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Opinion

Voilà comment tout a commencé

Anis

Dimanche 5 octobre 2014

Les faits : Le 29 aout 2014 entre 19h30 et 20h, je me trouve avec ma conjointe, ainsi que notre plus jeune fils de 2 ans et demi, sur Metz-borny, pour aller acheter de la viande à la boucherie. Une fois cela fait, nous remettons dans notre véhicule, je prend le volant, et la j'aperçois un véhicule de police qui fonce sur un jeune en scooter qui n'avait pas de casque et que je connaissais, qui s'appel Rayan. J'arrive sur les lieux de l'accident, et la je constate que la police a percuter le jeune sur le coté, ce qui a éjecter le jeune du scooter. Les policiers, se concertent et aux bout de quelque seconde, ils se sont approcher de la victime. Et la, la victime me demande de filmer, ce que ma conjointe fait. Au bout de quelque seconde, je reprend le téléphone pour filmer, les débris du scooter et le scénic de la police endommager. Je parle avec la victime, et il me dit que la police lui a rentrer exprès dedans. Il me redit film stp car ils vont me mettre tous sur le dos. Je continue a filmer, et la un policier s'approche de moi, et me dit calmement, il ne faut pas filmer svp, il faut quitter les lieux. Je lui répond, que je ne film pas la police et je commence à m'avancer vers mon véhicule, pendant que je précise des policiers de la BAC me montre du doigt a d'autres collègues. Je m'avance vers mon véhicule, et la j'aperçois un véhicule de police garer juste à ma hauteur sur le trottoir d'en face. J'aperçois 2 policiers armés, qui se font des signes de la tète envers moi, comme si ils se disaient c'est lui. Un des deux policiers, se dirigent vers l'accident, tandis que le premier arrête de marcher en me fixant et il me dit, dégage de la, ta rien n'a foutre la, branleur, je lui est répondu, pourquoi tu me parles comme sa trimard (sa veut dire une personne qui connait rien à la vie), il me répond, c'est bien beau de se la peter en bmw, j'aimerais bien savoir quesque tu fait comme boulot, tout en insinuation, je lui répond, qu'il ne s'inquiète pas pour moi, que je ne suis ni trafiquant, ni dealeur, ni braqueur, que je travaille légalement, que je possède 2 sociétés, et je lui redit une dernière phrase, si tu travaille pour 1200€ c'est ton problème pas le mien. Et la, il se met a hauteur de mon véhicule car lui est debout et moi assis dans le véhicule, me regarde et me dit c'est toi le meilleur en mettant son pouce en l'air. Je démarre, j'avance normalement, rien ne se passe derrière moi, je m'arrête a un premier feu rouge, une fois le feu passer verts, je prend à droite, tout en discutant de se qui c'est passer avant avec ma conjointe, puis j'arrive au 2ème feu rouge. Et la tout a coup, nous entendons un gros coup de frein à main, on apercoit un véhicule de police avec les gyrophares, qui a du mal a s'arrêter, qui est a deux doigt de taper le véhicule devant nous. Et la d'un coup on voit trois policiers armés, flash-ball, arme de pointe, gazeuse à la main, et la le policier jean gregory, sort coté passager avant avec une vrai arme de style de petite calibre automatique, ce dernier nous met en joue ma femme, mon fils et moi. Et la, le policier gregory, pendant que je précise j'avais les mains en l'air, en lui disant doucement, j'ai mon fils qui est dans la voiture, doucement je vais descendre, doucement je vais descendre, dit a son collègue gaze le part la fenêtre ce batard, et la son collègue s'approche de mon véhicule a ma hauteur, tend sa main, en sachant qu'il a vu et entendu mon fils de 2 ans et demi, hurler de peur, et la, il continue a avancer sa main au niveau de ma vitre qui était entrouverte, et j'ai eu le reflexe de fermer la fenêtre pour protéger mon fils de la gazeuse. Le policier gregory me redit arme au poing, descend ou je vais t'allumer, c'est sur vous allez me dire que ce n'est pas les propos d'un policier, mais c'est la pur vérité. Il repointe en joue ma conjointe, je regarde sur ma gauche et la je voit aucun policier au niveau de ma portière. Je décide de descendre vite avec les mains en l'air, en lui disant, j'ai pas d'arme, j'ai pas d'arme. Les 2 policiers se jette sur moi, l'un deux me fait un croche pied, je tombe sur la tête, et la l'un des deux sautent sur mon dos, et me donne plusieurs coup sur la tête avec le bout de la gazeuse. Pendant que l'autre me mettais des coups sur les hanches. Ils disaient sale chien t'aime bien filmer la police, pendant que j'entendais ma conjointe et mon fils hurler. Je dit à ma conjointe filme, regarde quesqu'il me font, elle décide de descendre du véhicule pour me filmer, un des trois policiers se relevant de sur moi, et la gregory s'approche me tient au sol, tout en m'étouffant avec son genoux et en me mettant des coups de poing dans la tête. Et la il dit a son collègue, gaze la cette pute, arrache lui le téléphone en parlant de ma conjointe, excuser moi pour le langage. Ma conjointe commence a descendre du véhicule en filmant, et le policier qui s'était relever, pousse plusieurs fois violemment la portière contre ma conjointe qui est complètement écrasée et qui n'arrive pas a s'extraire, et à même essayer de lui prendre son téléphone mais voyant qu'il n'y arriver pas, lui a tirer les cheveux, et ma conjointe crier aidez nous, aidez nous, et la ils c'est écarter. Ma conjointe fait le tour du véhicule, et filme ce qu'ils étaient entrain de me faire. Un policier, la repousse munis de son flash-ball et lui dit occupe toi de ton gosse, sa prouve bien qu'ils étaient au courant qu'il y avait un enfant dans le véhicule. Pendant que j'était au sol menotté, il me retourne sur le dos, en me tirant très fort sur mes poignées, et me disait, tes poignées je vais te les briser sale fils de pute, je vais te crever, d'ailleurs dans la vidéo on voit qu'il essaye de me tuer en m'étranglant devant les yeux de mon fils, excuser moi pour les termes employer. Il me ramene au niveau de leur véhicule portiere arriere gauche, et la porte ne souvre pas comme par miracle et la le policier gregory crie putain, et m'écrase contre la voiture, ils décident de me faire monter de l'autre côté, lui et son collègue me tenaient tellement fort en me menaçant que j'aller crever, et la je sentais que quelque chose aller m'arriver, je le voyer dans ces yeux, il ne savait plus ce qu'il faisait. Tellement qu'il me soulever haut par les bras, j'avais la tête vers le bas et les mains vers le haut en arrière, j'avais une douleur atroce, que je croyais que j'avais mes épaules briser. En voyant, qu'il n'arriver pas me mettre dans leur voiture, il me prend par le cou en arrière en serrant avec ces 2 bras, et la je pousse avec mes deux jambes, toujours menotté, et la je crie, je vais mourir, je vais mourir. Il se couche sur la capot de ma voiture, tout en me serrant au cou de toute sa force avec ses deux bras, des qu'il a vu que j'était encore vivant, et la il me tient avec une main par la gorge et avec la deuxième main, il essayer de me décrocher la gorge. Il dit a son collègue gaze le, celui-ci approche avec la gazeuse et me gaze en plein visage et de prés, j'ai avalé tout le produit, et la je ne respirer plus. Pendant ce gazage, le policier gregory a continuer a me tirer sur le cou et me disant tout en grinçant des dents, je vais te crever. Je commence a perdre connaissance, car il m'appuie trop sur le cou, mais sa ne l'empêche pas de me jeter dans le véhicule. Je me retrouve dans le véhicule, au moment ou le claquement des portes retentis je reprend mes esprits. Et la je sent un poids sur moi, c'était un des policiers qui s'étaient assis sur moi. Je dit svp, enlevez vous je ne respire plus. Il me dit, tu n'as cas pas respirer, crève sale chien. Et la policier gregory qui était à l'avant du véhicule, se retourne et me dit creve, creve, en me donnant plusieurs coup de poing sur la tete, et il redit a son collègue appuis toi dessus fort, et la il me tire la tete avec ses deux mains, pour la mettre entre les deux sièges avant, et la ce policier gregory, ma taper de plus en plus et de plus en fort sur la tête, sur laquelle je garde des séquelles encore aujourd'hui. Nous arrivons au commissariat, les coups continue a pleuvoir ainsi que les menaces de mort, et la gregory, descend du véhicule, ouvre la portiere arrière, et m'éjecte du véhicule en me tirant violement par le pied, et la ma tete, ne peut que se cogner sur la carrosserie et ensuite par terre. Il me souleve par les pieds et par les poignées, me monte dans le bureau, et la un de ces collegues, veut me mettre assis sur une chaise, mais le policier gregory jean, crie, nan, nan, nan, jeter le parterre ce chien, et me pousse violemment par terre, ma tete cogne le mur, et la il me dit, tu va crever, je vais prendre ta mere à quatre pattes. Il me frappe violemment au visage, me marche sur ma cuisse, ensuite il s'éloigne vers la porte pour parler avec ces collègues, et la j'essaye de me relever doucement sur mes genoux en pleurant, je lui dit fils de pute, tu va payer, je vais te niker ta mere pour le mal que tes entrain de me faire subir, t'inquiete pas, le bon dieu existe, et la il me répond en se moquant c'est moi dieu. Je lui répond, toi tes qu'une merde. Il devient tout rouge, chaud, se dirige vers moi, me prend au cou, me claque la tête contre le meuble. Ma tete saigne, il me jette par terre, je perd connaissance, le sang giqule partout du dessus de ma tete et la j'entend son collegue dire, putain merde, ya du sang partout, il faut l'emmener à l'hôpital, mais le policier gregory dit, nan, nan, c'est rien, va chercher la trousse de secours, on va lui faire un pansement vite fait, c'est bon il a rouvert les yeux, alors que le sang continuer à gicler partout sur le mur, ce dernier me tire par les poignées, en me disant allez leve toi, leve toi, fait pas semblant, pendant que je voyais des étoiles entre mes yeux, et je prier le bon dieu, pour mourir pour que se calvaire cesse pour moi et pour tout le monde. Le policier gregory continue toujours à me tirer, et appuie avec ces doigt sur mon cou pour voir si je respirer, et il dit a son collègue, c'est bon il respire, il fait semblant, il commence a me retirer par les poignées très fort, et me dit, vient on va souffler. Et la je lui dit fils de pute, tout en étant toujours dans les vapes et que mon sang continuer a couler. Et la, il me met la semelle de sa chaussure sur mon visage, appuie fortement avec ces chaussures de sécurité, en me disant, tu veut pas crever sale fils de pute. J'en n'ai garder des traces sur le visage. Et la d'un coup, je reprend trés vite mes esprits, et je lui crache dessus sur sa jambe, pour se venger, il a soulever son pied pour me donner un coup pour m'écraser la tête. Je perd connaissance une nouvelle fois. D'un coup je me réveille, ayant de l'eau qui coule sur moi, et voyant le policier gregory me renversant de l'eau sur le visage, en disant a son collègue, tu voit je te l'avait dit, il fait exprès. A ce moment la, j'essaie de me relever sans aide de la part d'aucun policier, car ils étaient tous occuper a rigoler. Un de ces collègues, lui dit, vient on n'apel les pompiers, sinon on va avoir des problemes, et la il lui dit, c'est bon trouve juste une trousse de secours, c'est rien je m'en n'occupe. En entendant sa, je lui dit, je veut aller à l'hopital me faire soigner et voir mon avocat. Et la le policier gregory jean, me répond, que l'avocat c'est plus tard, et que pour l'hopital c'est trop facile, tu va rester la comme un chien. Je lui dit, espèce de fils de pute, avec ton corps remplis de testostérone, tu m'impressionne pas, regarde avec tous les coups que tu ma mis je résiste encore. Il me répond, t'inquiète pas dans les geôles, sa sera ta fête. Je lui répond, j'espère pour toi que je serai menotté. J'aperçois 3 policiers de la BAC, qui passer dans le couloir, l'un d'eux leur a dit, c'est bien les gas, il faut le niquer celui la, il ma regarder en me pointant du doigt et m'a dit, c'est pas fini, on se verra au tribunal. L e policier gregory jean rajoute, au tribunal je vais te demander tes jantes en dommage et interet tout en se moquant. Et redit a son collègue, ta vu les jantes qu'il a se batard. Et la comme par magie, au bout de plusieurs heures, les pompiers arrivent pour me soigner. Tout de suite, le policier gregory jean , se jette sur un des pompiers l'emmene à part, lui parle, et quand se pompier revient vers moi, il avait un comportement bizare. Ce pompier me dit, esque je peut regarder tes blessures, je lui répond oui bien sur et merci d'être venu. Il constate l'état de mes blessures sur mon crane, et informe les policiers qu'il faut que je soit emmener tout de suite à l'hopital. Le policier gregory jean, lui dit vous pouvez pas juste le soigner ici, en lui mettant des pansement car je veut le faire souffler dans le ballon et lui faire le test stup. Le pompier lui répond, je ne peut pas lui mettre un pansement car il a besoin d'être recousu. Le policier gregory jean, persiste et insiste en lui disant, si si si, il faut que je le fasse souffler j'ai mon rapport à faire, c'est urgent, l'hopital c'est trop facile, soigner le et on va le mettre dans les goles. Le pompier lui répond, il faut tout de suite l'emmener à l'hopital, votre rapport peut attendre, car il peut faire une hémorragie. Et la le policier gregory jean, crie putain, c'est trop facile, et dit au pompier parter laisser-le la. Le pompier répond, si je part je serais obliger de le noter dans le rapport et vous le faire signer, d'une voie calme et lente comme si il avait peur. Ce dernier, fixe méchamment le pompier, se retourne vers son collègue et lui demande quesqu'on fait? Son collègue n'a pas sut quoi lui répondre, et la le policier gregory jean dit aux pompiers, allez dégager le d'ici, emmener le, comme si un miracle c'était passer. Le pompier dit au policier, on l'emmene mais il faut qu'il y ait un véhicule de police qui nous accompagne. Le policier gregory jean, dit, ah nan nan nan, moi je le ramene pas dans ce cas la, laisser le crever ici. Le pompier lui dit, on ne peut pas le laisser comme sa, si je part, je suis obliger de vous faire signer le rapport. Tout d'un coup, un nouveau policier est venu dans le bureau et la a entendu le probleme qui y avait, et la c'est proposer d'appeler le terminal pour qu'ils envoient un véhicule de police pour le trajet. Gregory jean dit, ok vas y apelle les, l'autres policier est parti apeler et quand t'il est revenu, comme par hasard, il a dit qu'il n'y avait aucun véhicule dispo. Et la, le policier gregory, dit tant mieux, vient on le jette dans les goles comme sa, on lui fera un petit pansement vite fait, on l'auditionne et on l'emmene plus tard à l'hopital. Le pompier lui dit, que nous on ne peut pas rester longtemps ici, on va vous faire signer le rapport et partir, on ne peut pas rester une plombe ici. Le policier gregory jean dit, fait leur signer a eux en parlant de ces collègues. Un de ces collègues prend la parole et dit, on peut pas faire sa, on n'a pas le droit, on va se faire allumer par le chef, pendant que je faisais semblant de ne pas entendre, j'était toujours un peu dans les vapes mais j'entendais tous. Finalement, ce sont des collègues du policier gregory jean qui lui a refuser de m'escorter, a préféré rester dans son bureau, a préparé son rapport avec soit disant, outrage, menace de mort, refus de se soumettre au teste d'alcoolémie et de stupéfiant, ... la totale, tout cela pendant que j'était entrain d'agoniser dans mon sang. Nous nous rendons a l'hopital tranquillement, je vomissais dans la camionnette des pompiers. Une fois arriver à l'hopital, deux infirmieres super gentilles et un autre infirmier, me prennent en charge, me demande ce qui c'est passer, je leur raconte, et tout de suite un policier rentre et leur dit faite attention, il est dangereux. Une des infirmieres lui répond, ne vous inquieter pas, c'est notre travail, on n'a l'habitude, on voit tres bien qu'il est calme, veuillez nous attendre devant la porte merci, cette derniere ferme la porte. Je voit qu'elle avait pitié de moi, je lui est tout raconter ce qui c'est passer, et la elle ma repondu, ici vous etes en securité, personne ne te fera de mal, ils ne pourront plus car on va faire un rapport sur tes blessures. J'ai vu le medecin, qui a regarder mes blessures, il me demande comment j'ai fait sa, je lui raconte, il commence à me soigner, tout en me parlant gentiment. Un des policiers l'appelle, lui parle, le médecin revient, et tout d'un coup il a un comportement bizarre. Termine de me soigner, et signe le papier comme quoi je suis apte a la garde a vue malgré toutes mes blessures. Et la, on repart au commissariat. J'arrive au commissariat, une nouvelle équipe me prend en charge, ils me font souffler dans le ballon, le taux est de zéro. Il me demande si je veut être auditionner maintenant ou apres avec ton avocat, car pour l'instant ton avocat ne répond pas au téléphone. Si tu ne fait pas ton audition tout de suite, tu risque d'y passer le week end. Je lui dit le week end?, pourquoi j'ai rien fait, et la il me dit ce n'est pas quesque les collègues m'ont dit. Il me demande, si je veut savoir les faits qui me sont reprochés, je lui répond que oui biensur c'est quoi les faits. Il me répond, outrage, rébellion, menace de mort, et refus de se soumettre aux dépistage d'alcoolémie et de stup. Je lui répond, tes cinglé, j'ai rien fait de tout sa, ce sont eux qui mont fait du mal, apel vite mon avocat. Il me dit, ton avocat, il répond pas. Je lui répond pas d'avocat, pas d'audition. Je me leve de ma chaise, je lui dit descend moi dans les goles. Le policier me répond, assis toi, calme toi, on va discuter calmement. Je commence a m'énerver en lui disant, descend moi dans les geoles, c'est moi la victime dans l'affaire c'est pas eux. Et tu ose me dire, rébellion, outrage, refus de test alcoolémie, dans ces circonstances la, et menace de mort. Je lui dit, elle est belle la justice de merde. Je lui dit maintenant, tu me descend dans les geôles. Il ma répondu, ok on n'y va. Une fois dans la geôle, je constate qu'il y a de la pisse dans la geôle, et la je dit a la femme policier, je peut pas dormir ici, c'est pleins de pisse par terre, sa brule au visage et l'odeur est insoutenable, alors que pleins de cellule était vide. Je lui demande si je peut aller dans la cellule d'accoter qui est vide et propre, que je veut dormir, que je suis fatigué. Elle me répond que ce sont des cellules pour les mineurs, ils m'ont dit de te mettre la, je te met la, commence pas a me casser la tete. Je lui demande, qui ta dit de me mettre la, elle me repond que ce sont ses collègues. Je lui dit, c'est fait expret alors? Elle me regarde d'un air et souris. Apres sa, j'ai rien dit, je me suis coucher malgrés l'odeur, j'ai réussi a dormir quelques heures, pour recuperer des forces. Au bout de ces quelques heures, l'odeur était tellement devenu insoutenable, que je n'arriver plus respirer, que sa me bruler au visage, on dirait qu'il n'y avait plus d'aération dans cette geôle. Plus d'air ! Tout d'un coup, je n'ai pas pus supporter plus longtemps. J'appelle la geôlière, qu'elle voit, pour qu'elle me change de geôle et je lui demande d'ouvrir pour qu'elle constate par elle meme. Elle ouvre la gole, constate qu'il y a une forte odeur de pisse et que l'air est irrespirable. Elle me dit je peut rien faire, je lui demande alors une serpillère pour nettoyer moi même, elle me repond qu'elle n'en n'a pas, je lui redemande, alors un sceau d'eau et un ballet, j'utiliserais mon t-shirt comme serpillère. Je lui dit que j'ai un t-shirt dans le casier, tu peut me le ramener, je l'utlise comme serpillère. Elle me dit, nan nan, j'ai des instructions, que je doit pas te changer de gole, c'est pas moi, j'y peut rien. Elle me ferme la porte dessus, et la je lui répond, si tu me change pas de cellule, jte laisse pas tranquille avec ton téléphone. Elle me dit, vas y quesque t'attend. Je commence a taper trés fort sur la porte avec ma main, ,une fois que j'ai commencer a me taper la tête contre la porte et que mes aggraphes se sont détacher, j'ai commencer a saigner de nouveau, elle a constater et a apeler son superieur. Le brigadier est venu, me demande de rester tranquil, sinon je te met un casque sur la tête. Je lui répond, je veut pas de probleme, je veut juste dormir, changer de cellule, ou ramener moi une serpillère je la lave. Tout d'un coup, il me dit ok, pas de probleme, je lui repond merci chef. Il me dit attend j'arrive, je vais te changer de geôle. Il parle avec la geôlière, ainsi que avec d'autres policiers, repart dans un bureau, pendant de longue minutes, et reviens me voir, et me dit finalement pour la cellule d'a côté c'est pas possible. Je lui dit, vous vous fouter de ma gueule, un coup oui, un coup non et d'ailleurs j'ai rien n'a faire ici. Et la, je lui dit, si tu me change pas de cellule, je me met la tète en sang. la geôlière lui dit, j'ai un casque on va lui mettre. Il repart avec la geôlière, ils reviennent avec un casque et des rislans pour m'attacher les pieds. Et la je leur dit, vous me prenez pour un fou, je leur dit écarter vous de moi, sa va partir en couille. La geôlière commence a s'approcher pour me mettre le casque sur la tête à ce moment la, je me suis frapper la tete contre la porte et la je me suis ouvert tout mes agrafes, ma blessure c'est agrandis et la le sang se met a couler mais la geôlière me met quand meme le casque qui etait pourtant trop petit, mais elle a quand meme forcer sur le casque, en frappant sur le casque pour que ma tete rentre dedans, avec ma blessure je vous dit pas l'atroce douleur, je lui dit arrête il est trop petit, elle me répond, ta cas rester trankil, je lui répond, vous inverser les roles, vous voulez me faire passer pour je sais pas qui, pendant que le brigadier me met les mains derriere le dos, me menotte et m'attache les pieds avec le rislan. Il n'avais qu'une obsession, que je les frappes, pour qu'ils puissent m'accuser pour violence, mais j'ai compris qu'il ne fallait pas rentrer dans leur jeu. Je me suis laisser faire pour qu'il m'attache les pieds et me mette le casque sur la tete. Le brigadier à mis le matelas par terre, sur la pisse, ils mont porter a trois, mont poser sur le matelas, ils sont sortis et ont fermer la porte pendant que je me debatter pour enlever le casque, qui était trop serrer et qui m'empecher de respirer. Mais grace a la force de dieu, j'ai réussi à me relever, me mettre assis, sur le banc en béton, et j'ai tirer trés fort avec mes mains sur le rislan, je les aient casser un par un, j'ai réussi a passer mes bras par l'avant, pour pouvoir enlever le casque et mieux respirer. J'ai toquer a la porte avec mon casque à la main, je l'ai appeler, je lui est dit, mais c'est quoi le délire dans lequel vous êtes entrain de me rentrer, je pisse le sang, vous m'attachez les mains, les pieds, la tête, mais de quel droit vous pouvez faire sa. Elle me répond, on n'est dans un commissariat on peut faire ce qu'on veut. Elle me répond, attend, je vais chercher les collègues, tu va voir. Ces collègues arrivent avec le brigadier, pour me remettre le casque à nouveau. A ce moment la, je remet un grand coup de tête dans la porte, ma blessure s'ouvre encore plus, du sang coule de partout. Je perd connaissance, je me fait réveiller par les pompiers par de petite claque. Ils constatent mes blessures, et décide de m'emmener à l'hôpital avec trois policiers. Une fois à l'hôpital, les mêmes infirmières et médecin me voient à nouveau. Trois infirmiers, super gentil, me prennent en charge tout de suite, me désinfecte la plaie et me lave le visage, me rince la tête, tout en me disant si ta femme et tes enfants te verraient dans cet état, ils deviendraient fou. Ils me remonte le moral et je leur dit que je ne veut pas partir avec eux, je leur est tout raconter, elle ma dit t'inquiète pas je vais parler au medecin. Elle est revenu, ma dit que le médecin nous attendaient pour me recoudre la tête à nouveau, la ils m'emmènent voir le medecin, j'attend dans une petite salle, pendant qu'une policiere se moquer de moi, elle me disait, tes content de nous faire chier, et la je lui dit dégage, je parle pas avec toi, elle me répond c'est toi qui va dégager d'ici, elle continue toujours à me provoquer avec ces deux collègues, je lui dit, tu chercher quoi, tu veut quoi. Elle me dit, je veut pas rester une plombe ici. Je lui répond, bin casse toi, quesque tu fou la. Elle me répond, qui il va te surveiller après. Moi je tai pas demander de me surveiller, si tes pas contente de ton travail, change de métier. Je lui dit, tes raciste ou quoi? La, elle commence à péter les plombs avec ces collègues, elle vient vers moi et me dit, tu va fermer ta gueule maintenant et dit à ses collègues attacher le maintenant. Elle m'attrape mes deux poignées qui sont enfler, ouvert et me met quand même les menottes en n'appuyant bien fort sur mes blessures du poignées. Je crier, aille, aille, tu me fait mal. Son jeune collègue, imiter ces geste à elle sur mon autre poignées en me mettant les menottes. Je leur demande juste de les desserrer doucement, sa me fait trop mal. Elle me répond, j'en n'ai rien n'a foutre ta cas pas me répondre. Je lui dit, je vais pas te supplier non plus et en plus je te parle même pas mal. Elle me dit, si si tu ma menacer avec mes collègues, tu ma insulter. Je lui dit de quoi je t'ai insulter, de quoi je tai menacer? Elle me répond, on vera sa au poste. Je lui dit comme sa ta le temps de réfléchir. C'est bon, je vous voient venir, j'ai compris votre système. Et la elle me dit, il vaut mieux te la fermer. Le medecin arrive, rentre, me redit bonjour, il commence à me soigner la tête, quand la policière, s'approche du médecin et lui dit, faite lui une prise de sang pour détecter du stup, et le médecin, lui dit, vous pouvez pas attendre juste que je soigne la blessure la plus importante, sa peut attendre ? Elle lui dit qu'elle a recu des instructions par son chef, et qu'il le lui faut tout de suite. Le médecin, tout gêné, me demande si je veut bien faire la prise de sang. La policière répond à ma place, ah si il a rien n'a dire, il est obliger. Le médecin la regarde avec un air pas trés content, et me repose la question une deuxième fois. Je lui répond, faite moi d'abord mes blessures, j'ai mal à la tête, et quand c'est fini je ferais la pris de sang. La policière s'énerve prend mon bras, et dit, si si, tu va la faire maintenant. Elle commence a me tenir par la main et essaye de me mettre l'élastique qui sert le bras. Je retire mon bras brusquement, je lui dit maintenant t'arrête de me casser les couilles, tu va sortir de la chambre, j'ai besoin d'être seul avec le medecin. Elle me dit non, on n'a pas le droit. Moi je lui dit si c'est dans mon droit, quand j'accompagne ma femme à l'hopital, quand le medecin me demande d'attendre devant, j'attend devant. J'ai dis au docteur, s'il vous plait, faite les sortir. Le docteur, leur a demander gentiment de sortir, et la policière lui a répondu, vous prenez la responsabilité si il y arrive quelque chose. Elle essaye de me faire passer pour un criminel ou pour un fou peut être. Le medecin, les fait se diriger vers la porte, et la elle dit, je doit partir, il faut que vous me signer le papier comme quoi, il a refuser la prise de sang. Je lui dit, nan j'ai pas refuser, j'ai dit que je le ferais une fois que mes blessures seraient soignées. Elle me dit c'est maintenant ou rien, je lui dit allez dégage sale fasciste de merde. Elle fait signer le papier au médecin, qui le signe tout stresser, il ne savait plus quoi répondre. Une nouvelle équipe arrive et la tout se passe bien, le medecin part avec les autres policiers pour discuter pendant que j'attendait avec la nouvelle équipe, je me disait dans me tête, j'espère cela ils ne sont pas pareils. Bonne surprise, ils me parlent, me remontent le moral, me ramene de l'eau à boire, me propose si je veut un café, je leur dit c'est le bon dieu qui vous a envoyer. Ils me disent pourquoi tu dit sa, je leur répond, en leur racontant tout ce que j'ai subis. Il prend une chaise, s'assoit à côté de moi et me tiens la main en me disant t'inquiète pas, sa va bien se passer, on va faire attention à toi cette nuit dans les geôles car j'ai un ancien collègue a nous, qui patrouiller avec nous, et ce soir, il est de garde des geôles, donc ne t'inquiète pas, il est super gentil, il veillera sur toi et te mettra dans une cellule propre. Je sais c'est des enfoirés ce qui ton fait sa, en parlant de gregory jean. Et la, il me remonter le moral, en me parlant de ces vacances dans un pays oriental. Et la, je lui répond, ta vu comment dans ce pays, il ton accueillis et ta vu comment en France ils nous accueille. Et la, il n'avait plus de mot. Le médecin revient, il termine a me soigner mes blessures, il était tout presser de partir. En me disant, fait attention à toi, fait attention à tes agrafes. Il donne le papier apte pour la garde à vue, surprise, pas de scanner pour la tête rien, c'est comme si on l'aurait houspillé pour qu'il se dépêche. Je repart avec les policiers surper gentil, qui me remonter le moral dans la voiture, une fois arriver dans les goles, ces derniers tout de suite ont dit au geôlier change le de cellule, car l'autre est infecte, il l'a constater par lui même, et m'a dit je comprend pourquoi ta pas réussi à dormir la, c'est infecte. Une fois dans ma nouvelle cellule, je remercie, les policiers et le geôlier, et la je me rendort enfin tranquillement avec mes douleurs et ma fatigue, c'était seulement ce que je voulais. Le lendemain, ils viennent me chercher dans la cellule et me dise, audition. Je remonte dans le bureau, il me pose quelque question et je ne comprend plus rien. Il me dit, ta voulu écraser mon collègue avec ta voiture. Je lui dit non, c'est pas vrai, j'ai une vidéo qui prouve le contraire, il me dit, elle est ou cette vidéo. Je lui dit la vidéo, elle est quelque part. Il commence à me poser pleins de questions, je demande mon avocat et la il me dit, ton avocat, il répond pas, il est en vacance. Je lui dit appelle ma femme, elle me trouvera un avocat, il me répond, non je n'ai pas que sa a faire, je l'ai deja prévenu hier c'est deja beaucoup, elle est tout le temps sur messagerie, elle répond pas. J'ai dit, dans ce cas, je fait ma déposition chez le procureur. Et je lui demande, de me descendre dans les geoles. Il me descend dans les geôles, il me dit j'apel le procureur et on va voir si il te prolonge la garde a vue ou pas. Il me met dans la geôle, et surprise, un nouveau geôlier, super gentil, qui me propose de fumer une cigarette avec lui et la je lui dit quesqui se passe aujourd'hui pour moi, je voit il y a quand même des bons dans la police. Et la, il me répond quesque tu croit, et donc il me propose une cigarette, et on commence a fumer et a discuter. Je lui parle de mon problème d'avocat, il ma conseiller de prendre un avocat commis d'office dans la situation ou je suis, je te conseille de prendre vite un avocat. Tu changera quand tu sortira. Je lui est dit, tu peut faire quelque chose pour moi, rapeler le policier et lui dire comme quoi je veut un avocat commis d'office. Le soir même, l'avocate commise d'office arrive, me parle 5 minutes et m'a dit que demain, je serais déféré au parquet. Le lendemain, au tribunal, surprise le procureur, demande mon maintient en détention, et que les faits qui me sont rapprocher sont outrage, rébellion et menace de mort sur 6 policiers. Et la, je tombe de haut. Je commence à lui expliquer en l'arme que je n'ai rien fait et qu'il y a une erreur, et la il me dit comme les policiers m'ont rapporter que ta fais sa, alors je te reproche sa. Mais je lui dit qu'il y avait des vidéos et des témoins, mais il n'a rien voulu savoir. Je monte chez la juge des libertés, je lui explique tout de a à z, qu'il y a une erreur, je lui dit faite bien votre enquête et vous verrez que je suis innocent. Mon avocate a bien expliquer la situation, comme quoi c'était de la jalousie. Une fois les discours fini, nous avons attendu dans le couloir qu'elle délibère pendant de longue minutes. La greffière, vient me chercher avec mon avocate, et la surprise, la juge me maintient en détention provisoire, pour le lendemain au tribunal quand je serais juger pour les faits qui me sont reprochés. Donc une nuit, à la maison d'arrêt de metz queuleu, qui se passe sans problème. Le lendemain, comparution immédiate au tribunal. De nouveau surprise, j'écoppe de 6 mois dont 3 mois avec sursis et 2 ans de mise à l'épreuve, ainsi que des dommages et interet que je doit verser au policier. Je retourne en maison d'arret pour lever mon écrou et récuperer mes affaires. En récupérant mes affaires dans la fouille, je m'appersoit qu'il y a un papier de rétention de permis de conduire, marquer que les faits se passe le 30 aout pendant que je me trouver en garde à vue et soi disant, j'ai refuser de me soumettre à l'épreuve de l'éthylotest, et que j'ai refuser la prise de sang chez le médecin, et que j'ai même refuser de signer, alors que je n'ai jamais vu se papier auparavant. En sachant, que le bavure policière a eu lieu le 29 aout et donc le 30 aout lors des soit disant fait je me trouver deja en garde à vue depuis 24h et que j'ai était encore renouveller pour 24h. En sachant tout ce que j'ai subis, de m'accuser pour outrage, rébellion, menace de mort et en plus de sa, il se permette de me retirer mon permis sans aucune raison. Maintenant, je comprend pourquoi, la femme policier de l'hopital était si presser de récupérer le papier comme quoi j'aurais refuser la prise de sang. Et en plus de sa, le pire, elle m'accuse de menace de mort, rébellion, outrage. Alors que je ne l'ais jamais insulter et que le medecin et les infirmiers sont témoins, ils pourront confirmer. Mais non, toute ces personnes la, non jamais était auditionner. Tout en sachant, que aucune déposition de témoins n'a était prise, ni de moi même car je n'ai jamais était auditionner, ni même ma femme qui était sur place lors de l'interpellation, et qui a en sa possession, une video et plusieurs photos. On la voit bien la brutalité policière dans la vidéo. Chaque soir, je me couche en visionnant cette vidéo, et je me dit, que les preuves étaient la, sur une centaine de témoins aucun n'a était entendu. J'ai fait appel de ma décision et j'espere que cette fois ci, justice sera rendu, car je commence à perdre la raison, j'ai trop peur de faire des choses que je pourrais regretter après. Ils suffit juste d'un autre contrôle de police et la je ne pense pas pouvoir me contrôler. Après quand on devient des personnes hors de contrôle, il faut pas s'étonner c'est pourquoi.

Ouvrez une enquête, regarder bien la vidéo et les photos, questionner les témoins présent ainsi que le personnel hospitalier, et vous verrez que ce que je raconte, c'est la vérité. Il faut que vous sachiez que cette histoire est crave et qu'on ne peut pas pardonner. Que ma femme, mon plus jeune fils de 2 ans et demi et moi, allons vivre avec sa, toute notre vie.

Voici une dizaine de jours apres mon agression violente par ces 3 policiers, que la police débarque chez moi, pour perquisitionner mon materiel informatique et me placer en garde à vue, je vous laisse lire la suite, de l'acharnement que je subis !

Ma deuxième interpellation pour les faits d'outrages sur facebook, 10 jours aprés mon agression par les policiers.

Le 11 septembre 2014 vers 9h, sa frappe à ma porte, je regarde dans le laiton de ma porte, et je demande "qui est-ce ?, on me répond "ouvrez la porte, c'est la police", à ce moment la, j'ai commencer à repenser à toute l'histoire d'avant, et mes pensées étaient à moitiés paranoïaques et moitiés méfiant envers eux, je me demander quesqu'ils aller m'inventer encore. A ce moment là, je regarde par la fenêtre de la chambre de mes fils, et là je vois une dizaine de policiers qui surveille derrière chez moi et d'autres devant chez moi, et encore d'autres qui chercher je ne sais quoi. On n'aurait dit qu'ils étaient venus chercher un criminel. Là, je leur demande les faits qui me sont reprochés, ils me répondent "pour des faits d'outrage", et je n'y croyais pas du tout. Je leurs dits "que si vous essayer de rentrer, sa va pas partir en couille, car je ne sortirais sans la présence de mon avocat". Ils me répondent que si je n'ouvre pas la porte, ils appelleraient le service GIGN. Ils m'a répondu que si le GIGN vient sa sera pas pareils, mdr, on croirais j'ai tuer quelqu'un. Je décide d'appeler mon avocat, et là il me conseille de leur ouvrir la porte, et qu'il me rejoindrais le plus vite possible. Une fois d'avoir raccroché, je poste immédiatement un message sur facebook, pour informer de ma situation. Je vais vers la porte de mon garage, je leur dit "je vais ouvrir la porte, fait doucement s'il vous plait, je veut pas de problème". J'ouvre la porte, (ma femme film), les policiers rentrent, décline leur identité, et me disent les faits qui me sont reprochés, me place en garde à vue, me disent qu'ils doivent perquisitionné mon matériel informatique, ma femme lui demande si ils ont "un mandat de perquisition"(comme à la télé), ils lui répondent, "on n'est en flagrants délit", elle lui redit "flagrant délit de quel fait", ils répondent "je préfère discuter avec Monsieur ......" ils décident de perquisitionner et prendre mon matériel informatique pour extraire les données au poste, ils me demande de les suivre, non menotté. Tous cela dans le respect et dans le calme, je m'y attendais pas à un tel professionnalisme.

Une fois arriver au poste de police, ces policiers refusent de passer par la porte d'entrée, pour ne pas croiser leurs collègues avec qui j'ai subis l'agression. Ils me font passer par un parking souterrain, sans doute pour ma sécurité, ils me font monter dans leur bureau, et là ils me demandes si je veut voir un avocat et/ou un médecin. Je leur répond oui, que je veut voir mon avocat, que je l'ai déja prévenu et qu'il est en route. Une fois m'ont avocat Maitre COLLIN, arriver, audition. ils m'expliquent les faits outrage sur facebook envers les policiers qui m'ont agressés. Je répond à ses accusations, que j'ai seulement voulu avertir l'opinion publique de ce qui m'était arriver, et que je reconnais les quelques insultes sur mon compte facebook. Ils me posent la question, si je regretter, si j'avais de la haine envers ces policiers, je lui répond "je ne regrette rien, c'est normal vu ce qu'ils m'ont fait subir". Pour ses outrages sur facebook, j'assume mes actes. Une fois cela fini, je signe mes auditions et j'attend qu'ils appellent le procureur, pour savoir la suite. Une fois la réponse du procureur reçu, le policier me dit, qu'on devait aller à 17h, chercher une convocation, chez le procureur, pour avoir une convocation pour être jugé pour les faits d'outrages à une date ultérieur. J'attend toute la journée dans le bureau, car ils n'ont pas vouluent me descendre dans les geôles pour ma sécurité. Le temps passe, vers 16h, le policier revient me voir, et me dit" que la procureur, à changer d'avis, et à demander mon maintient en garde à vue, pour être déféré demain à 14h, pour être jugé". Quand je lui demande c'est quoi le traquenard, il me dit qu'il est désoler, et qu'il ne s'attendais pas à sa. En sachant, que j'était en danger, du aux 3 policiers qui travaillent dans ce commissariat, mais la procureur ça la pas empêché de me faire descendre dans les geôles pour passer la nuit, alors qu'elle savait trés bien que j'était en danger. Le policier, me redit qu'il est désoler. Ils me font descendre dans les geôles, et là l'accueil est glaciale. Ils me mettent dans une cellule, qui était propre (pas de pisse,...). Le policier qui m'a auditionner, déscend et me met un jeune dans ma cellule avec moi. Un bon petit jeune avec qui j'ai put discuter. Je decide de dormir pour tuer le temps, au milieu de la nuit, j'entend des insultes "connard", j'ai reconnu une voix, je vous laisse deviner laquelle. Je commence à avoir froid, je demande une deuxième couverture de pompier au policier présent, qui me répond "c'est une par personne, d'un air de soutien à ses autres collègues". On lui demande si il peut fermer la fenêtre, il nous répond "on ne peut pas fermer la fenêtre". Malgré cela, j'ai continuer à dormir. Le lendemain à 9h, ils viennent me chercher pour être déferré au tribunal, sans me douter du coup qu'ils étaient entrain de préparer derrière mon dos. J'arrive au tribunal, ils me monte dans le bureau du procureur, je rentre dans son bureau et la je tombe sur 2 procureurs qui me posent des questions, en me demandant si j'étais suicidaire et si je me retrouver en prison si je compte m'évader, je crois rêver, cetait sans doute pour me mettre en prison en isolement "et isoler de tout le monde", et sans doute de préparer un suicide. il faut que vous sachiez que dans ma religion le suicide est interdit et je n'ai jamais était suicidaire. Et voilà le complot ne fait que commencer. Ensuite, ils me descendes dans les cellules den bas pendant que j'attendais jusqu'a 14h, ils fallaient que je supportent les policiers qui soutenaient leurs collègues, le droit à rien (pas de cigarette, si vous voyer ce que je veut dire) ils me font passer en dernier. L'heure arrive, je monte en haut, et là surprise, je voit toute la BAC de metz, même des membres de leur famille pour les soutenir, alors que les 3 policiers ne sont même pas venus pour témoigner, je sais pourquoi ils ne sont pas venu, car ils auraient fait face à mes questions, et là je les auraient piégé, je les attendais avec impatience, pour que je puisse m'expliquer avec eux. Ils avaient préparer un bureau spécial juste pour moi, et la surprise la même juge. Elle en n'avait rien n'a foutre de ce que je disais, bien au contraire, elle se réjouissait sur mon sort. Quand je lui est dit "la premiere fois quand vous m'avez juger, vous avez refuser de prendre le témoignage des témoins, et de visionner les vidéos, et après sa vous me condamner à 6 mois de prison ferme assortis de 3 mois de sursis et 2 ans de mise à l'épreuve, plus des dommages à intérêt pour les policiers", la juge me répond "ce n'est pas moi, qui vous est jugé, c'est la cour correctionnel". La juge me demande si je regrette, je lui est répondu que je ne regrette rien. Elle n'était déja pas trés intéressée pour entendre la vérité, j'ai rajouter en lui disant que je ne regrettais pas, alors la je vous raconte meme pas. Mais je reve, ce sont eux qui devrait regretter et s'excuser pour le mal qu'il m'ont fait. Elle me regarde d'un air discriminatoire. La procureur demande 8 mois en mandat de dépot, ils m'ont pris pour Jacques Mesrine, je crois. 8 mois en mandat de dépot, pour quelques insultes sur facebook, pour les violeurs d'enfants ont les laisse sous contrôle judiciaire, c'est pas grave, moi je compte uniquement sur le bon dieu. L'avocat des policiers, plaide et demande 7000€ de dommages et intéretes au total pour les 3 policiers. Soit disant, un des policiers lui a dit, qu'il ne supporter pas que je l'insulte de fachos et de nazis. Il a même rajouter, que ses dommages et interets, il en ferait dons à une association contre les discrimination. Alors, si sa c'est pas pour se racheter et pour obtenir ces dommages et intérets, lls nous ont pris pour des cons je croie. Et la mon avocat. Maitre COLLIN. plaide la relax en expliquant que d'apres les textes de lois, sur internet, quand les faits se déroulent sur facebook en public, se n'est pas légalement un outrage et qu'il y a deja eu jurisprudence en France, que je ne pouvait en aucun cas être condamnés pour les faits qui me sont reprochés car aucun texte de lois ne stipulent que lorsque quand on se plaint à l'opinion public, nous pouvons être condamné, il a rajouter que sur facebook, du moment que l'on publie en public, ce n'est pas considéré comme un outrage. C'est trés compliqué à vous expliquer. A ce moment la, pendant que mon avocat plaide, les 2 procureurs, la juge ainsi que la BAC, et tous les policiers qui soutiennent leur collègues, ont commencer à changer de visage et devenir pâle, stressées car ils ne si attendaient pas. La juge me relaxe pour les faits d'outrage mais pas trés contente. Tout le banc des policiers qui étaient venus soutenir les 3 policiers, se lèvent d'un coup, et l'un des policers de la BAC, me fixe droit dans les yeux, il est devenu tout rouge et pas bien, il commence à me faire des signes de menacent avec sa tête et ses yeux, car il s'attendait pas à la relax mais plutôt, que je monte en prison pour 8 mois. Et là, ils auraient péter les bouteilles de champagnes, mon autre affaire aurait était enterré. Mais grâce à dieu et à mon avocat Maitre COLLIN, la vérité a éclatée. Et oui, c'est sa la justice. Maintenant, j'attend avec impatience mon jugement pour lequel j'ai fait appel, pour les 3 policiers quand ils m'ont agressé avec ma femme et mon fils, les faits sois disant outrages, rebellions et menaces de mort. Il parait qu'il y a 3 autres policiers qui ont porter plainte contre moi aussi pour les même faits, alors qu'il ne sait jamais rien passer. Eux aussi, je vais les confronter au tribunal, j'attend ce moment avec une très grande impatience. FRANCHEMENT MENOTTE, SEUL CONTRE 6 POLICIERS, REBELLION, OUTRAGE, MENACE DE MORT, JAI FAIT FORT. MAIS EUX, ILS NONT RIEN FAIT DU TOUT. CE SONT EUX LES GENTILS ET MOI LE GRAND MECHANT LOUP. ELLE EST BELLE LA JUSTICE, UNE CHOSE EST SURE QUE JE NE POURRAIS JAMAIS LEUR PARDONNER, QUE SE SOIT DANS CETTE VIE OU DANS UNE AUTRE. MAIS CEST PAS GRAVE, LA JUSTICE DE DIEU EST PLUS FORTE, JE CROIS PLUS EN DIEU QUE EN LA JUSTICE ! Sur ceux, mes frères, soeurs, amis et famille et autres, merci pour tous vos soutiens et votre aide, je ne saurais jamais comment vous remercier un jour. Mais en tout cas, je ne perd pas espoir et courage. Si ils sont venus me chercher c'est parce que je me suis plaint de mon histoire sur Facebook, c'est que la justice avait peur de 3 choses : que ils naiment pas que l'opinion publique soit mise au courant et que la verite éclate, que les gens sachent ce qu'il se passe vraiment et qu'il y ait des émeutes. Merci a tous pour vos soutiens et votre aide, ainsi que pour tous vos témoignages: http://youtu.be/G8t47EtgHCA

 

 

   

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