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Algérie Résistance

L’Algérie dans l’attente d’un Poutine

Mohsen Abdelmoumen

Mercredi 7 octobre 2015

Acte final de l’opération Zéralda

Sans aucune surprise, l’Opération Zéralda s’est terminée par le départ, ou la démission, ou le limogeage – appelez ça comme vous voulez – du général Toufik. Il n’est pas le seul, les juges du tribunal militaire de Blida et d’autres villes ont été limogés suite à l’opération Zéralda parce que Saïd voulait faire porter le chapeau à un simple sous-lieutenant de la Garde républicaine en l’accusant d’avoir voulu le tuer et supprimer le président, soit d’avoir voulu faire un coup d’Etat, mais les juges militaires ont refusé cette mascarade et en ont donc subi les conséquences. Tous ont été dégommés en refusant d’essuyer le couteau sur le sous-lieutenant. Néanmoins, à l’heure actuelle, le sous-lieutenant est sous les verrous. Ce que j’avais annoncé dans ma série d’articles traitant de cette affaire s’est concrétisé et se poursuit par une purge au sein de l’armée. Différents officiers supérieurs, généraux, généraux-majors sont démis de leurs fonctions quand ils ne sont pas carrément emprisonnés. Bien évidemment, le clan mafieux de Saïd Bouteflika et ses larbins ne lésinent pas sur les accusations portées à l’encontre de ces chefs militaires qui font les frais de leur fidélité à leur patriotisme. La tension est parvenue à un tel degré d’exacerbation que les règlements de compte prennent l’allure de bagarres de westerns à la John Wayne. Inutile de chercher les Dalton, les frères Bouteflika en ont endossé le rôle depuis longtemps, soutenus par leur cohorte de gangsters corrompus, tels le kharay Ali Haddad el mgemmel qui ose s’attaquer à tout un chacun en proférant des menaces tout en affirmant qu’il produit de la richesse en Algérie, notamment en créant son « GEL » (JIL)’FCE. J’informe el kharay de Haddad que je détiens toujours sur lui les preuves de ses diverses malversations et fraudes, allant de la surfacturation à l’évasion fiscale, preuves que j’ai déjà produites et que je vais à nouveau inclure dans cet article. Une piqure de rappel n’est jamais inutile pour les chiens enragés. Et quand cet ignare inculte baragouine dans son sabir qu’il pense proche du français qu’il va recourir à partir de mantenon (maintenant) à la « djeustisse » (justice) de son payé (pays) cantre (contre) celui qui toche (touche) au FCO (FCE), je préconise une opération urgente à la mâchoire de cet olibrius et inscrire l’intervention chirurgicale dans les travaux de restauration du patrimoine national. J’opte même pour qu’on lui pratique une greffe de cerveau dans la foulée. Eh oui, dans l’Algérie délabrée d’aujourd’hui, hadha ma halbat el bagra (c’est tout ce qu’on a pu traire de la vache). La horde sauvage de malfrats aux appétits voraces et aux dents aiguisées se repaissent du corps de notre patrie pour laquelle se sont sacrifiés des millions de braves depuis des siècles, la voilà souillée, traînée dans la boue, devenant la risée de la planète. Ces charognards criminels qui ont assassiné l’espoir et qui ont dilapidé des milliards de dollars, ont mis le pays dans une situation dont il ne pourra jamais se relever. Le tort fait à l’Algérie par Saïd la folle, ce grand amateur de soirées sado-maso avec son amant Ali Haddad, et par le zombie véhiculé sur son trône à roulettes, est incommensurable, aidés dans leur œuvre de destruction systématique par une clique de larbins lèche-cul de tous bords et de tous horizons, une bande d’eunuques qui ont castré le peuple algérien jusqu’au point où l’Algérie, à la quête de sa virilité, a recouru à l’import import imposé par les laquais de Saïd la poufiasse et a importé 1 million d’unités de pilules viagra en un an ! Oui, dans l’Algérie de Madame Dalila et de Zoubir la coiffeuse, copine de Saïd et du gratin des arrivistes et begar d’Alger, la virilité s’importe, comme tout le reste. Quant à Abdelaziz Bouteflika foudroyé à cause de sa trahison aux martyrs, l’ancien coureur de jupons invétéré qui ne s’est jamais marié, il se contentera de la panade à la cuillère, servie par son frère cadet jusqu’à son dernier souffle.

Les gens qui débattent d’une succession héréditaire ne voient pas que Saïd gouverne déjà et en est à son deuxième mandat. Cela explique la déclaration sur ordre de Saïd du drabki Saïdani, réapparu après ses ennuis judiciaires en France pour annoncer qu’il n’y aura pas d’élections anticipées. L’idée de constituer un front el Hargma autour de la mangeoire du sultan Saïd et proposé par notre danseuse du ventre nationale est-elle venue à l’esprit du drabki lorsqu’il replâtrait les murs de la villa qu’il a détournée à Draria, lui qui avait disparu des radars lors de son escapade en France où il a été mis en garde à vue pour blanchiment d’argent avant de fuir courageusement vers Barcelone ? Et pourquoi pas un front sous forme de « barrage vert » qui stoppera la désertification qui s’avance ? Où est donc passé Ouyahia avec son alliance dans ce mariage pour tous ? Aurait-il égaré l’anneau nuptial ? Dans ces noces foutoir « ars bghal » (le mariage d’un âne), une vache ne retrouverait pas son veau. Quand Amar Ghoul l’autorouteautomout parle de construire un mur de soutien pour les Bouteflika, qui va s’occuper des travaux ? Ali Haddad les deux brouettes ? C’est mal barré, car connaissant la compétence de l’entreprise Haddad, le mur n’est pas près d’être achevé, et lorsque le mur sera enfin terminé à coup de dépassements de délais et de budgets supplémentaires, va-t-il tenir ? À moins bien sûr que Haddad ne fasse appel à la sous-traitance, comme à son accoutumée.

Saïd veut mettre à genoux toutes les voix discordantes susceptibles de freiner son projet de mainmise totale sur ce qu’il reste des réserves de change et effectuer le transfert de tout l’argent à l’étranger, endetter le pays et foutre le camp, tout en chantant Viva Las Vegas. Et dire que ces crapules osent s’afficher et ouvrir le bec, en tête Haddad el goudroune et voleur de sable, Bouchouareb les grosses lèvres, délégué commercial de Peugeot et de Renault, défendant sa mère patrie la France, et dont l’histoire familiale est édifiante. Dis-nous donc, Bouchouareb, si ton père était oui ou non un harki ? Dans l’affirmative, nous ne nous étonnons plus de te voir travailler aussi activement pour Fafa. Tu a bénéficié du foncier et goinfré l’argent de l’État, comme tes acolytes Haddad, Tahkout, Tliba et les autres que l’on appelle oligarques. Bouchouareb, quand nous sortiras-tu le listing de ceux qui pratiquent la surfacturation ? Quant au bouterma Gaïd Salah qui ose parler au nom de l’armée, je lui demande ce qu’il représente en tant que voleur notoire, dans l’armée algérienne ? Dans mon dernier article, j’ai cité ton fils Adel qui s’est accaparé toute la ville d’Annaba avec ton gendre Bahaeddine Tliba, la baleine à bosse – avec tout le respect que l’on doit aux nobles cétacés – devenu vice-président de l’APN (Assemblée Populaire Nationale) par la grâce des mafieux et des voyous. Comme est lointaine l’époque où Tliba vendait du cannabis à Annaba… Une véritable tragi-comédie se déroule à ciel ouvert en Algérie, avec des guignols de tous bords qui nous montrent dans quel caniveau est tombé notre pays, et nous ne sommes pas sortis de l’auberge de Fella, Cheba Kheira et Zoubir la coiffeuse de Saïd la pouffe

Pour piqûre de rappel comme annoncé plus haut, voici l’extrait de mon article concernant Ali Haddad el mgammel publié le 14/02/2015 :

« Ali Haddad, à travers la société Aginyo, a acheté en 2011 pour 80 millions d’euros, l’Hôtel Palace, ex-Ritz de Barcelone, l’un des plus beaux hôtels d’Espagne, le laissant en location à la société qui en était jusque là propriétaire, la Husa Hoteles appartenant à Joan Gaspart Solves, homme d’affaires espagnol membre de l’Opus Dei et ancien président du FC Barcelone. Comme la société locataire éprouvait des difficultés à payer les loyers, Haddad a cherché à revendre l’hôtel à perte en 2013, mais ne trouvant pas d’acquéreurs, il a finalement opté pour assurer la gestion de son palace lui-même. En effet, en 2014, il a présenté une offre de 500 000 € au Tribunal du Commerce n° 3 de Barcelone pour reprendre la gestion de l’hôtel, s’engageant à maintenir les 130 emplois. Toute la presse espagnole qui a traité la vente de l’hôtel stipule bien que l’acquéreur est un homme d’affaires algérien. J’ai en outre eu accès au Bulletin officiel du Registre de Commerce espagnol qui a publié les informations concernant la société Aginyo.

Actes du Registre de Commerce et du Registre des Sociétés :

D’après le Bulletin officiel du Registre de Commerce espagnol paru le 16/12/2011, article 498961, la société Aginyo a été constituée le 2 décembre 2011 : AGINYO INVERSIONES Y GESTIONES INMOBILIARIAS SL(Investissements et gestion immobiliers) est une société qui a commencé ses activités le 4/11/2011 et dont l’objet social concerne las actividades propias del trafico inmobiliario (activités liées à l’immobilier) incluidas la promocion, construccion, comercializacion y arrendamiento con exclusion del arrendamiento activo financiero. Domicile: Cl Teodor Roviralta Num.44 P.1 PTA.2 (BARCELONA). Capital: 3.000,00 Euros. Nombramientos. Adm. Unico : ALI HADDAD. Datos registrales. T 42878, F 51, S 8, H B 417169, I/A 1 (2.12.11).

Nomination d’un mandataire : 21/12/2011 article 507068 – AGINYO INVERSIONES Y GESTIONES INMOBILIARIAS SLNombramientos. Apoderado (mandataire): RADIA BOUZIANE. Datos registrales. T 42878, F 53, S 8, H B 417169, I/A 2 (9.12.11).

La nouvelle gestionnaire d’Aginyo, Radia Bouziane, était déjà administratrice de la société Skidbladnir Sl constituée le 16/12/2011 à Barcelone, destinée au commerce de gros et détail et à l’exportation. Le 16/02/2012, la société a changé son activité pour se spécialiser dans la location de biens mobiliers de toutes sortes, machines et équipements pour l’industrie de transformation, distributeurs automatiques, etc. et a enregistré le 20/08/2014 la marque The Blue Bird Royal, spécialisée dans les services hôteliers, recherche et réservation d’hôtels, de salles, bars, restaurants, et autres services d’hôtellerie et restauration, etc.

Changement de siège social : Le 29/05/2012 : article 226343 – AGINYO INVERSIONES Y GESTIONES INMOBILIARIAS SL. Cambio de domicilio social : Cl Escoles Pies Num.102 (BARCELONA). Datos registrales. T 42878, F 54, S 8, H B 417169, I/A 3 (17.05.12).

En outre, toujours d’après la presse espagnole, fin 2013, Haddad a acheté une filiale du Groupe Keraben, l’entreprise Kerafrit, spécialisée dans la fabrication de peintures émaillées, vernis et produits similaires, encres d’imprimerie et mastics, établie à Nules, en Espagne. Avec cette acquisition dont le prix n’a pas été révélé, Haddad entre au cœur de la céramique castillane, réputée au niveau mondial. Kerafrit avait affiché en 2013 un chiffre d’affaires de 18 millions € dont 70 % était consacré aux exportations en Europe, Afrique du Nord, Amérique latine, Moyen-Orient et dans plusieurs pays d’Asie du Sud. L’article traitant ce sujet est paru dans El Periódico Mediterraneo, le 12/12/2013, et dans las Provincias le 21/04/2014. Le 30/12/2013, el Economista a publié un article annonçant l’achat de Kerafrit par un investisseur algérien, via la société d’investissements Sitifis, le nom d’Ali Haddad étant stipulé dans inn DEA Valencia le 22/04/2014.

Toujours d’après le Bulletin officiel du Registre de Commerce espagnol et le Registre des Sociétés, la société Sitifis se nommait à sa constitution le 14/08/2013, Abdelhafid Inversiones (Investissements) SL, établie à Nules (Espagne) et dont l’administrateur était Abdelhafid HADDAD. L’activité de la société portait sur la direction et la gestion des investissements dans d’autres sociétés : vente, représentation, étude de marchés et la commercialisation de produits céramiques et connexes. Divers amendements ont été opérés en quelques mois (changement des statuts, d’adresse du siège social). Le 21/11/2013, Abdelhafid Inversiones SL devient Sitifis Inversiones SL, jusqu’à ce que, le 24/12/2013, la société Sitifis se transforme en Kerafrit SA, administrée par Sitifis, avec l’attribution d’un poste de mandataire à la fois chez Sitifis et Kerafrit pour Oliver Martinez Manuel, mandataire de Kerafrit depuis 2010. Depuis le 20/01/2014, ce dernier ne représente plus que Sitifis. « Publicación en el Boletín Oficial del Registro Mercantil del día 24 de December del 2013 del anuncio de nombramientos en la empresa KERAFRIT SA, inscrito en el Registro Mercantil el día 17 de December del 2013 con los datos de inscripción T 988, L 553, F 183, S 8, H CS 12112, I/A 38 ».KERAFRIT SA : Administrador Unico : Sitifis Inversiones SL (Boletín Oficial del Registro Mercantil, Fecha inscripción: 17/12/2013 T 988, L 553, F 183, S 8, H CS 12112, I/A 38). Le 17/01/2014, sont enregistrés des modifications statutaires permettant une augmentation du capital de102666,67 %, soit un capital total de 3 083 000 euros, si l’on compte les 3 000 euros de départ. D’après le Bulletin officiel du Registre des Sociétés, Kerafrit SA a été achetée par Sitifis Inversiones SL le 17/12/2013. »

Faut-il rappeler que le champion de la surfacturation est Ali Haddad et je défie Bouchouareb de prouver le contraire, lui qui a bien profité des largesses de son maître Ouyahia (lots de terrains, foncier industriel au dinar symbolique, etc.) et j’ai les preuves de ce que j’avance. Les activités de Bouchouareb sont surtout basées dans l’Est algérien, notamment à Oum El Bouaghi, Ain Mlila et autres villes. Les nombreux chantiers obtenus de gré à gré par l’ETRHB Haddad , refilés à des sous-traitants et non aboutis, tels le stade de Tizi Ouzou, les nombreux tronçons d’autoroute, dont la pénétrante de Bouira, le tronçon reliant le port de Djen Djen à El Eulma, le tronçon neuf qui se déglingue entre Lakhdaria et Bouira et dont les travaux de réparation ont été bâclés en dépassant les délais, et j’en passe ! N’oublions pas non plus les impôts impayés du kharay Haddad. Qawadine lekhab ou les cicérones menés par el mgammel et el kharay Haddad. Quand Haddad préconise de donner la place aux jeunes, qu’il applique son conseil en commençant par dégager la momie Bouteflika et le gros imbibé Gaïd Salah, bien que l’on sache que ce dernier déguerpira dès novembre. Bande de salopards, si les martyrs étaient de retour cette semaine, ils vous égorgeraient tous ! Ils appliqueraient sur vous la violence révolutionnaire et aucun d’entre vous ne serait épargné.

Le général Benhadid en prison pour quelques mots

L’ignominie du clan des voyous et traîtres de la nation pourris jusqu’à la moelle atteint son paroxysme. Ils ont osé s’attaquer à un grand monsieur, le général Hocine Benhadid, qui n’a rien à prouver, ni dans sa carrière militaire, ni dans son parcours de patriote. Suite à une interview qu’il avait accordée et dans laquelle il ne faisait que son devoir de patriote en dénonçant le danger encouru par notre patrie, le général Benhadid, moudjahid de l’ALN à l’âge de 16 ans et ensuite major de promotion dans toutes les Académies militaires qu’il a fréquentées, soit West Point où il était camarade avec Colin Powell, Saint Cyr et l’Académie soviétique, plus tard chef de la 3 Région militaire et commandant la 8 Division Blindée fondée par Boumediene, se retrouve en prison à l’âge de 72 ans sous deux chefs d’inculpation dont « atteinte au moral de l’armée », en compagnie de son fils, celui-ci étant écroué pour port d’armes illégal. Concernant ce dernier, les mafieux du clan pensent-ils vraiment que nous ne les connaissons pas ? Comme si nous ne savions pas que tous les rejetons des gangsters du clan Bouteflika qui paradent dans leurs voitures de luxe portent une arme ! Pour en revenir à l’incarcération du général Benhadid, imaginez Colin Powell en prison aux États-Unis parce qu’il s’est exprimé à la télévision. Tous les généraux américains à la retraite écrivent des livres et interviennent dans des forums, des émissions de télévision et dans des think tanks. On n’a jamais vu aucun d’entre eux se retrouver en prison. En outre, Benhadid n’a pas bénéficié du soutien de ses frères d’armes dont certains l’ont traîné dans la boue par l’intermédiaire de leur torchon médiatique qu’ils utilisent pour partager la rente avec le clan présidentiel. Quand le général Benhadid a demandé l’intervention du général Nezzar, la réponse de celui-ci a été de le traiter d’ivrogne via le journal de son fils, tout en ménageant Saïd Bouteflika, Gaïd Salah, alcoolique notoire, et le mgammel Ali Haddad qui, tous, ont ruiné l’Algérie. Pendant que notre pays menace de s’écrouler, Khaled Nezzar préfère se chamailler comme un gamin avec Khaled Ziari, un ex-commissaire divisionnaire de la DGSN, pour des propos que celui-ci a tenus sur sa page Facebook. Quelle piètre image de l’Algérie… À aucun moment, le général Nezzar n’a exprimé son soutien à ses pairs emprisonnés, le général Benhadid et le général Hassan. Il n’a même pas daigné citer leurs noms. Même l’épouse de l’ancien président Chadli, Halima, qui n’a rien à envier à Leila Trabelsi, l’épouse de Ben Ali, s’est invitée à la bastonnade générale dans le torchon des Frères musulmans tout en chantant les louanges du règne de son mari et en oubliant qu’à cette époque, pour les générations qui ne la connaissent pas, elle faisait la pluie et le beau temps en Algérie. Rien de tel que le torchon des Frérots pour se refaire une virginité. Tous ces gens qui se chamaillent et dont on n’a rien à foutre de leurs interventions misent sur la mémoire courte des opinions publiques. Pourtant, vous êtes tous coupables du drame algérien !

Quoi qu’il en soit, ma conviction intime est que le général Benhadid avec son courage ne sortira que grandi et vainqueur de cette épreuve et qu’il reviendra bientôt au sein de sa famille. Ce n’est pas lui ni Hassan qui doivent être en prison mais Saïd Bouteflika, le malade mental, et la clique qui l’entoure, comme Ali Haddad et Ahmed Gaïd Salah. En frappant les patriotes, Saïd veut mettre tous ceux qui lui sont opposés à genoux. Qu’il ne s’imagine pas qu’en attaquant les meilleurs de nos généraux, reconnus internationalement, il va réussir à me faire taire. Au contraire, cela me renforce dans mon acharnement contre ces gangsters. Benhadid a été arrêté avec son fils en pleine autoroute, sans mandat d’arrêt ni mandat d’amener, ce qui constitue un véritable kidnapping. L’affaire Benhadid comme l’affaire Hassan et toutes celles qui ne manqueront pas de suivre sont des preuves de la purge que le clan maudit mène avec une hargne vengeresse contre tous les proches de Toufik. On apprend ainsi que Saïd Bouteflika, Gaïd Salah et leurs acolytes ont établi une liste de personnes à abattre dans leur plan d’atteindre 2019 avec le mandat de Saïd qui utilise son frère mourant comme garant, en recourant à l’emprisonnement, au limogeage, voire même à la liquidation physique de ceux qui les dérangent. Ils espèrent la remontée du prix du pétrole prévue en 2020 avec, à la clé, un cinquième mandat par procuration de Saïd qui brandira son frère dans son fauteuil à roulettes, même s’il faut l’empailler quand il passera l’arme à gauche.

Chaque jour apporte son lot de scandales et non des moindres : le Journal officiel français a publié le 1 octobre, via Legifrance, l’arrêté n° 0227 du 25/9/2015 démontrant que les militaires français participant à l’opération Barkhane ont accès au territoire algérien depuis le 1 octobre 2014 et y seront actifs jusqu’au 30 septembre 2016 inclus, à l’instar de la Mauritanie, du Sénégal, du Mali, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Niger, de la Libye, du Tchad, du Nigeria, du Cameroun et de la République Centrafricaine ! À quoi cela nous a-t-il servi de combattre la France ? Voilà où nous ont menés les accords du Val-de-Grâce, ourdis par les frères Bouteflika, Gaïd Salah et leur gang de traîtres de la nation. Dans un État fort, cela s’appellerait de la haute trahison passible de la peine de mort. Non seulement les Pieds Noirs récupèrent leurs biens mais l’armée française est à nouveau présente en Algérie. La terre algérienne gorgée du sang de tant de martyrs pour arriver à cette infamie… Et vous osez accuser le général Benhadid de porter atteinte au moral des troupes ? Les enfants du peuple qui sont dans l’armée et qui gardent nos frontières se sentent-ils à l’aise face à cette information ? Leur moral est-il au beau fixe en sachant que l’armée française, chassée à coups de pieds au cul par leurs pères et grands-pères au prix d’immenses sacrifices et de millions de morts, foule à nouveau de ses bottes sanglantes la terre de nos martyrs ? Bande de vendus ! Même si le ministère français de la Défense vient de retirer l’arrêté prouvant l’engagement de l’armée française sur le sol algérien, embarrassé devant le tollé que cela avait soulevé et voulant cacher la vérité au peuple algérien, cela prouve ce que j’ai toujours affirmé, à savoir que le régime français est complice de la clique au pouvoir en Algérie.

Le général Benhadid sortira grandi, que Saïd ou Gaïd Salah ou le peuple de moutons le veuillent ou non, mais qui sera sali dans cette histoire sordide sur le plan international, sinon toute l’Algérie qui payera la facture, comme dans le cas du volet économique avec Rebrab ? Bien que je ne mette pas les personnages au même niveau et que je n’aie aucune sympathie pour les nouveaux riches, néanmoins, pour un pays en pleine crise économique, au lieu d’encourager la production nationale, on casse Issad Rebrab. Les investisseurs étrangers ne risquent pas de se bousculer pour investir en Algérie. Et surtout, ne nous parlez pas de l’usine de montage de la Renault Symbol qui nous coûte un pont d’or ! On aimerait bien savoir comment ce régime et le mgammel de Haddad vont régler le problème de la crise économique. Je me souviens d’une longue discussion, lors d’une de mes rencontres conviviales avec l’ancien président du CNES, le défunt Mohamed Salah Mentouri, où Il m’avait affirmé, en parlant du règne de Bouteflika qui venait de s’installer, que celui-ci n’irait pas loin parce qu’il n’avait aucune vision stratégique et qu’il naviguait à vue. Le point de vue de Mentouri s’est avéré très juste et le CNES est bel et bien mort avec lui. Quand le clan a voulu déterrer cet organisme ces derniers jours parce que la situation face à la crise est ingérable, tout est parti à tort et à travers. Le CNES n’est plus ce qu’il a été, Bouteflika l’ayant gelé comme toutes les institutions, parce qu’il n’a jamais supporté qu’on lui fasse de l’ombre. Comment le monde va-t-il juger cet État dirigé par des crapules sans foi ni loi ? Qui va accepter de traiter avec cette nation ? Si les truands du clan de Saïd pensent qu’il suffit d’avoir une armée dirigée par un gros lard alcoolique pour être respectés, ils se trompent lourdement. Les amis occidentaux de Saïd et de son frère qui font la promo de « l’alacrité » du président devant les caméras, comme tout dernièrement Ségolène Royal, doivent réfléchir à la situation et comprendre que si l’Algérie s’écroule, l’Europe sera envahie par tous les terroristes les plus sanguinaires. C’est la raison pour laquelle toutes nos sources de renseignement en Occident et ailleurs nous ont confirmé que la décision du démantèlement du DRS sous prétexte de l’affaire de Tiguentourine s’est prise à l’étranger et surtout à Paris. Et les conséquences, d’après nos sources, seront catastrophiques pour tout le Sahel, l’Afrique et l’Europe. Ces personnes, qui ont travaillé avec nos généraux emprisonnés, s’inquiètent de la situation en Algérie, car ils savent que si l’Algérie tombe, tout le dispositif antiterroriste dans le Maghreb et en Afrique s’écroulera, sachant que l’on fait face à un terrorisme global. Donc, Saïd, cesse de toucher aux officiers supérieurs de l’armée algérienne, libère le général Benhadid, le général Hassan et tous les détenus qui ont une opinion qui ne te plaît pas. C’est l’ordre que te donne un patriote algérien et tu dois l’exécuter immédiatement ! N’oublie pas que je mène une campagne contre toi au niveau international. Tout le monde sur cette planète sait à présent que c’est toi qui signes les décrets à la place de ton frère, sauf peut-être toi et ceux qui t’entourent, tes copains-coquins pervers comme Zouzou la coiffeuse avec laquelle tu te livres aux jeux crades de la nuit.

Ceux qui disent que le démantèlement du DRS est un résultat de l’affaire Tiguentourine, se fourvoient et jouent le jeu de Saïd, car si l’affaire Tiguentourine était vraiment le moteur qui a déclenché la liquidation du DRS, pourquoi ont-ils attendu aussi longtemps avant de le détruire ? Donc, encore un mensonge des larbins de Saïd, ceux qui sont payés et ceux qui sont volontaires. Car le règne de Bouteflika a créé une nouvelle race, celle des lèche-bottes qui ne bénéficient de rien mais qui s’engagent bénévolement pour leur Fakhamatouhoum. Seize ans de lavage de cerveau ont porté leurs fruits. Parmi les manifestations de ces mensonges, comment le peuple algérien a-t-il accepté un quatrième mandat avec un impotent à la tête de l’État ? À ce moment-là, le peuple de moutons n’a pas compris qu’il votait pour le deuxième mandat de Saïd Bouteflika. Le fait que Bouteflika se fasse soigner dans les hôpitaux militaires français du Val-de-Grâce et des Invalides – ce qui constitue une première dans l’Histoire de l’Algérie – a été le nœud gordien du 4ème mandat, avec l’accord passé entre Saïd et les services français et israéliens. Du moment où les services français ont eu le dossier médical du président algérien, l’affaire était pliée. Nous avons maintenant un Omar Bango en Algérie et une République couscoussière. Tout est clair aujourd’hui, Saïd veut régner jusqu’en 2019, jusqu’à l’épuisement du dernier dollar, et après lui le déluge. Si le pétrole augmente à nouveau, les frères Dalton se représenteront et la momie sera élue une fois de plus, même empaillée. Le sort du clan est intimement lié au prix du pétrole. Il n’y a plus aucun secret d’État, car quand on livre son pays aux services secrets français et à leurs commanditaires israéliens, de quels secrets d’État peut-on encore parler ? Et de quel droit maintient-on des gens en prison avec des accusations de « main étrangère », de divulgation de secrets d’État, etc. ? L’Algérie d’aujourd’hui est un hammam, le même que celui dont sont issus les frères Bouteflika. Quant au peuple, il est absent de l’équation et fait figure de quantité négligeable en courant après le prix des patates ou celui des moutons. Quant à ceux qui veulent me contredire, je les emmerde et, comme disent les Italiens : vaffenculo !

En arrêtant Benhadid et toutes les voix discordantes, Saïd a confirmé que lui et son clan mafieux sont dans une impasse. Ils ont signé leur arrêt de mort et pratiquent la fuite en avant, et je répète que ce texte fera le tour du monde à travers mon réseau planétaire. Tu t’es dévoilé Saïd, et tu as perdu le match. Tu ne t’es pas rendu compte qu’en incarcérant Benhadid, tu es tombé dans la gueule du loup et que tu as accéléré la fin inéluctable de ton règne. Inutile de recourir aux pansements constitutionnels, vous êtes tous foutus. Faites le plein de kérosène et mettez les moteurs en marche à l’aéroport de Boufarik, et embarquez vos bagages, comme l’a dit votre valet Ouyahia. Vous ne négocierez rien du tout, vous avez ouvert trop de fronts : Benhadid, Rebrab, Hassan, etc. vous n’en sortirez pas vainqueurs. Benhadid a sauvé l’honneur de l’armée algérienne quand d’autres, à l’instar de son chef d’état-major, Gaïd Salah, l’a souillé. Benhadid sortira de prison comme un héros, et toi, Saïd, tu t’enfonceras encore un peu plus dans ta fange. Qui a provoqué l’accélération de la chute du clan des mafieux, si ce n’est le général Toufik qui, par son départ, a entraîné une série de conséquences que Saïd ne maîtrise pas ?

Saïd Bouteflika le sado-maso, malade mental et mégalomane, et sa famille, n’ont aucune trace dans l’état civil de l’Algérie. Leur nom n’existe nulle part. La bande des Bouteflika n’est qu’une famille née dans un lupanar d’Oujda et le produit d’une fornication entre un Lévy et la patronne d’un hammam. Saïd Bouteflika aujourd’hui s’attaque à tout le monde et les voix qui me reprochent de parler de ces individus et de leur « vie privée » n’ont qu’à fermer leur clapet du moment où ces personnages sont sortis de la sphère privée pour paraître dans la sphère publique et qu’ils sont en train de jouer avec le destin de l’Algérie. Ceux qui m’attaquent sur ma position et mes idées n’ont qu’à se taper la tête contre un mur. Dazou mhahoum etyadkoum fe cheikh ! Je n’écris pas pour les larbins, les clients, les maquignons, les potentats, les lèche-culs et les différents réseaux nébuleux. Je n’écris pas pour les pantins instrumentalisés par Paris, Londres, Washington, Tel Aviv, Doha ou Riad. Qu’on soit clair à ce sujet ! Et je demande à ces perroquets qui passent leur temps à spéculer de préciser combien ils sont payés pour la prostitution de la plume ou du micro. Cette bande de renégats, qu’ils soient islamistes ou du clan de Saïd, de Haddad et du bouterma Gaïd Salah, osent s’attaquer et emprisonner un général auquel ils n’arrivent pas à la cheville ! Vous ne m’impressionnez pas et plus vous frappez des patriotes, plus vous renforcez ma détermination à vous combattre encore et encore en exhibant vos méfaits, pas seulement devant un peuple que vous avez castré et qui a oublié les rêves généreux de Ben M’Hidi et le sang de Benboulaïd, mais devant toute la planète et tous les hommes d’honneur qui la peuplent. L’Algérie ne me suffit pas ! Sachez que le général Benhadid n’est pas le seul à se dresser contre vous, nous sommes nombreux dans le monde pour vous contrer ! Je le répète : lakane rakoum rajala ya attayine, montrez-le avec les faits, comme moi, et ne m’envoyez vos larbins avec des pseudos dans les réseaux sociaux qui versent dans l’insulte gratuite sans apporter aucune critique productive. En ouvrant cette voie, je ne crains pas de vous montrer ce dont je suis capable.

Ya Kahba de Haddad, j’ai affiché tout ton dossier avec les preuves, je t’ai brûlé en Espagne, et je te niquerai partout, même si je ne suis pas porté comme toi sur la rondelle. Au lieu de parler derrière mon dos comme une salope, affronte-moi comme un homme au su et au vu de tout le monde, mais sache que je ne te lâcherai pas d’un pouce jusqu’à ce que tu tombes. Si tu veux m’attaquer en « djeustisse », vas-y. Choisis le tribunal dans la ville de ton choix, d’Alger à La Haye. À ceux qui t’ont promis d’abattre Rebrab pour t’ouvrir un boulevard, à ceux qui t’ont fait croire qu’avec l’élimination du DRS, tu pourrais faire ce que tu veux, dis-toi que si ton ascension a été rapide, ta chute sera foudroyante. Sache que je ne te lâcherai pas d’une semelle, je collerai à tes basques jusqu’à ce que tu disparaisses dans le caniveau d’où tu proviens. Les gens comme moi te connaissent très bien et connaissent aussi ceux qui t’ont fait quand tu poussais la brouette dans ton patelin en léchant les bottes du wali Benmansour qui t’a donné les chantiers de gré à gré et qui t’a permis de voler le sable d’Azazga, ya attay. Au moment où tu n’étais rien du tout et où ton maître Saïd vivait avec sa famille du terfas à Oujda en vraie bande de pouilleux arrivistes, des hommes comme Benhadid et d’autres faisaient West Point, Saint Cyr et l’Académie militaire soviétique. Le général Benhadid dirigeait la huitième Division Blindée quand des cancrelats comme vous tous frottaient la manche d’un wali ou d’un maire. Ô Algérie, comment traites-tu tes fils patriotes, comment malmènes-tu les vrais hommes ? Un soldat qui a servi sa patrie toute sa vie est en ce moment en prison, parce que des minables ont fait main basse sur le pays. Khlassou rajala ya klab, ya rkhass ! Un vieux monsieur honorable de 72 ans, malade, est incarcéré, et personne ne bouge ?! Même le peuple regarde son destin comme s’il n’était pas concerné. Un peuple déshumanisé, castré, et qui est plus intéressé par la Champion’s League et les jambes de Ronaldo que par son propre avenir et celui de ses enfants. Le peuple algérien est devenu impuissant, à tel point que le kharay Ali Haddad propose d’offrir les femmes algériennes aux investisseurs chinois qui n’en sont toujours pas revenus !

Je n’ai pas croisé Benhadid, mais j’ai croisé certains officiers supérieurs, et je t’ai croisé toi-même, Saïd. Te rappelles-tu, avorton ? Je regrette de t’avoir serré la main un jour, je faisais mon travail de journaliste et je ne savais pas que je rencontrais le poison mortel de l’Algérie : Saïd Bouteflika el nakch. L’Algérie du MALG et du DRS a laissé la place à l’Algérie de Zoubir la coiffeuse, de Badjrah et de Cheb Abdou. C’est certainement l’État civil que souhaitent les salonards et les islamistes terroristes, une mutation périlleuse qui ne sert que l’intérêt des impérialistes et de leurs zouaves. Je relate les propos d’un camarade officier de l’ALN dans la wilaya 4 historique qui, en parlant de la crise en Algérie en 2001, m’a affirmé que cette crise n’est pas seulement au niveau de l’État et de ses structures civiles et militaires. Méditez tous sa réflexion : « Quand le pourrissement est dans les familles elles-mêmes, comment espérer un changement ou quoi que ce soit ? « . Cette phrase est une lumière dans les ténèbres de l’Algérie du règne des régents Bouteflika. La sagesse de chez nous est explicite à ce sujet : « kama takounou youwala aleiykoum » (as you are, your rulers will be, selon ce que vous êtes, vos dirigeants le seront aussi).

Le journaliste Abdessami Abdelhaï a été libéré, et ce n’est pas grâce à toi, Saïd, tu n’avais pas le choix. C’est une victoire que tous les patriotes doivent saluer, car aujourd’hui, ce père de famille est enfin avec sa famille. Je suis fier d’avoir alerté le monde entier sur son cas, de la même manière que je participe aujourd’hui à la libération du général Benhadid qui sera bientôt libéré, que le clan le veuille ou non. Chaque fois que vous emprisonnerez quelqu’un, je serai à ses côtés. C’est valable pour le général Hassan et pour tous les Algériens qui sont en prison par le fait du prince. Quant à la justice du mgemmel Haddad « nakch » ou de Saïd « nakch« , la folle de la Porte de Clichy, vous pouvez vous la mettre dans votre trou de balle ! Libérez ces hommes que vous avez emprisonnés sous de faux prétextes et dites-nous donc où est la justice des Bouteflika et des Haddad dans l’affaire du commandant Azzedine qui a dépouillé la veuve de son compagnon d’armes, le colonel de l’ALN Salah Boubnider, Sawt al Arab de son nom de guerre, dont Azzedine a volé tous les biens ? Votre parodie de justice vous dévoile aux yeux du monde ! En emprisonnant Benhadid, Hassan et les autres, vous montrez le visage hideux de l’Algérie. Les patriotes croupissent en prison pendant que la crasse pullule dans les institutions. El habss la rjal ya wlad hram ! (la prison est pour les hommes et pas pour les femmelettes). Par ailleurs, je soutiens pleinement mon confrère, le correspondant à Tébessa, El Hamza Sofiane, du journal arabophone Akher Saa, qui a écopé injustement d’une peine de 3 mois de prison avec sursis et d’une amende de 150 000 dinars algériens pour avoir écrit un article qui ne plaît pas aux potentats et maquignons locaux. Je lui offre mon soutien indéfectible.

Plus la crise économique s’approfondit, plus les membres du même clan vont se chamailler pour se disputer les restes sans aucune pitié. Est-ce qu’au finish, Saïd va mettre tout le monde en prison pour rester tout seul ? Et ceux qui parlent d’État civil, comme le drabki Saïdani, le voilà, votre État civil : vol, rapine, perversion. L’Algérie est transformée en un vaste lupanar doublé d’une prison à ciel ouvert. Pendant qu’un ancien moudjahid de l’ALN végète en prison, Hamid Melzi, l’apprenti maçon devenu milliardaire, dirige en tant que PDG la résidence d’État du Club des Pins où vit le gratin algérois et veille au grain pour couvrir les frasques et les soirées de débauche qui se terminent souvent entre bagarres et overdoses. Melzi supervise tout chez les nouveaux colons. Cette charge ne l’empêche pas de diriger plusieurs entreprises d’État et son pouvoir lui a permis de réserver le Sheraton d’Alger pour le mariage de son rejeton où il a invité tous ses maîtres, empêchant les habitués d’avoir accès à l’hôtel. Néanmoins, malgré sa servilité à toute épreuve, le patron du Club des Pins s’est fait avoir comme un bleu et n’a rien vu venir, lui, le flagorneur, le larbin des parvenus. Son arme personnelle lui a été retirée et il a été malmené comme le porc puant qu’il est.

Je dis au général Benhadid que si le général Toufik n’a pas accompli sa mission, les rejetons de Lévy, en l’occurrence la famille Bouteflika, a accompli la sienne en incarcérant des patriotes tels que lui et en coulant le pays, en attendant de le livrer aux charognards.

Saïd la poufiasse, Haddad le kharay et leur cohorte de gangsters ont osé essayer de censurer un de mes articles qui leur est consacré

Cela pourrait paraître une blague mais ils ont osé mettre la pression sur un de mes diffuseurs. Hélas pour eux, ils n’ont pas réussi, car je peux diffuser partout. Le vent emportera mes paroles dans toutes les chaumières à travers le monde, car je vous le répète, bande de merdeux, je n’écris ni pour vous ni pour vos ouailles castrées, des impuissants à votre image. J’écris pour la mémoire des miens, mes ancêtres. À ce sujet, le nom de mon père, homme d’honneur et patriote, est Mustapha Abdelmoumen, descendant des Almohades. Quant à toi, Saïd, et à ton frère le président « remorqué », vous resterez sans nom et sans histoire. Vous êtes les rejetons d’un Lévy, voire même un croisement de race, et je te mets au défi, Saïd, de nous en parler. Le dernier article que Saïd a voulu stopper a fait plus de 151 000 lectures – un record – dans un seul journal en ligne –  ici – alors que je publie dans trois supports médiatiques, en plus de mon blog personnel Algérie Résistance – ici – qui a plus d’impact que vos torchons nourris par Grine la pute de la pub et que certaines feuilles de chou qui n’arrivent pas à imprimer 2000 exemplaires. La presse en Algérie est devenue une poissonnerie. Je défie vos larbins et vos plumitifs à la con – que je peux citer car je les connais tous, ces salonnards gavés de la rente – d’atteindre 151 000 lectures. Allez-y, la compétition est ouverte. J’ai eu l’honneur d’interviewer de grands noms dont vous ne pourriez même pas cirer les bottes. En tant que journaliste, j’ai atteint mon objectif. Je précise que je ne suis sponsorisé ni par vous ni par les autres et je demande à ceux qui lancent des critiques derrière mon dos et dont je vois le striptease sur les réseaux sociaux de ne pas parler la bouche pleine. À ceux qui lancent des insultes derrière un ordi parce que je m’oppose à votre « Dey Saïd Bouteflika » et les salopes qui l’entourent, qui que vous soyez, vous me trouverez « li klah zakou ! » (celui dont le fion chatouille, qu’il se gratte). Qu’il se mette un concombre ou qu’il trouve un manche ! Cela va des islamistes aux autres. Fermez-la et continuez à picorer dans la mangeoire dans le silence total. Cessez de jacter ! Quant aux canailles du clan, sachez que plus vous essayez de me viser, plus cela me donne la rage de vous attaquer à tous les niveaux. J’ai fourni des preuves sur vos crimes économiques et je t’informe personnellement, toi, Saïd, que tu ne pourras jamais corrompre ni briser les gens de ma race. Mets-toi bien ça dans ta petite caboche de rejeton de hammam. Un guépard reste un guépard et une hyène bouffera toujours les charognes que le guépard dédaigne. Aucun d’entre vous n’atteindra ni mon histoire familiale ni mon histoire personnelle, parce que mes racines sont très profondes dans l’Histoire de mon pays. Quant à vous, vous n’êtes que des parvenus et vous finirez dans les égouts qui vous ont éructés. Toi, Haddad, la petite frappe arriviste parmi les arrivistes, bras économique et prête-nom de ton chikour Saïd, il faut que tu comprennes une chose, pauvre minable, je ne porte pas Rebrab dans mon cœur, car il a importé, tout comme vos amis de la famille Kouninef, du rond à béton radioactif acheté à la mafia ukrainienne dans les années ‘90, et qui continue à propager le cancer en Algérie, mais Rebrab n’a aucune peine à afficher son mépris à ton égard. Je sais plus de choses sur toi et tes semblables disséminés dans toutes les régions d’Algérie que tu ne peux imaginer. Ainsi, tu as implanté un réseau qui a fait de l’argent sale pendant les années de sang de la décennie rouge et je connais un de tes éléments dans ma ville d’origine qui travaillait avec les terroristes. Ce milliardaire a acquis sa fortune comme toi dans les années ‘90 en appartenant à une mafia pourrie connue dans tout le pays, tu le connais très bien et je peux citer son nom quand tu veux. Vous n’êtes tous que des pourritures sans aucun honneur comme le montre cette anecdote lors du mariage de la sœur de Fella Ababsa à l’Aurassi où tu n’étais pas, parce qu’à cette époque-là tu poussais encore ta brouette. Le jeune marié libanais cherchait sa nouvelle épouse pendant que celle-ci batifolait avec son amant sous une table. Demande confirmation au frère du président « remorqué », Abdelwahab Bouteflika, l’avocat du voyou Khalifa qui croupit dans une prison et que tu rejoindras un jour. Tels sont les gens qui vous entourent : des dépravés pourris jusqu’à la moelle. Qui se ressemble s’assemble. Les gens comme toi ne feront pas long feu, dès que ton maître sado-maso Saïd déguerpira, tu t’effondreras immédiatement, et en vous attaquant, toi et ton amant, à des vrais patriotes, vous ne faites qu’accélérer le processus de votre propre destruction.

Sache aussi, kharay, qu’en ce qui me concerne, je suis fier de défendre ceux que toi et tes pareils opprimez. Lorsque j’écrivais pour Alger Républicain quand tu étais occupé à fuir la gendarmerie ou à distribuer des pots de vins pour passer des barrages avec des camions remplis de sable du côté d’Azazga. Autre anecdote : quand le fils de Rebrab a frappé la représentante syndicale de la cellule Hyundai Algérie, elle est venue me voir et j’ai pris son parti contre tout le monde, aucun autre journaliste ne voulant la défendre à ce moment-là, parce que Rebrab était l’associé du général Touati, El Mokh, qui le protégeait. J’ai défendu cette femme et elle a obtenu gain de cause. J’ai parlé de son cas à de nombreux responsables de l’époque, j’ai harcelé le secrétaire général de l’UGTA, Sidhoum Saïd, et l’actuel ministre de la Justice qui était alors ministre du Travail, Tayeb Louh. Je le mets au défi de nier cette information. Si je raconte ça, c’est pour te dire que je n’ai pas attendu des petits connards dans ton genre pour me censurer. Si tu me cherches, tu me trouveras, et je vous offrirai l’enfer à tous. Ceux qui se considèrent comme des intouchables, je leur chie dessus, quant à ceux qui sourcillent devant mes propos qu’ils jugent graves ou triviaux, ils sont complices de vos actes. Vous tomberez tous, tant que vous êtes, croyez mon expérience de vieux routier de la politique, la roue tourne. Mais en attendant la chute, vous vivrez dans les tourments, et, croyez-moi, je prendrai plaisir à vous empêcher de dormir tranquilles. Dieu merci, j’ai un lectorat très étendu et je rends grâce à dieu de m’avoir donné cette arme, la plume, et de m’avoir renforcé dans ma croyance en la justice sociale contre la hogra et l’oppression. Je ne suis ni pour X ou Y. Personnellement, vous m’avez volé ma jeunesse et l’Algérie ne m’a rien offert, contrairement à ceux qui critiquent « l’État », le « régime », le « pouvoir » depuis Londres ou Paris. Dieu est témoin, je n’ai rien reçu de mon pays, et je ne suis pas le seul dans ce cas. Vous nous avez massacrés, volé notre jeunesse, et même si des faux-jetons du pouvoir ont voulu me corrompre, je suis fier d’avoir refusé. Je ne défends aucun intérêt, aucune personne, seulement une idée, celle que mes ancêtres avaient de la nation algérienne. Quant aux mercenaires d’Alger, Paris ou Londres, je leur conseille de la fermer, même s’ils sont grassement payés pour leurs aboiements. Et je vous transmets un message que j’ai reçu d’un jeune algérien sans travail et qui est pourtant diplômé de l’université, cette phrase que je partage avec ce jeune homme, désespéré de voir vos gueules : « Yadkoum fel cheikh ya khab ! » (Astiquez bien notre manche, bande de bâtards).

Des généraux en prison : les islamistes se frottent les mains !

Tous les relais islamistes se délectent de ces bonnes nouvelles venues d’Algérie, que ce soient les renégats du Londonistan, ceux de Paris ou de Doha, les apôtres du djihad niqah ou du djihad el mayssar. Enfin des généraux en prison ! Délectation suprême offerte par Saïd la folle de la Porte de Clichy. Au moment où Hamadache, Madani Mezrag et autres terroristes se baladent comme ils veulent dans l’Algérie de Bouteflika et vont même être consultés pour l’élaboration du papier-cul officiel, à savoir la nouvelle Constitution du président momifié que son frère Saïd sort du placard et transbahute sur son trône à roulettes à chaque fois qu’un officiel se pointe à Alger. En Algérie, quand on égorge des soldats et qu’on balance des bombes, on est une personnalité nationale, et ce n’est pas Ouyahia, l’associé de Mahiedine Tahkout, qui va nous contredire, lui qui a reçu Mezrag précisément aux cabinets de la Présidence où ils ont déféqué en duo. Néanmoins, la mission diarrhéique confiée à Ouyahia pour produire la nouvelle Constitution de Bouteflika n’a pas eu lieu. Je suppose qu’ils sont constipés. Bensalah doit souffrir d’hémorroïdes politiques, puisque lui-même n’a pas réussi à chier la mouture de la Constitution. Quant au président sur roulettes, il n’arrête pas de déclarer via les lettres écrites par son frère cadet depuis 2011, que la Constitution est prête et qu’il faut juste aller voter pour dire oui. Oui à l’amnistie générale des terroristes, oui au retour des deux mandats… Un pays délabré à ce point a-t-il besoin d’une feuille de chou en guise de Constitution ? Qu’ils se torchent donc le cul avec ! Néanmoins, le plus intéressant dans cette mascarade réside dans l’attitude des Islamistes, notamment ceux qui veulent régler leurs comptes et qui n’arrêtent pas de nous dire que le FIS est innocent comme le fut le loup du sang de Joseph, et que c’est l’armée algérienne la source de tous les maux. Bref, ils nous resservent le plat insipide à force d’être réchauffé du « qui-tue-qui » de François Gèze et de Jean Baptiste Rivoire, avec les services français et israéliens qui reviennent en force. Les Islamistes se sont faufilés dans la faille de ces dernières semaines pour tenter un coup de force à leur manière visant le retour du FIS dans la scène politique nationale et une amnistie générale qui engloberait tous les terroristes sans exception. Ils ont profité de la vulnérabilité de l’État algérien pour peser de tous leur poids afin de vendre à nouveau la camelote du qui-tue-qui et revenir nous baratiner à propos du scrutin de 1992. Je leur dis que s’ils exigent la légitimité, revenons à 1962, car c’est le GPRA qui devait gouverner l’Algérie, ce qui n’a pas été le cas. En effet, pourquoi seulement parler du FIS, du père et du Saint dollar ? Tous les relais prostitués des médias et des partis se sont levés comme un seul homme pour réclamer un retour du FIS avec, à la clé, l’accusation de l’armée algérienne, version « qui-tue-quiste ». Tous les moyens sont bons pourvu que ça marche. Ils profitent du départ du général Toufik en se délectant du démantèlement du DRS, et surtout de la faiblesse du pouvoir actuel qu’ils peuvent contrer facilement, puisque le noyau dur de l’armée qui leur faisait obstacle a totalement disparu. Les Islamistes de Londres, de Paris, de Genève et d’ailleurs, sont de fait les alliés stratégiques du pouvoir et du régime de Bouteflika. Ils sont même le fondement sur lequel il s’appuie, avec le bras économique représenté par le kharay Ali Haddad et le bras armé dirigé par l’ivrogne Gaïd Salah imbibé de whisky black label et qui partira bientôt à la retraite une fois sa mission terminée, même s’il a offert ses fesses sans l’ombre d’une hésitation. Ici et là, on avance le nom de Benali Benali pour le remplacer, issu de la même région que l’entourage de Bouteflika, soit de Tlemcen, Nedroma, etc. Bien que le chef d’état-major ait pratiqué tout le kamasoutra, il sera quand même dégagé comme une vieille chaussette trouée, et ce, dès novembre. Si par miracle, il atteint 2016, sa carrière ne se poursuivra pas plus longtemps. Les Islamistes dotés d’un opportunisme et d’un pragmatisme historique hérité de la nébuleuse des Frères musulmans, ont actionné toutes leurs chaînes de télévision pour ressortir le dossier complet de l’armée algérienne, terminant le travail de sape commencé par Saïd Bouteflika, la pute à la solde de Bernard Bajolet et d’Israël. Plus on incarcère les patriotes, plus les Islamistes demanderont des concessions à ce pouvoir pourri qui leur offrira tout, pourvu qu’il puisse organiser non pas la succession mais la fuite, car la succession a eu lieu il y a belle lurette. En réalité, Saïd Bouteflika est président depuis 2009 et a donc exercé deux mandats consécutifs. Les débats sur l’accession de Saïd Bouteflika à la succession sont biaisés, puisque la succession héréditaire a eu lieu dans l’informel dès 2009, et ceux qui demandent au sado-maso de la Porte Clichy, Saïd Bouteflika, de sortir de derrière le rideau pour affirmer que c’est lui qui dirige effectivement l’Algérie, se trompent du tout au tout. Pourquoi sortirait-il de l’ombre alors que cette position est la plus confortable pour lui, qui n’a aucune fonction officielle et qui est conseiller nommé par décret non publiable ? Il n’est tributaire d’aucun bilan et n’a de compte à rendre à personne. C’est une situation inédite dans l’histoire politique de l’humanité.

Peuple algérien, continuez à dormir sur vos deux oreilles, mais sachez que vous êtes dirigés par des pervers, des voleurs et des pédophiles qui vous ont bel et bien castrés pendant votre sommeil. Tous ces duels, gesticulations, arrestations arbitraires, etc. reflètent l’état de panique dans lequel se trouve le clan présidentiel qui n’a aucune solution pour sortir de l’impasse dans laquelle il a mené le pays, et le général Benhadid a eu le mérite de dénoncer cet état de fait. Les Sellal, Ouyahia, et les autres ministres doivent rentrer chez eux dès maintenant, car le clan va persister dans le changement des figures parce qu’il n’a pas d’autre choix. La seule vision de l’État des Bouteflika consiste à changer les personnages de la scène, offrant un semblant de changement dans le statut quo, qui est une impasse matricielle secrétée par ce pouvoir pourri. La Constitution est en gestation depuis 2011, ce qui est inédit dans l’histoire politique mondiale. On agite un hypothétique bout de papier qui ne représente plus rien, car trop souvent souillé et piétiné, pour jeter de la poudre aux yeux et combler le vide politique. On gagne du temps et on bouffe les restes jusqu’à laisser l’Algérie sur la paille et endettée. Les Islamistes sont tellement sûrs d’eux que dans ce moment d’affaissement général, le kharay Madani Mezrag, ce criminel qui devrait rendre compte de ses crimes, n’hésite pas à menacer le président à roulettes. On se demande si le percussionniste Saïdani avec son bendir pourra stopper les poussées d’adrénaline de Mezrag qui est apparemment en rut. Qui va se porter volontaire parmi les membres du clan pour assouvir les pulsions de Madani Mezrag en lui offrant encore une fois son derrière ? Je leur suggère de tirer à la courte paille pour déterminer qui sera l’heureux élu.

Issad Rebrab révèle la pédophilie de Gaïd Salah

C’est très grave. Le chef d’état-major et vice-ministre de la Défense a été évoqué dans des affaires de pédophilie au cours d’une émission de télévision sur une chaîne appartenant au fils d’Abassi Madani, El Magharibia. Cette chaîne a mobilisé tous ses zouaves qui tapinent pour le fils de Madani, et pour Abdul Rahman Omeir Al–Naimi, un pingouin qatari bailleur de fond du terrorisme international. Le Qatar accueille les bras ouverts les pires crapules que recèlent cette planète, dont Abassi Madani, chef du FIS et pédéraste notoire, et le vieillard pédophile al-Qardaoui, mufti de l’Otan, qui a épousé une fillette de 9 ans. Devant les révélations du chef d’entreprise Issad Rebrab concernant la pédophilie de Gaïd Salah, nous exigeons une enquête immédiate. Où est la justice libre, qu’elle soit militaire ou civile, vantée par « Monsieur État civil », c’est-à-dire la danseuse du ventre Saïdani qui n’est plus à une contorsion près ? Certains nous disent « laissez-les voler puisque le peuple accepte et que la corruption existe partout dans le monde ». Admettons, mais la pédophilie est un acte très grave. Le chef d’état-major de l’armée algérienne serait donc un pédophile ? On sait qu’il doit partir bientôt, mais devant cette accusation, il doit démissionner séance tenante ! Où sont les familles des victimes ? Qui a étouffé l’affaire ? Pourquoi Gaïd Salah n’est-il pas en prison, alors qu’on enferme le général Benhadid pour quelques phrases, ce qui s’apparente à un délit d’opinion ? Le général Petraeus aux USA a été dégommé pour moins que ça ! Comment voulez-vous que le moral des troupes ne soit pas au plus bas quand le chef d’état-major est accusé de pédophilie et n’engage pas des poursuites contre la chaîne de propagande terroriste qui n’a jamais condamné les crimes de Daech ? Ils ont beau parler de liberté d’expression dans El Magharibia, on connaît leur projet, eux qui n’ont jamais condamné le terrorisme, bien au contraire, ils parlent de djihad et étaient favorables aux printemps sionistes. Scandale sur scandale, Gaïd Salah dont on le penchant pour le whisky n’est plus un secret pour personne, nous est révélé maintenant amateur de petits garçons. Issad Rebrab, en déplacement au Brésil, affirme qu’il a reçu des informations lui indiquant qu’il serait arrêté dès son retour en Algérie, ajoutant que « ces gens-là n’ont pas besoin de mandat pour m’arrêter ». Cet énième scandale montre de quoi sont capables Saïd et son clan de gangsters. Voilà où nous a mené le règne des Bouteflika qui demande au peuple, retenez-vous bien, qu’il faut se serrer la ceinture et ne plus dépenser, alors qu’ils ont dilapidé 800 milliards de dollars en quinze ans ! Peuple algérien, acceptez le fait qu’ils aient pillé et ruiné l’Algérie et acceptez le fait que vous n’aurez rien. Acceptez leur trahison et leur incompétence. Saïd et tes députés et clients, commencez donc par donner l’exemple en renonçant à votre train de vie fastueux et à la moitié de votre salaire. Ce n’est pas au peuple de payer la facture de votre gabegie, bande de voleurs, pilleurs et traîtres !

Pauvre Algérie, comment allons-nous sortir de ce purin ?

Au moment où les grands de ce monde se réunissent à New York pour l’avenir de l’humanité, l’Algérie brille par son absence

Quand Vladimir Vladimirovitch Poutine donnait des leçons à toute la planète au siège de l’ONU et qu’il a décidé de frapper Daech pour combattre réellement les terroristes, les pays occidentaux et leurs valets arabes saoudiens et qataris, alliés à la Turquie d’Erdogan, ont commencé une campagne acharnée contre la Fédération de Russie qui est en train de redessiner la carte géopolitique du monde. Poutine a démasqué l’empire américano-sioniste et ses larbins avec une force implacable alliée à la maîtrise de la realpolitik, alors que l’Algérie, concernée au premier chef par le terrorisme et par Daech implanté en Libye, faute d’avoir un président debout sur ses deux pieds et en pleine force physique et mentale comme Vladimir Poutine, se contente d’un président « remorqué » et de son frère cadet qui écrit des missives au président du Lesotho ou du Zimbabwe et dont l’unique préoccupation est de faire un montage à la résidence médicale de Zéralda autour d’un mouchoir et d’un vase de roses rouges figées, à l’image du président statique. Saïd, un conseil, change la couleur des fleurs.

L’Algérie tourne sur elle-même, au ralenti, comme la charrette de ce président mourant qui fonctionne par correspondance et qui a raté un moment historique et un tournant majeur dans la lutte antiterroriste, la vraie, celle menée aujourd’hui par Vladimir Poutine et la Chine. Pendant que ces grands pays changent la face du globe et ouvrent la voie vers un monde multipolaire en brisant les reins de l’empire américain et de ses larbins connus de tous, l’Algérie s’est située en dehors de l’Histoire, parce qu’elle a un président mourant incapable d’assumer ses fonctions qui ont été accaparées par son frère cadet, lequel n’a aucun droit de gérer l’Algérie par procuration. Tout cela s’appelle la vacance du pouvoir, un régime présidentiel sans président. Un ex-diplomate algérien n’a pas hésité à dire que l’Algérie a raté un grand rendez-vous à New York très important sur le plan géopolitique parce que le président, ou plutôt son frère, est occupé à détruire les services de renseignement algériens et l’armée. L’Algérie dont la voix est inaudible aujourd’hui reste désespérément absente du concert des nations. Tout le monde la regarde sombrer dans des guerres claniques qui la desservent. À vrai dire, le frère du président, tellement obnubilé et débordé par le fait de démanteler et casser les services de renseignement, et de vassaliser l’armée algérienne, ne peut avoir aucune vision lointaine et ne peut pas sortir de l’ombre. Quant à son frère grabataire, on ne sait même pas s’il est vivant ou mort, on le sort du frigo comme on sort les crevettes royales, pour l’exhiber face au président d’une république bananière moyennant finances, ou face à Lakhdar Brahimi qui a décroché un CDI dans le rôle d’accompagnateur attitré du président à roulettes. Cette situation ne peut pas perdurer. Soit Saïd Bouteflika sort de derrière le rideau et dévoile son programme de succession directe, soit l’Algérie doit trouver son Poutine qui renversera la table sur ses crapules et redressera la barre. Il faut se remémorer que Poutine est venu quand la Russie était fragilisée par les agissements d’Eltsine, président alcoolique et pervers qui a souillé la Russie, l’affaiblissant en acceptant l’apparition des oligarques et des nouveaux riches qui ont profité de la vulnérabilité de l’État russe, comme le font aujourd’hui les Haddad et Cie. Vladimir Poutine a maté ces arrivistes en les réduisant à rien et il a fait de son pays ce qu’il est aujourd’hui : une puissance que même les États-Unis et l’Union européenne n’ont pas pu briser, bien au contraire, la Russie s’est redressée et Poutine a marqué l’Histoire pour toujours. L’Algérie, quant à elle, attend un Poutine algérien et se trouve devant un choix cornélien : soit un président fort, soit la disparition du pays. Même si je ne crois pas aux hommes providentiels, l’Algérie doit devenir un État fort avec un président à poigne qui accomplira toutes ses missions, avec des institutions solides et surtout légitimes – toutes les institutions ! – car un État faible disparaîtra immanquablement dans les méandres de l’Histoire.

NB : Si la trivialité de certains de mes propos choque certaines âmes sensibles, ce texte révèle pourtant la réalité obscène de ceux qui dirigent l’Algérie. Ils ont dépassé toutes les bornes de la bienséance la plus élémentaire. Quant aux vierges effarouchées adeptes de « l’éthique » selon Hamid Grine la pub, la pute, la pipe, et leurs « analysettes » à quatre sous, vous pouvez vous les enfoncer dans la partie charnue de votre anatomie, vous aurez le mérite de réhabiliter ainsi le métier de ramoneur qui tend à disparaître. Car si la sauce diffère, la matrice reste la même. Je n’ai jamais été intéressé par le journalisme des salonards, docteurs ès enculades de mouches.

Mohsen Abdelmoumen

Published in Oximity, October 7, 2015:https://www.oximity.com/article/L-Alg%C3%A9rie-dans-l-attente-d-un-Pou-1
In Whatsupic:http://fr.whatsupic.com/sp%C3%A9ciale-monde/l%E2%80%99alg%C3%A9rie-dans-l%E2%80%98attente-d%E2%80%99un-poutine.html

 

 

   

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Source : Mohsen Abdelmoumen
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