résistance palestinienne
a-t-elle été capable d’une telle chose ?
Je parle de faits aussi évidents que
(l’opération arithmétique) 1+1=2. Ce ne
sont pas de (vains) slogans.
Aujourd’hui, la capacité balistique des
Palestiniens se développe, et il y a
également une nouvelle force qui est
entrée dans l’équation, à savoir les
drones, comme nous l’avons vu durant la
dernière confrontation, et il n’y a
aucune parade face à cela. Il n’y a
absolument aucune parade. La preuve en
est ce qui s’est passé en Arabie
Saoudite, à Yanbu, je vais en parler
dans quelques instants.
Gaza a donc de
vastes capacités militaires, et des
dizaines de milliers de combattants, qui
sont capables —élargissons notre
propos—, en cas de grande guerre dans la
région, de s’emparer d’étendues très
importantes de la terre de Palestine
(occupée), autour de la bande de Gaza.
Quand la Résistance palestinienne
a-t-elle eu de telles capacités (par le
passé) ? Hier, nous avons également
entendu certains dirigeants de ces
factions djihadistes déclarer qu’ils
s’approchaient de l’équation « Chaque
fois que vous frapperez Gaza, nous
frapperons Tel-Aviv ! » C’est là un
développement exceptionnel, majeur et
très positif dans l’équation de la lutte
(arabo-israélienne).
Passons maintenant
au Liban. Pour le Liban, nul besoin de
m’étendre : il n’y a aucun doute, et
cela ne fait aucun débat, sur le fait
que jamais le Liban n’a eu une
Résistance faisant face à Israël avec un
tel niveau de puissance, d’effectifs,
d’équipements, de sophistication, de
capacités, d’expérience, d’entrainement,
de préparation, etc., etc., etc., que ce
qui existe aujourd’hui au Liban (avec le
Hezbollah). La situation actuelle ne
peut être comparée à aucune autre, non
seulement depuis 1982, mais depuis 1948.
Il n’y a jamais rien eu de tel au Liban,
absolument jamais. Aujourd’hui, Israël
redoute la Résistance au Liban, et les
responsables israéliens parlent chaque
jour de la situation de dissuasion, qui
se renforce (au profit du Hezbollah), de
la restructuration d’une grande partie
de l’armée israélienne qui a pris une
position défensive au Nord de la
Palestine occupée (alors que durant
toute son histoire, Israël a toujours
été en position offensive), de la
puissance balistique de la Résistance,
etc., etc., etc. Cela suffit pour le
Liban.
Troisièmement, la
Syrie a surmonté ce qui se tramait
contre elle. Ceux qu’on a faits venir
(des 4 coins du monde) pour détruire la
Syrie et l’armée syrienne, (puis) entrer
au Liban et le détruire, et entrer en
Irak et le détruire, et aller en Iran
pour le combattre, et (se propager) dans
toute la région, en coopérant et se
coordonnant avec Israël, (ont été
vaincus). Et chaque jour, on découvre de
nouvelles informations sur l’ampleur de
l’aide d’Israël aux organisations armées
dans le Sud de la Syrie. Tous (ces
terroristes) ont été vaincus, se sont
effondrés et rendent leur dernier
soupir. Je parle de Daech, des takfiris
et de ce qui reste d’Al-Nosra. Et
l’opposition politique syrienne, qui
avait promis de faire la paix avec
Israël, et certains d’entre eux avaient
même promis sur des plateaux télévisés
de renoncer au Golan en faveur d’Israël,
sont maintenant (reclus) dans leurs
hôtels et leurs maisons, et on ne voit
même plus leurs visages sinistres et
humiliés à la télévision, car ils n’ont
plus rien à dire. La Syrie a donc
franchi (cette épreuve), et elle est
toujours dans sa position sur le front
de la Résistance et au sein de l’Axe de
la Résistance. Et elle retrouvera
pleinement sa force et sa santé, ainsi
que son courage et sa ténacité (face à
Israël). […]
La deuxième
partie de cette section, consacrée au
reste de l’Axe de la Résistance (Irak,
Yémen et Iran), à la situation d’Israël
et à l’échec annoncé de l’Accord du
Siècle, est en cours de traduction. Ce
discours sera traduit dans son
intégralité.
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