Opinion
Les marchands de soupe de la Mafia
laïque française
Sayed Hasan
Salah
Lamrani dans sa classe à MISR Language
Schools (établissement du réseau MLF)
Mercredi 9 septembre 2015
Récit de
l’affaire Salah Lamrani /
Mission laïque
française (MISR Language Schools)&
Services de l’Ambassade de France au
Caire
Première partie
Les faits
évoqués ci-dessous sont attestés par des
documents et témoignages multiples et
explicites. Des notes de fin de document
fournissent des extraits éloquents de
ces éléments de preuve. Les noms marqués
d’une étoile (*) ont été modifiés.
Ce dossier est
actuellement instruit aux prud’hommes et
auprès du Défenseur des Droits, et il
reste en voie de complétion. Tous les
acteurs de cette affaire et quiconque
peut apporter un témoignage ou des
documents quelconques sur ces instances
sont instamment invités à le faire en
mentionnant, le cas échéant, s’ils
souhaitent que leur participation soit
anonyme.
Merci d’adresser
toute correspondance à cette adresse
e-mail :
salah_lamrani@hotmail.fr
Introduction
1 – Un
établissement particulièrement
difficile
2 – La
« petite » affaire : Samuel Métaux /
Salah Lamrani
3 – La
« grande » Affaire : exclusion illégale,
menaces, violences, tentative de
subornation et plainte diffamatoire…
4 –
…pleinement cautionnées par la direction
de la Mission laïque française
5 – Le parti
pris des instances diplomatiques
Conclusion
Introduction
Je suis professeur
de Français, âgé de 28 ans et Titulaire
de l’Education Nationale. Durant l’année
scolaire 2012-2013, j’ai été recruté à
Paris pour un poste dans un
établissement du réseau de la
Mission laïque française en Egypte,
la section française de la
MISR Language Schools. Située au
Caire, elle est conventionnée par le
ministère des Affaires étrangères et
homologuée par le ministère de
l’Education nationale. Mon employeur
était la Mission laïque française, comme
cela est spécifié dans ses statuts, sa
Charte et le contrat de travail[1].
Le Proviseur était M. Frédéric TUMPICH,
et il occupe toujours son poste à ce
jour. La direction égyptienne générale
de cet établissement comportant
cinq
sections était menée par Mme Nermine
NADA.
Dès ma prise de
fonctions, j’ai constaté que de graves
manquements de la direction de
l’établissement mettaient en danger la
sécurité des personnels et le bien-être
de tous, causant divers incidents. En
effet, comme en attestent de nombreux
documents, rapports et témoignages de
personnels enseignants, parents, élèves
et de la direction[2], cet établissement
présentait de graves problèmes au niveau
de la discipline et même de la sécurité
des élèves et personnels. L’atmosphère
était notamment caractérisée par un
manque de respect envers les professeurs
et le rejet de leur autorité de la part
des élèves et personnels égyptiens
d’éducation, un chaos endémique
empêchant la tenue des cours[3], le
refus des élèves d’assister aux
cours[4], l’annulation par le Proviseur
français des punitions données aux
élèves par les enseignants[5], etc. A
tout cela s’ajoutait le lynchage en
règle des personnels français et
égyptiens par l’administration et les
parents, qui les tenaient pour les seuls
responsables de ces dysfonctionnements,
alors que ceux-ci incombaient à la
direction de l’établissement, et que les
enseignants comptaient parmi les
principales victimes de cette
situation[6]. Les personnels français et
égyptiens étaient tenus en respect, avec
une redoutable efficacité, par diverses
pressions (accusations d’incompétence,
déni, menaces d’exclusion…[7]), ce
malgré des agressions verbales et
intimidations physiques de la part des
élèves contre certains professeurs[8].
Tout cela a même entraîné une agression
physique de lycéens à l’encontre d’un
collègue Titulaire de l’Education
nationale proche de la retraite
(François* E., professeur de Physique),
ce qui l’a notamment amené à exercer son
droit de retrait durant une semaine, sa
sécurité ne pouvant être assurée. Ces
agissements étaient absolument impunis
et même couverts, étouffés, et, de fait,
encouragés par le laxisme de
l’administration. Pour celle-ci,
« le client est roi », tandis que les
personnels enseignants, quantité
négligeable et éminemment amovibles, ne
sont là que pour être livrés en
pâture[9] aux élèves qui paient des
droits d’inscription faramineux et
peuvent donc se comporter comme les
propriétaires de l’établissement[10].
Les personnels qui essayaient d’agir
étaient menacés, discrédités, et, dans
mon cas, exclus, violentés et calomniés.
La vie même des élèves était mise en
danger par des installations électriques
défectueuses dans les laboratoires. Ces
installations avaient pourtant fait
l’objet de plaintes publiques de la part
de François* E. et de Farid* Y.,
professeur de Mathématiques-physique
également Titulaire[11].
Je m’étais employé
à pallier certains de ces
dysfonctionnements, en accord avec mon
supérieur hiérarchique, Frédéric
TUMPICH, ce qui m’a amené à m’opposer
directement à la direction égyptienne,
qui prenait toujours fait et cause pour
les élèves les plus turbulents. Celle-ci
a alors voulu se débarrasser de moi. Car
bien que les statuts des personnels (et
les engagements contractés avec les
parents, qui inscrivent leurs enfants
dans une école dont on leur garantit que
la gestion est purement française)
prévoient que la section française soit
gérée indépendamment, par la seule
direction française[12], il s’est avéré
que la direction égyptienne impose
toutes ses décisions dans les faits. Le
Proviseur français a un rôle purement
fantoche et se soumet aux intimations
coercitives de personnels subalternes
égyptiens[13]. J’ai donc fini par être
exclu le 28 mars 2013 de manière
violente et illégale (sans notification
écrite, manu militari et par un
simple fait accompli), battu par huit
vigiles sous les yeux de mes élèves de 6e
traumatisés et en pleurs, tout cela pour
un prétexte spécieux : une altercation
avec un collègue, Samuel METAUX, qui
avait eu lieu la veille, en dehors de
l’établissement. Pourtant, des
témoignages de professeurs, de parents
et d’élèves ont établi que Samuel METAUX
me harcelait de longue date au sein même
de l’établissement. Pour l’incident du
27 mars même, les témoignages directs de
trois enseignants et l’aveu du
proviseur, Frédéric TUMPICH (dès le 29
mars 2013, en présence de Farid* Y.,
représentant élu des personnels),
concordent pour établir que Samuel
METAUX m’avait agressé verbalement et
physiquement, et que je n’ai fait que me
défendre. Frédéric TUMPICH n’en a pas
moins soutenu, en toute connaissance de
cause, une version des faits mensongère,
notamment dans ses courriels adressés
aux parents, afin de justifier la
décision de la direction égyptienne en
lui donnant une teinte française et de
me discréditer.
Je me suis efforcé
de faire respecter mes droits, et face à
ma résistance et du fait de
l’intervention de parents d’élèves,
l’administration de l’établissement a
ensuite rétroactivement « justifié »
cette exclusion par d’autres accusations
calomnieuses qui ne m’ont jamais été
notifiées par écrit (pas plus que mon
exclusion définitive et ses raisons
alléguées). J’ai en effet été accusé
d’agressions verbales et même physiques
contre des élèves, et une plainte
judiciaire en ce sens a été déposée
contre moi pour me neutraliser et me
décourager. Ces accusations fallacieuses
ont entraîné mon arrestation violente
par la police, mon placement dans une
cellule de 1 mètre carré, puis mon
déferrement au Parquet. La justice
égyptienne a rapidement débouté la MISR
Language Schools de toutes les
accusations portées contre moi,
notamment grâce à nombre de témoignages
de parents et d’élèves et, dans une
moindre mesure, de personnels.
Tout au long de
l’affaire, l’administration n’a pas
hésité à recourir à des menaces et à des
brutalités psychologiques contre
les élèves en leur interdisant de me
parler, et en s’évertuant à les
persuader que j’étais un véritable
danger pour eux malgré les faits avérés,
et le grand attachement de mes élèves
pour moi. La directrice égyptienne, Mme
Nermine NADA, et le Proviseur français,
Frédéric TUMPICH, ont personnellement
colporté ces calomnies et exercé les
pressions et menaces. Celles-ci m’ont en
particulier été rapportées par mes
élèves et leurs parents – les plus
jeunes, âgés de 11 ans à peine, étaient
en pleurs. Des menaces similaires ont
également été exercées contre les
personnels, afin de les dissuader de
m’apporter de l’aide et même de me
saluer, et j’ai été au désespoir de
constater que mes collègues et
concitoyens faisaient preuve de bien
moins de solidarité à mon égard
que les parents et même les élèves. La
plupart des enseignants ont fini par
complètement m’ignorer et m’abandonner,
alors qu’une simple grève aurait très
vraisemblablement suffi à résoudre le
problème. Sans doute se sentaient-ils
plus vulnérables, se trouvant dans un
pays étranger ayant une langue et une
culture différentes, et étaient-ils
dissuadés de toute intervention par
l’exemple de la violence qui m’était
infligée.
J’ai essayé autant
que possible de régler cette affaire par
la négociation et sans tapage,
transmettant ma version des faits
abondamment documentée à la direction de
l’établissement et de la MLF et aux
instances françaises, et en leur faisant
savoir, directement et par le biais de
mes avocats, que j’étais disposé à un
règlement à l’amiable, à condition qu’il
fût honorable et respectueux des lois.
J’avais refusé, dans un premier temps,
le paiement de l’intégralité de mes
salaires à venir jusqu’à la fin de
l’année scolaire contre mon départ et
mon silence (une proposition de Frédéric
TUMPICH suite aux premiers échanges avec
la direction de la MLF), parce que cela
se serait fait par-dessous la table et
aux dépens de ma réputation salie par
leurs diffamations, ce que je ne pouvais
envisager en aucun cas. D’autant plus
que ces salaires m’étaient de toute
façon dus contractuellement, et le
restent jusqu’à ce jour, le contrat
n’ayant jamais été légalement rompu – le
mois de mars même, travaillé, ne m’a
toujours pas été payé. En vue d’un
règlement à l’amiable, j’ai sollicité
l’intervention de plusieurs élus,
instances et personnalités médiatiques
et intellectuelles, notamment les
députés et sénateurs des Français de
l’étranger, qui sont généreusement
intervenus. Les instances ministérielles
sollicitées (Education Nationale,
Affaires Etrangères, ministres déléguées
chargées des Français de l’étranger et
de la Francophonie) n’ont pas donné
suite à mes demandes d’assistance. J’ai
sans cesse sollicité l’intervention de
la Mission laïque française à Paris, mon
employeur selon les textes (cf. note n°
1), chargé de la gestion des
établissements de son réseau. Mais elle
n’a jamais donné aucune suite à mes
sollicitations par courriel et par
courrier recommandé. De son côté, la
direction de mon établissement a accepté
le principe de la négociation, avant de
le rejeter au dernier moment : il ne
s’agissait, de sa part, que d’une
manœuvre dilatoire visant à se
rapprocher de la fin de l’année scolaire
et à épuiser mes ressources et ma
volonté.
Contre toute
attente, et au mépris des faits avérés
et des lois et accords en vigueur, la
direction de la Mission laïque française
et les services de l’Ambassade de
France, sont intervenus, mais de manière
partiale et aux côtés de la direction de
mon établissement. Ils ont agi de
concert contre moi, en toute
connaissance de cause, dès le premier
jour et jusqu’au bout, de la manière qui
sera détaillée dans les 4e e
5e sections. Dès le 31 mars
2013, dans un courriel adressé aux
parents d’élèves, Frédéric TUMPICH
affirmait qu’une intervention de
l’Ambassade de France avait été
sollicitée et que celle-ci s’était
prononcée en faveur de mon exclusion
illégale (« C’est pourquoi Mme
Nermine NADA et l’Ambassade de France
ont conjointement décidé, pour la
sécurité de vos enfants [sic],
d’interdire à M. Salah l’accès de
l’établissement. »). Frédéric
TUMPICH fut pleinement soutenu par la
Mission laïque française, mon
employeur : bien qu’elle ait reçu ma
version des faits ainsi que les nombreux
documents et témoignages collectés – qui
ont rapidement conduit la justice
égyptienne à m’innocenter de toutes les
accusations portées contre moi –, la MLF
a poursuivi son œuvre, continuant à
relayer en toute connaissance de cause
les accusations calomnieuses portées à
mon encontre. Dans deux lettres
adressées respectivement à M. Alain
MARSAUD, député des Français établis
hors de France, et à Mme Joëlle
MARRIAUD-GAYLAM, sénatrice des Français
établis hors de France, intervenus à ma
demande, Jean-Christophe DEBERRE,
Directeur général de la Mission laïque
française, ainsi que Yves AUBIN DE LA
MESSUZIERE, Président de la Mission
laïque française, ont soutenu des
allégations qu’ils savaient
calomnieuses. Ils ont même surenchéri
sur les imputations diffamatoires de
MISR en prétendant que « la sécurité
de la communauté éducative ne permet pas
la réintégration de M. LAMRANI », ce
le 25 avril 2013, près d’un mois après
que les pièces qui m’ont innocenté
devant la justice égyptienne leur aient
été transmises. Cette position a encore
été confirmée le 5 juin 2013, après que
mon établissement ait été débouté par le
Parquet de toutes ses plaintes contre
moi, le Président de la MLF soutenant
malgré ce développement considérable que
« l’on peut craindre que rien n’ait
depuis contribué à modifier ce point de
vue ». Ces éléments seront rapportés
en détail dans la 4e section,
en soulignant les contradictions
manifestes que ces deux courriers
présentent entre eux, avec les statuts
de la MLF et avec les faits avérés et
alors connus de tous. Les services du
Consulat de France ont procédé de même,
et des menaces d’enlèvement et de mise
au ban proférées à mon encontre par
Paul PETIT (Attaché de Coopération
Educative représentant le Conseiller de
Coopération et d’Action Culturelle de
l’Ambassade de France) dès le 28 mars
2013, le jour de mon exclusion, devant
mon établissement, ont été partiellement
mises à exécution, alors qu’elles
auraient pu me coûter mon intégrité
physique et mentale, voire ma vie. Un
enseignant français,
Eric Lang, était alors mort dans un
commissariat du Caire dans des
conditions suspectes à ce moment-là, et
des proches informés de mon affaire et
des violences que j’avais subies entre
les mains de la police ont cru que
c’était moi, son identité n’ayant pas
été révélée immédiatement. En effet, du
fait des mesures qui ont été prises
contre moi par les services
diplomatiques, j’ai été contraint de
vivre en Egypte plusieurs mois sans
ressources (de fin mars à la
mi-septembre 2013), exposé à de grands
risques et dans un grand dénuement,
recherchant vainement un autre emploi,
sans savoir que j’étais soumis à un
véritable ostracisme, si bien qu’il
m’était impossible de retrouver un
poste. Je n’en ai eu la preuve que
tardivement, comme nous le verrons. A
partir de juillet 2013, je n’avais
souvent plus même de quoi m’acheter de
l’eau, dormant à même le sol dans un
appartement complètement vide, alors que
des événements sanglants avaient lieu en
Egypte. J’étais donc à la merci de
quiconque. Il m’a fallu des mois pour
commencer à me remettre de tous les
sévices, pressions et harcèlements
subis, et j’aurais très bien pu ne
jamais m’en relever.
Mon avocat d’alors,
après analyse des pièces du dossier,
dénonça « une institution qui a
utilisé les procédés les plus déloyaux
pour [me] mettre en cause avec des
accusations graves [par] l’instrumentalisation
d’informations [qu’elle] savait
mensongères dès l’origine. Cette
attitude est d’autant plus critiquable
qu’elle s’inscrit dans un contexte
inspiré par la discrimination.
[…] Les pièces du dossier que
vous m’avez transmises sont tout à fait
claires pour établir deux points : 1/
l’agression est le fait de Monsieur
Samuel METAUX ; 2/ cette agression, qui
était déplorable mais au final assez
minable, a pris une ampleur toute
particulière compte tenu de l’attitude
de l’employeur, et des autorités
diplomatiques qui ont agi sans réflexion
préalable suffisante. Les deux éléments
se conjuguent pour démontrer qu’il
existe autour de cet établissement une
véritable culture de l’impunité et que
l’agression, comme l’attitude de
l’administration, repose sur la
conviction que vous alliez être broyé
par la machine, préférant vite quitter
l’Egypte en demandant votre compte. […]
Il est assez remarquable, alors que vous
étiez pris par le feu des événements,
d’avoir pu constituer ce dossier et
d’avoir pris le temps d’écrire et de
prendre à témoin, réunissant ainsi
d’importants éléments de vraisemblance,
et surtout amenant la partie adverse à
réagir. […] Le mail adressé par
Monsieur TUMPICH le 31 mars 2013 vous
décriva[i]t comme quelqu’un de violent,
à tel point que la seule solution était
de vous écarter de l’établissement. Vous
êtes décrit auprès des parents comme une
sorte de semi-sauvage, incontrôlable. Or
nous savons qu’à ce stade, Monsieur
TUMPICH était parfaitement informé que
l’agression n’était pas de votre fait ;
[…] c’est donc à dessein, dans le but de
[vous] casser et de vous obliger à
quitter votre poste et l’Egypte qu’il a
choisi de prendre à partie les parents.
[Quant à la direction de la Mission
laïque française], avec son autorité,
[elle] se permet d’écrire à un Député en
accréditant une version des faits
qu’[elle] sait entièrement fausse, et
qui vous présente comme un individu
dangereux et infréquentable. […] Il a
fallu toute votre vigilance et votre
courage pour inverser la manœuvre. »
Ces faits sont, à
mon sens, très préjudiciables à la
France, à son image et aux
ressortissants français à l’étranger.
Ceux-ci devraient être protégés de tels
agissements, surtout lorsqu’ils sont
recrutés en France pour travailler pour
une institution française (la MLF), sous
la tutelle de deux ministères, et sont
ensuite complètement abandonnés et, plus
encore, accablés par les instances qui
sont censées les protéger. Bien plus,
les enfants qui sont placés dans ces
établissements par leurs parents,
confiants dans la réputation
d’excellence de la France, sont à mon
sens les principales victimes de cette
situation. Leur potentiel est dilapidé
par les conditions extrêmes qui règnent
dans ces établissements de la Mission
laïque française. Cette situation ne
permet nullement la transmission d’une
instruction et d’une éducation décentes
à des enfants qui sont, de par leur
statut social, l’avenir de leurs
Nations, qui est par conséquent
compromis.
Ayant établi que « Cet
établissement joue sur l’impunité en
pensant que s’il existe un litige avec
un salarié, il sera traité par la
juridiction égyptienne, et avec une
efficience toute relative et un impact
très réduit en France », mon avocat
préconisa alors la conduite d’une action
« pour fragiliser tout ce système
qui, ignorant la loi, fonctionne
finalement comme un système mafieux, au
sens opaque et privilégiant des intérêts
particuliers ». Cette action, je
suis déterminé à la mener.
/...
La suite sur le
blog de l'auteur
Le sommaire de Sayed Hasan
Les dernières mises à jour
|