Opinion
Voilà comment tout a commencé
Anis
Dimanche 5 octobre 2014
Les faits : Le 29 aout 2014 entre 19h30
et 20h, je me trouve avec ma conjointe,
ainsi que notre plus jeune fils de 2 ans
et demi, sur Metz-borny, pour aller
acheter de la viande à la boucherie. Une
fois cela fait, nous remettons dans
notre véhicule, je prend le volant, et
la j'aperçois un véhicule de police qui
fonce sur un jeune en scooter qui
n'avait pas de casque et que je
connaissais, qui s'appel Rayan. J'arrive
sur les lieux de l'accident, et la je
constate que la police a percuter le
jeune sur le coté, ce qui a éjecter le
jeune du scooter. Les policiers, se
concertent et aux bout de quelque
seconde, ils se sont approcher de la
victime. Et la, la victime me demande de
filmer, ce que ma conjointe fait. Au
bout de quelque seconde, je reprend le
téléphone pour filmer, les débris du
scooter et le scénic de la police
endommager. Je parle avec la victime, et
il me dit que la police lui a rentrer
exprès dedans. Il me redit film stp car
ils vont me mettre tous sur le dos. Je
continue a filmer, et la un policier
s'approche de moi, et me dit calmement,
il ne faut pas filmer svp, il faut
quitter les lieux. Je lui répond, que je
ne film pas la police et je commence à
m'avancer vers mon véhicule, pendant que
je précise des policiers de la BAC me
montre du doigt a d'autres collègues. Je
m'avance vers mon véhicule, et la
j'aperçois un véhicule de police garer
juste à ma hauteur sur le trottoir d'en
face. J'aperçois 2 policiers armés, qui
se font des signes de la tète envers
moi, comme si ils se disaient c'est lui.
Un des deux policiers, se dirigent vers
l'accident, tandis que le premier arrête
de marcher en me fixant et il me dit,
dégage de la, ta rien n'a foutre la,
branleur, je lui est répondu, pourquoi
tu me parles comme sa trimard (sa veut
dire une personne qui connait rien à la
vie), il me répond, c'est bien beau de
se la peter en bmw, j'aimerais bien
savoir quesque tu fait comme boulot,
tout en insinuation, je lui répond,
qu'il ne s'inquiète pas pour moi, que je
ne suis ni trafiquant, ni dealeur, ni
braqueur, que je travaille légalement,
que je possède 2 sociétés, et je lui
redit une dernière phrase, si tu
travaille pour 1200€ c'est ton problème
pas le mien. Et la, il se met a hauteur
de mon véhicule car lui est debout et
moi assis dans le véhicule, me regarde
et me dit c'est toi le meilleur en
mettant son pouce en l'air. Je démarre,
j'avance normalement, rien ne se passe
derrière moi, je m'arrête a un premier
feu rouge, une fois le feu passer verts,
je prend à droite, tout en discutant de
se qui c'est passer avant avec ma
conjointe, puis j'arrive au 2ème feu
rouge. Et la tout a coup, nous entendons
un gros coup de frein à main, on
apercoit un véhicule de police avec les
gyrophares, qui a du mal a s'arrêter,
qui est a deux doigt de taper le
véhicule devant nous. Et la d'un coup on
voit trois policiers armés, flash-ball,
arme de pointe, gazeuse à la main, et la
le policier jean gregory, sort coté
passager avant avec une vrai arme de
style de petite calibre automatique, ce
dernier nous met en joue ma femme, mon
fils et moi. Et la, le policier gregory,
pendant que je précise j'avais les mains
en l'air, en lui disant doucement, j'ai
mon fils qui est dans la voiture,
doucement je vais descendre, doucement
je vais descendre, dit a son collègue
gaze le part la fenêtre ce batard, et la
son collègue s'approche de mon véhicule
a ma hauteur, tend sa main, en sachant
qu'il a vu et entendu mon fils de 2 ans
et demi, hurler de peur, et la, il
continue a avancer sa main au niveau de
ma vitre qui était entrouverte, et j'ai
eu le reflexe de fermer la fenêtre pour
protéger mon fils de la gazeuse. Le
policier gregory me redit arme au poing,
descend ou je vais t'allumer, c'est sur
vous allez me dire que ce n'est pas les
propos d'un policier, mais c'est la pur
vérité. Il repointe en joue ma
conjointe, je regarde sur ma gauche et
la je voit aucun policier au niveau de
ma portière. Je décide de descendre vite
avec les mains en l'air, en lui disant,
j'ai pas d'arme, j'ai pas d'arme. Les 2
policiers se jette sur moi, l'un deux me
fait un croche pied, je tombe sur la
tête, et la l'un des deux sautent sur
mon dos, et me donne plusieurs coup sur
la tête avec le bout de la gazeuse.
Pendant que l'autre me mettais des coups
sur les hanches. Ils disaient sale chien
t'aime bien filmer la police, pendant
que j'entendais ma conjointe et mon fils
hurler. Je dit à ma conjointe filme,
regarde quesqu'il me font, elle décide
de descendre du véhicule pour me filmer,
un des trois policiers se relevant de
sur moi, et la gregory s'approche me
tient au sol, tout en m'étouffant avec
son genoux et en me mettant des coups de
poing dans la tête. Et la il dit a son
collègue, gaze la cette pute, arrache
lui le téléphone en parlant de ma
conjointe, excuser moi pour le langage.
Ma conjointe commence a descendre du
véhicule en filmant, et le policier qui
s'était relever, pousse plusieurs fois
violemment la portière contre ma
conjointe qui est complètement écrasée
et qui n'arrive pas a s'extraire, et à
même essayer de lui prendre son
téléphone mais voyant qu'il n'y arriver
pas, lui a tirer les cheveux, et ma
conjointe crier aidez nous, aidez nous,
et la ils c'est écarter. Ma conjointe
fait le tour du véhicule, et filme ce
qu'ils étaient entrain de me faire. Un
policier, la repousse munis de son
flash-ball et lui dit occupe toi de ton
gosse, sa prouve bien qu'ils étaient au
courant qu'il y avait un enfant dans le
véhicule. Pendant que j'était au sol
menotté, il me retourne sur le dos, en
me tirant très fort sur mes poignées, et
me disait, tes poignées je vais te les
briser sale fils de pute, je vais te
crever, d'ailleurs dans la vidéo on voit
qu'il essaye de me tuer en m'étranglant
devant les yeux de mon fils, excuser moi
pour les termes employer. Il me ramene
au niveau de leur véhicule portiere
arriere gauche, et la porte ne souvre
pas comme par miracle et la le policier
gregory crie putain, et m'écrase contre
la voiture, ils décident de me faire
monter de l'autre côté, lui et son
collègue me tenaient tellement fort en
me menaçant que j'aller crever, et la je
sentais que quelque chose aller
m'arriver, je le voyer dans ces yeux, il
ne savait plus ce qu'il faisait.
Tellement qu'il me soulever haut par les
bras, j'avais la tête vers le bas et les
mains vers le haut en arrière, j'avais
une douleur atroce, que je croyais que
j'avais mes épaules briser. En voyant,
qu'il n'arriver pas me mettre dans leur
voiture, il me prend par le cou en
arrière en serrant avec ces 2 bras, et
la je pousse avec mes deux jambes,
toujours menotté, et la je crie, je vais
mourir, je vais mourir. Il se couche sur
la capot de ma voiture, tout en me
serrant au cou de toute sa force avec
ses deux bras, des qu'il a vu que
j'était encore vivant, et la il me tient
avec une main par la gorge et avec la
deuxième main, il essayer de me
décrocher la gorge. Il dit a son
collègue gaze le, celui-ci approche avec
la gazeuse et me gaze en plein visage et
de prés, j'ai avalé tout le produit, et
la je ne respirer plus. Pendant ce
gazage, le policier gregory a continuer
a me tirer sur le cou et me disant tout
en grinçant des dents, je vais te
crever. Je commence a perdre
connaissance, car il m'appuie trop sur
le cou, mais sa ne l'empêche pas de me
jeter dans le véhicule. Je me retrouve
dans le véhicule, au moment ou le
claquement des portes retentis je
reprend mes esprits. Et la je sent un
poids sur moi, c'était un des policiers
qui s'étaient assis sur moi. Je dit svp,
enlevez vous je ne respire plus. Il me
dit, tu n'as cas pas respirer, crève
sale chien. Et la policier gregory qui
était à l'avant du véhicule, se retourne
et me dit creve, creve, en me donnant
plusieurs coup de poing sur la tete, et
il redit a son collègue appuis toi
dessus fort, et la il me tire la tete
avec ses deux mains, pour la mettre
entre les deux sièges avant, et la ce
policier gregory, ma taper de plus en
plus et de plus en fort sur la tête, sur
laquelle je garde des séquelles encore
aujourd'hui. Nous arrivons au
commissariat, les coups continue a
pleuvoir ainsi que les menaces de mort,
et la gregory, descend du véhicule,
ouvre la portiere arrière, et m'éjecte
du véhicule en me tirant violement par
le pied, et la ma tete, ne peut que se
cogner sur la carrosserie et ensuite par
terre. Il me souleve par les pieds et
par les poignées, me monte dans le
bureau, et la un de ces collegues, veut
me mettre assis sur une chaise, mais le
policier gregory jean, crie, nan, nan,
nan, jeter le parterre ce chien, et me
pousse violemment par terre, ma tete
cogne le mur, et la il me dit, tu va
crever, je vais prendre ta mere à quatre
pattes. Il me frappe violemment au
visage, me marche sur ma cuisse, ensuite
il s'éloigne vers la porte pour parler
avec ces collègues, et la j'essaye de me
relever doucement sur mes genoux en
pleurant, je lui dit fils de pute, tu va
payer, je vais te niker ta mere pour le
mal que tes entrain de me faire subir,
t'inquiete pas, le bon dieu existe, et
la il me répond en se moquant c'est moi
dieu. Je lui répond, toi tes qu'une
merde. Il devient tout rouge, chaud, se
dirige vers moi, me prend au cou, me
claque la tête contre le meuble. Ma tete
saigne, il me jette par terre, je perd
connaissance, le sang giqule partout du
dessus de ma tete et la j'entend son
collegue dire, putain merde, ya du sang
partout, il faut l'emmener à l'hôpital,
mais le policier gregory dit, nan, nan,
c'est rien, va chercher la trousse de
secours, on va lui faire un pansement
vite fait, c'est bon il a rouvert les
yeux, alors que le sang continuer à
gicler partout sur le mur, ce dernier me
tire par les poignées, en me disant
allez leve toi, leve toi, fait pas
semblant, pendant que je voyais des
étoiles entre mes yeux, et je prier le
bon dieu, pour mourir pour que se
calvaire cesse pour moi et pour tout le
monde. Le policier gregory continue
toujours à me tirer, et appuie avec ces
doigt sur mon cou pour voir si je
respirer, et il dit a son collègue,
c'est bon il respire, il fait semblant,
il commence a me retirer par les
poignées très fort, et me dit, vient on
va souffler. Et la je lui dit fils de
pute, tout en étant toujours dans les
vapes et que mon sang continuer a
couler. Et la, il me met la semelle de
sa chaussure sur mon visage, appuie
fortement avec ces chaussures de
sécurité, en me disant, tu veut pas
crever sale fils de pute. J'en n'ai
garder des traces sur le visage. Et la
d'un coup, je reprend trés vite mes
esprits, et je lui crache dessus sur sa
jambe, pour se venger, il a soulever son
pied pour me donner un coup pour
m'écraser la tête. Je perd connaissance
une nouvelle fois. D'un coup je me
réveille, ayant de l'eau qui coule sur
moi, et voyant le policier gregory me
renversant de l'eau sur le visage, en
disant a son collègue, tu voit je te
l'avait dit, il fait exprès. A ce moment
la, j'essaie de me relever sans aide de
la part d'aucun policier, car ils
étaient tous occuper a rigoler. Un de
ces collègues, lui dit, vient on n'apel
les pompiers, sinon on va avoir des
problemes, et la il lui dit, c'est bon
trouve juste une trousse de secours,
c'est rien je m'en n'occupe. En
entendant sa, je lui dit, je veut aller
à l'hopital me faire soigner et voir mon
avocat. Et la le policier gregory jean,
me répond, que l'avocat c'est plus tard,
et que pour l'hopital c'est trop facile,
tu va rester la comme un chien. Je lui
dit, espèce de fils de pute, avec ton
corps remplis de testostérone, tu
m'impressionne pas, regarde avec tous
les coups que tu ma mis je résiste
encore. Il me répond, t'inquiète pas
dans les geôles, sa sera ta fête. Je lui
répond, j'espère pour toi que je serai
menotté. J'aperçois 3 policiers de la
BAC, qui passer dans le couloir, l'un
d'eux leur a dit, c'est bien les gas, il
faut le niquer celui la, il ma regarder
en me pointant du doigt et m'a dit,
c'est pas fini, on se verra au tribunal.
L e policier gregory jean rajoute, au
tribunal je vais te demander tes jantes
en dommage et interet tout en se
moquant. Et redit a son collègue, ta vu
les jantes qu'il a se batard. Et la
comme par magie, au bout de plusieurs
heures, les pompiers arrivent pour me
soigner. Tout de suite, le policier
gregory jean , se jette sur un des
pompiers l'emmene à part, lui parle, et
quand se pompier revient vers moi, il
avait un comportement bizare. Ce pompier
me dit, esque je peut regarder tes
blessures, je lui répond oui bien sur et
merci d'être venu. Il constate l'état de
mes blessures sur mon crane, et informe
les policiers qu'il faut que je soit
emmener tout de suite à l'hopital. Le
policier gregory jean, lui dit vous
pouvez pas juste le soigner ici, en lui
mettant des pansement car je veut le
faire souffler dans le ballon et lui
faire le test stup. Le pompier lui
répond, je ne peut pas lui mettre un
pansement car il a besoin d'être
recousu. Le policier gregory jean,
persiste et insiste en lui disant, si si
si, il faut que je le fasse souffler
j'ai mon rapport à faire, c'est urgent,
l'hopital c'est trop facile, soigner le
et on va le mettre dans les goles. Le
pompier lui répond, il faut tout de
suite l'emmener à l'hopital, votre
rapport peut attendre, car il peut faire
une hémorragie. Et la le policier
gregory jean, crie putain, c'est trop
facile, et dit au pompier parter
laisser-le la. Le pompier répond, si je
part je serais obliger de le noter dans
le rapport et vous le faire signer,
d'une voie calme et lente comme si il
avait peur. Ce dernier, fixe méchamment
le pompier, se retourne vers son
collègue et lui demande quesqu'on fait?
Son collègue n'a pas sut quoi lui
répondre, et la le policier gregory jean
dit aux pompiers, allez dégager le
d'ici, emmener le, comme si un miracle
c'était passer. Le pompier dit au
policier, on l'emmene mais il faut qu'il
y ait un véhicule de police qui nous
accompagne. Le policier gregory jean,
dit, ah nan nan nan, moi je le ramene
pas dans ce cas la, laisser le crever
ici. Le pompier lui dit, on ne peut pas
le laisser comme sa, si je part, je suis
obliger de vous faire signer le rapport.
Tout d'un coup, un nouveau policier est
venu dans le bureau et la a entendu le
probleme qui y avait, et la c'est
proposer d'appeler le terminal pour
qu'ils envoient un véhicule de police
pour le trajet. Gregory jean dit, ok vas
y apelle les, l'autres policier est
parti apeler et quand t'il est revenu,
comme par hasard, il a dit qu'il n'y
avait aucun véhicule dispo. Et la, le
policier gregory, dit tant mieux, vient
on le jette dans les goles comme sa, on
lui fera un petit pansement vite fait,
on l'auditionne et on l'emmene plus tard
à l'hopital. Le pompier lui dit, que
nous on ne peut pas rester longtemps
ici, on va vous faire signer le rapport
et partir, on ne peut pas rester une
plombe ici. Le policier gregory jean
dit, fait leur signer a eux en parlant
de ces collègues. Un de ces collègues
prend la parole et dit, on peut pas
faire sa, on n'a pas le droit, on va se
faire allumer par le chef, pendant que
je faisais semblant de ne pas entendre,
j'était toujours un peu dans les vapes
mais j'entendais tous. Finalement, ce
sont des collègues du policier gregory
jean qui lui a refuser de m'escorter, a
préféré rester dans son bureau, a
préparé son rapport avec soit disant,
outrage, menace de mort, refus de se
soumettre au teste d'alcoolémie et de
stupéfiant, ... la totale, tout cela
pendant que j'était entrain d'agoniser
dans mon sang. Nous nous rendons a l'hopital
tranquillement, je vomissais dans la
camionnette des pompiers. Une fois
arriver à l'hopital, deux infirmieres
super gentilles et un autre infirmier,
me prennent en charge, me demande ce qui
c'est passer, je leur raconte, et tout
de suite un policier rentre et leur dit
faite attention, il est dangereux. Une
des infirmieres lui répond, ne vous
inquieter pas, c'est notre travail, on
n'a l'habitude, on voit tres bien qu'il
est calme, veuillez nous attendre devant
la porte merci, cette derniere ferme la
porte. Je voit qu'elle avait pitié de
moi, je lui est tout raconter ce qui
c'est passer, et la elle ma repondu, ici
vous etes en securité, personne ne te
fera de mal, ils ne pourront plus car on
va faire un rapport sur tes blessures.
J'ai vu le medecin, qui a regarder mes
blessures, il me demande comment j'ai
fait sa, je lui raconte, il commence à
me soigner, tout en me parlant
gentiment. Un des policiers l'appelle,
lui parle, le médecin revient, et tout
d'un coup il a un comportement bizarre.
Termine de me soigner, et signe le
papier comme quoi je suis apte a la
garde a vue malgré toutes mes blessures.
Et la, on repart au commissariat.
J'arrive au commissariat, une nouvelle
équipe me prend en charge, ils me font
souffler dans le ballon, le taux est de
zéro. Il me demande si je veut être
auditionner maintenant ou apres avec ton
avocat, car pour l'instant ton avocat ne
répond pas au téléphone. Si tu ne fait
pas ton audition tout de suite, tu
risque d'y passer le week end. Je lui
dit le week end?, pourquoi j'ai rien
fait, et la il me dit ce n'est pas
quesque les collègues m'ont dit. Il me
demande, si je veut savoir les faits qui
me sont reprochés, je lui répond que oui
biensur c'est quoi les faits. Il me
répond, outrage, rébellion, menace de
mort, et refus de se soumettre aux
dépistage d'alcoolémie et de stup. Je
lui répond, tes cinglé, j'ai rien fait
de tout sa, ce sont eux qui mont fait du
mal, apel vite mon avocat. Il me dit,
ton avocat, il répond pas. Je lui répond
pas d'avocat, pas d'audition. Je me leve
de ma chaise, je lui dit descend moi
dans les goles. Le policier me répond,
assis toi, calme toi, on va discuter
calmement. Je commence a m'énerver en
lui disant, descend moi dans les geoles,
c'est moi la victime dans l'affaire
c'est pas eux. Et tu ose me dire,
rébellion, outrage, refus de test
alcoolémie, dans ces circonstances la,
et menace de mort. Je lui dit, elle est
belle la justice de merde. Je lui dit
maintenant, tu me descend dans les
geôles. Il ma répondu, ok on n'y va. Une
fois dans la geôle, je constate qu'il y
a de la pisse dans la geôle, et la je
dit a la femme policier, je peut pas
dormir ici, c'est pleins de pisse par
terre, sa brule au visage et l'odeur est
insoutenable, alors que pleins de
cellule était vide. Je lui demande si je
peut aller dans la cellule d'accoter qui
est vide et propre, que je veut dormir,
que je suis fatigué. Elle me répond que
ce sont des cellules pour les mineurs,
ils m'ont dit de te mettre la, je te met
la, commence pas a me casser la tete. Je
lui demande, qui ta dit de me mettre la,
elle me repond que ce sont ses
collègues. Je lui dit, c'est fait expret
alors? Elle me regarde d'un air et
souris. Apres sa, j'ai rien dit, je me
suis coucher malgrés l'odeur, j'ai
réussi a dormir quelques heures, pour
recuperer des forces. Au bout de ces
quelques heures, l'odeur était tellement
devenu insoutenable, que je n'arriver
plus respirer, que sa me bruler au
visage, on dirait qu'il n'y avait plus
d'aération dans cette geôle. Plus d'air
! Tout d'un coup, je n'ai pas pus
supporter plus longtemps. J'appelle la
geôlière, qu'elle voit, pour qu'elle me
change de geôle et je lui demande
d'ouvrir pour qu'elle constate par elle
meme. Elle ouvre la gole, constate qu'il
y a une forte odeur de pisse et que
l'air est irrespirable. Elle me dit je
peut rien faire, je lui demande alors
une serpillère pour nettoyer moi même,
elle me repond qu'elle n'en n'a pas, je
lui redemande, alors un sceau d'eau et
un ballet, j'utiliserais mon t-shirt
comme serpillère. Je lui dit que j'ai un
t-shirt dans le casier, tu peut me le
ramener, je l'utlise comme serpillère.
Elle me dit, nan nan, j'ai des
instructions, que je doit pas te changer
de gole, c'est pas moi, j'y peut rien.
Elle me ferme la porte dessus, et la je
lui répond, si tu me change pas de
cellule, jte laisse pas tranquille avec
ton téléphone. Elle me dit, vas y
quesque t'attend. Je commence a taper
trés fort sur la porte avec ma main,
,une fois que j'ai commencer a me taper
la tête contre la porte et que mes
aggraphes se sont détacher, j'ai
commencer a saigner de nouveau, elle a
constater et a apeler son superieur. Le
brigadier est venu, me demande de rester
tranquil, sinon je te met un casque sur
la tête. Je lui répond, je veut pas de
probleme, je veut juste dormir, changer
de cellule, ou ramener moi une
serpillère je la lave. Tout d'un coup,
il me dit ok, pas de probleme, je lui
repond merci chef. Il me dit attend
j'arrive, je vais te changer de geôle.
Il parle avec la geôlière, ainsi que
avec d'autres policiers, repart dans un
bureau, pendant de longue minutes, et
reviens me voir, et me dit finalement
pour la cellule d'a côté c'est pas
possible. Je lui dit, vous vous fouter
de ma gueule, un coup oui, un coup non
et d'ailleurs j'ai rien n'a faire ici.
Et la, je lui dit, si tu me change pas
de cellule, je me met la tète en sang.
la geôlière lui dit, j'ai un casque on
va lui mettre. Il repart avec la
geôlière, ils reviennent avec un casque
et des rislans pour m'attacher les
pieds. Et la je leur dit, vous me prenez
pour un fou, je leur dit écarter vous de
moi, sa va partir en couille. La
geôlière commence a s'approcher pour me
mettre le casque sur la tête à ce moment
la, je me suis frapper la tete contre la
porte et la je me suis ouvert tout mes
agrafes, ma blessure c'est agrandis et
la le sang se met a couler mais la
geôlière me met quand meme le casque qui
etait pourtant trop petit, mais elle a
quand meme forcer sur le casque, en
frappant sur le casque pour que ma tete
rentre dedans, avec ma blessure je vous
dit pas l'atroce douleur, je lui dit
arrête il est trop petit, elle me
répond, ta cas rester trankil, je lui
répond, vous inverser les roles, vous
voulez me faire passer pour je sais pas
qui, pendant que le brigadier me met les
mains derriere le dos, me menotte et
m'attache les pieds avec le rislan. Il
n'avais qu'une obsession, que je les
frappes, pour qu'ils puissent m'accuser
pour violence, mais j'ai compris qu'il
ne fallait pas rentrer dans leur jeu. Je
me suis laisser faire pour qu'il
m'attache les pieds et me mette le
casque sur la tete. Le brigadier à mis
le matelas par terre, sur la pisse, ils
mont porter a trois, mont poser sur le
matelas, ils sont sortis et ont fermer
la porte pendant que je me debatter pour
enlever le casque, qui était trop serrer
et qui m'empecher de respirer. Mais
grace a la force de dieu, j'ai réussi à
me relever, me mettre assis, sur le banc
en béton, et j'ai tirer trés fort avec
mes mains sur le rislan, je les aient
casser un par un, j'ai réussi a passer
mes bras par l'avant, pour pouvoir
enlever le casque et mieux respirer.
J'ai toquer a la porte avec mon casque à
la main, je l'ai appeler, je lui est
dit, mais c'est quoi le délire dans
lequel vous êtes entrain de me rentrer,
je pisse le sang, vous m'attachez les
mains, les pieds, la tête, mais de quel
droit vous pouvez faire sa. Elle me
répond, on n'est dans un commissariat on
peut faire ce qu'on veut. Elle me
répond, attend, je vais chercher les
collègues, tu va voir. Ces collègues
arrivent avec le brigadier, pour me
remettre le casque à nouveau. A ce
moment la, je remet un grand coup de
tête dans la porte, ma blessure s'ouvre
encore plus, du sang coule de partout.
Je perd connaissance, je me fait
réveiller par les pompiers par de petite
claque. Ils constatent mes blessures, et
décide de m'emmener à l'hôpital avec
trois policiers. Une fois à l'hôpital,
les mêmes infirmières et médecin me
voient à nouveau. Trois infirmiers,
super gentil, me prennent en charge tout
de suite, me désinfecte la plaie et me
lave le visage, me rince la tête, tout
en me disant si ta femme et tes enfants
te verraient dans cet état, ils
deviendraient fou. Ils me remonte le
moral et je leur dit que je ne veut pas
partir avec eux, je leur est tout
raconter, elle ma dit t'inquiète pas je
vais parler au medecin. Elle est revenu,
ma dit que le médecin nous attendaient
pour me recoudre la tête à nouveau, la
ils m'emmènent voir le medecin, j'attend
dans une petite salle, pendant qu'une
policiere se moquer de moi, elle me
disait, tes content de nous faire chier,
et la je lui dit dégage, je parle pas
avec toi, elle me répond c'est toi qui
va dégager d'ici, elle continue toujours
à me provoquer avec ces deux collègues,
je lui dit, tu chercher quoi, tu veut
quoi. Elle me dit, je veut pas rester
une plombe ici. Je lui répond, bin casse
toi, quesque tu fou la. Elle me répond,
qui il va te surveiller après. Moi je
tai pas demander de me surveiller, si
tes pas contente de ton travail, change
de métier. Je lui dit, tes raciste ou
quoi? La, elle commence à péter les
plombs avec ces collègues, elle vient
vers moi et me dit, tu va fermer ta
gueule maintenant et dit à ses collègues
attacher le maintenant. Elle m'attrape
mes deux poignées qui sont enfler,
ouvert et me met quand même les menottes
en n'appuyant bien fort sur mes
blessures du poignées. Je crier, aille,
aille, tu me fait mal. Son jeune
collègue, imiter ces geste à elle sur
mon autre poignées en me mettant les
menottes. Je leur demande juste de les
desserrer doucement, sa me fait trop
mal. Elle me répond, j'en n'ai rien n'a
foutre ta cas pas me répondre. Je lui
dit, je vais pas te supplier non plus et
en plus je te parle même pas mal. Elle
me dit, si si tu ma menacer avec mes
collègues, tu ma insulter. Je lui dit de
quoi je t'ai insulter, de quoi je tai
menacer? Elle me répond, on vera sa au
poste. Je lui dit comme sa ta le temps
de réfléchir. C'est bon, je vous voient
venir, j'ai compris votre système. Et la
elle me dit, il vaut mieux te la fermer.
Le medecin arrive, rentre, me redit
bonjour, il commence à me soigner la
tête, quand la policière, s'approche du
médecin et lui dit, faite lui une prise
de sang pour détecter du stup, et le
médecin, lui dit, vous pouvez pas
attendre juste que je soigne la blessure
la plus importante, sa peut attendre ?
Elle lui dit qu'elle a recu des
instructions par son chef, et qu'il le
lui faut tout de suite. Le médecin, tout
gêné, me demande si je veut bien faire
la prise de sang. La policière répond à
ma place, ah si il a rien n'a dire, il
est obliger. Le médecin la regarde avec
un air pas trés content, et me repose la
question une deuxième fois. Je lui
répond, faite moi d'abord mes blessures,
j'ai mal à la tête, et quand c'est fini
je ferais la pris de sang. La policière
s'énerve prend mon bras, et dit, si si,
tu va la faire maintenant. Elle commence
a me tenir par la main et essaye de me
mettre l'élastique qui sert le bras. Je
retire mon bras brusquement, je lui dit
maintenant t'arrête de me casser les
couilles, tu va sortir de la chambre,
j'ai besoin d'être seul avec le medecin.
Elle me dit non, on n'a pas le droit.
Moi je lui dit si c'est dans mon droit,
quand j'accompagne ma femme à l'hopital,
quand le medecin me demande d'attendre
devant, j'attend devant. J'ai dis au
docteur, s'il vous plait, faite les
sortir. Le docteur, leur a demander
gentiment de sortir, et la policière lui
a répondu, vous prenez la responsabilité
si il y arrive quelque chose. Elle
essaye de me faire passer pour un
criminel ou pour un fou peut être. Le
medecin, les fait se diriger vers la
porte, et la elle dit, je doit partir,
il faut que vous me signer le papier
comme quoi, il a refuser la prise de
sang. Je lui dit, nan j'ai pas refuser,
j'ai dit que je le ferais une fois que
mes blessures seraient soignées. Elle me
dit c'est maintenant ou rien, je lui dit
allez dégage sale fasciste de merde.
Elle fait signer le papier au médecin,
qui le signe tout stresser, il ne savait
plus quoi répondre. Une nouvelle équipe
arrive et la tout se passe bien, le
medecin part avec les autres policiers
pour discuter pendant que j'attendait
avec la nouvelle équipe, je me disait
dans me tête, j'espère cela ils ne sont
pas pareils. Bonne surprise, ils me
parlent, me remontent le moral, me
ramene de l'eau à boire, me propose si
je veut un café, je leur dit c'est le
bon dieu qui vous a envoyer. Ils me
disent pourquoi tu dit sa, je leur
répond, en leur racontant tout ce que
j'ai subis. Il prend une chaise,
s'assoit à côté de moi et me tiens la
main en me disant t'inquiète pas, sa va
bien se passer, on va faire attention à
toi cette nuit dans les geôles car j'ai
un ancien collègue a nous, qui
patrouiller avec nous, et ce soir, il
est de garde des geôles, donc ne
t'inquiète pas, il est super gentil, il
veillera sur toi et te mettra dans une
cellule propre. Je sais c'est des
enfoirés ce qui ton fait sa, en parlant
de gregory jean. Et la, il me remonter
le moral, en me parlant de ces vacances
dans un pays oriental. Et la, je lui
répond, ta vu comment dans ce pays, il
ton accueillis et ta vu comment en
France ils nous accueille. Et la, il
n'avait plus de mot. Le médecin revient,
il termine a me soigner mes blessures,
il était tout presser de partir. En me
disant, fait attention à toi, fait
attention à tes agrafes. Il donne le
papier apte pour la garde à vue,
surprise, pas de scanner pour la tête
rien, c'est comme si on l'aurait
houspillé pour qu'il se dépêche. Je
repart avec les policiers surper gentil,
qui me remonter le moral dans la
voiture, une fois arriver dans les goles,
ces derniers tout de suite ont dit au
geôlier change le de cellule, car
l'autre est infecte, il l'a constater
par lui même, et m'a dit je comprend
pourquoi ta pas réussi à dormir la,
c'est infecte. Une fois dans ma nouvelle
cellule, je remercie, les policiers et
le geôlier, et la je me rendort enfin
tranquillement avec mes douleurs et ma
fatigue, c'était seulement ce que je
voulais. Le lendemain, ils viennent me
chercher dans la cellule et me dise,
audition. Je remonte dans le bureau, il
me pose quelque question et je ne
comprend plus rien. Il me dit, ta voulu
écraser mon collègue avec ta voiture. Je
lui dit non, c'est pas vrai, j'ai une
vidéo qui prouve le contraire, il me
dit, elle est ou cette vidéo. Je lui dit
la vidéo, elle est quelque part. Il
commence à me poser pleins de questions,
je demande mon avocat et la il me dit,
ton avocat, il répond pas, il est en
vacance. Je lui dit appelle ma femme,
elle me trouvera un avocat, il me
répond, non je n'ai pas que sa a faire,
je l'ai deja prévenu hier c'est deja
beaucoup, elle est tout le temps sur
messagerie, elle répond pas. J'ai dit,
dans ce cas, je fait ma déposition chez
le procureur. Et je lui demande, de me
descendre dans les geoles. Il me descend
dans les geôles, il me dit j'apel le
procureur et on va voir si il te
prolonge la garde a vue ou pas. Il me
met dans la geôle, et surprise, un
nouveau geôlier, super gentil, qui me
propose de fumer une cigarette avec lui
et la je lui dit quesqui se passe
aujourd'hui pour moi, je voit il y a
quand même des bons dans la police. Et
la, il me répond quesque tu croit, et
donc il me propose une cigarette, et on
commence a fumer et a discuter. Je lui
parle de mon problème d'avocat, il ma
conseiller de prendre un avocat commis
d'office dans la situation ou je suis,
je te conseille de prendre vite un
avocat. Tu changera quand tu sortira. Je
lui est dit, tu peut faire quelque chose
pour moi, rapeler le policier et lui
dire comme quoi je veut un avocat commis
d'office. Le soir même, l'avocate
commise d'office arrive, me parle 5
minutes et m'a dit que demain, je serais
déféré au parquet. Le lendemain, au
tribunal, surprise le procureur, demande
mon maintient en détention, et que les
faits qui me sont rapprocher sont
outrage, rébellion et menace de mort sur
6 policiers. Et la, je tombe de haut. Je
commence à lui expliquer en l'arme que
je n'ai rien fait et qu'il y a une
erreur, et la il me dit comme les
policiers m'ont rapporter que ta fais
sa, alors je te reproche sa. Mais je lui
dit qu'il y avait des vidéos et des
témoins, mais il n'a rien voulu savoir.
Je monte chez la juge des libertés, je
lui explique tout de a à z, qu'il y a
une erreur, je lui dit faite bien votre
enquête et vous verrez que je suis
innocent. Mon avocate a bien expliquer
la situation, comme quoi c'était de la
jalousie. Une fois les discours fini,
nous avons attendu dans le couloir
qu'elle délibère pendant de longue
minutes. La greffière, vient me chercher
avec mon avocate, et la surprise, la
juge me maintient en détention
provisoire, pour le lendemain au
tribunal quand je serais juger pour les
faits qui me sont reprochés. Donc une
nuit, à la maison d'arrêt de metz
queuleu, qui se passe sans problème. Le
lendemain, comparution immédiate au
tribunal. De nouveau surprise, j'écoppe
de 6 mois dont 3 mois avec sursis et 2
ans de mise à l'épreuve, ainsi que des
dommages et interet que je doit verser
au policier. Je retourne en maison d'arret
pour lever mon écrou et récuperer mes
affaires. En récupérant mes affaires
dans la fouille, je m'appersoit qu'il y
a un papier de rétention de permis de
conduire, marquer que les faits se passe
le 30 aout pendant que je me trouver en
garde à vue et soi disant, j'ai refuser
de me soumettre à l'épreuve de
l'éthylotest, et que j'ai refuser la
prise de sang chez le médecin, et que
j'ai même refuser de signer, alors que
je n'ai jamais vu se papier auparavant.
En sachant, que le bavure policière a eu
lieu le 29 aout et donc le 30 aout lors
des soit disant fait je me trouver deja
en garde à vue depuis 24h et que j'ai
était encore renouveller pour 24h. En
sachant tout ce que j'ai subis, de
m'accuser pour outrage, rébellion,
menace de mort et en plus de sa, il se
permette de me retirer mon permis sans
aucune raison. Maintenant, je comprend
pourquoi, la femme policier de l'hopital
était si presser de récupérer le papier
comme quoi j'aurais refuser la prise de
sang. Et en plus de sa, le pire, elle
m'accuse de menace de mort, rébellion,
outrage. Alors que je ne l'ais jamais
insulter et que le medecin et les
infirmiers sont témoins, ils pourront
confirmer. Mais non, toute ces personnes
la, non jamais était auditionner. Tout
en sachant, que aucune déposition de
témoins n'a était prise, ni de moi même
car je n'ai jamais était auditionner, ni
même ma femme qui était sur place lors
de l'interpellation, et qui a en sa
possession, une video et plusieurs
photos. On la voit bien la brutalité
policière dans la vidéo. Chaque soir, je
me couche en visionnant cette vidéo, et
je me dit, que les preuves étaient la,
sur une centaine de témoins aucun n'a
était entendu. J'ai fait appel de ma
décision et j'espere que cette fois ci,
justice sera rendu, car je commence à
perdre la raison, j'ai trop peur de
faire des choses que je pourrais
regretter après. Ils suffit juste d'un
autre contrôle de police et la je ne
pense pas pouvoir me contrôler. Après
quand on devient des personnes hors de
contrôle, il faut pas s'étonner c'est
pourquoi.
Ouvrez une enquête,
regarder bien la vidéo et les photos,
questionner les témoins présent ainsi
que le personnel hospitalier, et vous
verrez que ce que je raconte, c'est la
vérité. Il faut que vous sachiez que
cette histoire est crave et qu'on ne
peut pas pardonner. Que ma femme, mon
plus jeune fils de 2 ans et demi et moi,
allons vivre avec sa, toute notre vie.
Voici une dizaine
de jours apres mon agression violente
par ces 3 policiers, que la police
débarque chez moi, pour perquisitionner
mon materiel informatique et me placer
en garde à vue, je vous laisse lire la
suite, de l'acharnement que je subis !
Ma deuxième
interpellation pour les faits d'outrages
sur facebook, 10 jours aprés mon
agression par les policiers.
Le 11 septembre
2014 vers 9h, sa frappe à ma porte, je
regarde dans le laiton de ma porte, et
je demande "qui est-ce ?, on me répond
"ouvrez la porte, c'est la police", à ce
moment la, j'ai commencer à repenser à
toute l'histoire d'avant, et mes pensées
étaient à moitiés paranoïaques et
moitiés méfiant envers eux, je me
demander quesqu'ils aller m'inventer
encore. A ce moment là, je regarde par
la fenêtre de la chambre de mes fils, et
là je vois une dizaine de policiers qui
surveille derrière chez moi et d'autres
devant chez moi, et encore d'autres qui
chercher je ne sais quoi. On n'aurait
dit qu'ils étaient venus chercher un
criminel. Là, je leur demande les faits
qui me sont reprochés, ils me répondent
"pour des faits d'outrage", et je n'y
croyais pas du tout. Je leurs dits "que
si vous essayer de rentrer, sa va pas
partir en couille, car je ne sortirais
sans la présence de mon avocat". Ils me
répondent que si je n'ouvre pas la
porte, ils appelleraient le service GIGN.
Ils m'a répondu que si le GIGN vient sa
sera pas pareils, mdr, on croirais j'ai
tuer quelqu'un. Je décide d'appeler mon
avocat, et là il me conseille de leur
ouvrir la porte, et qu'il me rejoindrais
le plus vite possible. Une fois d'avoir
raccroché, je poste immédiatement un
message sur facebook, pour informer de
ma situation. Je vais vers la porte de
mon garage, je leur dit "je vais ouvrir
la porte, fait doucement s'il vous
plait, je veut pas de problème". J'ouvre
la porte, (ma femme film), les policiers
rentrent, décline leur identité, et me
disent les faits qui me sont reprochés,
me place en garde à vue, me disent
qu'ils doivent perquisitionné mon
matériel informatique, ma femme lui
demande si ils ont "un mandat de
perquisition"(comme à la télé), ils lui
répondent, "on n'est en flagrants
délit", elle lui redit "flagrant délit
de quel fait", ils répondent "je préfère
discuter avec Monsieur ......" ils
décident de perquisitionner et prendre
mon matériel informatique pour extraire
les données au poste, ils me demande de
les suivre, non menotté. Tous cela dans
le respect et dans le calme, je m'y
attendais pas à un tel
professionnalisme.
Une fois arriver au
poste de police, ces policiers refusent
de passer par la porte d'entrée, pour ne
pas croiser leurs collègues avec qui
j'ai subis l'agression. Ils me font
passer par un parking souterrain, sans
doute pour ma sécurité, ils me font
monter dans leur bureau, et là ils me
demandes si je veut voir un avocat et/ou
un médecin. Je leur répond oui, que je
veut voir mon avocat, que je l'ai déja
prévenu et qu'il est en route. Une fois
m'ont avocat Maitre COLLIN, arriver,
audition. ils m'expliquent les faits
outrage sur facebook envers les
policiers qui m'ont agressés. Je répond
à ses accusations, que j'ai seulement
voulu avertir l'opinion publique de ce
qui m'était arriver, et que je reconnais
les quelques insultes sur mon compte
facebook. Ils me posent la question, si
je regretter, si j'avais de la haine
envers ces policiers, je lui répond "je
ne regrette rien, c'est normal vu ce
qu'ils m'ont fait subir". Pour ses
outrages sur facebook, j'assume mes
actes. Une fois cela fini, je signe mes
auditions et j'attend qu'ils appellent
le procureur, pour savoir la suite. Une
fois la réponse du procureur reçu, le
policier me dit, qu'on devait aller à
17h, chercher une convocation, chez le
procureur, pour avoir une convocation
pour être jugé pour les faits d'outrages
à une date ultérieur. J'attend toute la
journée dans le bureau, car ils n'ont
pas vouluent me descendre dans les
geôles pour ma sécurité. Le temps passe,
vers 16h, le policier revient me voir,
et me dit" que la procureur, à changer
d'avis, et à demander mon maintient en
garde à vue, pour être déféré demain à
14h, pour être jugé". Quand je lui
demande c'est quoi le traquenard, il me
dit qu'il est désoler, et qu'il ne
s'attendais pas à sa. En sachant, que
j'était en danger, du aux 3 policiers
qui travaillent dans ce commissariat,
mais la procureur ça la pas empêché de
me faire descendre dans les geôles pour
passer la nuit, alors qu'elle savait
trés bien que j'était en danger. Le
policier, me redit qu'il est désoler.
Ils me font descendre dans les geôles,
et là l'accueil est glaciale. Ils me
mettent dans une cellule, qui était
propre (pas de pisse,...). Le policier
qui m'a auditionner, déscend et me met
un jeune dans ma cellule avec moi. Un
bon petit jeune avec qui j'ai put
discuter. Je decide de dormir pour tuer
le temps, au milieu de la nuit, j'entend
des insultes "connard", j'ai reconnu une
voix, je vous laisse deviner laquelle.
Je commence à avoir froid, je demande
une deuxième couverture de pompier au
policier présent, qui me répond "c'est
une par personne, d'un air de soutien à
ses autres collègues". On lui demande si
il peut fermer la fenêtre, il nous
répond "on ne peut pas fermer la
fenêtre". Malgré cela, j'ai continuer à
dormir. Le lendemain à 9h, ils viennent
me chercher pour être déferré au
tribunal, sans me douter du coup qu'ils
étaient entrain de préparer derrière mon
dos. J'arrive au tribunal, ils me monte
dans le bureau du procureur, je rentre
dans son bureau et la je tombe sur 2
procureurs qui me posent des questions,
en me demandant si j'étais suicidaire et
si je me retrouver en prison si je
compte m'évader, je crois rêver, cetait
sans doute pour me mettre en prison en
isolement "et isoler de tout le monde",
et sans doute de préparer un suicide. il
faut que vous sachiez que dans ma
religion le suicide est interdit et je
n'ai jamais était suicidaire. Et voilà
le complot ne fait que commencer.
Ensuite, ils me descendes dans les
cellules den bas pendant que j'attendais
jusqu'a 14h, ils fallaient que je
supportent les policiers qui soutenaient
leurs collègues, le droit à rien (pas de
cigarette, si vous voyer ce que je veut
dire) ils me font passer en dernier.
L'heure arrive, je monte en haut, et là
surprise, je voit toute la BAC de metz,
même des membres de leur famille pour
les soutenir, alors que les 3 policiers
ne sont même pas venus pour témoigner,
je sais pourquoi ils ne sont pas venu,
car ils auraient fait face à mes
questions, et là je les auraient piégé,
je les attendais avec impatience, pour
que je puisse m'expliquer avec eux. Ils
avaient préparer un bureau spécial juste
pour moi, et la surprise la même juge.
Elle en n'avait rien n'a foutre de ce
que je disais, bien au contraire, elle
se réjouissait sur mon sort. Quand je
lui est dit "la premiere fois quand vous
m'avez juger, vous avez refuser de
prendre le témoignage des témoins, et de
visionner les vidéos, et après sa vous
me condamner à 6 mois de prison ferme
assortis de 3 mois de sursis et 2 ans de
mise à l'épreuve, plus des dommages à
intérêt pour les policiers", la juge me
répond "ce n'est pas moi, qui vous est
jugé, c'est la cour correctionnel". La
juge me demande si je regrette, je lui
est répondu que je ne regrette rien.
Elle n'était déja pas trés intéressée
pour entendre la vérité, j'ai rajouter
en lui disant que je ne regrettais pas,
alors la je vous raconte meme pas. Mais
je reve, ce sont eux qui devrait
regretter et s'excuser pour le mal qu'il
m'ont fait. Elle me regarde d'un air
discriminatoire. La procureur demande 8
mois en mandat de dépot, ils m'ont pris
pour Jacques Mesrine, je crois. 8 mois
en mandat de dépot, pour quelques
insultes sur facebook, pour les violeurs
d'enfants ont les laisse sous contrôle
judiciaire, c'est pas grave, moi je
compte uniquement sur le bon dieu.
L'avocat des policiers, plaide et
demande 7000€ de dommages et intéretes
au total pour les 3 policiers. Soit
disant, un des policiers lui a dit,
qu'il ne supporter pas que je l'insulte
de fachos et de nazis. Il a même
rajouter, que ses dommages et interets,
il en ferait dons à une association
contre les discrimination. Alors, si sa
c'est pas pour se racheter et pour
obtenir ces dommages et intérets, lls
nous ont pris pour des cons je croie. Et
la mon avocat. Maitre COLLIN. plaide la
relax en expliquant que d'apres les
textes de lois, sur internet, quand les
faits se déroulent sur facebook en
public, se n'est pas légalement un
outrage et qu'il y a deja eu
jurisprudence en France, que je ne
pouvait en aucun cas être condamnés pour
les faits qui me sont reprochés car
aucun texte de lois ne stipulent que
lorsque quand on se plaint à l'opinion
public, nous pouvons être condamné, il a
rajouter que sur facebook, du moment que
l'on publie en public, ce n'est pas
considéré comme un outrage. C'est trés
compliqué à vous expliquer. A ce moment
la, pendant que mon avocat plaide, les 2
procureurs, la juge ainsi que la BAC, et
tous les policiers qui soutiennent leur
collègues, ont commencer à changer de
visage et devenir pâle, stressées car
ils ne si attendaient pas. La juge me
relaxe pour les faits d'outrage mais pas
trés contente. Tout le banc des
policiers qui étaient venus soutenir les
3 policiers, se lèvent d'un coup, et
l'un des policers de la BAC, me fixe
droit dans les yeux, il est devenu tout
rouge et pas bien, il commence à me
faire des signes de menacent avec sa
tête et ses yeux, car il s'attendait pas
à la relax mais plutôt, que je monte en
prison pour 8 mois. Et là, ils auraient
péter les bouteilles de champagnes, mon
autre affaire aurait était enterré. Mais
grâce à dieu et à mon avocat Maitre
COLLIN, la vérité a éclatée. Et oui,
c'est sa la justice. Maintenant,
j'attend avec impatience mon jugement
pour lequel j'ai fait appel, pour les 3
policiers quand ils m'ont agressé avec
ma femme et mon fils, les faits sois
disant outrages, rebellions et menaces
de mort. Il parait qu'il y a 3 autres
policiers qui ont porter plainte contre
moi aussi pour les même faits, alors
qu'il ne sait jamais rien passer. Eux
aussi, je vais les confronter au
tribunal, j'attend ce moment avec une
très grande impatience. FRANCHEMENT
MENOTTE, SEUL CONTRE 6 POLICIERS,
REBELLION, OUTRAGE, MENACE DE MORT, JAI
FAIT FORT. MAIS EUX, ILS NONT RIEN FAIT
DU TOUT. CE SONT EUX LES GENTILS ET MOI
LE GRAND MECHANT LOUP. ELLE EST BELLE LA
JUSTICE, UNE CHOSE EST SURE QUE JE NE
POURRAIS JAMAIS LEUR PARDONNER, QUE SE
SOIT DANS CETTE VIE OU DANS UNE AUTRE.
MAIS CEST PAS GRAVE, LA JUSTICE DE DIEU
EST PLUS FORTE, JE CROIS PLUS EN DIEU
QUE EN LA JUSTICE ! Sur ceux, mes
frères, soeurs, amis et famille et
autres, merci pour tous vos soutiens et
votre aide, je ne saurais jamais comment
vous remercier un jour. Mais en tout
cas, je ne perd pas espoir et courage.
Si ils sont venus me chercher c'est
parce que je me suis plaint de mon
histoire sur Facebook, c'est que la
justice avait peur de 3 choses : que ils
naiment pas que l'opinion publique soit
mise au courant et que la verite éclate,
que les gens sachent ce qu'il se passe
vraiment et qu'il y ait des émeutes.
Merci a tous pour vos soutiens et votre
aide, ainsi que pour tous vos
témoignages:
http://youtu.be/G8t47EtgHCA
Le
dossier Anis
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