Accueil Actualité IRIB Dossiers Auteurs Communiqués Agenda Invitation à lire Liens Ressources
Dernières mises à jour La Voix de la Russie Journaux de Cathy et Marc Les vidéos Centre d'infos francophone Ziad Medoukh Centre de la Paix Gaza Université al-Aqsa Gaza Qui? Pourquoi?

Google
sur le web sur Palestine Solidarité

 

Centre Palestinien
d'Information

 


Invitation à lire



Réseau Voltaire



BDS



Solidarité



Produits palestiniens



En direct d'Iran



Voix de la Russie



Agence syrienne



Palestine Solidarité
sur Facebook







Actualité

Al-Mouallem: La Syrie a approuvé immédiatement la demande de l'ONU et pas de pays qui utilise l'arme prohibée contre son peuple
Sana


Photo: SANA

Mardi 27 août 2013

Damas /  Le vice-président du conseil des ministres, ministre des affaires étrangères et des expatriés, Walid al-Mouallem, a affirmé que pas de pays dans le monde qui utilise l'arme chimique contre son peuple.

"Si certaines parties accusent les forces armées syriennes d'utiliser l'arme chimique je les défie de présenter une seule preuve à ce sujet devant l'opinion publique", a martelé al-Mouallem dans une conférence de presse tenue aujourd'hui.

Répondant aux déclarations faites par le chef de Foreing office britannique à ce sujet, al-Mouallem, les a qualifiées d'"irréalistes et avaient pour but de tromper l'opinion publique dans son pays". "Les forces syriennes ne peuvent pas éliminer les effets de l'arme chimique dans les zones contrôlées par les gangs armés", a-t-il éclairci.

D'autre part, al-Mouallem a fait noter que Kerry l'avait appelé après une rupture de deux ans et demi, que l'entretien était amical et qu'il lui a dit qu'il est de l'intérêt national de découvrir ce qui s'est passé à al-Ghouta.

"La Syrie a approuvé immédiatement la demande de l'ONU et ce n'est pas nous qui entrave l'action de la commission de l'ONU", a-t-il assuré.

Al-Mouallem a fait savoir, à cet effet, que la commission d'enquête internationale n'a pas demandé au début d'aller à al-Ghouta al-Charqiyah, et que c'est "l'Alliance opposante" qui a fixé quatre sites à enquêter.

"Nous nous sommes mis d'accord de fournir toutes les facilités et de garantir la sécurité de la mission d'enquête sur l'usage de l'arme chimique en Syrie. Nous avons affirmé notre engagement à la sécurité de la mission dans les régions contrôlées par les forces syriennes. La mission a demandé d'aller aux zones contrôlées par les gangs terroristes mais à son arrivée à ces zones elle a essuyé des tirs de feu qui l'avaient empêchée de poursuivre sa tournée dans les zones des personnes armées car celles-ci n'étaient pas parvenu à un accord sur la garantie de la sûreté de la mission au moment où nous l'avons fait", a indiqué al-Mouallem.

Al-Mouallem a souligné, à cet effet, que les forces syriennes ne peuvent pas éliminer les effets de l'arme chimique dans les zones contrôlées par les gangs armés.

Questionné sur les menaces d'apporter un coup militaire à la Syrie, al-Mouallem a dit: "S'ils veulent lancer une agression contre la Syrie le prétexte de l'arme chimique est inexacte et fragile mais si leur but est d'affecter la moralité du peuple syrien, alors ils se trompent".

Al-Mouallem de poursuivre: "En cas d'une frappe militaire nous avons deux choix: se rendre ou bien se défendre et nous choisissons la 2ème et nous allons nous défendre par tous les moyens".

Al-Mouallem a estimé que la provocation de la question de l'arme chimique dans ce temps est du aux victoires réalisées par l'armée syrienne et ses coups préventifs qui avaient protégé les habitants de Damas.

"Je rassure les habitants de Damas que l'effort militaire en cours des forces armées visent à garantir leurs sûreté et que cet effort ne s'arrêtera pas", a-t-il précisé.

"Nous avons des preuves sur l'usage par les terroristes de l'arme chimique, en particulier à al-Ghouta, et nous les révélerons au temps appropriés", a assuré al-Mouallem qui s'est tenu à affirmer que les opérations militaires en cours à al-Ghouta se poursuivront.

Questionné sur les dernières déclarations des responsables turques, al-Mouallem a souligné que bien que ce qui s'est passé en Egypte ait ébranlé l'équilibre de la direction turque, ce déséquilibre s'aggravera du fait de se qui se passe en Syrie.

D'autre part, il a averti que la Jordanie n'a aucun intérêt dans une éventuelle frappe apportée à la Syrie, affirmant qu'il est de l'intérêt de la Jordanie d'être aux côtés de la Syrie car sa sécurité est liée à elle.

Il a souligné la haute coordination syro-russe au niveau politique, affirmant que la Russie est une partie de la fermeté de la Syrie.

En ce qui concerne l'Iran, il a souligné la coordination complète entre les deux pays, ajoutant que les frères en Iran connaissent que ce qui se passe en Syrie et en Irak est l'exécution d'une politique élaborée depuis 2009 pour atteindre l'Iran.

Répondant à une question sur la conférence de Genève, al-Mouallem a mis en doute les intentions américaines à ce sujet, soulignant que les Etats-Unis ne veulent pas un règlement politique car Israël ne le veut mais il veut la poursuite de la violence et du terrorisme.

Al-Mouallem de conclure: "La Syrie restera unifiée et sa décision restera indépendante. Elle a ses propres outils pour se défendre et ceux-ci surprendront les autres".

L.A.

 

 

   

Le dossier Syrie
Les dernières mises à jour



Source : Sana
http://sana.sy/...

Les avis reproduits dans les textes contenus sur le site n'engagent que leurs auteurs. 
Si un passage hors la loi à échappé à la vigilance du webmaster merci de le lui signaler.
webmaster@palestine-solidarite.org

Ziad Medoukh

Analyses et poèmes


Silvia Cattori

Analyses

René Naba

Analyses

Manuel de Diéguez

Analyses

Fadwa Nassar

Analyses et traductions

Alexandre Latsa

Un autre regard sur la Russie

Ahmed Halfaoui

Analyses

Chérif Abdedaïm

Chroniques et entretiens
 
Luc Michel

Analyses

Robert Bibeau

Analyses