Opinion
Les vrais patrons sont derrière les
rideaux
Quatre traités inégaux
Robert Bibeau
Robert
Bibeau
Mercredi 23 avril 2014
Les quatre Accords de libre-échange
Les électeurs sont invités à
sélectionner la clique électoralistes
(Libéral, Parti Québécois, CAQ, UMP,
Socialiste, Front de Gauche,
Conservateur, NPD, Républicain,
Démocrate, Travailliste, etc.) qui
obtiendra l’insigne honneur
d’administrer les affaires de l’État
policier des riches, pour le bénéfice
exclusif des riches. Pendant ce temps, «
Les vraies affaires !
» se négocient en catimini dans
l’antichambre des parlements et dans les
suites d’hôtels luxueux à l’insu de
ceux-là mêmes – politiciens – qui
demain seront forcés d’entériner
ces traités inégaux ayant une grande
incidence sur la vie des salariés (1).
Quatre monstres commerciaux
(quatre traités de libre-échange) sont
en cours de négociation (ou a été
paraphé) par les guignols politiques aux
ordres de leurs patrons. Ces accords ont
pour noms : Accord de partenariat
transatlantique (APT), qui, même
s’il ne concerne directement que les
États-Unis et l’Union européenne, aura
des conséquences majeures au
Canada-Québec via l’Accord de
libre-échange nord-américain (ALENA)
en vigueur depuis 1994 (2). Accord
économique et commercial global entre
l’Union européenne et le Canada (AECG),
le Trans-Pacifique Partnership (TPP)
et Accord de libre-échange Canada
Corée du Sud, le quatrième fils de
Belzebuth sorti des manigances des
négociateurs cachés derrière des entrées
fermées (3).
L’Accord de
partenariat transatlantique (APT)
L’APT, inspiré de
l’Accord multilatéral sur les
investissements (AMI), révèle la
revue Coup/Rage (4), est en
négociation depuis juillet 2013 entre
les États-Unis et l’Union européenne. Ce
sera un sommet dans le domaine de la
dérèglementation ! L’objectif des
négociateurs patentés est de contourner
les réformes mises en place par les
gouvernements américains et européens
suite à la crise des
subprimes de 2007-2008 (5).
On se rappellera que ce montage
financier, de type
Pyramide de Ponzi, imaginé
par les banquiers de la JP Morgan,
consistait à mettre en marché boursier
des « actifs » toxiques, amalgames de
prêts hypothécaires sulfureux ;
approuvés comme placements sécurisés par
les agences de notation américaines (Moody’s,
Standard and Poor’s), filiales des
banques étatsuniennes qu’elles sont
chargées de surveiller (6). Ce sont ces
« actifs » toxiques que la Caisse de
dépôt et placement du Québec acheta
par milliards et avec lesquels elle «
évapora » 40 milliards de dollars des
épargnes des salariés québécois (7).
Accord
commercial global entre l’Union
européenne et le Canada
Cet accord (AECG)
réglementera plusieurs secteurs
économiques, le commerce des biens et
des services, les investissements, la
protection des investisseurs,
l’attribution des contrats publics, la
mobilité de la main-d’œuvre, les charges
sociales. Selon le premier ministre
Stephen Harper, cet accord aura plus
d’impact sur la vie des Canadiens que l’ALENA
en a eu depuis vingt ans (8). L’AECG
renferme l’article 11 de l’ALENA,
ce qui signifie que les administrations
canadiennes des niveaux fédéral,
provinciaux et municipaux doivent
renoncer à une partie de leur
souveraineté et abandonner leur
juridiction à une Mission commerciale
internationale (9). Cet accord
économique inégal, avec la mise sur pied
de tribunaux servant à protéger les
droits des entreprises privées
canadiennes et européennes, mettra
l’ensemble de l’économie canadienne sous
le joug des corporations qui ont initié
des recours judiciaires pour
l’abrogation du salaire minimum
obligatoire, ou contre la limitation
d’émissions de gaz toxiques (Pérou),
sans manquer d’autoriser les exactions
de l’industrie minière internationale où
le Canada est un joueur majeur (10).
Tous les partis politiques
canadiens, y compris les partis
bourgeois québécois, ont applaudi à
cette mise sous tutelle du droit
financier, minier, commercial, social
canadien et québécois. À la
lumière de ces accords supra nationaux
importants et contraignants, tous auront
compris que les velléités
sécessionnistes dites frauduleusement «
indépendantistes » d’une fraction des
bouffons de la bourgeoisie québécoise
sont risibles et nuisibles. Ces
balivernes pseudo « souverainistes »
sont avancées tandis que l’on soumet
l’économie québécoise aux diktats de la
concurrence internationale sauvage.
Cette bataille sécessionniste rétrograde
et réactionnaire voudrait placer la
classe ouvrière à la remorque des
capitalistes québécois. Ces turpitudes
sécessionnistes dilapident les énergies
ouvrières et détournent la colère
étudiante et populaire des luttes de
résistance quotidienne contre les
politiques d’austérité, et des combats
pour la conquête du pouvoir d’État par
le prolétariat. Malheureusement, la
signature de pétitions de protestation,
les manifestations pacifiques, les
sit-in devant les places boursières ne
suffiront pas à faire reculer les
apparatchiks politiques, sous-fifres du
grand capital.
Trans-Pacifique
Partnership
Cet accord est un traité de
libre-échange qui vise à intégrer les
économies de la zone Asie-Pacifique. Ce
traité regroupe déjà Brunei, le
Chili, la Nouvelle-Zélande
et Singapour, auxquels veulent se
joindre les États-Unis,
l’Australie, le Canada, le
Mexique, le Japon et le
Pérou. Les États-Unis sont anxieux
de se joindre à ce regroupement avant
que la Chine, sa principale
rivale commerciale, n’y adhère, de façon
à négocier férocement les conditions
d’adhésion des Chinois. Les États-Unis
espèrent ainsi mieux se positionner pour
conserver leurs
parts de marché dans cette région
développée. Ce dernier avantage ne
concerne qu’un certain nombre de
produits ciblés (avionnerie, automobile,
armement, énergie, prospection,
technologie des communications), les
États-Unis étant
incapables de subvenir à leurs
besoins domestiques dans nombre de
secteurs de production. Ce sont les plus
grands importateurs de la planète et
depuis 1970 leur balance commerciale est
lourdement déficitaire. En 50 ans,
depuis 1960, l’importance du commerce
extérieur étatsunien a chuté de 571 %
dans le PIB national, un revers
économique important. Sans compter que
la balance des paiements courants
(incluant les transferts de capitaux)
est déficitaire depuis 1982, ce qui
signifie que depuis trente ans le
rapatriement des profits des
multinationales monopolistes a cessé de
compenser pour le déficit commercial
gargantuesque (11).
Ce sont ces faits commerciaux qui
entraînent l’effondrement de la monnaie
américaine et non pas les tribulations
de la monnaie étatsunienne qui amène la
destruction de l’économie de ce pays. Il
en est de même pour la
zone euro, ce n’est pas la monnaie
commune qui pose problème aux pays du
marché commun et qui entraîne la crise
européenne. C’est la dégénérescence de
l’économie, l’ouverture des frontières à
la concurrence étrangère à l’intérieure
de l’Espace Schengen qui entraîne
les problèmes monétaires et sociaux dans
toute la zone euro.
La monnaie n’est qu’un outil, un
instrument économique – si l’économie
s’effondre – la monnaie s’effondre –
jamais l’inverse.
« Les effets de ce traité (TPP)
sont multiples : favorisation de la
délocalisation d’emplois, pression pour
importer la nourriture et diminuer les
normes d’étiquetage, limitation de la
liberté sur Internet, prolongation de la
durée des brevets des médicaments (donc
augmentation des frais, donc plus de
risques pour la santé), permission aux
entreprises de poursuivre les pays qui
entravent leur accumulation de profits
et, bien sûr,
dérèglementation des marchés
financiers » (12).
L’impérialisme canadien est très
actif dans cette région du globe comme
l’atteste la signature de l’Accord de
libre-échange Canada Corée du Sud en
mars 2014, éliminant, une fois en
vigueur dans un an, pratiquement tous
les tarifs douaniers entre les deux
pays, la Corée du Sud s’étant engagée à
en effacer 81,9 % dès le premier jour de
son application tandis que le Canada a
promis d’en retirer 76,4 %. D’autres
droits de douane nécessiteront des
dizaines d’années avant d’être
complètement éliminés (13).
Cependant, il ne faut pas se
fourvoyer, ce que les oligarques (et les
réformistes gauchistes) appellent «
dérèglementation néolibérale » est en
fait
la promulgation de nouvelles lois, de
nouvelles normes et de nouveaux
règlements plus aptes, espèrent-ils,
à assurer la valorisation de leurs
avoirs de même qu'une
reproduction élargie du capital.
Nous l’avons souligné
précédemment, ce ne sont pas les
capitaux (productifs) qui font l’objet
de la spéculation des banquiers
(puisqu’il y a de moins en moins de
marchés à conquérir il semble inutile de
chercher à produire davantage sinon pour
se repartager les marchés), mais les
devises, les monnaies, les écritures
comptables et les « actifs spéculatifs
», volatiles et fragiles parce que
nullement adossées à des marchandises
ayant une valeur tangible, qui sont
l’objet de leur convoitise. Ils savent
tous pourtant que
la spéculation boursière sur du vent
engendrera un nouveau krach boursier,
mais ils ne peuvent s’en empêcher.
Ils seront déçus les capitalistes, car
même en étendant mondialement leur
prévarication et la « tonte des coupons
» – et même en élargissant les aires
géographiques d’accumulation des devises
– ils ne parviendront pas à résoudre le
paradoxe de la baisse tendancielle du
taux de profit moyen (alors que la
masse d’argent augmente) inscrit dans
les gènes du système économique
capitaliste parvenu à son stade suprême
de dégénérescence impérialiste moderne.
À ceux qui suggèrent de
contrebalancer la mondialisation
néo-libérale par la création de
structures internationales dont la
création d’alliances multinationales
d’États impérialistes qui cogiteraient
des lois supranationales de
réglementation bancaire et monétaire
comme le Glass Steagall Act II
(14), nous répondons que de telles
agences de gouvernances et de tels
organismes internationaux existent déjà,
ils ont pour nom ONU, OCDE, CPI, FMI,
BM, OMC, OMI, OIT, OACI, Union
européenne, et tous ils contribuent au
saccage de l’économie (15). Selon Le
Monde diplomatique : « Cinq ans
après l’irruption de la crise des
subprimes, les négociateurs américains
et européens ont convenu que les
velléités de régulation de l’industrie
financière (sic) avaient fait leur
temps. Le cadre qu’ils veulent mettre en
place prévoit de lever tous les
garde-fous en matière de placements à
risques et d’empêcher les gouvernements
de contrôler le volume, la nature ou
l’origine des produits financiers mis
sur le marché » (16).
De l’inévitabilité de la crise
économique systémique
Le bon sens financier et la
logique commerciale commandent que ces
produits boursiers sulfureux soient
prohibés. Mais comme ils sont très
lucratifs – du moins pour les émetteurs
de ces papiers – et comme ils
constituent la seule façon de faire
tourner l’argent, d’un cycle économique
à un autre, les banquiers ne peuvent
s’en priver et ils travaillent sans
relâche à dérèglementer, en réalité à
modifier les règlements des secteurs
financiers, afin de réintroduire ces
pratiques frauduleuses et à terme
suicidaires.
Les banquiers, les milliardaires, les
politiciens et les oligarques sont
totalement impuissants
à empêcher le développement
spéculatif inéluctable de ce qu’ils
appellent l’économie « irréelle », et
qui pourtant est bien réelle comme le
prochain krach boursier le leur
rappellera.
Ils ne sont que des pions, des
apparatchiks de l’appareil financier,
entraînés par les lois nécessaires du
développement économique impérialiste
moderne.
Sur ces lois économiques, nul n’a de
prise – le mode de production et les
rapports de production impérialistes
modernes fonctionnent ainsi dans leur
course au profit pour assurer la
valorisation du « capital monétaire
inflationniste » (sic) et ils entrainent
ainsi le système à sa perte inexorable.
En effet, ce mécanisme purement
monétaire et spéculatif est totalement
dissocié du cycle de valorisation et de
reproduction du capital industriel et
marchand. Si bien que la bourse peut
engendrer des masses énormes de profits
monétaires – d’actifs corporatifs
spéculatifs frauduleux – tout ce
numéraire n’est que du papier, des
entrées aux livres de comptes
corporatifs, sans aucune valeur
matérielle réelle, car aucune de ces
inscriptions n’est passée par l’étape
obligatoire de la production de
plus-value industrielle et marchande –
là ou se crée toute richesse sous le
mode de production
capitaliste-impérialiste.
Fondamentalement, c’est la
compréhension et la conscience de cette
nécessité implacable des lois
économiques capitalistes qui distinguent
un économiste marxiste des différentes
variantes d’opportunismes et de
réformismes de gauche comme de droite.
Les lois qui régissent le mode de
production capitaliste ne peuvent être
transgressées – manipulées – modifiées –
elles sont impératives, obligatoires,
imprescriptibles et contraignantes ;
qui ne s’y soumet s’attire de
graves problèmes et qui leur obéit
appelle de graves crises systémiques. Il
n’y a aucune porte de sortie, et
personne ne peut sauver ce bateau ivre
lancé contre Prométhée, voilà ce que
Marx a voulu signifier à l’humanité. Ce
mode de production doit être renversé et
remplacé par un mode de production
planifié.
C’est la raison pour laquelle
nous certifions que la
dérèglementation-règlementation des
secteurs boursiers, financiers,
bancaires, monétaires, du prêt à la
consommation et des emprunts
gouvernementaux (dette souveraine) vont
se poursuivre parallèlement aux mesures
d’austérité qui accompagnent ces
politiques économiques suicidaires mais
nécessaires, n’en déplaise aux
réformistes gauchistes et droitistes.
La politique de la classe ouvrière
La classe ouvrière existe plus
que jamais, elle est peu présente sur la
scène politique il est vrai, mais cela
va changer. Le problème pour la classe
ouvrière et pour l’ensemble des salariés
ce n’est pas que ces accords commerciaux
soient bilatéraux, plurinationaux,
transnationaux ou multinationaux, le
problème ce sont les objectifs que
poursuivent tous ces accords, traités
inégaux et alliances contre nature. Ils
visent à créer les conditions
juridiques, politiques, diplomatiques et
militaires:
- pour une pleine expansion économique
impérialiste;
- pour assurer la consolidation de la
division internationale inégale du
travail entre les différents pays
signataires;
- pour consolider l’accaparement des
ressources naturelles (énergie,
minerais, forêts, eau, agriculture,
pêches);
- pour favoriser le contrôle des marchés
et de la production anarchique;
-
et surtout, ils ont pour but
d'assurer
la spoliation de la plus-value
ouvrière, le plus commodément
possible par les grandes corporations
monopolistes qui ne souffrent d’aucune
allégeance nationaliste.
Le capital n’a ni patrie, ni
nationalité, il n’a pas d’émotivité. Le
capital sert celui qui lui permet de
fructifier, de se reproduire et
d’accomplir son cycle de reproduction
élargie jusqu’à sa disparition
inéluctable.
La crise systémique de l’impérialisme
moderne découle de cette
contradiction. Malgré l’extension
sauvage des conditions, des normes, des
lois, des traités inégaux et des accords
de non-réciprocité,
la tendance à la diminution de la
reproduction élargie du capital «
productif » est inexorable et aucun
traité ne peut inverser ce cycle
dépressif. Abolir ces accords, déchirer
ces traités, rejeter ces alliances
d’affaires, commerciales, économiques et
militaires ne sert à rien. Chaque fois,
le système économique impérialiste
reconstituera ces partenariats
nécessaires à l’accaparement de la
plus-value ouvrière et à sa
concentration monopolistique, car
cette concentration est une condition
obligée de sa reproduction élargie –
finalité ultime de ce mode de production
moribond.
« La finalité constante de la
production capitaliste est d’engendrer,
avec le minimum de capital, un maximum
de plus-value (…) Dans cette conception
les ouvriers eux-mêmes apparaissent
comme ce qu’ils sont dans la production
capitaliste : de simples moyens de
production, et non une fin en soi, ni la
finalité de la production » (17).
Pour les ouvriers et leurs alliés
(les autres salariés, les étudiants, les
travailleurs immigrants), il est très
difficile de s’opposer à la signature de
ces accords négociés en secret et signés
par les gouvernements à la solde des
riches. Chaque fois que des référendums
ont été organisés, visant à faire
entériner ces traités par les salariés,
ou bien les dés étaient pipés, ou encore
les résultats ont été ignorés.
Conséquemment, est-il
futile de résister de toutes nos
forces et par tous nos moyens
aux conséquences de ces traités et de
ces accords inégaux sur notre quotidien,
au foyer, au travail, au bureau, sur le
chantier, au supermarché et dans nos
quartiers ? NON ! Il est obligatoire,
indispensable et nécessaire que chaque
ouvrier et ses alliés résistent
férocement et opiniâtrement, par tous
les moyens à leur disposition, aux
conséquences néfastes, immédiates et à
long terme, de ces traités inégaux, de
ces accords inéquitables et de ces
alliances multinationales de
non-réciprocité. Lutter contre leurs
effets sur notre pouvoir d’achat, sur
nos conditions d’emploi, sur les
cadences de travail,
contre les mesures d’austérité qui
viennent avec la crise et qui servent à
faire payer ceux qui en pâtissent sans
jamais avoir l’opportunité d’apporter
leurs solutions à ces malversations en
édifiant une nouvelle économie politique
socialiste.
VOLUME D’ÉCONOMIE GRATUIT »
http://www.robertbibeau.ca/VolumeDeclin.html
(1)
« Ensemble, pour les vraies affaires
! » était le slogan électoraliste du
Parti libéral du Québec lors des
élections bidon du 7 avril 2014.
(2)
On trouvera une description de l’ALENA à
cette adresse :
http://www.international.gc.ca/trade-agreements-accords-commerciaux/agr-acc/nafta-alena/index.aspx?lang=fra
(3)
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/402255/libre-echange-le-canada-et-la-coree-du-sud-s-entendent
(4)
Nous remercions le journal Coup/Rage
de la CLAC de Montréal, de nous
avoir permis de nous inspirer de leur
article. Coup/Rage. Printemps
2014. Page 11-12.
http://www.clac-montreal.net/
(5)
http://les7duquebec.org/7-au-front/la-crise-economique-dans-tous-ses-mefaits/.
Voir aussi
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/grece-comment-sortir-de-la-crise/
(6)
L’arnaque de type Pyramide de Ponzi
est connue depuis les années 1920 et
pourtant les grandes banques d’affaires
la pratiquent toujours avec quelques
modifications cosmétiques comme ici dans
la vente de paquets d’hypothèques
risquées que chaque spéculateur refilait
au suivant. Le drame de la Caisse de
Dépôt et de Placement étant
de s’être fait prendre avec la patate
chaude entre les mains entre deux
transactions
http://www.captaineconomics.fr/actualite-economique/item/375-pyramide-ponzi-systeme-pyramidale-madoff-albanie
(7)
Robert Bibeau (2014)
Le déclin de l’impérialisme
contemporain. 60 pages.
Téléchargez le feuillet
gratuit
http://www.robertbibeau.ca/VolumeDeclin.html
(8)
Cet accord commercial récent est
présenté ici:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_%C3%A9conomique_et_commercial_global.
Voir aussi,
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/le-crash-boursier-est-a-nos-portes-et-les-experts-radotent/
(9)
http://www.tradejustice.ca/fr/. Voir
aussi
http://www.international.gc.ca/trade-agreements-accords-commerciaux/topics-domaines/disp-diff/nafta.aspx?lang=fra
(10)
http://www.monde-diplomatique.fr/2013/09/DENEAULT/4959
(11)
http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?codeTheme=7&codeStat=NE.RSB.GNFS.Z&codePays=
USA&codeTheme2=1&codeStat2=x&langue=fr .
Voir aussi
http://data.lesechos.fr/pays-indicateur/etats-unis/balance-des-paiements-courants.html
(12)
Coup/Rage. Printemps 2014. Page 11-12.
http://www.clac-montreal.net/
(13)
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/402255/libre-echange-le-canada-et-la-coree-du-sud-s-entendent
(14)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Glass-Steagall_Act
(15)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d'organisations_internationales
(16)
http://www.monde-diplomatique.fr/
(17)
Karl Marx, Le Capital, Théories Sur la
Plus-Value II, Éditions Sociales, pages
654.
http://marxisme.fr/telecharger_musiques_mp3_livres_communistes.htm
Pour s’informer,
le webzine :
http://www.les7duquebec.com/
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