Algérie Résistance
Ould Kaddour, Ould Abbes, Tahkout,
personnages répugnants du règne
calamiteux des Bouteflika
Mohsen Abdelmoumen
Mardi 4 avril 2017
Comme je l’ai souvent affirmé,
l’Algérie continue à patauger dans les
marécages de l’absurde et de la
médiocrité. Chaque jour apporte son lot
de scandales et de turpitudes dans une
indifférence quasi générale. Les sorties
des responsables politiques
irresponsables frisant le burlesque ne
font qu’enfoncer davantage le pays
exsangue par le règne de la fratrie
Bouteflika. Il est évident que les
prochaines élections législatives ne
serviront à rien d’autre qu’à permettre
aux adeptes de la chkara et de
la mangeoire de s’empiffrer un peu plus
tout en offrant une image démocratique
illusoire aux yeux de l’étranger.
L’abstention
sera le parti gagnant malgré les basses
manœuvres d’un régime aux abois, allant
jusqu’à exercer un chantage au chaos sur
les citoyens pour les inciter à voter.
Dans cette démarche, on a entendu les
déclarations ahurissantes d’Hamid Grine,
la pute de la pub, qui a osé chier une
charte des médias, un torchon qui
comprend une clause interdisant aux
médias, la plupart des chaînes off
shore, de donner la parole aux partis
qui appellent au boycott des élections.
En Algérie, nous nageons en plein
délire. Je lui réponds que j’appelle au
boycott massif de ces
élections-mascarade qui ne feront que
donner une caution morale à un régime
immoral. Hamid Grine, petite frappe du
Makhzen, ne fait que nous conforter dans
notre position : boycotter ces élections
est un devoir national et participer
constituera une trahison historique. Ce
larbin servile de Grine fait pression
sur les médias sans qu’aucun patron de
presse ne se dresse devant cette
ignominie, car la presse est aussi
corrompue que le pouvoir. C’est dire
l’affolement et la panique de ce régime
à bout de souffle craignant une
abstention record et un désintéressement
total de la population consciente d’être
face à une farce électorale. Le 19 mars
devait être la fête de la victoire mais
ce triste mois de mars 2017 a vu la
visite de l’arrière petite-fille de
Bachaga Bengana venir réhabiliter son
traître d’aïeul suivie de
l’intronisation d’Ould Kaddour, un
espion de la CIA, à la tête de
Sonatrach, du trafic des candidatures
par le fils d’Ould Abbes, ce dernier
représentant la déliquescence d’un FLN
qui n’a plus rien à voir avec le FLN
historique, et du scandale Tahkout pour
sa fausse usine de montage de voitures à
Tiaret. C’était le mois de mars de la
trahison au lieu d’être celui de la
victoire. Les martyrs nous ont donné une
patrie et les dirigeants actuels en ont
fait le pays des begarra et des
maquignons, et la risée du monde. Telle
est l’Algérie d’Abdelaziz Bouteflika qui
a produit les Saïd Bouteflika, les Ali
Haddad el kharay, les Ahmed
Ouyahia, les zemmar Saïdani,
les Abdeslam Bouchouareb, etc. une bande
de mafieux liés au capital international
qui se sont vendus au plus offrant, que
ce soit la France ou les États-Unis, et
qui ne connaissent ni patrie, ni état
d’âme, juste leur intérêt et celui de
leur famille. Pauvre Algérie qui, de
Mecque des Révolutionnaires, est devenue
repaire de forbans.
Sur fond de ce tohubohu, Saïd
Bouteflika se donne beaucoup du mal pour
persuader la planète en général et le
peuple algérien en particulier que le
président est bien vivant et qu’il jouit
toujours de toutes ses facultés, dont la
première, l’alacrité, est entrée dans la
légende. Tout le monde sait pourtant que
le président Bouteflika est malade et
qu’il est incapable de gouverner
l’Algérie. Des bruits circulent même
affirmant que le président est en état
de mort cérébrale et qu’on le maintient
en vie végétative dans sa villa
médicalisée de Zéralda. Les choristes
habituels assurent que le président va
bien, qu’il est en pleine forme, qu’il
passe même le bonjour à tout le monde,
et des vidéos sont diffusées nous le
montrant en compagnie des larbins de
service, d’abord le ministre des
Affaires maghrébines, de l’Union
africaine et de la Ligue des États
arabes, Abdelkader Messahel, suivi une
semaine plus tard par le président
congolais fantoche Denis Sassou-Nguesso.
Nul doute que si les rumeurs persistent,
nous allons voir défiler tous les chefs
d’État africains redevables à l’Algérie
pour avoir effacé leur dette. Ou bien le
président est effectivement transformé
en légume et Saïd nous sort des vieilles
vidéos bidouillées pour nous convaincre
du contraire, ou bien Bouteflika
poursuit sa lente agonie qui n’en finit
pas. Quelle que soit la vérité, le
président algérien appartient plus au
monde des ombres qu’à celui des vivants.
Il suffit de voir ces images pour en
être convaincu et si c’est tout ce que
Saïd a sous la main pour nous assurer
que son frère pète la forme, eh bien, il
va falloir qu’il fasse appel aux
meilleurs spécialistes des effets
spéciaux de Hollywood, car le vieux
président fait peine à voir et personne
n’est dupe. Et surtout pas la
chancelière allemande Angela Merkel qui
a refusé de se prêter à cette
fumisterie. Il faut être le dernier des
salauds pour imposer une telle torture à
un vieillard souffrant, à plus forte
raison quand il s’agit de son propre
frère. Si Saïd est capable d’abuser de
son frère, que n’est-il pas capable
d’infliger au peuple ? Mais cette
histoire à rebondissements concernant la
maladie du président n’est pas un thème
qui m’intéresse et il est triste de voir
un pays comme l’Algérie ligoté par
l’état de santé d’un président quel
qu’il soit. D’ailleurs, s’il ne
s’agissait pas du président de
l’Algérie, je n’en parlerais pas. Voilà
où nous a menés le culte de la
personnalité d’Abdelaziz Bouteflika. Son
orgueil démesuré l’a mené exactement là
où il est : terrassé et à la merci d’une
fratrie dont l’appétit gargantuesque
pour le pouvoir et les biens matériels
ne s’embarrasse pas de scrupules ni de
pitié. Que le président soit dans le
coma ou pas, Saïd Bouteflika gardera son
frère en vie, même végétative, tant
qu’il le pourra, allant ainsi à
l’encontre de la loi de la nature qui
veut qu’il y ait un commencement et une
fin. S’il le faut, il momifiera son
frère, gagnant du temps pour rester aux
commandes par procuration avec la
complicité de tous les gangsters qui
gravitent autour de la chaise roulante
et qui s’engraissent sur le dos du
peuple algérien définitivement floué.
Celui-ci, blasé par des années de
mensonges et de scandales, ne croit plus
en la politique et se concentre sur ses
propres problèmes, ne s’étonnant plus de
rien.
Il faut dire que dans l’Algérie des
Bouteflika, avoir fait de la prison
n’est pas une entrave pour accéder à un
poste à responsabilité, ainsi le
revenant Moumen Ould Kaddour condamné en
novembre 2007 à 30 mois de prison par le
tribunal de Blida pour divulgation de
secrets d’État à des parties étrangères,
a été nommé ce 20 mars à la tête de
Sonatrach en remplacement d’Amine
Mazouzi limogé. Diplômé du Massachusetts
Institute of Technologies aux
États-Unis, Ould Kaddour a dirigé dans
les années 1990 la Brown & Root Condor
(BRC), une entreprise qui était une
joint-venture de Brown & Root devenue
KBR, filiale de la firme américaine
Halliburton de Dick Cheney, BRC étant en
réalité une couverture de la CIA. BRC
avait fourni des mallettes bourrées de
matériel de communication à l’état-major
de l’ANP. Or, ces mallettes soi-disant
destinées à sécuriser les communications
militaires étaient directement
connectées aux systèmes d’écoute
électronique des services secrets
américains et israéliens. Non content
d’être un espion, Ould Kaddour cumule en
étant un escroc puisque BRC a été
dissoute par Bouteflika suite à
d’énormes scandales de corruption et
surtout pour effacer toutes les traces.
Qui se ressemble s’assemble, Ould
Kaddour est aussi un proche de Chakib
Khelil, chevalier blanc lié aux intérêts
US et dont les multiples escroqueries
sont énumérées par la justice milanaise
et font les choux gras de la presse
italienne. Voici donc deux voleurs
notoires, copains comme cochons,
représentant des intérêts étrangers,
accusés de détournement de fonds publics
et d’avoir touché des millions de
dollars en pots-de-vin, des voleurs sans
foi ni loi, réhabilités, et dont l’un
est à la tête de la vache à lait de
l’Algérie et l’autre en embuscade pour
occuper un poste encore plus élevé !
Pauvre Algérie livrée à ces crapules. À
ceux qui ont accusé le DRS et le général
Toufik de leur avoir monté des dossiers
à des fins de règlement de compte, que
ce soit zemmar Saïdani, Chakib
Khelil le traître ou son pantin Ould
Kaddour, qu’est-ce qu’ils attendent pour
attaquer dans leurs tribunaux le général
Toufik et le DRS, pour défendre un
pseudo honneur qu’ils n’ont jamais eu ?
Chiche ! Je suis certain qu’ils
n’oseront jamais, parce qu’ils sont
coupables de malversations, de
trahisons, de détournements, et j’en
passe. Comme j’ai contacté le Parquet de
Milan à deux reprises à propos du
gangster Chakib Khelil, je vais écrire
au président des États-Unis, au
président du Congrès US et au directeur
de la CIA, pour obtenir des précisions à
propos de ce Moumen Ould Kaddour et pour
confirmer les informations que je
détiens sur lui.
D’un Ould à l’autre, parlons
maintenant de l’actuel secrétaire
général du FLN, Djamel Ould Abbes, dont
le fils aîné traficote les listes
électorales pour les législatives de mai
prochain. Les services de sécurité ont
perquisitionné son domicile à Moretti où
des dossiers de candidature ont été
trouvés et El Wafi Ould Abbes a été
arrêté en possession de 200 000 euros,
argent issu de la vente des
candidatures. Il pratiquait ce trafic
avec un ancien haut fonctionnaire ayant
travaillé sous la direction de Djamel
Ould Abbes. Celui-ci n’a pas démenti et
a déclaré qu’il faisait confiance à la
justice. En outre, et comme si cela ne
suffisait pas, Djamel Ould Abbes a
repoussé les limites de la tartuferie ce
mardi 28 mars à Ghardaïa en déclarant
qu’en sa qualité de médecin, il assurait
que le président remarcherait
prochainement. Nous sommes en pleine
science fiction et oser sortir de telles
salades frise le surréalisme. Racontez
cela à un cheval de bois et vous
recevrez un coup de sabot. En tous cas,
il vaudrait mieux se méfier des
diagnostics de ce prétendu médecin.
Qu’il parle de la guérison du président,
passe encore, il se déconsidère
lui-même, mais il n’a aucun droit
d’évoquer le Front de Libération
Nationale historique, celui de Mostefa
Ben Boulaïd, de Larbi Ben M’hidi et des
autres Braves qui ont donné leur vie
pour l’Algérie ! Surtout quand on est
mêlé à un trafic juteux de postes de
candidatures. On laisse à Ould Abbes cet
ersatz de parti peuplé de corrompus
comme la députée et membre du bureau
politique Salima Otmani, démise de ses
fonctions ce 21 mars pour avoir reçu 100
millions de dinars de pots-de-vin d’un
autre député du FLN, Kehal Nourredine,
en échange d’une place sur la liste
électorale dans la wilaya de
Constantine. La perquisition chez cette
députée a permis de trouver une valise
pleine d’argent. Pas touche au FLN qui a
fait la gloire de notre patrie, avec
lequel ces voleurs n’ont rien à voir et
qui n’est réservé qu’aux patriotes, aux
vrais ! Bas les pattes, Monsieur Ould
Abbes ! Et cessez de vous vanter d’avoir
fait partie de l’OS (Organisation
secrète) pendant la guerre de libération
nationale ! Arrêtez de mentir ! Vous
n’avez jamais été un moudjahid et votre
père a été éliminé par l’ALN !
Les mots scandale, corruption, vol,
détournement, pot-de-vin, etc. sont
inscrits dans l’ADN du régime des
Bouteflika. Jour après jour, le peuple
algérien apprend de nouvelles infamies
de la part du régime et de ses valets.
Le dernier scandale en date révélé par
les réseaux sociaux, à leur tête
Facebook, est celui concernant Mehiedine
Tahkout, l’ancien vendeur de fruits et
légumes devenu milliardaire, proche du
ministre de l’Industrie Abdeslam
Bouchouareb et prête-nom d’Ahmed
Ouyahia, chef du RND, autre parti de
corrompus. Des photos publiées sur
Facebook, réseau social devenu un
véritable cauchemar pour ce régime
pourri composé de vieilles épaves hors
connexion, ont montré que l’usine de
montage de voitures Hyundai de Tahkout à
Tiaret n’était qu’un vaste hangar de
vulcanisation, où des roues étaient
boulonnées sur des véhicules importés
clés en main. Cette usine de 250
millions de dollars a été créée en 2016
et une vidéo l’avait présentée en
octobre 2016 lors de la sortie du
premier véhicule, montrant des jeunes
apprentis réalisant le montage des
moteurs, des amortisseurs, des pots
d’échappement, etc. accompagnés d’un
instructeur coréen. Or, les photos qui
ont fuité sur Facebook montrent des
voitures complètes dans des containers
et un grand hangar vide avec quelques
ouvriers qui fixent des roues sur deux
automobiles. Aucune chaîne de montage,
pas de machine, pas de main d’œuvre
qualifiée, pas de trace non plus
d’instructeur coréen… Cette usine pour
laquelle le gouvernement avait attribué
une assiette de 24 hectares devait
employer 4 000 travailleurs et assembler
60 000 voitures dans un premier temps
pour ensuite atteindre les 100 000 en
2020. Tahkout, interrogé par plusieurs
médias, ne savait pas lui-même combien
de travailleurs il avait engagés pour
son usine. Il s’agit d’un véritable
scandale doublé d’un grand enfumage
depuis que la commission d’enquête
diligentée par le Premier ministre a
déclaré à l’issue de sa visite dans
l’usine qu’aucune anomalie et aucun
dysfonctionnement n’y avaient été
décelés. Les loups ne se mangent pas
entre eux, mais cela démontre à quel
point l’Algérie est gangrenée. Et l’on
se fiche qu’il s’agisse ou non d’une
guerre des clans, nous n’en avons rien à
faire ! À cette occasion, on a vu une
autre illustration de la corruption de
la presse avec les agissements d’un
journaleux et d’un organe de presse
algérien qui ont défendu Tahkout lors de
ce scandale avec une couverture minable.
Ce personnage fait dans le racolage et
la prostitution pour les oligarques.
Comme tant d’autres, ce journaleux est
le déshonneur de la presse.
Ce gouvernement de bras cassés donne
une image pitoyable du pays avec un
cafouillage incessant, prenant une
décision puis revenant sur cette
décision quelque temps après. Que
signifie le gel des importations par la
banque centrale d’Algérie et le retour
sur cette décision au bout de deux
jours, si ce n’est que la mafia de
l’import import dicte sa loi ? Où est le
nouveau modèle économique promis par le
gouvernement Sellal ? On attend toujours
de le voir. L’Algérie est un pays soumis
aux diktats des importateurs du lobby de
l’import import gavés à la rente et qui
importent des milliards en ketchup et
mayonnaise, de l’aveu même du ministre
du commerce intérimaire. Je dis bien
intérimaire et nous sommes le seul pays
au monde ayant un ministre intérimaire
et un président absent. Les oligarques
ne produisent même pas une aiguille et
ça se prend pour des capitaines
d’industrie. Peut-on savoir comment
Lamine Ouyahia est devenu milliardaire
en dollars à l’âge de vingt-six ans
comme les autres rejetons de la jet-set
des begarra, Bilal Tahkout,
Aghiles Haddad, qui roulent aussi avec
des milliards ? Cette jet set de
begarra et maquignons est aux
antipodes de l’Algérie de Ben M’hidi,
Krim Belkacem et Ben Boulaïd. Tahkout
est un évadé fiscal, comme ses copains
coquins – c’est de notoriété publique -,
et leur place à tous est en prison. Il
n’y a rien de surprenant au comportement
de ces gangsters qui changent seulement
de nom et de visage, ils sont issus de
la même matrice et sont fabriqués sur le
même moule. La surfacturation, l’évasion
fiscale et les divers détournements sont
leur religion. Pour ceux qui défendent
ces énergumènes et qui picorent dans
leur main, je ne cherche pas que des
pseudo-experts viennent me démontrer le
contraire, qu’ils gardent leurs thèses
sulfureuses pour eux. L’Algérie va très
mal et je les mets au défi de me prouver
le contraire.
Ces figures hideuses que sont Ould
Kaddour, Ould Abbes ou Tahkout sont à
mettre dans le bilan d’Abdelaziz
Bouteflika et de sa fratrie qui dirigent
le pays par procuration et tôt ou tard
il faudra en finir avec ce que
représentent ces énergumènes et en finir
avec la parenthèse Bouteflika, un règne
chaotique et catastrophique pour
l’Algérie. Bouteflika est de loin le
président le plus mauvais de l’Algérie
indépendante, lui que les décideurs
militaires ont choisi un jour comme
étant le moins mauvais. Nous sommes en
plein cauchemar avec une fin de règne
caractérisée par la diversion et les
fléaux tels le régionalisme, le
clientélisme, le népotisme, et la
corruption, corruption qui a marqué tous
ses mandats. Si l’entourage de
Bouteflika et sa fratrie veulent
enterrer l’Algérie, ils se trompent car
ils nous trouveront sur leur chemin et
nous les combattrons jusqu’au bout, eux
et leurs larbins chiyattines de
tous bords. Ils finiront dans le
déshonneur et les égouts de l’histoire.
Les traîtres vivront leur fin dans la
déchéance en permanence. Quant à nous,
nous en appellerons à l’Algérie des
Immortels, celle des Braves, celle qui
n’a pas bâti un pays sur le mensonge,
l’usurpation et la corruption. Notre
Algérie à nous s’opposera à eux tous.
S’ils sont la continuation des colons et
des géniteurs de yaouleds, nous
sommes les porte-étendards de Novembre
et de ses martyrs et nous terrasserons
la bête immonde. Le souffle
révolutionnaire de la résistance brisera
les reins des traîtres de la nation.
C’est un combat à mort et nous jurons
sur le serment de Novembre et les tombes
de nos martyrs que nous extirperons de
notre terre arrosée par le sang des
martyrs la mauvaise graine de la
trahison que vous représentez. Nous vous
neutraliserons. Nous rendrons l’Algérie
à ses fils authentiques et nous lui
restituerons son histoire millénaire.
Mohsen Abdelmoumen
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