Opinion
La fin de la crise
économique !
Robert Bibeau
Mercredi 7 mars
2012
RESUME
Nous terminons notre tour d’horizon
de la crise économique souveraine en
pays impérialiste. Dans les trois
premiers articles de cette série nous
avons étudié la Chine en
ascension, l’Europe en
contorsion, les
États-Unis en prostration, l’Afrique
sous spoliation et les
peuples du monde sous exploitation.
Quelle conclusion peut-on en tirer ?
(1) Avant de tirer
notre épilogue, nous passerons en revue
quelques solutions de compromission que
nous proposent tous ceux qui souhaitent
sauver les banquiers et leurs affidés du
Congrès, de l’Hémicycle ou de
l’Assemblée.
LA RÉVOLTE GRONDE – C’EST LE
HOQUET DE LA FIN !
Ils sont tous là, tous les courants «
progressistes » autoproclamés, les
gauchistes colorés et la mouvance
trotskyste, les Verts altermondialistes
et les groupements citoyens pacifistes,
les féministes acharnées à surveiller la
musulmane voilée mais indifférentes au
sort réservé aux adolescentes kidnappées
pour être vendues sur le marché de la
viande à prostituer ; ils sont tous
recueillis derrière Noam Chomsky,
pamphlétaire libertaire, Jacques Attali
plénipotentiaire arriviste, Mélenchon
l’opportuniste, Hollande le sous fifre
comme ses amis du NPD canadien, ainsi
que Marine Le Pen la populiste, alors
que Ron-Paul-2012, candidat « d’extrême
gauche » à l’investiture du Parti
Républicain d’extrême droite ferme le
cortège.
L’unité des forces de la « résistance
» populaire, citoyenne, démocratique,
pacifiste et indignée étant enfin
réalisée, le capital effrayé
devrait normalement abdiquer
dans ses visées de décharger sur le dos
des ouvriers et des peuples affamés le
fardeau de la crise financière,
boursière et monétaire enclenchée depuis
quelques années (2008).
Oh que non ! Le capital ne reculera
pas, il en remettra, insoumis, prédit
Chomsky. Pour lui, la cause est
entendue, le capitalisme va mal
il faut l’aliter ; les riches
sont trop cupides, il faut les raisonner
; les politiques sont trop insipides, il
faut les confronter ; tous ceux-là sont
trop sots pour comprendre qu’à trop
vouloir en prendre ils perdront tout,
pleure le professeur (2).
Chomsky s’insurge : « Ce n’est pas la
dette publique le problème de
l’Amérique, c’est le chômage. ».
C’est vrai, la dette souveraine est
l’enfant du chômage régent.
Mais d’où origine le chômage – quel
sorcier a inventé cette calamité ?
Réponse : le capitalisme, monsieur
Chomsky, c’est le capitalisme qui
requiert par intermittence des millions
de chômeurs en itinérance.
Tout un chacun, travailleurs,
chômeurs, petit-bourgeois compris,
passeront à la casserole tant il y a
gros à rembourser aux prêteurs usuriers,
les banquiers : d’abord la Grèce ensuite
ses alliés. Pensez donc, des milliers de
milliards de faux dollars – de faux
euros, envolés en fumée lors du dernier
crash boursier et ce n’est pas aux
boursicoteurs-spéculateurs de ramasser
les pots cassés pour avoir scellé puis
délocalisé les usines
productrices de plus-value
et de profits dans des contrées où le
prolétariat tout aussi exploité est
toutefois plus « raisonné » dans ses
appétits salariaux, plus
résigné au conditionnement d’extraction
du profit – salaires de galère, moins
bénéfices marginaux, sécurité d’emploi,
sécurité en chantier, services
d’éducation et de santé, assurance
médicament, régime de retraite
tout cela inexistant, à quoi
bon, l’ouvrier de ces contrées
sous-développées est toujours en
atelier, que ferait-il de ces avantages
et de ces services par ailleurs coûteux
en plus-value dilapidée ?
Les altermondialistes excités, les
sociaux-démocrates prostrés et la gauche
hébétée sont-ils en droit de s’exclamer
: « LEUR DETTE – NOTRE DÉMOCRATIE ! » ?
Ou encore, sont-ils autorisés à
postillonner : « ON NE LA PAIERA PAS
LEUR DETTE SOUVERAINE ! » ? (3)
Évidemment non ! Ces « nouveaux
socialistes anciens » n’ont aucun
contrôle sur le pouvoir d’État
qui lui seul possède le monopole de la
violence légale. Les grands
capitalistes, qui sont les vrais patrons
des polichinelles-politiciens – Chomsky
l’a écrit – ne les ont jamais autorisés
à psalmodier ces grossièretés et ils
écraseront tous ceux qui refuseront de
rembourser.
Cette « nouvelle gauche surfaite » et
leurs alter-ego sont-ils prêt à mourir
pour le salut de leur démocratie adorée
? C’est pourtant la plus grande richesse
qu’ils connaissent, c’est-à-dire, la «
liberté » d’aboyer pendant que la
caravane passe. Munis de leurs puissants
bulletins de vote, sauront-ils stopper
les projectiles de l’armée grecque, puis
ceux des armées portugaise, espagnole,
irlandaise équipées de pied en cap pour
les laminer ?
Ces petit-bourgeois apeurés ne
peuvent vivre indolents sous la «
démocratie bourgeoise », profitant du
régime capitaliste qui la sous-tend;
puis, quand les politiciens qu’ils ont
élus, de « gauche » comme de droite, et
les banquiers à qui ils ont confié leurs
épargnes à gauche comme à droite, les
uns comme les autres ayant copieusement
endetté leurs gouvernements, peuvent-ils
alors s’éclipser et se disculper : «
On conserve la démocratie
bourgeoise mais on refuse la dette qui
vient avec ! » gémissent-ils,
effrayés. Trop facile, répondent en
chœur banquiers-financiers et
politiciens moqueurs de « gauche » comme
de droite !
Doit-on rappeler à la nasse des
sociaux-démocrates maugréant et aux
gauchistes et altermondialistes
vitupérant que la dette souveraine s’est
forgée au cours des années au vu et au
su de tous ces mécréants ? Tout individu
alphabétisé pouvait lire les communiqués
à propos des dettes budgétées par tous
ces États dévoyés et comprendre qu’au
rythme de cet endettement effarant,
l’échéance approchant, l’heure de vérité
allait sonner. Voici la rose, dansez
maintenant… La cigale petite-bourgeoise,
ayant chanté tout l’été de la prospérité
se trouva fort dépourvue lorsque l’hiver
de la crise fut venu.
La Sainte Alliance
de la « gauche » citoyenne et de
la droite républicaine, unie
dans son déni de l’hypocrisie
démocratique et consciente que, malgré
son futile bulletin de vote, le pouvoir
sur l’appareil Étatique, sur le pouvoir
économique, sur l’endettement
astronomique, sur la Banque européenne,
sur la Banque de France, sur la Banque
du Canada, sur le FMI, sur la Banque
mondiale et sur la FED américaine
lui échappe souverainement.
Il ne lui reste qu’à regretter le temps
béni des colonies.
RON PAUL, LE CANDIDAT
RÉPUBLICAIN « GAUCHISTE »
Nous étions abasourdis, incrédules,
d’entendre les arguties de cet homme –
de gauche se disait-il – vantant les
mérites de Ron-Paul-2012, candidat à
l’investiture républicaine (4).
Sur les blogues, Facebook, Twitter, et
sur l’ensemble des médias sociaux la
même rengaine, un « socialiste » se
faufile subrepticement parmi les
candidats du Parti ‘Réactionnaire’
Républicain des États-Unis d’Amérique
(le parti de Reagan et de Bush) et
malgré ses déclarations publiques –
largement médiatisées – personne dans ce
parti ne s’enquit de la supercherie.
Que demande Ron Paul ? Il soumet ce que
périodiquement certains « Preachers »
américains – ayant rencontré Dieu –
proposent : la paix dans le monde,
l’amour entre les Hommes (au sens
générique), l’arrêt des agressions
militaires américaines, le retour des
marines sur leur domaine, la destruction
de Sodome et Gomorrhe ainsi que de
quelques institutions « conspiratrices »
telles la CIA, l’IR Security, la Federal
Reserve (FED) et l’ONU, l’abolition de
l’usure, la ré-industrialisation des
États-Unis derrière de hautes barrières
tarifaires protectionnistes et le repli
de l’Amérique sur l’Amérique. Que de
bonnes choses mais qu’il n’obtiendra
jamais. Ron-Paul-2012 se proclame
Libertarien (libertés individuelles et
retour à la Constitution mère de la
Nation) comme Timothy McVeigh qui en
1995, à Oklahoma City, fit exploser un
bureau de fonctionnaires fédéraux
accusés de pervertir les libertés
civiques inscrites dans la Constitution,
la Bible des Mormons (5).
Les autorités du parti Républicain
sont déjà au fait de cette infiltration
« rouge-brun » dans leurs rangs et des
mesures ont été prises pour la contrer
avant que ce démon libertarien n’entrave
le bon déroulement de la mascarade
électorale états-unienne, et avant
qu’une agence de renseignement décide de
l’assassiner lors de son prochain
passage à Dallas.
LE SUCCÈS ISLANDAIS
Les islandais auraient réglé tous
leurs problèmes de dette souveraine et
renoué avec la prospérité en votant
souvent et surtout en nationalisant les
banques islandaises en faillite. Le
miracle islandais est un nuage sur
lequel le peuple se berce doucement en
attendant un réveil troublant.
Les banques islandaises s’étaient
fait imposer par le FMI et par la Banque
mondiale de diversifier leurs activités
et d’élargir leurs marchés. Ce qu’elles
firent docilement jusqu’au jour où,
emportées comme les autres par leurs
mauvaises créances danoises et
britanniques, territoires où elles
s’étaient aventurées, elles se
trouvèrent en défaut de paiement. Une
banque britannique et une banque danoise
vinrent à leur rescousse et prirent
charge de leurs créances privées
moyennant que le gouvernement islandais
les rembourse avec intérêts. La
population s’objectant à ce que le
trésor public rembourse des dettes
privées, le gouvernement islandais de «
gauche » nationalisa les banques de
droite – « socialiser » les dettes
privés que ça s’appelle – si bien
qu’aujourd’hui le patriotes islandais
sont invités à sauver « leurs » banques
nationales républicaines souveraines.
Les banquiers passent par la fenêtre
quand la porte est condamnée
(6).
LA TAXE TOBIN
Depuis des années ATTAC, l’organisme
citoyen et altermondialiste, a découvert
la pierre philosophale – c’est la taxe
Tobin, du nom d’un économiste Nobel
d’économie, une référence qui invite à
la prudence. Ce professeur, constatant
la spéculation outrancière sévissant sur
les marchés boursiers, eut l’idée, pour
sauver le régime capitaliste de cette
maladie dégénérative héréditaire et
mortelle, d’imposer une taxe (0,02%) sur
toutes transactions boursières pour
soi-disant stopper la propagation des
métastases du cancer spéculatif
(7).
Soulignons simplement qu’une mesure
apparentée existe déjà : toute
transaction financière est soumise au
paiement d’une commission à l’attention
du courtier qui empoche ainsi des sommes
mirobolantes, ce qui ne décourage
nullement la frénésie spéculative. Le
fait d’y ajouter une taxe pour le
bénéfice de l’association caritative
ATTAC n’entravera pas la spéculation.
La spéculation boursière est un
stratagème qu’utilisent les
capitalistes au cours
du cycle de circulation du capital afin
de se répartir la plus-value extorquée
aux ouvriers dans le cours du processus
de production des valeurs réelles
– la fabrication des marchandises –. La
spéculation boursière devient mortelle
pour le système capitaliste quand,
hors contrôle, elle «
crée » de la valeur fictive qui
s’échange en bourse contre d’autres
valeurs irréelles qui ne représentent
aucune marchandise. Tôt ou tard le
château de cartes en Grèce s’écroule. Un
dénommé Bill Clinton, dans les années
quatre-vingt-dix aux États-Unis, abolit
le contrôle des agences fédérales
étatsuniennes sur les activités
boursières. Par la suite, il remporta sa
deuxième investiture à la Maison Blanche
où on le prit à folâtrer avec une jeune
« boursière ».
Il ne viendrait jamais à l’idée d’une
personne raisonnable d’imposer aux
voleurs une taxe minime (payable sur le
profit de leurs larcins) pour chaque vol
ou pour chaque fraude commise en autant
que celle-ci soit enregistrée au
commissariat du quartier, puis, espérer
ainsi décourager ces pratiques coupables
! C’est pourtant ce que préconise la
société ATTAC. Imposer la taxe Tobin ne
ferait qu’ajouter à la création de
fausses valeurs spéculatives et de
fausses monnaies et participerait à
l’arnaque financière.
Dans un écrit précédent nous avons
expliqué que des entreprises comme
Facebook, Google ou Apple (500 milliards
US$) sont cotées en bourse de multiples
fois au-dessus de leurs valeurs réelles
sur la simple présomption que ces firmes
sauront attirer à elles davantage de
capitaux spéculatifs selon le principe
des ventes pyramidales (Chaîne de Ponzi
ou cavalerie). Ce sont les millions de
petits porteurs à la base de la pyramide
qui feront un jour les frais de cette
bulle spéculative qui enveloppe ces
entreprises technologiques et
informatiques (8). En
2001-2002, un crash boursier frappa le
secteur des technologies nouvelles et de
l’Internet. Au Québec la Caisse de Dépôt
et de Placement qui administre les
régimes de retraites des travailleurs
québécois y perdit des milliards de
dollars. Aujourd’hui, suite à cette
malversation on menace les ouvriers de
réduire leurs allocations de retraite.
LES PROGRAMMES DES « GAUCHES
»
Terminons ce tour d’horizon des
illusions et des fausses solutions à la
crise économique financière, boursière
et monétaire souveraine par un regard
rapide sur les gauches programmes de
gauche des différentes gauches à travers
le monde.
Soulignons d’abord qu’il n’est pas
exact de dire comme le fait Jean
Bricmont que la « gauche » occidentale a
remplacé la politique par la morale
(9). Il serait plus
juste de dire que la soi-disant gauche
poursuit sa politique au service de la
classe capitaliste. La mission des
pseudos gauches consiste à jouer
les interfaces entre les capitalistes
financiers – leurs
États dictatoriaux – et les
peuples, en prorogeant l’utopie
préscientifique et en déifiant la
collaboration de classe. La profession
de foi de la « gauche canon »
misérabiliste, c’est que la bourgeoisie
est raisonnable et démocrate et que si
l’on fait doucement pression sur cette
classe parasitaire elle s’écartera du
chemin qui mène inexorablement au
paradis sur Terre. Un jour un homme du
nom d’Allende propagea ces illusions
auprès de son peuple bien aimé et il en
mourut ainsi que des milliers de
chiliens.
Est-il utile de pérorer sur ce
boniment ? Le reste des « propositions »
de la gauche pour sortir de la crise
sont à l’avenant : « Partager la
richesse », mais les
capitalistes, et Harper ou Sarkozy leurs
amis, et toute cette engeance
politicienne participent déjà au partage
de la richesse ; tout aux riches et rien
aux pauvres, c’est leur mode de partage.
Maintenant, si Marine Le Pen ou
Mélenchon au nom de la « Patrie en
faillite » souhaite refaire les comptes
soit, mais alors ils devront aider les
riches à faire produire plus de
richesses aux ouvriers qui ne veulent
pas travailler pour les salaires
auxquels les chinois et les africains se
soumettent.
Taxer les grandes fortunes
patriotiques, hausser le Smic (salaire
minimum), investir dans les services
publics, créer de l’emploi et
réindustrialiser les pays
désindustrialisés, et faire place aux
peuples pour qu’ils travaillent plus,
mais Sarkozy, Obama, Merkel, Cameron et
Harper sont favorable à ce programme.
S’ils ne le font pas c’est que d’une
part les ouvriers résistent et que
d’autre part les lois du capitalisme
poussent comme nous l’avons démontré à
relocaliser les industries là où la
plus-value est la plus abondante et les
coûts de production les plus réduits
(10).
Si Mélenchon continue sa progression
dans les sondages, si Ron Paul
s’approche de la Maison Blanche, si le
NPD gagnait les élections au Canada, et
si ces gens étaient sérieux dans leurs
projets, les capitalistes de ces pays
devraient s’enfuir avec leurs capitaux
hors de l’Union européenne et hors de
l’Amérique du Nord puisqu’il est hors de
question pour eux de payer des taxes et
des impôts, de voir nationaliser leurs
banques ou leurs entreprises (sauf
celles en faillite afin de recevoir le
pactole lors de la socialisation). Ils
ont déjà amorcé la fuite de leurs
capitaux vers les paradis fiscaux comme
nous l’avons indiqué, ils complèteront
le mouvement si le besoin se fait
sentir.
Chacun doit comprendre que la
nouvelle division internationale du
travail présentement en cours à
l’échelle mondiale est le fait combiné
de la classe capitaliste-impérialiste
européenne (Euro), Nord-américaine
(Dollar) et chinoise (Yuan). Et si
d’aventure une section ou une autre de
ce consortium de possédants
altermondialistes (plusieurs centaines
de multimilliardaires et quelques
milliers de multimillionnaires) faisait
faux bond et se dissociait de ce groupe
compact et dominant, cette
section dissidente serait balayée et
rejetée par le système économique,
et les autres sections de la phalange
impérialiste s’accapareraient le
patrimoine industriel, commercial et
bancaire de ces concurrents malheureux
puis poursuivraient le transfert de
leurs affaires vers les aires
géographiques plus profitables, offrant
des prolétaires plus dociles, plus
exploitables en Asie, en Amérique Latine
ou en Afrique. Il n’y a pas de solutions
aux contradictions antagonistes du
capitalisme à l’intérieur du
capitalisme.
Prolétaires et révoltés du monde
entier, vous ne devez pas écouter ces
augures de la pseudo « gauche », ni
boire la cigüe, ni sauver les banquiers,
ni leurs affidés des Parlements : ils
n’ont rien à proposer que davantage de
précarité et encore plus de pauvreté.
Aux prochaines élections quel que soit
le pays où vous vous échinez «
Élysée Nobody »*,
et d’ici là protestez et manifestez car
on a raison de s’insurger.
FIN
________________________________________
* Votez pour
personne, ils sont tous pareils.
(1) La Chine
impériale. 15.02.2012
http://www.centpapiers.com/la-chine-puissance-imperialiste-triomphante/94782
La Crise économique 22.02.2012
http://www.centpapiers.com/la-crise-economique-%e2%80%93-la-chine-%e2%80%93-l%e2%80%99afrique-et-l%e2%80%99europe/95434
Industrialiser la Grèce et l’Europe
29.02.2012.
http://www.centpapiers.com/industrialiser-la-grece-et-l%E2%80%99europe-en-declin/95950
(2)
http://www.legrandsoir.info/le-declin-des-etats-unis.html
(3)
http://www.pressegauche.org/spip.php?article9143
(4)
http://www.legrandsoir.info/+Si-l-on-votait-aujourd-hui-42-pour-Obama-41-pour-Ron-Paul+.html
(5)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Oklahoma_City
(6)
http://www.legrandsoir.info/spip.php?page=imprimer_article&id_article=14969
(7) La taxe
Tobin.
http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com/archive/2012/01/23/la-taxe-tobin-le-face-a-face-de-l-economie-active-et-des-mar.html
(8)
http://www.centpapiers.com/la-crise-economique-les-balaiera-tous/82422
(9)
http://www.michelcollon.info/Lettre-a-une-journaliste.html
http://www.legrandsoir.info/video-vers-le-socialisme-du-xxi-siecle.html
Publié sur
Les 7 du Québec
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