Algérie résistance
Non, nous ne voulons pas faire votre
interview,
Monsieur Kissinger !
Mohsen Abdelmoumen
Henry
Kissinger. D.R.
Lundi 6 octobre 2014
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Dans le souci d’effectuer au mieux
notre travail en donnant la parole à
diverses personnalités, même à celles
pour lesquelles nous n’éprouvons pas de
sympathie – cela s’appelle la
déontologie journalistique -, nous vous
avions sollicité pour une interview dans
le but d’obtenir votre témoignage sur
votre longue carrière d’homme politique
qui a marqué l’Histoire, même si ce
n’est pas dans le bon sens du terme.
Après avoir ignoré longtemps nos
sollicitations, nous avons reçu votre
réponse lénifiante qui nous félicitait
pour notre professionnalisme, mais qui
n’était rien d’autre qu’un moyen de vous
esquiver comme vous l’avez fait toute
votre vie. Bien que vous nous ayez
remerciés pour notre travail
d’investigation, en regard de votre
parcours, nous nous demandons s’il
s’agit d’un compliment ou d’une insulte
à notre égard et à celui de nos
lecteurs. Votre refus ne nous étonne pas
car nous connaissons votre faculté à
vous soustraire aux questions
embarrassantes. Le juge chilien Juan
Guzman l’a bien compris aussi, puisque
vous n’avez jamais voulu répondre aux
trente questions concernant vos liens
avec Pinochet qu’il vous a soumises.
Quant à la citation à comparaitre que
vous a adressée un juge français lors
d’un de vos séjours à Paris, vous avez
préféré fuir la France plutôt que d’y
répondre. Il semble que les juges et les
collectifs vous pourchassent à travers
la planète pour crimes de guerre.
Comment se fait-il que vous soyez
toujours en liberté alors que vous êtes
recherché dans plusieurs pays ?Relatons
les faits qui vous sont reprochés.
Commençons par vos liens avec la famille
Rockefeller quand vous souteniez la
candidature à la présidentielle en 1968
de votre ami et mentor Nelson
Rockefeller qui avait des liens
privilégiés avec la CIA puisqu’il a
supervisé ses opérations secrètes en
prenant la tête de l’Operation
Coordinating Board (OCB) et qui avait
déjà été chargé du poste de
sous-secrétaire d’Etat pour promouvoir
la culture nord-américaine en Amérique
latine. Plus que les Nazis réfugiés en
Amérique du sud, il redoutait l’URSS et
les communistes. Est-ce lui qui vous a
inculqué le goût des réunions cachées et
des opérations criminelles contre tous
les progressistes de cette planète?
Votre ami évincé, vous avez été recruté
par le nouveau président Nixon, et c’est
à cette époque que l’on voit votre
accession à un poste de contrôle inégalé
avec un pouvoir total sur la politique
étrangère des Etats-Unis, en relation
directe avec la CIA, le Pentagone, le
chef d’Etat major, le département
d’Etat, bref, vous dirigiez à la fois la
diplomatie et la politique militaire.
C’est alors que vous décidez de
conduire des bombardements secrets au
Cambodge en 1969, sans l’aval du Congrès
des Etats-Unis. Pour reprendre vos
propos : « Notre but est d’obtenir
qu’il y ait un intervalle décent entre
le retrait des troupes américaines et le
viol de la première vierge »
(sic !). Ces bombardements massifs ont
tué des centaines de milliers de civils
(3600 missions secrètes en 14 mois et
110 000 tonnes de bombes larguées) et
ont été nommés « Opération Menu », dont
les raids meurtriers étaient appelés
cyniquement « Petit-déjeuner »,
« Casse-croûte », « Dîner », etc. Vous
avez instauré le système des
double-rapports destiné à dissimuler les
attaques aériennes, vous avez financé le
coup d’Etat contre Sihanouk, la prise de
pouvoir de Lon Nol, et conduit
l’invasion du Cambodge ainsi que les
bombardements du Nord Vietnam alors que
des accords de paix avaient été conclus
deux mois plus tôt (129 bombardiers ont
déversé 40 000 tonnes de bombes sur le
Nord Vietnam pendant 11 jours).
Auparavant, alors que vous étiez
encore conseiller du président Johnson
(en même temps qu’agent du candidat
Nixon), vous avez manœuvré pour saboter
les accords de paix sur le point d’être
conclus en 1968 à Paris entre les deux
Vietnam et les Etats-Unis, et avez ainsi
prolongé de plusieurs années une guerre
dévastatrice qui a tué des millions de
Vietnamiens, de Cambodgiens, et des
dizaines de milliers de soldats
Américains, vous avez réduit le peuple
du Cambodge à la famine et favorisé
l’émergence des Khmers rouges. Lorsque
des articles de presse ont commencé à
dévoiler vos opérations secrètes au
Cambodge, vous n’avez pas hésité à
mettre les journalistes sur écoute, ce
qui a mené directement à mettre en place
les célèbres « plombiers » du Watergate,
l’équipe secrète de la Maison Blanche
censée empêcher les fuites, ce qui a
entraîné la démission de Nixon. L’une
des rubriques du dossier de son
« Impeachment » traitait de la
dissimulation au Congrès des
bombardements au Cambodge. Le ministre
de la Justice John Mitchell et d’autres
membres de l’administration Nixon ont
fait de la prison, mais vous,
l’instigateur de ces trahisons envers
votre nation, meurtrier de masse,
génocidaire, menteur, dissimulateur,
manipulateur, avez réussi à vous en
tirer plus blanc que neige. Plus tard,
dans l’administration Ford, vous avez
sur la conscience votre complicité dans
le génocide commis contre le peuple du
Timor oriental par le régime sanguinaire
de Soeharto que vous avez soutenu,
encouragé et armé, bien sûr en trompant
toujours le Congrès quant à la
destination des armes que vous
fournissiez à l’Indonésie, vendues au
régime fasciste indonésien pour sa
défense et non pour une invasion. En
plus de massacrer le peuple timorais
(plus de 200 000 morts sur une
population inférieure à un million),
votre ami dictateur a exterminé plus
d’un million de ses concitoyens,
toujours avec votre bénédiction.
Parlons maintenant de l’Opération
Condor. Vous avez ordonné en octobre
1970 l’assassinat par vos sbires de la
CIA du général René Schneider, chef de
l’armée chilienne, considéré comme le
principal obstacle au coup d’Etat
militaire du sinistre Pinochet au Chili.
Votre attaché militaire à Santiago, Paul
Wimert, a reçu 250 000 dollars pour
préparer l’opération et payer les tueurs
du général Schneider. Le 9 septembre
1973, votre ami Pinochet a pris le
pouvoir et a tué le président Salvador
Allende ainsi que des milliers de
Chiliens. Vous avez soutenu et placé des
dictatures sanguinaires non seulement au
Chili, mais en Argentine, en Uruguay, au
Paraguay, au Panama, en Bolivie où vous
avez organisé la traque et l’assassinat
d’Ernesto Che Guevara, et vous avez
offert un soutien sans faille à la junte
militaire du Brésil, les peuples de ces
pays étant martyrisés par les escadrons
de la mort responsables des détentions
secrètes, des assassinats, des
disparitions, et des « vols de la
mort ». En fait, vous avez toujours été
très proche des pires crapules qui
polluent cette planète, et voici que des
documents déclassifiés publiés ce 1
octobre relatent votre intention
d’envahir Cuba et d’écraser celui que
vous qualifiez « d’avorton », à savoir
Fidel Castro, lorsque les Cubains sont
allés aider l’Angola envahi par l’armée
sud-africaine que vous souteniez. Cet
« avorton », comme vous dites, a réussi
à échapper à 638 tentatives d’assassinat
et, malgré l’embargo crapuleux que les
Etats-Unis exercent sur Cuba depuis
1962, a doté son peuple d’un
enseignement de qualité et d’une
médecine de pointe, tout en aidant les
peuples frères dans le besoin en
envoyant notamment des équipes médicales
dans divers pays. Castro a transformé
Cuba, l’ancien lupanar de la pègre
américaine, en nation autonome où la
mortalité infantile est la plus basse du
monde, où tout le monde mange à sa faim,
se soigne et jouit d’un enseignement
gratuit, malgré le blocus que les USA
lui imposent. En fait, Fidel Castro a
donné à son peuple tout ce que le
gouvernement des Etats-Unis n’offre pas
à ses citoyens.
Et dire que vous avez obtenu le prix
Nobel de la Paix, vous qui avez causé la
mort de plusieurs millions de personnes
à travers le monde. Avez-vous déjà
comptabilisé tous les cadavres
d’enfants, de femmes, de vieillards, de
jeunes hommes en pleine force de
l’âge, massacrés à cause de votre
politique criminelle et de votre goût du
pouvoir? Viennent-ils vous hanter dans
vos moments de solitude ? Vous n’êtes
pas seulement un criminel et un assassin
de masse, vous êtes l’incarnation de
l’ennemi n° 1 de l’Humanité. On a abattu
Dillinger pour bien moins que ce que
vous avez fait.
Votre implication dans l’opération
9/11-Anthrax où, sous les ordres de Dick
Cheney, vous avez été nommé par George
W. Bush chef de la Commission d’enquête
sur les attentats, pardon, disons plutôt
la Commission de dissimulation des
éléments troublants du 11 septembre 2001
commence à voir le jour. Il est étrange
que leWashington Post ait
publié un article dans lequel il était
annoncé que le fils du général René
Schneider vous attaquait en justice pour
l’assassinat de son père, juste le 11
septembre 2001. Evidemment, les
événements qui se sont déroulés se
jour-là ont éclipsé toute autre
information. Un mot-clé revient souvent,
accolé à votre parcours de 25 ans de
pouvoir : « dissimulation ». En tous
cas, connaissant votre goût pour les
coups d’Etat, et en particulier le 11
septembre, les familles des victimes du
11/9/2001 se sont élevées contre votre
nomination à la tête de la commission et
vous ont contraint à démissionner. Vous
avez été remplacé par Philip Zelikow,
adepte fervent des guerres
« préventives ». Pouvez-vous nous donner
une explication concernant vos propos :
« Ce qui est illégal nous le faisons
sans plus attendre, ce qui est
anticonstitutionnel est un peu plus
long » ? (sic). Comment
qualifiez-vous l’opération
9/11-Anthrax ? La jugez-vous seulement
illégale ou anticonstitutionnelle ? Ou
les deux à la fois ? Comment peut-on
définir vos échanges avec Zbigniew
Bzrezinski et vos amis néocons Paul
Wolfowitz, Richard Perle dit « le Prince
des Ténèbres » qui avait demandé à
l’apéro un nouveau Pearl Harbor en 2000,
et qui l’a obtenu en 2001, ou encore
Scooter Libby, Douglas Feith, Dov
Zakheim, et Cie, tous responsables de la
destruction de l’Irak, de l’Afghanistan,
de la Somalie, du Soudan, de la Libye,
de la Syrie, dans un programme planifié
et révélé par le général Wesley Clark,
qui consistait à détruire 7 pays en 5
ans au plus grand bonheur d’Israël ?
Comment vont vos amis du Project for
a New American Century (PNAC) ?
Avez-vous obtenu assez de sang ou vous
en faut-il encore davantage ? Nous
aimerions savoir où vous en êtes, vous
et votre copain Bzrezinski, dans vos
conversations de vieux séniles planqués
dans vos palaces luxueux. Quel est le
programme du jour ? L’extermination du
peuple iranien, voire la destruction
d’un autre pays ? Non, vraiment, ce
n’est pas la peine d’interviewer un
énergumène tel que vous, car les crimes
innombrables qui ont jalonné votre
carrière sont plus éclairants que tous
vos mensonges. En bon soldat du capital
et stratège du néo-conservatisme, vous
ne connaissez aucune limite. Pour vous
et vos semblables, la caste des 1% qui
dirige le monde, tout est permis. Le
pouvoir est « l’aphrodisiaque ultime »
(sic), n’est-ce pas Monsieur Kissinger ?
Votre agenda est rempli de rendez-vous
avec des peuples à exterminer pour les
beaux yeux d’Israël, car vous êtes un
éternel sioniste qui se battra jusqu’à
son dernier souffle pour la paix et la
prospérité de l’Etat sioniste. Le
président Kennedy avait compris et
critiqué le poids du lobby sioniste, il
l’a payé de sa vie. Vous devriez savoir
qui a assassiné les Kennedy et pourquoi,
vous la véritable boîte noire de
l’Empire. Vous partagez avec Edgar
Hoover, dit la « chochotte », la même
aura nauséabonde de toute l’histoire des
Etats-Unis. Nul besoin d’attendre cinq
ans après votre disparition pour
connaître vos méfaits, ainsi que vous
l’avez stipulé en offrant vos documents
officiels à la bibliothèque du Congrès,
nous savons déjà à quel point votre âme
est sombre.
Vous êtes passé maître dans la
manipulation et la dissimulation, et
toutes les interviews que vous avez
accordées ne sont qu’une série de
diversions, car vous êtes un spécialiste
de l’art de noyer le poisson. On vous
sait rétribué grassement par des think
tanks et autres instituts stratégiques
qui sollicitent vos derniers neurones à
propos de la troisième guerre mondiale.
Certains s’empressent même, dans les
médias mainstream, de décrocher une
exclusivité, et pourquoi pas la date de
la prochaine guerre ? Face aux milliers
de progressistes que vous avez
exterminés, face au sourire de Che
Guevara qui vous hantera jusqu’à votre
dernier soupir, vous, le mourant
ambulant qui s’est pris dans son propre
piège, vous assistez avant de partir à
la faillite de votre système capitaliste
qui se mord la queue. Detroit est en
faillite, à l’abandon, elle n’a pas
d’eau courante, ne peut plus payer ses
pompiers, ses ambulanciers, ses ouvriers
de la voierie, et ce n’est pas dû à une
invasion des légions marxistes ou à un
siège de Staline. C’est le système dans
lequel vous avez placé votre foi qui
s’écroule comme un château de cartes, et
vous avez beau ramener des réformateurs
à toutes les sauces, le processus est
inéluctable : le système capitaliste
agonise. Comme vous. Aujourd’hui,
Nicolas Maduro, le président du
Venezuela et hériter direct de
l’inoubliable Hugo Chavez que vous avez
essayé d’éliminer à plusieurs reprises,
est reçu par la population du Bronx où
il est accueilli avec reconnaissance
pour l’aide vénézuélienne offerte aux
déshérités de ce quartier pauvre de New
York et pour le modèle qu’il représente
aux yeux d’un peuple que vous avez
abandonné avec indifférence. Toute
l’Amérique latine vit sous des
gouvernements progressistes, elle a
réussi à s’affranchir de votre joug
fasciste, voilà l’échec personnel de
Henry Kissinger qui mourra seul face à
ses actes ignobles et qui rejoindra dans
la mémoire collective tous les Papa Doc,
les Bébé Doc, les Pinochet, les Batista,
les Soeharto et autres raclures
fascistes de l’Empire. L’Amérique latine
est aujourd’hui libre et progressiste,
malgré vos innombrables réunions
secrètes, vos manigances, vos
paramilitaires et vos escadrons de la
mort. Alors, si je regrette d’avoir raté
des interviews avec un Jacques Vergès
que la mort a fauché trop vite, je n’ai
aucun scrupule à vous dire que vous
offrir une tribune serait un autre
assassinat de masse contre les peuples
que vous avez massacrés au cours de
votre carrière de criminel génocidaire.
Vous réussirez à fuir les tribunaux
comme vous le faites depuis des années,
à l’instar de vos amis néocons, mais
chaque fois que vous vous regardez dans
un miroir, vous y voyez le visage d’un
assassin ennemi de la vie. Pour le
reste, nous vous laissons avec vos
héritiers qui attendent votre décès pour
pouvoir dilapider vos diamants de sang,
vos palaces peuplés de fantômes et vos
comptes en banque souillés par les
larmes de vos victimes. Personne ne vous
pleurera, Henry Kissinger. Vous et votre
ami Bzrezinski, vous les fossoyeurs des
peuples et des nations, criminels
sionistes, malgré les milliards que vous
avez engrangés en exterminant des
nations, vous avez du mal aujourd’hui à
changer vos couches. Dites-nous, quel
est votre « aphrodisiaque ultime » en ce
moment ? Quand vous mourrez enfin, usé
jusqu’à la corde, le cerveau en
bouillie, la Maison Blanche fera un
communiqué dans lequel elle rendra
hommage à votre mémoire putride et
saluera vos actions « patriotiques ».
Savez-vous pourquoi on recrute des spins
doctors tels que vous ? Ce n’est pas
parce que vous êtes des génies ou des
grands savants, c’est juste parce que
vos présidents ont une moëlle épinière à
la place du cerveau. Bref, Monsieur
Kissinger, vous faites le plus vieux
métier du monde, puisque vous avez
toujours tapiné pour l’Empire. Après
votre enterrement, vos héritiers se
précipiteront chez le notaire pour se
partager la cagnotte comme des vautours,
car quelles valeurs avez-vous inculquées
à votre famille sinon celles du gain et
du capital ? Et votre fils cadet
toxicomane invétéré dilapidera son
héritage en moins de temps qu’il ne faut
pour le dire. C’est ça, la production de
la maison Kissinger. En attendant, vous
traînez péniblement votre vieille
carcasse douloureuse quand des rêveurs
révolutionnaires sont partis trop tôt à
la fleur de l’âge pour une idée.
La terre se portera mieux sans vous,
Monsieur Kissinger, soyez-en sûr. Il
vous reste juste quelques mois à végéter
entouré de vos médecins qui ont du mal à
soigner vos maladies multiples. Quant à
nous, même si nous sommes peu nombreux,
nous vous survivrons, et nous
triompherons par l’idée et non pas par
la baïonnette. Nous serons plus forts
que vos drones, vos F16, vos mercenaires
et vos missiles, car nous portons le
projet de vie, de solidarité et de
fraternité, un projet dont vous êtes la
négation. Le jugement de l’Histoire
départagera celui qui a voulu élever
l’Homme du stade de la bête et celui qui
a voulu le transformer en loup pour son
prochain. Enfant gâté du système
capitaliste, vous payerez vos actes
ignobles avec le mépris des générations
futures, comme vous payez à présent en
tant que stratège du chaos qui, au bout
de sa vie, assiste impuissant à
l’écroulement de tout ce qu’il a
construit en vendant son âme au diable.
Les peuples se réveillent, le vent de la
révolte se lèvera partout et défiera
tous les Kissinger abjects qui ont
pollué la planète Terre. La fin du
capitalisme et de l’impérialisme se
profile à l’horizon. Au nom des peuples
que vous avez exterminés, au nom de nos
frères massacrés par l’Empire et par
votre acharnement à combattre tout ce
qui est progressiste à travers le monde,
je vous souhaite de griller en enfer en
compagnie de tous vos amis fascistes. Et
personnellement, j’irai pisser sur vos
tombes à vous et vos pareils. Considérez
cet article comme mon éloge funèbre
anticipatif. Le corbillard n’est pas
loin, préparez-vous.
Mohsen Abdelmoumen
Published in Oximity, on
6/10/2014:
https://www.oximity.com/article/Non-nous-ne-voulons-pas-faire-votre-in-1
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