Palestine
Al-Quds au cœur de
la Palestine et de la nation:
Soutien à la résistance maqdisie
palestinienne
Rim al-Khatib
Dimanche 13 juillet 2014
N°10 – Juillet 2014
La révolte des
jeunes Maqdisis, suite à l’enlèvement et
l’exécution de sang-froid de
l’adolescent Mohammad Abu Khdayr (15 ou
16 ans) risque de s’étendre et
d’embraser, non seulement tous les
quartiers encore arabes de la ville
occupée d’al-Quds, mais également les
villes et bourgs demeurés arabes dans
les territoires palestiniens occupés en
1948. A partir du quartier de She’fat,
auquel appartient le martyr Abu Khdayr,
la révolte s’est étendue vers les autres
quartiers, malgré la féroce répression
de l’armée et de la police de
l’occupation. Des centaines de jeunes
arrêtés et des centaines de blessés par
toutes sortes de balles n’ont pas mis
fin à la révolte, qui se déclenche tous
les soirs après la rupture du jeûne dans
plusieurs quartiers : She’fat, at-Tour,
Selwan, la vieille ville, ‘Issawiya,
Sawana, ‘Anata, Beit Hanina, ‘Izariya…
Si le martyre du
jeune Abu Khdayr a déclenché la révolte
des jeunes Maqdisis, il faudrait
l’expliquer par des dizaines d’années de
pratiques colonialistes dans la ville
d’al-Quds : terreur exercée par les
colons, confiscation ou destruction des
maisons, arrestations, expulsions,
colonisation accrue, dépeçage non
seulement de la ville mais des quartiers
et destructions de la vie sociale et
familiale palestinienne, judaïsation de
l’enseignement dans les écoles maqdisies.
Pendant toutes ces dernières années, les
enfants maqdisis furent la cible de
choix de la terreur de l’entité
coloniale : arrêtés et brutalisés
lorsqu’ils ne sont pas tués, ils sont
emprisonnés dans des conditions
épouvantables et torturés, avant d’être
relâchés pour être placés sous
« résidence surveillée ». C’est contre
leur humiliation quotidienne et
l’humiliation de leurs parents et de
leur peuple que les jeunes se sont
emparés des cocktails molotov et des
pierres, ainsi que des fusées
d’artifice, pour les lancer contre les
soldats et affirmer qu’ils veulent
« libérer la Palestine ».
Les scènes
nocturnes de la révolte ont suscité la
peur, non seulement des sionistes, mais
également d’une classe politique
palestinienne qui craint pour ses
privilèges et son statut accordés par
les accords d’Oslo. Cette classe
politique, secondée par les
intellectuels à sa solde, est déjà en
mouvement pour stopper la révolte des
jeunes, sous les divers prétextes : « le
moment n’est pas mûr », « nous porterons
plainte devant les Nations-Unies », « il
faut rester civilisé » quand elle
n’accuse pas tout simplement les jeunes
maqdisis d’être des « voyous » pour
n’avoir pas attendu ses directives.
I - Al-Quds
occupée : asphyxie et purification
ethnico-religieuse
Le quartier Rabat
al-Kurd (Hawsh Shihabi) dans la vieille
ville d’al-Quds, est menacé par la
judaïsation. Ce quartier se situe à
proximité de la mosquée al-Aqsa. Les
colons extrémistes tentent de s’y
infiltrer, soit en creusant des tunnels
qui passent sous le quartier soit en y
établissant des points de colonisation.
L’un des habitants maqdisis du quartier,
Khodr Shihabi explique : le quartier
connu par le nom de Hayy Shihabi est
l’un des sept « ribat » construits tout
au long des siècles passés, il est même
le troisième, afin de servir les fidèles
qui passent par la ville d’al-Quds. Il a
affirmé que les sionistes essaient de
s’en emparer à cause de sa proximité du
dôme du Rocher et parce qu’il comprend
une place appelée « place Samawiya » où
se trouve une extension du mur al-Bouraq,
que les sionistes considèrent comme
faisant partie de leur prétendu temple.
La famille s’est adressée au tribunal
central d’al-Quds et a arrêté la fin des
travaux « de rénovation » menés par la
municipalité de l’occupation, car le
site appartient à la famille.
L’occupant déclare
qu’il lui faut des mois pour réparer les
dégâts occasionnés par les jeunes à la
ligne du tram de l’occupation, à She’fat
et Beit Hanina, lors de leur révolte. Ce
tram non seulement divise les localités
palestiniennes puisqu’il passe en plein
milieu, mais il est spécialement conçu
pour relier les colonies entre elles.
L’occupant a
installé un radar militaire au poste
militaire aérien de Qalandia, au nord
d’al-Quds, pour protéger la colonie
Modi’in contre la résistance.
De nouvelles unités
de logement sont prévues dans les
colonies Pesgat Zeev et Jabal Abu Ghnaym
(Har Homa).
Les colons
agressent les Maqdisis : des dizaines de
Maqdisis ont été agressés et insultés
dans la rue Yafa, dans la partie
occidentale d’al-Quds. Les colons ont
essayé de kidnapper des jeunes à Beit
Hanina. Un chauffeur de taxi maqdisi a
été violemment tabassé par les colons à
Selwan. Le jeune Zayn Sayouri (18 ans)
de Ras al-Amud a été violemment attaqué
alors qu’il entrait dans un supermarché.
L’occupant ordonne
le 24 juin la fermeture d’une autre
antenne de « l’institution d’al-Quds
pour le développement » située rue
Salaheddine dans la ville occupée d’al-Quds.
L’avocat Khaled Zabarqa, directeur de
l’institution a déclaré que l’occupant
veut interdire tout soutien social à la
population maqdisie et briser sa
résilience.
L’occupant poursuit
son projet de construire le parc
colonial sur les pentes de Jabal al-Masharef,
malgré les protestations légales des
habitants d’al-Tour et de Issawiya. La
construction de ce parc vise à empêcher
toute extension démographique de ces
deux quartiers qui sont déjà surpeuplés.
C’est ce qu’a d’ailleurs affirmé le
porte-parole d’un parti sioniste de
gauche (Meretez).
L’occupant a
renouvelé l’interdition d’entrer dans la
ville d’al-Quds, au sheikh Raed Salah,
pendant 6 mois, le 26 juin. Pour sa
part, Sheikh Raed Salah a déclaré que
cette condamnation se situe dans le
cadre d’une campagne visant à interdire
le mouvement islamique, ajoutant qu’à
présent, il lui est interdit d’entrer
dans la mosquée al-Aqsa, dans la ville
d’al-Quds, en Cisjordanie et interdit de
voyager.
II – Al-Quds
occupée : répression
Exécution et
immolation par le feu du jeune Mohammad
Abu Khdayr par des colons établis dans
al-Quds le 2 juillet. Des affrontements
entre les forces armées de l’occupation
et les jeunes maqdisis dans plusieurs
quartiers se soldent par l’arrestation
de 200 jeunes environ. Les services
médicaux de la ville ont déclaré que 207
citoyens ont été blessés par la violence
de l’occupation.
Le cousin du martyr
Mohammad Abu Khdayr, Tareq, a été
violemment battu par les forces armées
de l’occupation, avant de l’arrêter.
Ayant un passeport américain, le
consulat a réclamé sa libération. Mais
Tareq a été placé en détention à
domicile, pour 15 jours. Aucune enquête
n’a été ouverte pour découvrir les
policiers qui l’ont roué de coups. Mais
la soi-disant enquête de l’occupant pour
l’exécution de Mohammad Abu Khdayr a
ciblé les colons qui en seraient
responsables. Trois d’entre eux auraient
été relâchés, les autres traduits devant
des psychiatres, en vue de les relâcher.
Les colons on
essayé d’enlever des jeunes dans le
quartier de Sheikh Jarrah.
Les tribunaux de
l’occupation ont renouvelé la détention
de 14 Maqdisis arrêtés le 3 juillet.
Le 8 juillet,
l’occupant arrête 4 jeunes près des
murailles de Bab Sahira, dans la vieille
ville. 3 autres ont été arrêtés à Beit
Safafa au sud d’al-Quds.
L’occupant annonce
avoir arrêté la nuit du mardi au
mercredi 8-9 juillet 42 jeunes Maqdisis.
Dimanche 13
juillet, les policiers de l’occupation
expulsent les fidèles de la mosquée al-Aqsa.
Ils les ont agressés et ont tiré des
balles en leur direction pour les faire
sortir. Les forces sionistes préparent
ainsi l’entrée massive de colons dans la
mosquée. Dès l’aube, la mosquée est
encerclée par les barrages placés même
dans les ruelles de la vieille ville qui
y mènent.
III - Al-Quds
occupée : les lieux saints
Au cours de la
première semaine du mois de Ramadan, les
autorités de l’occupation ont fermé à
deux reprises les accès à la mosquée al-Aqsa,
et ont autorisé des dizaines de colons à
la profaner. Elles ont également
interdit aux fidèles d’y prier le
premier vendredi du mois, sauf à
quelques centaines de fidèles. Les
autres, plusieurs centaines, n’ont eu
accomplir la prière du vendredi que dans
les rues adjacentes à la mosquée. Les
forces armées de l’occupation ont mené
une incursion dans la mosquée
immédiatement après la fin de la prière
du vendredi et y ont lancé des bombes
sonores, pendant que ses snipers
montaient sur les toits pour
« surveiller » les fidèles.
Le deuxième
vendredi du mois de Ramadan, les
sionistes ont interdit aux fidèles de
prier dans la mosquée al-Aqsa. Seulement
une dizaine de milliers de fidèles ont
pu entrer, alors que normalement, c’est
plusieurs centaines de milliers de
fidèles qui se dirigent vers la mosquée
les jours de vendredi du mois de
Ramadan.
Les mesures
restrictives de l’occupation empêchent
les fidèles d’accéder à la mosquée et
d’accomplir les prières des Tarawih. Le
premier vendredi du mois de Ramadan
cependant, 40 cars ont réussi à amener
les Palestiniens de 48 pour y accomplir
ces prières, portant le nombre des
fidèles à 20.000.
Plusieurs
associations s’activent pendant le mois
de Ramadan pour présenter le repas d’al-Iftar
à la population maqdisie dans la mosquée
al-Aqsa.
L’occupant interdit
aux étudiantes d’entrer à la mosquée
pour suivre les cours organisés par « Masateb
al-‘Ilm ». Elles ont riposté et une
jeune (22 ans) de Sheikh Jarrah a été
arrêtée, au moment où l’occupant
autorisait des dizaines de colons à y
entrer et à la profaner.
L’institution « ‘Amarat
al-Aqsa » a publié les derniers chiffres
relatifs aux colons ayant profané la
mosquée au mois de juin : 2134 colons.
L’augmentation du nombre des colons va
de pair avec la diminution du nombre des
fidèles musulmans pouvant entrer dans la
mosquée. L’institution d’al-Aqsa
considère que l’occupant cherche à
consacrer une présence physique
permanente des colons à l’intérieur de
la mosquée, en vue d’imposer son partage
dans le temps et l’espace, avant de la
détruire pour construire « le temple ».
IV - Al-Quds
occupée : résistance palestinienne
L’invasion
militaire de la région d’al-Khalil et
d’autres villes et villages palestiniens
de la Cisjordanie et la férocité de
l’occupation contre la population
maqdisie ont incité la résistance
militaire basée à Gaza à envoyer des
« messages » à l’occupant pour qu’il
mette fin à la vague de répression et de
destruction qu’il mène. Mais ce dernier
avait pris prétexte de la disparition
des trois colons pour lancer son
offensive pour détruire la résistance.
Il a lancé son agression contre Gaza,
qui résiste et riposte : des centaines
de fusées lancées par la résistance ont
touché les abords d’al-Quds, les
colonies situées entre Tel Aviv et al-Quds
et al-Khalil, sans mentionner toutes les
fusées lancées sur les colonies situées
près de la bande de Gaza. L’occupant a
été surpris par la force de frappe de la
résistance, et poursuit ses attaques :
plusieurs dizaines de martyrs sont
tombés, la plupart étant des civils, des
familles entières sont décimées,
montrant une fois de plus que l’occupant
tue le maximum de gens parce qu’il
n’arrive pas à toucher les résistants.
Pour le deuxième
vendredi du mois de Ramadan, les
Maqdisis qui ont été interdits de prier
dans la mosquée al-Aqsa se sont révoltés
et ont tenu tête aux policiers de
l’occupation. Des affrontements ont eu
lieu entre les jeunes et les occupants,
dans plusieurs quartiers de la ville, et
des témoins ont assuré que les policiers
prenaient la fuite pour éviter la colère
des Maqdisis.
Tout au long de
l’agression sioniste contre les
Palestiniens de la bande de Gaza, les
Maqdisis n’ont cessé leur mouvement de
révolte : les jeunes ont cassé les
caméras de surveillance dans des
quartiers de la vieille ville (le chemin
de Bab Hatta), ils ont affronté le poste
militaire situé à Qalandia, séparant al-Quds
de la ville de Ramallah, ils ont
affronté l’occupant à Selwan et al-Issawiya,
et à Abus Dis, le jeune Adam Urayqat a
été touché par balle avant d’être
arrêté. A chaque fusée envoyée par la
résistance à Gaza sur al-Quds et ses
environs, la population se massait sur
les toits des maisons pour saluer les
résistants.
Avant même le mois
de Ramadan et l’agression criminelle
contre Gaza, les étudiants de la mosquée
al-Aqsa ont chassé un groupe de 35
colons qui ont profané la mosquée, le 26
juin. Ils ont riposté à l’entrée de 60
colons (juifs et touristes) le premier
jour de Ramadan, le 30 juin.
V- Al-Quds occupée :
« Masâteb al-‘Ilm » dans la mosquée al-Aqsa
Depuis plusieurs
années, les associations palestiniennes
musulmanes agissant pour la défense de
la mosquée al-Aqsa ont mis en place ce
qui est désigné par « Masâteb al-‘ilm »,
soit des cours dispensés à l’intérieur
même de la mosquée par plusieurs maîtres
et sheikhs, sous la forme de cercles
d’études, bien que le terme « masâteb
al-‘Ilm » désignât historiquement des
endroits aménagés à l’intérieur de la
mosquée pour accueillir enseignants et
étudiants. Il s’agit d’abord de renouer
avec le statut même de la mosquée al-Aqsa
et plusieurs autres mosquées centrales
dans le monde musulman où la mosquée fut
un lieu d’enseignement autant qu’un lieu
de recueillement et de prière, mais
aussi d’assurer une présence
quasi-permanente des fidèles dans la
mosquée pour empêcher sa profanation par
les juifs extrémistes.
Depuis que quelques
rabbins extrémistes ont donné
l’autorisation aux juifs de mener des
pratiques talmudiques dans ce qu’ils
considèrent « le mont du temple », pas
un jour ne passe sans que la mosquée al-Aqsa
ne soit profanée, que ce soit par des
membres d’organes sécuritaires de
l’entité sioniste, des députés ou des
personnalités politiques ou alors des
groupes de colons. Les « Masâteb al-‘Ilm »
furent une des réponses à la
recrudescence des actes profanateurs.
La mosquée al-Aqsa
est historiquement un lieu de savoir,
comme l’attestent la venue de milliers
de savants musulmans, pour y enseigner
ou assister à des cours dispensés par
d’autres savants et la présence de
nombreux « masâteb », les plus connus
étant « Mastabat al-Sanawbar » ou « Mastabat
Abu Bakr as-Siddîq », « Mastabat Sabra
wa Shatila » et « Mastabat al-Ghazâli »,
fondée en l’honneur du savant
Al-Ghazali qui rédigea son fameux « Ihy’a
Ulum ad-Dîn » dans une des pièces de la
mosquée. Initié en 2010, les « Masâteb
al-‘Ilm » ont accueilli au départ près
de 30 étudiants, mais ce chiffre va
augmenter jusqu’à atteindre 600
étudiants et étudiantes par jour en
2013, répartis en divers cercles
d’étude, qui comprennent des cours des
sciences religieuses et de langue arabe.
Les étudiants choisissent leurs cours et
y assistent, plusieurs fois par semaine.
Cette présence
quasi-permanente des étudiants à
l’intérieur de la mosquée al-Aqsa a gêné
les plans de l’occupant, qui souhaitait
s’emparer d’une mosquée abandonnée par
les fidèles. C’est alors qu’il a lancé,
depuis 2013, une vague de répression
contre les étudiants dans la mosquée,
sous le prétexte qu’ils empêchaient les
juifs de la profaner comme bon leur
semble, puisque les étudiants ont réussi
à maintes reprises à les en chasser. Non
seulement les enseignants furent
interdits d’entrer dans la mosquée, mais
les étudiants furent poursuivis, leurs
cartes d’identité confisqués et ils
furent souvent emprisonnés, rien que
pour avoir assisté à ces cercles
d’études. Le nombre d’étudiants et
d’étudiantes arrêtés a dépassé plusieurs
centaines, au cours des derniers mois.
De plus, la police vole ou détruit les
chaises installées par les organisateurs
de ces cercles d’étude. Les « Masâteb
al-‘Ilm » sont un des moyens mis en
œuvre par les Palestiniens pour résister
à l’occupation.
Lors de
l’interrogatoire des étudiants arrêtés
(des centaines au cours des derniers
mois), les services de renseignements de
l’occupation essaient de rassembler les
informations non seulement sur les
étudiants, mais sur leurs milieux
familiaux, leurs quartiers, leurs
voisins, ayant trouvé une nouvelle
source d’espionnage et d’infiltration
dans le milieu maqdisi. Les avocats des
étudiants et étudiantes arrêtés ont
dénoncé les pratiques de l’occupant et
mis en garde les Maqdisis arrêtés de
founir des renseignements à l’occupant.
VI - Al-Quds
occupée : solidarité
Un communiqué de
solidarité avec la résistance à Gaza,
rédigé par la campagne ALI (contre
l’Islamophobie en France) souligne le
lien entre l’islamophobie, la
colonisation sioniste de la Palestine et
les agressions contre la mosquée al-Aqsa
et rappelle que les sionistes veulent
détourner les musulmans du soutien à al-Quds.
Un journaliste
palestinien écrit : « où sont vos
millions de dollars pour soutenir la
ville et la population d’al-Quds ? »
après avoir décrit les travaux de
judaïsation menés par l’occupation grâce
aux millions récoltés par les sionistes.
La population maqdisie est menacée
d’expulsion et la mosquée al-Aqsa et les
lieux saints, chrétiens et musulmans,
sont menacés par la judaïsation. La
défense de l’arabité d’al-Quds, et le
maintien de sa civilisation,
poursuit-il, ne se réalisent pas par les
slogans et les déclarations, ni par les
communiqués de dénonciation.
Le bulletin ne
mentionnera plus la pseudo-solidarité
des organismes étatiques (Ligue arabe,
conseil des pays musulmans, unesco et
consorts), qui ne font en fait que
perpétuer l’occupation et se donnent
bonne figure auprès des peuples arabes
et musulmans. Ils ont leur propre média,
qu’ils diffusent leurs communiqués
trompeurs.
Par contre,
envoyez-moi toute information sur vos
initiatives de solidarité avec la ville
d’al-Quds, sa population et ses lieux
saints. Elles figureront dans le
bulletin.
N° 1 - 13.10.13
N° 2 - 01.11.13
N° 3 - 30.11.13
N° 4 - 26.12.13
N° 5 - 23.01.14
N° 6 - 20.02.14
N° 7 - 19.03.14
N° 8 - 12.04.14
N°
9 -
28.06.14
Le sommaire de Rim al-Khatib
Les dernières mises à jour
|