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Analyse

La diplomatie algérienne du dialogue inter-malien
au dialogue inter-libyen

Mohsen Abdelmoumen


De dr.à g., Ramtane Lamamra, Ministre algérien des Affaires étrangères
et Bilal Ag Acherif, Secrétaire général du MNLA, DR

Samedi 21 mars 2015

La diplomatie algérienne a réussi le tour de force, quasiment impossible à réaliser, de réunir autour de la table des négociations tous les protagonistes impliqués dans la crise malienne. Ces pourparlers de huit mois ont été finalisés à Alger par un accord d’une importance capitale, constituant le premier jalon dans la voie vers la stabilité au Mali, et ce, malgré les tentatives incessantes de certains pays et forces occultes de faire capoter ces accords salués aujourd’hui par la communauté internationale. Parallèlement, l’Algérie a initié l’entame des discussions entre les belligérants libyens, alors que la Libye, où la présence de l’Etat est inexistante, est devenue un territoire hors contrôle et la source de tous les dangers. Les différents acteurs libyens qui s’affrontent dans une guerre civile qui dure depuis 2011 ont accepté la médiation algérienne. L’Etat algérien a toujours privilégié les solutions politiques parce que ce sont les seules qui perdurent dans le long terme, contrairement aux interventions militaires, surtout les frappes aériennes, qui ne rapportent aucun résultat tangible, entraînant au contraire destruction et désolation. La mascarade de la coalition prétendument en guerre contre Daech en Irak a d’ailleurs démontré que ses bombardements avaient totalement échoué, excepté dans leurs livraisons d’armes et de nourriture aux forces terroristes. L’OTAN, et à sa tête la France, portera à jamais la responsabilité du chaos qui règne en Libye et dont les conséquences sont catastrophiques pour tout le continent africain, et c’est l’Algérie, seul pays stable de la région, qui répare les dégâts occasionnés par les interventions aventureuses d’une Fafa qui n’a jamais guéri des ses velléités colonialistes. La sécurité de l’Algérie étant tributaire de la stabilité de la Libye et du Mali, la concrétisation des résultats probants sur ces dossiers épineux découle d’un grand travail des services de renseignement algériens qui œuvrent sur le terrain en couvrant pratiquement toute la zone sahélo-maghrébine. Il semble malheureusement que ce soit uniquement l’Algérie qui assume cette tâche ardue, tout le monde s’étant lavé les mains du sort de la Libye qui, rappelons-le, est devenue l’épicentre de l’instabilité prévalant au Maghreb et au Sahel, la récente allégeance de Boko Haram à Daech permettant à l’Etat islamique de couvrir à présent toute l’Afrique. Reprenant la main dans les dossiers malien et libyen, l’Algérie, initiatrice d’un dialogue entre les parties adverses, devient incontournable de tout ce qui se fait sur le sol africain, notamment par sa lutte antiterroriste qui rapporte des résultats avec l’élimination quasi quotidienne de groupes ou d’éléments terroristes dangereux grâce à l’expérience des forces de sécurité et du DRS qui reste la véritable boîte noire de tout ce qui se passe en Afrique et dans le monde. Une fois de plus, l’Algérie a montré les capacités de son armée et de ses forces de sécurité au moment où l’on voit des attentats dans tous les pays d’Afrique et les énormes capacités de nuisance de groupes venus principalement de Libye. L’Algérie sait que pour régler le problème du terrorisme, il faut agir en deux temps : d’abord éradiquer les groupes avec un travail de renseignement efficace et ensuite activer la diplomatie, seule capable de régler politiquement les problèmes en évitant une intervention étrangère qui aggraverait la situation. L’attentat récent en Tunisie révèle la fragilité de certains pays, le cas de la Tunisie étant exemplaire de la faiblesse de l’Etat malgré le fait que l’Occident tienne à la présenter comme un modèle servant à justifier la légitimité des « printemps arabes ». Les frontières entre la Libye et la Tunisie ou certains pays africains du sud qui ne contrôlent rien, ont dévoilé leur porosité avec le retour de plus de 400 djihadistes tunisiens revenus de Syrie, et ce mouvement fluide des terroristes en provenance d’Irak et de Syrie vers la Libye et ensuite vers la Tunisie ou les autres pays du Sahel nous confirme ce que nous avions annoncé dans un article précédent concernant le redéploiement de Daech vers la Libye. Il faut donc agir en conséquence et c’est ce que fait l’Algérie avec compétence, renouant avec sa tradition diplomatique reconnue dans le monde entier.

Le régime marocain a pourtant voulu concurrencer l’école diplomatique algérienne dans le but de saborder les processus en cours, alors qu’il ne dispose d’aucune expertise dans la lutte antiterroriste et n’occupe pas de position géostratégique ou même géographique, le Maroc n’ayant aucune frontière commune avec la Libye, le Mali ou la Tunisie. La monarchie marocaine semble oublier que l’Algérie n’a pas choisi d’être entourée de pays instables pour la plupart dépourvus d’armée. Que cherche donc le roi du Maroc en voulant interférer dans des processus qui ne concernent que la sécurité intérieure de l’Algérie alors que celle-ci fait face à une situation chaotique sur des milliers de kilomètres composant ses frontières? Faut-il rappeler que ce problème intéresse directement la sécurité intérieure de la nation algérienne avant toute chose, suivie ensuite de celle du continent africain ? L’Algérie ne vise pas une posture de leadership et le Maroc doit cesser de s’ingérer dans une histoire qui n’est pas de son ressort. Ses seuls pays frontaliers étant l’Algérie et le Sahara occidental, le roi du Maroc devrait plutôt se préoccuper de cesser d’inonder l’Algérie avec des tonnes de cannabis et de permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit légitime à l’autodétermination. Le dossier du Sahara occidental, à l’instar de celui de la Palestine, représente l’un des derniers cas de colonisation qui doit être impérativement résolu et qui le sera tôt ou tard, malgré l’entêtement du régime marocain à maintenir sa domination sur un territoire qui ne lui appartient pas. Mohamed VI vient d’ailleurs de recevoir plusieurs affronts de la part du Secrétaire général des Nations-Unies, de l’Union africaine, du gouvernement espagnol et même de la Suisse, qui se sont opposés à la récente tenue d’un plagiat du forum Crans Montana, organisé illégalement par le Maroc à Dakhla, ville sahraouie sous occupation marocaine. L’ex-ministre français Philippe Douste-Blazy s’y est présenté comme envoyé de l’ONU, forçant Ban Ki-Moon à prendre une position ferme en déclarant que Dakhla n’est pas une ville marocaine et que Douste-Blazy ne représentait pas l’ONU. Même réaction du ministre des Affaires étrangères espagnol qui a tenu à préciser que ses ressortissants présents à ce soi-disant forum ne représentaient qu’eux-mêmes et en aucun cas l’Etat espagnol. Combien Douste-Blazy et les autres convives ont-ils été payés par le roi du Maroc pour participer à cette escroquerie ? C’est donc d’une seule voix, sauf celle de la France bien entendu, que ce « forum » a été critiqué et les perpétuelles crises d’hystérie du régime marocain envers l’Algérie, seule responsable d’après lui du discrédit dans lequel il s’est plongé lui-même aux yeux du monde en refusant l’autodétermination du peuple du Sahara occidental, relèvent de l’infantilisme et prouvent son incapacité à comprendre les règles de la realpolitik établies selon les intérêts des nations et qui peuvent s’adapter à de nouvelles conjonctures, comme on le voit actuellement avec le virage à 360° effectué par l’administration américaine vis-à-vis de ses relations avec l’Iran, le Hezbollah ou avec Bachar al-Assad.

Suite au chaos en Libye généré par l’irresponsabilité de la France et de l’OTAN, le conflit libyen s’est étendu dans toute la région du Sahel et notamment au Mali, où les Touaregs se sont rebellés à nouveau contre le gouvernement malien et ont revendiqué leur indépendance. Différentes alliances se sont nouées et dénouées entre les diverses factions qui ont pris de contrôle de plusieurs villes comme Kidal et Ménaka, affrontant les forces maliennes dans un conflit sanglant et plongeant le nord-Mali dans un imbroglio extrêmement périlleux pour la stabilité du Mali mais aussi source de dangers pour la sécurité de l’Algérie, à travers les 1376 km de sa frontière sud en plein Sahara. A la demande du président malien Ibrahim Boubacar Keïta qui, lors de sa visite à Alger le 19 janvier 2014, a solennellement demandé au président Abdelaziz Bouteflika que l’Algérie facilite le dialogue inter-malien prévu par l’accord de Ouagadougou du 18 juin 2013, l’Algérie a mené aussitôt des consultations préparatoires avec les différents belligérants en vue de poser les jalons d’un dialogue entre les différentes parties concernées. La Déclaration d’Alger préconisant un consensus entre les groupes armés, le MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad), le MAA (Mouvement arabe de l’Azawad) et le HCUA (Haut Conseil pour l’unité de l’Azawad), a été conclue le 9 juin 2014 et adoptée par les trois Secrétaires généraux de ces groupes, constituant le premier pas vers la consolidation d’un cessez-le-feu préalablement signé le 23 mai entre les parties et établissant les bases de négociations entre les Touaregs et le gouvernement malien. Dans la foulée, les représentants du MNLA, du MAA et du HCUA ont signé le 14 juin à Alger une plateforme reconnaissant « l’intégrité territoriale et l’unité nationale du Mali », l’une des exigences de Bamako pour dialoguer avec les groupes armés touaregs du Nord. Les premières négociations se sont déroulées à Alger du 16 au 24 juillet 2014 et ont permis l’adoption consensuelle par le gouvernement du Mali et les rebelles touaregs d’une feuille de route visant à cesser les hostilités dans le pays, appuyée par le Conseil de sécurité des Nations Unies qui a créé parallèlement la MINUSMA afin de faciliter l’application de l’accord de cessez-le-feu.

Après de longs mois d’entretiens et de négociations à Alger, un accord historique de paix et de réconciliation entre l’Etat malien et les différents mouvements Azawad a pu être conclu ce 1 mars 2015, laissant espérer le règlement définitif d’un conflit qui risquait de mener à l’éclatement du Mali. Le document a été paraphé par le représentant du gouvernement malien, les représentants des mouvements du nord du Mali engagés dans la plateforme d’Alger et par l’équipe de la médiation, à l’occasion d’une cérémonie qui s’est déroulée à l’hôtel El Aurassi à Alger en présence de représentants des gouvernements américain et français. « L’accord de paix et de réconciliation paraphé dimanche à Alger est le fruit d’une négociation longue et intense menée dans le cadre du Processus d’Alger entre les parties maliennes pour parvenir à une solution globale et définitive du conflit dans la région du nord du Mali », indique la déclaration solennelle de la médiation algérienne. « Le dialogue mené à travers cinq rounds de discussion a été transparent, ouvert et inclusif, les pourparlers ont été conduits avec détermination, lucidité, patience, dévouement et entière disponibilité par une équipe largement représentative de la communauté internationale. A travers cet accord, les parties en conflit s’engagent fermement à mettre fin à la crise au Mali par le dialogue et de sceller la réconciliation nationale dans le plein respect de l’intégrité territoriale, de l’unité nationale, et du caractère laïc et de la forme républicaine du Mali.» La CMA (Coordination des Mouvements de l’Azawad) a cependant refusé de signer l’accord, demandant du temps afin de consulter sa base mais ne réfutant en rien les clauses de l’accord. Suite à la consultation de sa base, ce 18 mars, la CMA a rendu publique une déclaration dans laquelle elle ne remet pas en cause l’architecture générale de l’accord mais demande à la Médiation « de bien vouloir considérer un certain nombre d’observations, afin de lui permettre de procéder à la signature de l’accord ». Après une visite effectuée mardi à Kidal par une délégation élargie, la médiation, tout en prenant note des demandes et de la position de la CMA, a rappelé que « la procédure du paraphe engagée à Alger, le 1er mars, signifie bien que la négociation est parachevée ». Elle a précisé également  que « l’accord n’a pas la prétention de résoudre à la fois et dans l’immédiat tous les problèmes posés », soulignant que « certaines des observations formulées par la Coordination pourraient être valablement prises en charge dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord ».

Par ailleurs, la première réunion du dialogue inter-libyen initié par l’Algérie s’est tenue les 10 et 11 mars derniers à Alger sous l’égide des Nations Unies, en présence d’une quinzaine de personnalités influentes sur la scène libyenne, des représentants des différentes factions libyennes, dirigeants politiques et chefs de partis. Cette réunion a été ratifiée par la Déclaration d’Alger dans laquelle les participants se sont engagés à respecter le processus politique et le dialogue pour le règlement de la crise en Libye. Le représentant personnel du secrétaire général de l’ONU, Bernardino Leon, et le ministre délégué algérien chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, ont déclaré au cours d’une conférence de presse clôturant la réunion, qu’il s’agit d’un premier pas politique très prometteur. L’Algérie « qui partage avec la Libye sœur des relations de voisinage, la lutte contre le colonialisme et une histoire commune, ne pouvait rester les bras croisés alors que les frères libyens étaient en proie à la fitna », a déclaré A. Messahel, ajoutant que « l’Algérie n’a ménagé aucun effort pour accompagner les frères en Libye et œuvrer à unifier les rangs et trouver une issue à la crise dans ce pays ». Rejetant toute intervention étrangère dans les affaires internes de la Libye, les participants ont tenu à adresser « un message clair, fort et uni quant à leur engagement de poursuive le dialogue comme unique solution à la crise que traverse la Libye », tout affirmant « leur rejet de la violence comme moyen pour régler les différends politiques ». Ils ont en outre exprimé leur « rejet de l’escalade militaire sous toutes ses formes et ont demandé un arrêt immédiat de toutes les opérations militaires pour permettre au dialogue de se poursuivre dans un climat favorable ». S’engageant à « défendre l’unité territoriale de la Libye, sa souveraineté, son indépendance et leur refus de toute ingérence étrangère », ils ont insisté sur le fait qu’une intervention armée conduirait inévitablement à la déstabilisation de toute la Libye et entrainerait inévitablement des répercussions sur les pays voisins. Constatant les conditions sécuritaires désastreuses et les actes terroristes qui menacent la sécurité, la stabilité et l’unité de la Libye, les participants ont estimé nécessaire de concentrer les efforts pour lutter contre le terrorisme sous toutes ses formes, de même qu’ils ont souhaité « la prise de mesures sécuritaires qui puissent garantir un cessez-le-feu permanent et le retrait des milices armées de toutes les villes ». Les participants se sont aussi engagés à reconstruire les forces de sécurité, l’armée et la police, afin qu’elles puissent garantir la sécurité des Libyens et la sécurité territoriale. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, s’est dit satisfait du résultat de la réunion et de la qualité des débats qui ont démontré le caractère complexe de la crise libyenne. Il a appelé les parties libyennes à conjuguer leurs efforts « dans le cadre d’une approche pacifique pour accélérer la solution consensuelle tant escomptée par le peuple libyen frère ». La position des acteurs sur le terrain libyen rejoint la vison de l’Algérie qui s’oppose à toute ingérence étrangère dans les affaires internes des pays, principe inaliénable de la politique extérieure algérienne qui a toujours privilégié la souveraineté des nations. La diplomatie algérienne qui est une véritable école du patriotisme dotée d’une longue expérience dans la résolution de différents conflits dans le monde, retrouve ses couleurs glorieuses.

Les Occidentaux, la France en tête avec ses « élites » intellectuelles qui ont appelé à l’intervention de l’OTAN en Libye et qui restent muettes aujourd’hui, sont les responsables directs du drame libyen et malien. Les Sarkozy, Bernard-Henri Lévy et consorts doivent être jugés pour avoir démantelé l’Etat libyen, reproduisant ce qu’ont fait les néocons américains en Irak. La destruction de l’Etat libyen nous a ramené là où nous sommes et a coûté très cher, non seulement à la Libye mais au monde entier. Aujourd’hui, la Libye est devenue une plaque tournante du terrorisme international. La feuille de route algérienne est la seule valable pour le règlement de la crise, que ce soit au Sahel ou en Libye et à cette fin, il faut que la soi-disant communauté internationale s’implique sérieusement en faveur des mécanismes que l’Algérie essaie de mettre en place. S’impliquer davantage signifie aider l’Algérie à régler politiquement les questions libyenne et malienne, et non par une intervention militaire réclamée par certains pays qui n’ont aucune frontière avec la Libye et qui ne fera que consolider l’instabilité au lieu de régler les nombreux problèmes. Si l’Algérie a prouvé sa détermination à lutter contre le terrorisme d’une manière impitoyable, ce n’est pas le cas de la France qui s’est forgé une réputation de « cochon-payeur » à travers le monde en payant des rançons astronomiques, finançant de ce fait le terrorisme. Le sujet des réfugiés doit être traité par ce « machin » qu’est l’ONU et toutes les instances internationales. Il incombe en effet à la communauté internationale de régler la crise des millions de déplacés qui errent dans les pays limitrophes suite à l’intervention de l’OTAN en Libye. La question du financement du terrorisme par le Qatar, l’Arabie saoudite, la Turquie, amis des Occidentaux, doit aussi être mise sur la table une bonne fois pour toutes. Il est impératif également de mettre un terme aux agissements des services de renseignement occidentaux et leurs alliés qatari, saoudiens, et israéliens qui manipulent le terrorisme à des fins politiciennes. Rappelons l‘aventurisme de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton, candidate pour le poste de présidente des Etats-Unis, qui lui a fait perdre son ambassadeur Christopher Stevens à cause du jeu trouble de la CIA en Libye. Il est temps de cesser de jouer avec le feu. Il faut punir les pays qui financent le terrorisme par intérêt et non pas fermer les yeux sur leurs agissements occultes. Si l’Algérie avec son armée est en train de gagner sur plusieurs fronts dans la lutte antiterroriste et sur le plan diplomatique grâce à son expérience, son prestige et son poids dans le continent africain, il faut que les autres pays mettent aussi la main à la pâte et appuient les processus engagés, car les clés de la stabilité au Sahel, en Afrique mais aussi en Europe, se trouvent avant tout en l’Algérie.

Mohsen Abdelmoumen

Published in Oximity, March 21, 2015:https://www.oximity.com/article/La-diplomatie-alg%C3%A9rienne-du-dialo-1?faid=612397

Reçu de l'auteur pour publication

 

 

   

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Source : Mohsen Abdelmoumen
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