Depuis le milieu des années
1990, une vaste guerre, au
Moyen-Orient et en Asie
centrale, est sur la planche à
dessin du Pentagone.
Déstabiliser des Etats
souverains par le changement de
régime, on se souvient comment
en 2009, l’Iran avait réussit à
faire échec la révolution verte.
Le bombardement du Liban, en
juillet 2006 et la guerre de
Gaza en 2008-2009, faisait
partie aussi du plan de
déstabilisation de la région et
avait pour but d’affaiblir ce
qu’ils appellent, l’axe
Téhéran-Damas-Hezbollah-Hamas.
Après tous ces échecs, on
aurait pu s’attendre à un peu de
sagesse du soit disant « peuple
élu ». Mais c’est que la brute
de Sion est tenace dans son
combat contre Dieu, et ne
s’avoue pas vaincu pour si peu
que ça. Ainsi pour le sionisme
mondial, la Syrie fait partie
d’une guerre plus vaste visant
l’Iran, la bête noire d’Israël.
Le mouvement de contestation
vise à justifier une
intervention militaire contre la
Syrie.
Les médias occidentaux
décrivent, les événements, en
Syrie, comme un «mouvement de
contestation pacifique», contre
le gouvernement de Bachar Al-Assad.
Pourtant les preuves confirment
l’existence d’une insurrection
de groupes paramilitaires
islamistes, financés par
l’hérétique Arabie Saoudite et
entraînés par l’OTAN. L’étape
suivante est d’envisager de
mener une campagne militaire
contre la Syrie, en vertu d’un
«mandat humanitaire», sous
l’égide de l’ONU, comme en
Libye.
Cette attaque contre la Syrie
mènerait à l’intégration des
différents théâtres de guerres
menées par l’OTAN et l’Amérique
pour le compte Israël. On
aboutirait de fait, à une guerre
élargie contre l'Islam et les
Musulmans avec des conflits
englobant l'ensemble des régions
arabo-musulmanes. Engloutissant
une zone s'étalant de l’Afrique
du Nord à l’Afghanistan et au
Pakistan, en passant par la
Méditerranée.
C’est
que le grand Israël, est une
idée fixe chez les sionistes
juifs. Al-Mahdi saura lutter
contre l’esprit démon qui hante
ce peuple.
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