Palestine
Al-Quds au cœur de
la Palestine et de la nation:
Soutien à la résistance maqdisie
palestinienne
Rim
al-Khatib
Dimanche 13 octobre 2013
N°1 – Octobre 2013
I - Al-Quds occupée : asphyxie et
purification ethnico-religieuse
Le quartier al-Qirami dans la vieille
ville en danger : Au mois d’avril
dernier, les colons commencent à s’infilter
dans l’axe al-Qirami – Khaldiyyé dans la
vieille ville, en s’emparant d’une
maison et d’un magasin. Au même moment,
les creusements entrepris par les
autorités de l’occupation et les colons
dans le quartier commencent à ébranler
les maisons, la plupart datant de
plusieurs centaines d’années.
Aujourd’hui, le quartier al-Qirami est
en danger. Pendant des dizaines d’années
d’occupation, les autorités sionistes
ont empêché les habitants de réparer et
de rénover leurs propres maisons,
devenues menaçantes pour leurs
habitants, avec l’accélération des
creusements, puisque les plafonds sont
lézardés et que des pans des murs
latéraux commencent à s’effondrer. 12
familles composées de 40 personnes ont
dû abandonner leurs maisons qui risquent
de leur tomber sur la tête. Il ne s’agit
absolument pas de circonstances
naturelles, mais d’un plan sioniste
visant à faire quitter la population de
ce quartier afin d’y loger les colons.
Ceux-ci s’activent à présent dans le
quartier, ils circulent et prennent des
mesures, cartes dans les mains. Cela
correspond exactement à la propagande
touristique sioniste disant : « ce sont
des quartiers juifs où vivent
momentanément quelques Palestiniens ».
Bassim Qaddoumi, du comité des habitants
du quartier, explique : « tous les
quartiers de la vieille ville sont
menacés par l’expulsion de leurs
habitants. Le plan a effectivement
commencé dans les quartiers Qirami,
Khaldiyya et Saraya. Dans le quartier
Qirami, la zawiya du sheikh Muhammad
Qirami est menacée par l’expropriation.
Elle s’étend sur un demi-dunum planté
d’arbres, et où vivent 15 familles. Le
plan sioniste vise à transformer ce lieu
en jardin public. »
Les maisons des quartiers Khalidiyya,
Qirami et Saraya sont très anciennes et
font partie du patrimoine historique de
la ville. M. Qaddoumi ajoute que la
municipalité de l’occupation fait
pression sur les habitants qui vivent en
dessous du seuil de la pauvreté pour
leur faire abandonner leurs maisons.
Elle leur propose la suppression des
impôts dus et accumulés et même de leur
remettre une somme d’argent s’ils s’en
vont. La population de ces quartiers
résiste. Mais si l’état des maisons
empire, à cause des creusements (deux
tunnels souterrains creusés par les
sionistes passent sous ces quartiers),
les autorités sionistes prendront
prétexte du danger menaçant les
habitants pour les expulser. Ensuite,
les maisons seront réparées et rénovées,
et mises à la disposition des colons. A
moins que les appels répétés lancés par
les maqdisis pour sauver leurs quartiers
et leur ville ne soient entendus à
temps.
Judaïsation des programmes scolaires
dans les écoles maqdisies : lors de
la rentrée scolaire, les maqdisis furent
surpris d’apprendre que 5 écoles
avaientt décidé d’adopter le programme
scolaire sioniste, prétextant qu’il
permet aux élèves d’accéder aux emplois,
dans le futur. Les différentes
associations des parents d’élèves et
plusieurs organismes nationaux de la
ville d’al-Quds ont tenu à manifester
leur colère et leur désapprobation, mais
ils ont surtout réagi sagement en allant
voir les parents d’élèves et les
enseignants de ces écoles. Leurs efforts
ont permis à trois écoles de revenir aux
programmes scolaires nationaux et à
rejeter les propositions alléchantes des
autorités de l’occupation, qui
promettent des financements à toutes les
écoles qui acceptent l’enseignements de
leurs programmes.
Des cartes biométriques pour les
« résidents » maqdisis : un pas de
plus dans la purification
ethnico-religieuse de la ville
arabo-mulsulmane. Dr. Hanna Issa,
directeur du comité islamo-chrétien de
soutien à la ville d’al-Quds, a mis en
garde contre l’adoption de cette carte
« biométrique » qui inclut des données
personnelles sur les maqdisis. Les
milliers de Palestiniens maqdisis vivant
dans les quartiers al-Ram et Izariyé,
séparés par le mur de la colonisation de
la ville d’al-Quds, ont été soumis à des
pressions pour prendre ces nouvelles
cartes, s’ils peuvent apporter la preuve
qu’ils vivent à l’intérieur de la
municipalité sioniste. Sinon, ils
perdent leur droit à « résider » dans
leur ville.
Menaces sur les toits des souks de la
vieille ville : le directeur de la
mosquée el-Aqsa, Najeh Bkayrat, a
dévoilé que les autorités de
l’occupation envisageaient de s’emparer
des toits de plusieurs souks de la
vieille ville pour les transformer en
jardins et parcours touristiques pour
les juifs. Vieux de plusieurs années, ce
plan de judaïsation va être à nouveau
mis sur le tapis puisque les autorités
de l’occupation ont demandé à plusieurs
commerçants des souks al-Attarin
(parfumeurs) et lahhamin ( bouchers) de
faciliter les travaux. Il y a plusieurs
semaines, les colons se sont emparés des
toits du quartier al-Qirami, du souk al-Attarin
et de Bab khan ez-zeit, pour y implanter
une colonie.
Dr. Najeh Bkayrat a mis en garde contre
les plans de judaïsation, affirmant que
l’occupant a l’intention d’expulser tous
les commerçants de la vieille ville, et
de procéder à une épuration ethnique
dans cette partie d’al-Quds, afin de
faciliter la construction du « temple »
juif sur la mosquée al-Aqsa. De son
côté, le directeur de l’information de
l’institution al-Aqsa et le patrimoine a
dévoilé que l’occupation a préparé les
cartes de la judaïsation mais les
commerçants et le département des Awqaf
sont parvenus jusqu’à présent à stopper
le projet, puisque la majeure partie des
toits et des commerces appartiennent aux
Awqaf. L’institution avait mis en garde
il y a quelques mois contre les
activités de la prétendue « compagnie
pour développer le quartier juif dans la
vieille ville d’al-Quds » visant à
instaurer une promenade et un parcours
touristique pour les colons et les
touristes surnommé « promenade des
toits ». Ce plan, s’il est exécuté,
permettra aux sionistes de dominer la
mosquée al-Aqsa du côté ouest, comme il
étouffera la présence palestinienne dans
la vieille ville. Le gouvernement
jordanien a réagi à ce plan et vivement
protesté auprès des autorités de
l’occupation.
Arrestations et condamnations : le
centre Wadi Helwa a annoncé que le
tribunal central de l’occupation a
étendu l’arrestation de deux maqdisis et
refusé leur libération sous le prétexte
qu’ils représentent un « danger à la
sécurité de l’Etat ».
Un rapport du centre d’information Wadi
Helwa, à Selwan, paru le 5 octobre,
signale que les violations les plus
graves de l’occupation commises pendant
le mois de septembre concernent la
mosquée al-Aqsa. Au cours du mois de
septembre, une grave recrudescence des
violations menées par le gouvernement
sioniste et les groupes juifs a été
notée, puisque 1595 colons extrémistes
ont mené des incursions dans la mosquée,
et parmi eux le ministre de l’habitat
dans l’entité coloniale. Le rapport
signale la fermeture de la mosquée al-Aqsa
sept fois pendant le mois de septembre,
les fidèles âgés de moins de cinquante
ans se sont vus interdire deux fois
l’entrée dans la mosquée, et les
étudiants qui suivent des cours à
l’intérieur de la mosquée ont été
également interdits d’y entrer, deux
fois pendant ce mois. Le rapport indique
des affrontements avec les forces
sécuritaires de l’entité sioniste et des
activités en solidarité avec la mosquée
al-Aqsa et contre la judaïsation de la
ville, dans plusieurs quartiers de la
ville. 180 maqdisis ont été arrêtés. Les
agressions du groupe sioniste « prix à
payer » se sont poursuivies et ont
touché l’église latine à Selwan et
l’église évangélique à Nabi Dawud. La
démolition des maisons des maqdisis
s’est poursuivie et vingt familles du
quartier al-Qirami ont reçu des ordres
d’expulsion.
L’intention proclamée par la
république tchèque de transférer son
ambassade dans l’entité sioniste de Tel
Aviv vers la ville d’al-Quds a été
vivement dénoncée par l’Autorité
Palestinienne et les organisations de la
résistance. Pour Saeb Urayqat, membre du
comité central du mouvement Fateh et
responsable des négociations avec
l’entité coloniale, « la décision… est
une grave violation des droits musulmans
et chrétiens dans l’Etat de la
Palestine. Elle n’est pas acceptable, et
elle risque de détruire le processus de
paix ». Il a précisé que la ville
occupée d’al-Quds représente le centre
du conflit palestinien arabe – sioniste.
L’intention tchèque a également été
dénoncée par le secrétaire général de
l’organisation de la coopération
islamique, la jugeant très grave. Quant
à la Ligue arabe, elle a jugé qu’une
telle intention est une violation des
résolutions de l’ONU.
II - Al-Quds occupée : les lieux
saints
Le directeur de la mosquée al-Aqsa, dr.
Najeh Bkayrat a déclaré que l’occupant
vise à supprimer la présence des
musulmans dans la mosquée al-Aqsa, en
prenant plusieurs mesures. Il éloigne
les personnalités religieuses et
nationales de la mosquée et de la ville,
et suscite des conflits à propos de
chaque m2 de la ville. Concernant le mur
al-Bouraq, mur extérieur de la mosquée,
l’activité sioniste en a fait un lieu de
conflit, alors qu’il est entièrement
musulman. Le fait d’interdire l’entrée
de la mosquée aux musulmans âgés de
moins de cinquante ans vise à
restreindre l’accès des musulmans à leur
mosquée. Les incursions répétées des
colons dans la mosquée al-Aqsa, qu’ils
soient civils ou appartenant aux
différents appareils sécuritaires de
l’entité coloniale, visent à s’emparer
progressivement de la mosquée et à en
interdire l’accès aux musulmans. Les
autorités de l’occupation ajoutent à ces
mesures l’interdiction faite à des
dizaines de maqdisis de s’approcher de
la mosquée al-Aqsa, pour des périodes
assez longues. Dr. Najeh Bkayrat est
interdit de s’approcher de la mosquée
al-Aqsa, pendant 6 mois.
Au moment où les incursions sionistes
dans la mosquée al-Aqsa se multiplient
et deviennent presque quotidiennes, les
autorités de l’occupation empêchent les
étudiants et élèves d’y accéder, sous
prétexte de « troubles à l’ordre
public ». Des dizaines d’étudiants ainsi
que des enseignants qui dispensent des
cours dans les salles de la mosquée ont
été interpellés par les policiers
sionistes qui leur ont remis des
convocations aux postes de l’occupation.
Pour Mahmoud Abul-Ata, directeur de
l’information dans l’Institution d’al-Aqsa
et du patrimoine, la présence de ces
étudiants et élèves est indispensable
pour la défense de la mosquée contre son
partage. C’est d’ailleurs une des
raisons pour laquelle des voix s’élèvent
à présent dans les milieux sionistes
réclamant l’interdiction définitive de
ces cours dispensés dans la mosquée.
Un nouveau projet de judaïsation de la
mosquée al-Aqsa a été présenté par des
groupes sionistes, consistant à
s’emparer de la partie Est de la
mosquée, pour y construire une
synagogue. Le plan signifie la
judaïsation du cinquième de la mosquée
pour y pratiquer des rites talmudiques,
en individuel ou en groupe, à certains
moments de la journée et pendant les
fêtes juives.
III - Al-Quds occupée : résistance
palestinienne
Mahmoud Mawassi, secrétaire général du
parti arabe démocratique (dans les
territoires occupés en 1948) a déclaré
que les Palestiniens de 48 sont
mobilisés pour la défense de la mosquée
al-Aqsa contre sa judaïsation et son
partage. Malgré les différents dossiers
épineux qui les préoccupent (démolition
des maisons, le plan Prawer d’épuration
ethnico-religieux dans al-Naqab, le
racisme quotidien), les Palestiniens de
48 restent la première ligne de défense
de la mosquée al-Aqsa. Des centaines
d’entre eux se trouvent en permanence
dans la mosquée pour s’opposer aux
incursions sionistes, de jour et de
nuit.
Les fidèles de la mosquée al-Aqsa ont
empêché des colons de pratiquer des
rites talmudiques le 10 octobre à
l’intérieur de la mosquée. La présence
massive des fidèles et des étudiants
venus dès l’aube, qui ont commencé à
glorifier Dieu, dès qu’ils ont aperçu
les colons entourés de policiers de
l’occupation, a sauvé la mosquée al-Aqsa
une fois encore. Plusieurs étudiants ont
été ensuite arrêtés.
Plusieurs institutions maqdisies et
palestiniennes ont dénoncé les plans de
l’occupation concernant la mosquée al-Aqsa.
Elles ont affirmé que les Juifs n’ont
aucun lien avec la mosquée al-Aqsa, ni
religieux, ni politique. La mosquée al-Aqsa
appartient aux seuls musulmans,
ont-elles ajouté, et concerne les deux
milliards de musulmans dans le monde.
Elles ont demandé, dans un communiqué,
aux peuples et gouvernements dans le
monde arabo-islamique de réagir et
d’assumer leurs responsabilités envers
al-Quds et al-Aqsa.
Des jeunes parviennent à percer le mur
de la colonisation dans la zone Ras
Kabsa, à Abu Dis, à l’est d’al-Quds. Un
porte-parole de la « résistance
populaire » a déclaré que des
affrontements quotidiens entre les
Palestiniens et les forces de
l’occupation se déroulent dans la zone
Ras Kabsa, Abu Dis et Izariyyé, allant
même jusqu’à l’université al-Quds.
Des maqdisis de confession chrétienne
ont manifesté dimanche 6 octobre en
direction de l’église du St Sépulcre,
dans la vieille ville, en protestation
contre les agressions des colons qui
avaient visé les lieux saints chrétiens,
dont l’Eglise latine. Le président de
l’association pour le développement du
quartier chrétien, Bassem Saïd, a
déclaré que la marche de protestation a
pour but d’adresser un message et de
mettre en garde les parties extrémistes
contre toute atteinte aux lieux saints
chrétiens et musulmans dans la ville
sainte. « Une voix unifiée et unique est
émise par al-Quds por refuser les
violations des lieux saints et les
agressions contre les églises et contre
la mosquée al-Aqsa ».
Le comité de résistance au mur et à la
colonisation et l’institution pour la
défense de la mosquée al-Aqsa et des
lieux saints islamiques et chrétiens ont
organisé le 7 octobre un rassemblement
de soutien à la mosquée al-Aqsa sous le
slogan « al-Quds nous rassemble et la
mosquée al-Aqsa nous unifie » et ce dans
le bourg de Anata, au nord d’al-Quds,
avec la participation de plusieurs
personnalités et de forces politiques.
Sheikh Najeh Bkayrat a déclaré que « la
population maqdisie et les fidèles de la
mosquée ne permettront pas le partage de
la mosquée et le renouvellement de la
tragédie de la mosquée Ibrahimie
d’al-Khalil.
Plusieurs rassemblements et
manifestations se sont déroulés au mois
de septembre et se poursuivent au mois
d’octobre, pour le soutien à la ville
d’al-Quds et la mosquée al-Aqsa et les
autres lieux saints. Le mouvement du
Jihad islamique a organisé des
manifestations dans plusieurs villes de
la bande de Gaza, appelant à protéger la
mosquée al-Aqsa de la judaïsation et de
son partage entre juifs et musulmans.
Dans les camps palestiniens du Liban,
plusieurs rassemblements ont eu lieu les
deux derniers vendredi, pour mettre en
garde contre la judaïsation de la ville
(Burj al Barajneh, Chatila, Baddawi,
Rachidiyeh, Ayn el-Helwé). D’autres
rassemblements ont eu lieu dans les
villes de Saïda et Beyrouth, le dernier
à l’appel des mouvements nassériens,
devant la représentation de l’ONU à
Beyrouth.
Le mouvement Hamas a organisé un
rassemblement de solidarité avec la
mosquée al-Aqsa, dans la ville d’al-Bireh,
sous le slogan « j’ai le droit de prier
dans al-Aqsa ».
Le département des relations arabes dans
l’OLP a appelé les maqdisis à boycotter
les élections municipales organisées par
l’entité sioniste dans la municipalité
d’al-Quds. Il a appelé la population à
participer à la campagne de boycott pour
empêcher toute participation à ces
élections. Il a affirmé que la ville
d’al-Quds est une ville occupée depuis
1967 (la partie orientale de la ville)
et qu’aucune loi « israélienne » ne doit
y être appliquée, conformément aux
décisions et traités internationaux, et
par conséquent, toute participation à
ces élections est considérée comme une
normalisation avec l’occupant et la
légalisation de son annexion. Le FPLP –
Commandement général a également lancé,
dans un communiqué, un appel de boycott
de ces élections municipales.
Al-Quds occupée : solidarité
Un atelier a été organisé par
l’Institution Internationale al-Quds
(IIQ) à Beyrouth pour étudier la
nouvelle situation dans la ville d’al-Quds
et comment unifier les énergies de la
nation pour y faire face. Au cours de
cet atelier, le chef du bureau politique
du mouvement Hamas, Khaled Mechaal,
s’est prononcé, via satellite, pour la
réactivation de la résistance armée et
l’unité autour de la ville d’al-Quds,
contre les conflits armés et les
interventions étrangères dans les pays
musulmans. Y ont également participé les
représentants au Liban du mouvement du
Jihad islamique et du mouvement Hamas,
des responsables du Hezbollah et de la
Jamaa Islamiyya, ainsi que plusieurs
penseurs, journalistes et militants de
la cause palestinienne qui devaient
proposer des plans d’action pour stopper
la judaïsation de la ville sainte.
Une conférence a été organisée dans le
camp de Burj al-Barajneh en solidarité
avec la ville d’al-Quds, où le
représentant du FPLP a insisté sur la
nécessité d’agir et non de discourir
pour aider notre peuple et les maqdisis
à résister à l’occupation.
L’Unesco a voté plusieurs projets arabes
appelant à envoyer une commission
d’enquête concernant les violations
sionistes dans Bab al-Maghariba et la
partie orientale de la ville occupée
d’al-Quds. Le conseil de l’UNESCO a
également accepté le projet de six
décisions présentées par la Jordanie et
l’Autorité palestinienne relatives à la
protextion du patrimoine culturel et
humain de la ville d’al-Quds et d’autres
villes palestiniennes. L’Unesco a
fermement condamné les creusements menés
par l’occupation à l’intérieur et autour
de la vieille ville, et la destruction
des vestiges islamiques dans Bab al-Maghariba.
Le groupe arabe à l’Unesco a réclamé des
garanties internationales pour entraver
toute légalisation des violations
israéliennes de la place al-Bouraq et
d’autres lieux dans la vieille ville
d’al-Quds.
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